mercredi 11 novembre 2009

Le retour de la race

MISE A JOUR POUR LES BLANCS.
L’homme blanc est le bouc émissaire de ce monde malade, et cela ne fait que commencer..

Par la manipulation des courrants de pensée au 20ème siècle, l’homme européen s’est vu imposer une moralité contre-nature qui le pousse nécessairement à sa perte. Bien des gens perspicaces ont vus venir la chose et compris le péril démographique qui emportera la race blanche occidentale.

Sommaire :



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(http://www.megaupload.com/?d=R2BN90K3 , LES VERS DORÉS
DE PYTHAGORE
EXPLIQUÉS ET TRADUITS POUR LA PREMIÈRE FOIS EN VERS EUMOLPIQUES FRANÇAIS ;
PRÉCÉDÉS D’UN DISCOURS SUR L’ESSENCE ET LA FORME DE LA POÉSIE, Chez les
principaux peuples de la terre,
Adressé à la classe de la Langue et de la Littérature française, et à celle
d’Histoire et de Littérature ancienne de l’Institut impérial de France par
FABRE-D’OLIVET)




http://spiritualite-indo-europeenne.over-blog.com
Textes sacrés:

-Mahâbhârata
-Bhagavad-Gîtâ
-L’Avesta
-Iliade et Odyssée
-De la Nature
-Eddas et Sagas


La race est l’avenir de l’homme.
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C’est un long chemin, de devenir racialiste.
Les choses sont plus claires, après : il n’y a pas d’avenir commun entre les
noirs(il y'a tjr des poissons volants) et les autres.
100 000 ans de séparation complète entre les Africains et les autres, c’est
quasiment irréversible, les différences sont déjà très importantes.
À dire vrai, je pense qu’un processus de spéciation était en cours. Comme
chaque fois que des groupes vivants se séparent. On parle tout naturellement
de l’ancêtre commun aux hommes et aux grands singes… Éléphants d’Afrique et
d’Asie se sont séparés. Tigres et lions. Cheval et âne. Je ne connais pas les
durées de ces évolutions distinctes, mais à l’évidence il se passait la même
chose dans l’espèce humaine. Encore 200 000 ans ? Il suffit d’un tout petit
remaniement chromosomique, et c’est fait.
Tous ceux qui nous disent que la nature procède par fusions et par mélanges
racontent n’importe quoi : la nature passe son temps à séparer, à
spécialiser, à différencier. D’où l’incroyable, l’invraisemblable,
l’immense diversité du vivant.
Rien que parmi les hommes, on ne peut qu’être frappé de l’énorme diversité des
« sous- ensembles » des populations d’Afrique, autant de quasi- isolats qui ont
évolué chacun sur place, dans des environnements distincts et distants,
qui ont sélectionné des morphotypes aussi différents que les Masaï et les
Pygmées, ou les Peuls (mauvais exemple, mais il ne m’en vient pas d’autre à
l’instant) et les Zoulous.
Le dernier ancêtre commun aux Japonais et aux Congolais remonte à 100 000
ans. Ces populations ont évolué séparément, sans plus jamais se
rencontrer. Et on vou�drait nous expliquer que le métissage est le seul moyen
d’évoluer ?

Les différences raciales dans le monde du sport sont évidentes et montrées à un large publique. Lors des championnats internationaux de cross country tenus à Turin en 1997, 275 coureurs prirent le départ du 12 km. Pour la 12ème année consécutive, le Kenya arriva en première place du classement par nation. L’équipe de ce pays se composait surtout de membres de la tribut des kalengin, représentant 10% de la population du Kenya avec 3 millions d’individus. Si ils avaient formé une équipe en soit, au lieu de leur dilution dans l’équipe kenyane, ils auraient remportés 18 des 36 médailles du championnat. 3 millions contre 5 milliards d’individus donne un facteur de 1700 nous rapporte RACE.

Les 88 Préceptes pour sauvegarder la race blanche, la nation blanche : WATION

http://www.estland88.com/files/file/David-lane-88%20French.pdf
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manipulation de la race blanche
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L'idée de la division moderne du travail, résumée dans la formule souvent citée «l'homme qu'il faut à la bonne place», aboutit en pratique au fait que n'importe quel homme -- n'importe lequel parmi la masse bornée et indifférenciée -- peut être conditionné pour occuper n'importe quelle place, alors que les meilleurs des êtres humains, les seuls qui justifient encore l'existence d'une espèce de plus en plus dégénérée, n'ont plus de place du tout. Progrès

Le laïcisme et la démocratie (pseudo), sont les deux moyens nécessaires à l’enjuivement intégral. C’est le moyen radical d’abrutissement et de zombifiage des masses, dont les politiciens de tous les partis de droite et de gauche sont la partie émergée de l’iceberg. Il faut donc imposer ces deux impostures par tous les moyens à partir de l’école maternelle.



Non plus géant, semblable aux Esprits, fier et libre,
Et toujours indompté, sinon victorieux;
Mais servile, rampant, rusé, lâche, envieux,
Chair glacée où plus rien ne fermente et ne vibre,
L'homme pullulera de nouveau sous les cieux.
Leconte de Liste (Qaïn; Poèmes Barbares)


Un air impur étreint le globe dépouillé
Des bois qui l'abritaient de leur manteau sublime;
Les monts sous des pieds vils ont abaissé leur cîme;
Le sein mystérieux de la mer est souillé.
Leconte de Liste (L'Anathème; Poèmes Barbares)


Le véritable avantage de l'instruction généralisée, s'il en est, doit être recherché ailleurs. Il ne réside pas dans la meilleure qualité ni des hommes ni des femmes exceptionnels, ni des milliers de gens instruits, mais plutôt dans le fait que les derniers deviennent rapidement plus paresseux intellectuellement, et par conséquent plus crédules que jamais -- et non pas moins -- plus faciles à tromper, plus faciles à diriger comme des moutons sans même l'ombre d'une protestation, à condition que les absurdités qu'on souhaite leur faire avaler leur soient présentées sous forme imprimée, avec une apparence «scientifique». Plus le niveau général d'instruction est élevé, plus il est facile pour les gouvernants de contrôler la presse quotidienne, la radio, et l'édition -- ces modernes moyens d'action sur les esprits, presque irrésistibles, pour garder les masses et «l'intelligentsia» sous contrôle, sans même qu'elles le suspectent





judéo-républicanisme
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Puisque le judéo-républicanisme a jugé utile de lancer une contre offensive visant tout d’abord à se légitimer aux yeux des masses puis à impressionner les diverses ligues séditieuses, nous allons modestement donné un point de vue sur cette question.

Tout d’abord, nous préférons au terme “identité” celui de “culture”. Soit une anthropologie, une langue, des rites, un inconscient collectif, une mentalité, une volonté ethnique, une sensibilité et un style propres.

Les Juifs dans ce débat ont un rôle important, mais un rôle partiel. C’est d’abord et avant tout la crise de l’esprit Juif qui est en cause, esprit adopté dès 1789 avec les Droits de l’Homme, sorte de Tables de la Loi sécularisées. L’universel et l’égalité sont devenus les éléments de l’idéologie totalitaire naissante, excluant toute forme d’autonomie culturelle. Agissant comme une religion, cette idéologie matérialiste impose la destruction de tout ce qui appartient à l’ancien temps, celui de la tradition, de la monarchie et du catholicisme.

Processus adopté en son temps par le christianisme pour anéantir le paganisme qui lui aussi avait pour base le droit du particulier à se vivre de façon exclusive et autonome dans un espace donné. À cet égard, la lutte contre “l’intolérance” est surtout le moyen du nouveau monothéisme démocratique de légitimer ses interventions dans les sphères échappant à sa volonté de nivellement. Le droit au particularisme devant par obligation être intolérant contre des valeurs fondamentalement opposées à son existence. Et c’est par l’audace et l’inversion accusatoire que les intolérants les plus radicaux s’imposent, en poussant de facto leurs ennemis à se justifier et par là même à reconnaître le rapport de force mais surtout l’échelle de valeurs.

L’état français dès 1789 a opté pour l’idéologie maçonnique et matérialiste, culturellement Juive. Cela l’a poussé à détruire les éléments hétérogènes, donc réels, pouvant s’opposer à son “intolérance démocratique”. Le premier métissage, le premier cosmopolitisme, fût celui de la francisation mathématique de l’hexagone par le révolutionnaire Abbé Grégoire.

La France républicaine aujourd’hui est face à une impasse. Tout d’abord elle a capitulé sur ses propres prétentions, en refusant d’assimiler les immigrés. Cette même immigration qui révèle désormais l’ampleur de la trahison de 1789: personne jusqu’à lors n’avait pu soupçonner le degré génocidaire des principes révolutionnaires et à quel point leur logique prétend détruire tout ce qui tend à faire vivre le particularisme. À ce titre les français, n’ayant pas saisi cette rupture essentielle, essaient encore parfois de faire exister leur particularité “gauloise” au sein d’une république que Marine Le Pen tentait de qualifier de “réellement française”. Or par définition, la République française ne s’attache à aucune spécificité ethnique, mais à la seule pérennité de son crédo idéologique: une langue, une république universelle.

À présent qu’en haut de l’état on sait que la guerre civile n’est pas une hypothèse mais une certitude, il convient en priorité de neutraliser les éléments susceptibles de renverser l’ordre bourgeois en place: les nationalistes, et plus largement les autochtones d’une part, les immigrés d’autre part. L’état dans cette partition n’a aucune espèce de compte à rendre à autre chose qu’à lui même. Puisque républicain, jacobin et universel, seule son élite est en droit de formuler les droits et devoirs de chacun et, insidieusement, de s’y soustraire avec une égale vigueur.

L’élément décisif étant la participation Juive à ce gouvernement “Juif d’esprit”, puisque fondé sur le maçonnisme intellectuel, le progressisme subversif et la violation de l’ordre traditionnel européen.

La question de l’identité nationale en France est donc aisée. La nation française au sens strict est né avec la République en 1789. Cette nation est civique, politique, fondée sur les concepts idéologiques révolutionnaire. Jamais il ne fût question d’ethnie française. La monarchie déjà était un amalgame de peuples sans homogénéité linguistique assemblés par la seule force de l’état royal. À ce détail près quela monarchie n’entendait pas bouleverser la structure mentale des peuples d’alors, puisqu’elle même fondé sur les trois piliers indo-européens traditionnels: classe sacerdotale, classe guerrière et classe productrice.

Les éléments subversifs en introduisant l’idéologie ont dépassé les simples querelles de régime, pour des ambitions bien plus grandes. Il ne s’agissait plus de’imposer un régime, mais d’imposer une structure mentale en décomposant la société traditionnelle. Et comment la restructurer si ce n’est en brisant les solidarités naturelles (familiales, ethniques) par l’individualisme et les recomposer dans de vastes ensembles dont les ressorts correspondaient aux idées clefs de la nouvelle idéologie.

L’état français est le produit de cette rupture. L’état français a d’abord commencer par détruire ses propres peuples. La république française est le résultat de cette destruction. Il est donc logique que les métèques au pouvoir aujourd’hui (prenons à cet égard le soin de noter que le tandem de ce débat est bien le métis Besson et le quarteron Sarközy) décident de raffermir leur position à l’héure ou la destruction du substrat ethno-racial gallo-franc est en cours. C’est ainsi que l’on utilise une attente légitime (identitaire) de la part des autochtones en agitant le mot “identité nationale” pour achever dans les règles l’exact opposé de cette attente: la proclamation officielle du projet national français, donc républicain, de l’égalitarisation finale de la France par le métissage systématique.

Le métissage est en effet le dernier stade de la science jacobine et le prolongement de la francisation à marche forcée de jadis. Francisation qui à coté fait figure d’aimable plaisanterie malgré la gravité de ses conséquences sur les ethnies concernées.

Ne nous y trompons pas, l’état français essaie de se donner l’air de l’initiative alors qu’il ne fait que subir les conséquences violentes de sa propre trahison. C’est par ses multiples reniements qu’il en est réduit à ces expédients. Il ressemble à ce titre à Louis XVI coiffant le bonnet phrygien. Il espère dompter le torrent qui s’annonce alors qu’il ne fait qu’installer le cadre qui aboutira à sa propre chute.

Les Juifs là dedans ont tout intérêt à défendre la république qui les a affranchi et qu’ils ont soutenu de tous temps. Rappelons la prières hebdomadaires pour la République dans les synagogues de France. Les Juifs, ferment de dissolution, ne peuvent se maintenir que dans des espaces ou leur aspects étrangers les plus flagrants sont masqués par la profusion de communautés allogènes. Le Juif ne pouvait rêver mieux qu’un régime politique luttant contre le caractère ethnique des peuples de France, contre toute forme d’orgueil racial, religieux ou culturels et promouvant partout la primauté du déraciné abstrait sur l’autochtone concret. Un régime qui fût le premier à lui reconnaître la plus totale égalité. Le fait qu’ils aient été les plus républicains se complètent avec le fait qu’ils aient été les plus anti-gaulois. Aucune divergence dans ce fait, ils sont les accélérateurs du projet jacobin dont la racine, ironie de l’histoire, est “Jacob”.

Les Juifs dans ce petit jeu veulent maintenir leur politique de destruction de la race blanche par immigration et métissage sans devoir passer à la caisse de l’orgueil racial et religieux des afro-maghrébins. Car ils savent qu’ils n’auraient fait que troquer un diable blanc pour deux diables Noir et Arabe. Ce qui explique la récente conversion d’antiracistes, tel Finkielkraut, au néo-chauvinisme réchauffé.

Lorsque l’on parle d’identité nationale en France, on entend logiquement parler du régime qui a créé cette nation: la république. Qu’on se pose donc la question de savoir si la question de “l’identité nationale soviétique” aurait signifié un pas en avant vers la libération de la Russie… surtout si celle ci était agitée par des Juifs et concluant au métissage comme nouveau paradis sur terre… Paradis sans classes hier, paradis sans races aujourd’hui…

Communautés, Cultures, Peuples, Tradition, Européanité, il n’y a guère que là que l’on puisse trouver du secours intellectuel. Cela suppose de rompre une bonne fois avec la république.

Projet juif .org





la guerre raciale entre blanc et les juif/arabe/berbere
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Dès les premiers jours de l’histoire nous voyons l’ Aryen en lutte avec le Sémite.

Ilion(Troie) était une ville toute sémitique et le duel entre deux races explique le retentissement particulier qu’eut la guerre de Troie (1).

Le conflit se perpétua à travers les Ages et presque toujours c’est le Sémite qui a été le provocateur avant d’être le vaincu.Le rêve du Sémite, en effet sa pensée fixe a été constamment de réduire l’Aryen en SERVAGE, de le mettre à la glèbe. Il a essayé d’arriver à ce but par la guerre, et Littré (2) a montré, avec sa lucidité habituelle, le caractère de ces grandes poussées qui faillirent donner aux Sémites l’hégémonie du monde. Annibal qui campa sous les murs de Rome fut bien près de réussir. Abdérame qui, maître de l’Espagne, arriva jusqu’à Poitiers, put espérer que l’Europe allait être à lui. Les ruines de Carthage, les ossements de Sarrasins que la charrue

rencontre parfois dans les champs, où triompha Charles Martel, racontent quelle leçon fut donnée à ces présomptueux.Aujourd’hui le Sémitisme se croit sûr de la victoire. Ce n’est plus le Carthaginois ou le Sarrasin qui conduit le mouvement, c’est le fuij ;il a remplacé la violence par la ruse. A l’invasion bruyante a succédé l’envahissement silencieux, progressif, lent. Plus de hordes armées annonçant leur arrivée par des cris, mais des individualités séparées,s’agrégeant peu à peu en petits groupes, se mettant à l’état sporadique, prenant possession sans éclat de toutes les places, de toutes les fonctions d’un pays depuis les plus basses jusqu’aux plus élevées. Au lieu d’attaquer l’Europe en face, les Sémites l’ont attaquée à revers: ils l’ont tournée, dans les environs de Wilna, ce Vagina Judeorum (3), se sont organisés des exodes qui ont occupé l’Allemagne, franchi les Vosges et conquis la France. Rien de brutal, je le répète, mais une sorte de prise de possession douce, une manière insinuante de chasser les indigènes de leurs maisons, de leurs emplois, une façon moelleuse de les dépouiller de leurs biens d’abord, puis de leurs traditions, de leurs moeurs et enfin de leur religion. Ce dernier point, je le crois, sera la pierre d’achoppement.Par leurs qualités comme par leurs défauts les deux races sont condamnées à se heurter.

Le Sémite est mercantile, cupide, intrigant, subtil, rusé,
l’Aryen est enthousiaste,héroïque, chevaleresque, désintéressé, franc, confiant jusqu’à la NAIVETE.

Le Sémite est un terrien ne voyant guère rien au-delà de la vie présente.
l’Aryen est un fils du ciel sans cesse préoccupé d’aspirations supérieures, l’un vit dans la réalité, l’autre dans l’idéal.

1)Les Sémites à Ilion ou le vérité sur la guerre de Troie, par Louis Benloew.

Pâris était un de ces forbans sémitiques qui rôdaient sans cesse autour des rivages de la Grèce. Non content d’avoir enlevé Hélène, ce qu’après tout aurait pu faire un Aryen dans l’entraînement de la passion, il avait enlevé aussi la caisse aux bijoux. Hérodote nous le montre forcé par une tempête d’aborder en Egypte et dénoncé au Pharaon comme coupable non seulement d’avoir déshonoré l’hôte qui l’ avait accueilli, mais encore de lui avoir dérobé ses trésors.
Le Pharaon ne voulut pas violer envers le Sémite les lois de l’hospitalité qu’il avait si peu respectées lui-même et lui ordonna seulement de sortir immédiatement de ses États.Le Sémite Halévy n’a pas montré tout cela dans la Belle Hélène.

(2) Comment, dans deux situations historiques, les Sémites entrèrent en compétition avec les Aryens pour l’ hégémonie du monde, et comment ils y faillirent.

(3) Wilna est le grand réservoir qui verse les Juifs en Europe. Ce sont les juifs de Wilna et des environs qui, après la campagne de Russie, assassinèrent nos blessés. Thiers a raconté cet épisode dans son histoire Du Consulat et de l’Empire, tome XIV. « Chose horrible à dire, écrit-il, les misérables, juifs polonais qu’on avait forcés de recevoir nos blessés, dès qu’ils virent l’ennemi en retraite, se mirent à jeter les blessés par les fenêtres et quelquefois même à les égorger, s’en débarrassant ainsi après les avoir dépouillés.
Triste hommage offert aux Russes dont ils étaient les partisans.




1er guerre mondiale
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« Nous contraindrons les Gentils aux guerres en exploitant leur orgueil et leur
stupidité ; ils se massacreront et déblaieront la place où nous pousserons les
nôtres ». – Rav Rzeichorn, oraison funèbre du Rav Ben Yehouda, Prague, 1865.
Tous les ans, le 11 novembre, c’est la même histoire : il n’y en a que pour les
Poilus.

C’est très irritant, et très injuste.
D’abord parce que les Poilus ne furent presque jamais volontaires, et ne
finirent coincés entre gendarmes et prussiens, à défendre les
petits-déjeuners-croissants de monsieur Poincaré, que, pour ainsi dire, malgré
eux.
Ensuite parce que l’héroïsme de ces jeunes gens n’a servi à rien : moi, mes
quatre arrières-grands-pères ont fait 14-18 (dont quatre Croix de Guerre et
quatre Légions d’Honneur, allez donc !), et je me retrouve simple fils à papa,
entretenu par mes parents, alors que le juif Nicolas Sarkozy, premier de ce qui lui
tient lieu de famille à devenir français, est Président de la République,
entretenu par les contribuables. C’est quand même autre chose.
Enfin, et surtout, parce que le culte de garçons qui n’ont, au bout du compte,
eu qu’à se faire tuer, prive les vrais organisateurs, les vrais acteurs, les
vrais vainqueurs de cette guerre de l’hommage qu’ils méritent.

Je voudrais donc, pour une fois, qu’on salue la mémoire du juif Princip, l’assassin
de Sarajevo, sans qui la Grande Guerre n’aurait pu avoir lieu.
Qu’on salue la mémoire du juif Abrahmi, dit Abrami, originaire du ghetto de
Constantinople qui, sous-secrétaire d’état aux effectifs, s’assura qu’aucun
blanc n’échapperait à la boucherie, et que le maximum de juifs en seraient
dispensés.
Qu’on salue la mémoire de son auxiliaire, le juif Rheims, colonel-directeur du
Recrutement de la Seine, qui sépara avec soin le blanc voué à l’abattoir du Jjuif
voué à l’exemption ou au travail de bureau.
Qu’on salue la mémoire du juif Isaac Israël, sous-secrétaire d’état aux
hautes-oeuvres, qui exerca une repression sanglante sur nos soldats, faisant
fusiller, dans les tranchées, par paquet de dix, les Blancs qui s’obstinaient à
survivre.

Qu’on salue la mémoire du général juif Mordacq, directeur du Grand Quartier
Géneral, qui fut à l’origine de tous ces combats frontaux absolument vains,
exclusivement conçus pour exterminer du Blanc.
Qu’on salue la mémoire du juif Lowe qui, via son factotum Berthelot, fit repousser
les offres de paix de l’Allemagne en 1916, et parvint à prolonger le conflit de
deux ans, dans l’espoir qu’aucun jeune blanc n’en reviendrait.
Et qu’au lieu du discours ministériel, toujours un peu convenu, on médite cette
année la déclaration de Guillaume II : « Je n’ai jamais voulu la guerre, la
guerre m’a été imposée par les juifs et la Franc-maçonnerie».

« Nous contraindrons les Gentils aux guerres en exploitant leur orgueil et leur
stupidité ; ils se massacreront et déblaieront la place où nous pousserons les
nôtres ». – Rav Rzeichorn, oraison funèbre du Rav Ben Yehouda, Prague, 1865.

toujours pas compris crétin ?


2e guerre mondiale
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extrait de la première page d'un journal de 1933

"Extrait de la revue flamande "Periodiek Contact" sous la signature de Frans de Hoon :

"Comme il n'est encore jamais arrivé qu'un vainqueur avoue publiquement sa culpabilité au déclenchement d'une guerre, nous devons bien consulter l'Histoire pour découvrir la cause réelle du conflit. Nous constatons d'abord que dans le "Daily Express" du 24 mars 1933 le Congrès juif mondial a déclaré la guerre économique à l'Allemagne. Ensuite le 7 août 1933 Samuel Untermayer, président de la "World Jewish Economic Federation" déclarait dans le "New-York Times": "La guerre que nous avons décidé de mener contre l'Allemagne est pour nous une guerre sainte."

"Par la suite les milieux financiers de Wall Street agissaient de telle sorte que le rapport entre le dollar et le Reichmark était dévalué de 57% au préjudice de cette dernière monnaie. Il devint désormais impossible à l'Allemagne d'acheter des matières premières, des denrées alimentaires et d'autres marchandises sur le marché international dominé par le dollar. Adolf Hitler réagit immédiatement et résolument : il détacha le Reichmark de l'étalon-or et introduisit la "Valeur-Travail". Son principe partait de la constatation que ce n'était pas la valeur-or, ou une autre valeur, qui était déterminante pour la plus-value d'un produit, mais seulement et uniquement le travail qui avait été presté pour le fournir. Par les conséquences du Diktat de Versailles l'Allemagne était tombée dans la misère et ne disposait plus de devises, ce qui était aussi le cas de nombreux pays pauvres, par exemple en Europe Orientale et en Amérique du Sud.

"Hitler remplaça le commerce extérieur basé sur la monnaie par un commerce de troc : marchandises contre marchandises, de sorte que les devises tombaient en désuétude. Associées aux nécessaires investissements publics ces mesures eurent pour conséquences une fulgurante diminution du chômage et une forte augmentation du commerce avec les pays concernés.

Cela amena plus de stabilité et d'aisance dans le Reich, ce qui fut très désagréablement ressenti par les puissances de l'Ouest, d'autant plus qu'elles redoutaient que le nouveau système économique allemand basé sur la "Valeur-Travail" puisse un jour avoir un très grand succès dans le monde et supplanter l'empire du dollar couplé à l'étalon-or. Les puissances de l'Ouest ne le voulaient à aucun prix et elles commencèrent à préparer la guerre contre l'Allemagne.

"En Amérique la campagne d'excitation contre l'Allemagne (dont la résurrection économique était attribuée au réarmement) se renforça, mais les USA eux-mêmes commençaient la construction d'une flotte aérienne de bombardement à grande distance : les "forteresses volantes" dont le programme prévu devait être réalisé pour... 1939. Le 4 mai 1935 le diplomate polonais, le comte Szembeck, informait Varsovie que la campagne excitant à la guerre contre l'Allemagne trouvait encore et toujours son point de départ dans les milieux financiers israélites et franc-maçons.

"Curieuse est la constatation que le général britannique Fuller exprime dans un livre paru en 1937 disant que : "Le système de financement régnant ne repose plus sur la capacité de production, et que l'argent en tant que moyen de nouvelle répartition est devenu une marchandise que l'on peut, comme toute autre marchandise, acheter et vendre. Ou, autrement dit : la maladie qui causera la ruine du monde s'appelle l'usure. La France et l'Angleterre sont alliées l'une à l'autre parce que toutes les deux sont construites sur la puissance de l'argent et se trouvent sous la domination du système banquaire international. L'Allemagne s'est libérée de cette puissance internationale et devient ainsi l'objet de suspicion. Elle opère déjà avec le concept "valeur-travail" et c'est ce que l'on voudra éviter à tout prix. Déjà l'on s'active fébrilement à l'anéantissement de ce pays. Les financiers n'ont rien à y perdre, mais tout à y gagner". Et le gouverneur de la banque d'Angleterre déclara lui-même en 1939, un peu avant sa mort : "Notre société, telle qu'elle existe maintenant, repose sur la base d'une ploutocratie décadente. La confiance en elle diminue de plus en plus. Comment pouvons-nous, face à l'Allemagne, parler d'une société meilleure avec plus de justice aussi longtemps que nous souffrons nous-mêmes de ce mal de l'argent ? Le système monétaire est fatal à l'état : il crée la pauvreté et il apparaîtra être la cause principale de la guerre."

"Kristjan Rakowski, qui avait été ambassadeur de l'URSS à Londres et à Paris, fut impliqué en 1938 dans les procès staliniens d'épuration. A cette occasion il déclara, entre autres : "Une des raisons pour laquelle Hitler doit être anéanti est que, intuitivement et en dépit de l'opposition technique de Hjalmar Schacht, il a mis au point un système social dangereux. Obéissant uniquement à une nécessité il a écarté le système international aussi bien que le système privé des capitaux. En effet il ne possédait pas d'or et ne pouvait donc pas prendre pour base le système reposant sur le dollar dans son plan économique de gouvernement. Les seuls atouts qu'il possédait étaient la compétence technique et la capacité de travail de sa Nation. De la technique et du travail il a fait son capital et il y avait dans ce principe quelque chose de si formidablement contre-révolutionnaire qu'il parvint, comme par magie, à surmonter dans les plus brefs délais le chômage de sept millions de techniciens et d'ouvriers." Rakowski releva aussi que le système hitlerien de la Valeur-Travail ne possédait pas la base d'une théorie scientifique, mais reposait uniquement sur la pratique. Si d'autres nations devaient adopter ce système, il ne faudrait pas longtemps avant que des scientifiques ne trouvent à l'étayer par la théorie. Dans ce cas plus rien n'arrêterait ce système. Pour prévenir ce danger il n'y avait qu'une solution : faire la guerre.

"Sébastien Affner, un Allemand émigré en Angleterre a admis après la guerre dans son livre intitulé : "Anmerkungen zu Hitler", que le miracle économique de 1933 avait été bien plus considérable que celui de 1948. Il dit aussi qu'il n'avait aucun rapport avec le réarmement et que la majorité du peuple allemand, aux référendums, soutenait fermement Hitler. Qu'en était-il d'ailleurs de ce réarmement si abondamment cité ? Il ressort de recherches faites après la guerre à l'université de Harvard et au Pentagone que jusqu'au début de septembre 1939 pas une seule nouvelle fabrique d'armement n'avait été construite. L'Allemagne était alors tout au plus en état de soutenir une guerre que durant deux mois. A la lumière de ces constatations nous devons admettre qu'il n'existait aucun plan du côté allemand pour conduire une guerre d'agression ou de conquête de longue durée. Pourquoi une guerre d'ailleurs ? Pourquoi la nouvelle Allemagne aurait-elle voulu anéantir ses réalisations économiques, politiques et sociales par une guerre ?

"(...) D'un discours prononcé en 1947 par le capitaine J. Creagh-Scott nous apprenons ce qui suit : "Lors des échanges de télégrammes de la période 39-40 les Britanniques se déclarèrent prêts à négocier la paix si l'Allemagne revenait à l'étalon-or.". Churchill aussi déclara pendant les pourparlers relatifs à la Charte de l'Atlantique, qu'il réintroduirait l'étalon-or dès qu'Hitler aurait été vaincu.

Ceci et rien d'autre que l'abandon de l'étalon-or par l'Allemagne a été la réelle raison de la guerre. Le sort des petits pays comme la Pologne n'a joué aucun rôle. Chamberlain, à cette époque encore premier ministre, écrivit le 10 septembre 1939 à sa soeur : "...C'est l'Amérique et le monde israélite international qui nous ont précipités dans la guerre.""

ce mot prêté à un Rothschild : « À la Bourse, il ya un moment où pour gagner, il faut savoir parler hébreu. »


3e guerre mondiale
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N'oubliez pas que parmi les aigreurs que ces clodos haineux vidèrent dans le Talmud, on lit "le règne du Messie arrivera après une guerre mondiale atroce où sept huitièmes de l'humanité périront" - bien sûr, il ne s'agit que d'un espoir de laideron mal-venu, né pour l'esclavage, et con comme ses pieds difformes, qui console son égo endolori en fantasmant un grand nettoyage apocalyptique qui effacera les gens beaux, bien faits, nobles et intelligents, mais Ron Chaya parle encore d'exterminer le genre humain...
Il faut toutefois bien faire la difference entre la WW1, organisée par les juifs pour exterminer les populations blanches, la WW2, organisée par eux pour empêcher que le triomphe hitlérien fasse tâche d'huile et rende l'Europe aux Blancs (accomplissant, finalement, le projet napoléonien) et la WW3 que les Juifs essaient à toute force de lancer, ces dernières années, pour instaurer le NOM proprement dit : un gouvernement mondial juif, règnant sur une masse d'esclave métis, sans culture ni spiritualité - accomplissement du rève millénaire juif : être les Blancs à la place des Blancs, et que tous les autres peuples deviennent juifs à la place des Juifs.





politique de la Wation
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La ligne de conduite des socialistes nationaux doit consister à conformer notre géopolitique à notre pensée.

1°) Anti-Impérialisme international: puisqu’ethno-différentialistes, nous devons être anti-impérialistes par principe. Car on ne peut refuser une politique d’acculturation par immigration et allogénisation (par le haut comme par le bas) sans reconnaître ce droit aux autres peuples du monde.

2°) Antisionisme international: puisque attaqués par les Juifs et leurs organisations sionistes, nous devons être antisionistes sans faire de détail: nous devons mettre le paquet en particulier contre les intérêts Juifs qui reposent pour partie sur notre soumission et notre destruction. Tout anti-juif ou antisioniste est notre allié, indépendamment de sa race, de sa religion ou de sa nationalité.

3°) Anti-atlantistes: puisque l’OTAN et les USA et leurs valets en Europe partagent cette politique, nous devons donc être anti-américains et anti-occidentaux: cela veut dire soutenir moralement ou plus tout pays agressé par l’impérialisme occidentaliste.

4°) Anti-libéraux: puisque nos pays sont victimes du projet de société judéo-démocratique dit “libéral-libertaire” ou “libéral-sécuritaire” fondé sur le libre-échangisme et le relativisme, nous devons nous opposer aux forces politiques classiques soutenant la structure même de cette société ainsi qu’à ses émanations.

5°) Pragmatiques: puisque nous sommes minoritaires nous devons faire converger la moindre parcelle de résistance vers le but qui est le renversement de l’état judéo-démocratique et/ ou de ses valeurs. Un soin particulier doit être accordé aux organisations capables de rassembler (Église Catholique, etc.). Tout ce qui gêne notre ennemi est notre ami.

6°) Révolutionnaires: Puisque nous sommes révolutionnaires nous devons être intransigeants sur nos principes et faire le ménage en priorité dans les mouvances que nous fréquentons avant d’entreprendre quoique ce soit d’autre. Chaque individu soupçonné de soutenir à un degré ou à un autre une organisation Juive, Israël ou les USA doit être invariablement neutralisé et dénoncé comme traître, quelque soient ses motivations.

7°) Européens: parce que nous devons raisonner à l’échelle de la race, donc du continent. Chaque victoire des nôtres dans un pays qui le constitue est une de nos victoires comme chacune de leurs défaites est notre défaite.

8°) Socialistes: parce que les peuples blancs ont toujours développé un style de développement social qui permette au maximum de s’épanouir à tous les niveaux, à l’image de l’oeuvre de l’église sur le continent au Moyen Âge et à l’ère moderne, puis du syndicalisme et des régimes sociaux continentaux. Le socialisme est circonstancié en fonction de l’âme de chaque race: le socialisme authentique vise au bien commun attendu et structuré conformément au génie propre d’une race et d’un peuple. Le socialisme égalitaire internationaliste israélite est une trahison éhontée de cette recherche permanente des peuples blancs pour une stabilité sociale qui corresponde à leur rythme de production et à leur sensibilité propre. Le socialisme universel est une pollution talmudique du socialisme européen qui ne peut qu’être limité à l’Europe et aux européens. Il est une agression pour chaque race et peuple de cette terre, une négation de leurs potentialités et de leurs sensibilités particulières sur tous les plans, un racisme massificateur qui ne répond qu’aux attentes du Judaïsme. Le racialisme guide l’élévation de la race en conformité avec sa sensibilité et ses qualités intrinsèques, le socialisme limité à cet ensemble ethno-racial en assure, par et pour ses membres, le partage équitable de la production. Partage sans lequel aucun progrès collectif et individuel ordonné n’est possible. Ce socialisme laisse à chaque race le soin de mener de manière responsable son propre développement au rythme qui lui convient, sans interférer.

projet juif.org


1789 et les juifs
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l’original se retrouve sur la BNF (gallica) Je cite donc Graetz, XI, p.224, le texte hébreu d’un de ces cantiques) cité dans V. Kimon, Guerre antijuive, p. 147.
“le huguenot Marat, ce monomane du meurtre, paraît moins horrible quand on sait que derrière lui il y avait un conseiller toujours écouté, le juif Peyrera qui lui faisait réclamer tous les jours 100 000 têtes.
a Paris, à Metz, des juifs entourent l’échafaud à chaque exécution, riant et insultant les victimes. A Metz, ceux d’entre eux qui manquaient ce gai spectacle se rendaient à la syna’gogue et, tant que fonctionnait la machine sinistre, ils chantaient des cantiques de circonstance à la louange de la belle révolution !
N’oublions pas que c’est également à un juif, l’odieux Simon, que sera livré le malheureux fils de Louis XVI.


Vive la république
A l'époque de Edmond de goncourt il y' avait 68 préfets juifs ...
Edmond écrit en 1896 : que les juifs apres avoir conquis le théatre ont découvert la toute puissance de la critique [..] ils seront les maitres de la litteratures dans 25 ans.

cette race juive a pour but d'asservir les chrétiens(blancs) , lors d'un dîner alphonse de rotchild a qui l'on demandait pourquoi travaillait il comme un nègre alors qu'il était immensement riche répondit :" Ah vous ne savez pas la jouissance de sentir sous ses bottes des tas de chrétiens !"

Mires disait a saint Victor que dans l'école juive où il fut élevé on ne donnait pas de prix de calcul car tous le méritait"

Les Goncourt dans leur siècle: un siècle de "Goncourt" Par Jean-Louis Cabanès,Robert Kopp,Jean-Yves Mollier

En Europe occidentale, leur influence est loin d’être négligeable, car ils y contrôlent les bourses, les échanges de capitaux et sont maîtres du crédit. Ils n’en sont pas les seuls coupables, note-t-il, mais leur prospérité advient exactement avec le triomphe des nouvelles valeurs. Et ces valeurs, les voilà décrites: « …et ce que réserve l’avenir, les Israélites, eux, le savent: c’est leur règne qui approche, leur règne total ! Voici venir le plein triomphe d’idées devant lesquelles succomberont les sentiments de charité humaine, la soif de vérité et de justice, les sentiments chrétiens, le sens national et jusqu’à la fierté nationale des peuples européens. Voici venir par contre le matérialisme, la soif aveugle et charnelle de sécurité matérielle personnelle, la soif d’accumuler par tous les moyens l’argent pour soi seul.

Mikhaïlovitch Dostoïevski

Dostoïevski et la « question juive »; Le Journal d’un écrivain, mars 1877


un sage japonais sur les juifs
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“Nous devons savoir que les Juifs ont des enseignements démoniaques affirmant par exemple [l'existence de ] l’égalité dans le monde phénoménal, troublant ainsi l’ordre public dans notre société nationale et détruisant l’autorité [du gouvernement]. Qui plus est, ces conspirateurs démoniaques nourrissent l’illusion profondément enracinée et la croyance aveugle que, en ce qui concerne la nature essentielle des êtres humains, il existe une différence entre le supérieur et l’inférieur. Ils sont victimes de l’illusion qu’eux seuls ont été choisis par Dieu et qu’ils constituent donc un peuple exceptionnellement supérieur. Tout cela les a conduits à nourrir le perfide dessein d’exercer leur emprise et leur domination sur le monde entier, ce qui a provoqué les grands troubles qu’on connaît aujourd’hui. Il faut dénoncer cet exemple extrême de fléau résultant d’une croyance superstitieuse et d’une illusion profondément enracinée.”

Yasutani Hakuun

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« Il est faux de croire que le paganisme est mort. Il est l’une des deux religions officiellement reconnues en Islande. Il est l’unique religion en Mongolie. Il existe aussi en Russie et il est susceptible de renaissance car il a de fortes racines dans l’âme slave. Il a de nouveaux et authentiques bourgeons dans les pays germaniques et celtiques. Il revit chez de nombreux Européens ralliés aux traditions d’Amérique. La deep ecology est implicitement païenne et chez beaucoup même explicitement. Dans la littérature contemporaine il s’exprime fortement chez Lawrence, Giono, Steinbeck (“Au dieu inconnu”). Et n’oublions pas ce puissant vent de résurrection païenne que constitue l’œuvre de Nietzsche. Il ne s’est pas contenté de ressusciter pour nous la Grèce antique et ses deux divinités primordiales (dans le domaine social) Apollon et Dionysos. Il a aussi réveillé le plus profondément la veine germanique en dénonçant le Christianisme comme un blasphème contre la vie, donc contre le divin immanent. Or dans la Germanie antique la joie était pieuse et la tristesse blasphématoire (et par là porteuse de malheur). Le peuple ne se prêterait pas davantage à une résurrection du Christianisme paganisé qu’à celle du paganisme. C’est une démarche impossible parce que la contradiction est devenue trop connue et criante. Ce serait une fatale maladresse qui fortifierait des Églises moribondes ennemies depuis toujours de notre race et de notre âme, retardant les échéances inévitables, maintenant et aggravant la confusion dans les esprits. En un mot comme en cent, ce serait combattre un effet avec sa propre cause. »

Robert Dun

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Dans Mein Kampf, qui sera son unique livre publié, Hitler expose sa doctrine ou sa « conception du monde » (Weltanschauung), sous la forme d'un bilan incluant l'esquisse d'une autobiographie, le récit de la formation du « mouvement national-socialiste » et la définition de ses « buts ». Nombre d'historiens, tel Robert Wistrich, ont souligné le fait que, « en tant qu'autobiographie, Mein Kampf nous offre des aperçus essentiels sur le passé de Hitler et sur les influences qui ont contribué à former sa vision du monde ». Il importe également de prendre au sérieux le fait que Hitler donne son propre parcours comme exemplaire, celui de l'auto-construction d'un héros de l'Allemagne, conduit à l'éveil par la révélation progressive de l'unique principe du mal : la « juiverie internationale », aux multiples visages répulsifs (du financier apatride au bolchevik sanguinaire).

Lorsqu'il revient au début de Mein Kampf sur le moment de cette prise conscience, il la célèbre comme l'expérience d'une renaissance, d'un bouleversement intérieur absolument positif, quelque chose comme une « révolution » : « Ce fut l'époque où se fit en moi la révolution la plus profonde que j'aie jamais eu à mener à son terme. Le cosmopolite sans énergie que j'avais été jusqu'alors devint un antisémite fanatique. » On notera d'abord que le terme « cosmopolite », ordinairement opposé aux termes « patriote » ou « nationaliste », est ici placé en opposition avec l'expression « antisémite fanatique », ce qui constitue une manière rhétorique de suggérer une parfaite équivalence entre le nationalisme le plus authentique et l'antisémitisme radical ou intransigeant. Être nationaliste, c'est être antisémite, et réciproquement. Voilà qui présuppose que l'amour de la patrie et l'attachement passionné à la nation ne vont pas sans la désignation d'un ennemi haïssable, selon le principe, parfaitement assumé par Hitler : aimer les siens, c'est haïr les autres. Mais ce principe est lui-même spécifié : parmi toutes les catégories d'« autres » offertes à la haine, il en est une que le bon nationaliste allemand privilégie, « les Juifs ». On notera ensuite qu'un individu est célébré comme « fanatique » s'il manifeste dans ses engagements une louable « énergie », ce dont le « cosmopolite » est par nature privé. Être fanatique, c'est être énergique. Il convient donc de se montrer fanatique, si l'on veut échapper à l'asthénie affectant tout défenseur du cosmopolitisme. Par cet éloge du « fanatisme », Hitler renverse explicitement le discours des Lumières, dont l'adversaire désigné était un mixte de « superstition » et de « fanatisme ».

Le récit de cet itinéraire singulier prend dès lors une signification générale : il porte sur l'avènement d'un sauveur, d'un homme providentiel, dont la condition est la sortie de cet état d'abaissement dans lequel se complaît une humanité inférieure, incarnée par le « cosmopolite sans énergie ». C'est pourquoi cette partie autobiographique, au-delà du témoignage d'un militant nationaliste sur sa prise de conscience et ses engagements politiques, constitue l'équivalent d'un roman d'apprentissage, et possède vraisemblablement aux yeux d'Hitler une fonction initiatique : elle semble indiquer au lecteur la voie à suivre, la voie de l'imitation.

Dès 1924, Hitler prétend être à la fois un théoricien ou un idéologue, un « créateur de programme » fixant les « buts » de son mouvement politique, et un homme politique, c'est-à-dire un homme d'action visant à réaliser le plus efficacement possible les objectifs définis par le « théoricien ». La dimension idéologique ou doctrinale de Mein Kampf est analysable en quatre composantes : 1° une conception du monde (Weltanschauung) au sens restreint du terme (la « philosophie » d'Hitler), 2° un programme politique, 3° une stratégie, impliquant un modèle de l'organisation du parti national-socialiste, 4° une vision géopolitique. Le 4 août 1924, Rudolf Hess annonce à une amie : « H espère avoir terminé son livre au cours de la semaine à venir. Nous relisons le texte ensemble. » Terminé en octobre 1924, le manuscrit de Mein Kampf ne paraît pas publiable en l'état. Otto Strasser en témoigne : « Un véritable fouillis de banalités, de réminiscences scolaires, de jugements subjectifs et de haines personnelles. » Hitler avait pensé au titre suivant : « Quatre ans et demi de lutte contre les mensonges, la stupidité et la lâcheté ». Le manuscrit va être retravaillé et mis en forme par son admirateur Ernst « Putzi » Hanfstaengl, diplomé de Harvard, et quelques-uns de ses proches (Rudolf Hess et son épouse Ilse, son éditeur Max Amann et l'imprimeur du NSDAP, Adolf Müller), mais surtout par le poète et critique musical d'origine tchèque, Josef Stolzing-Czerny, ancien correcteur d'épreuves au Völkischer Beobachter, et le père Bernhardt Staempfle, moine hiéronymite devenu journaliste antisémite et membre du NSDAP. Stolzing-Czerny supprime ou modifie des phrases maladroites ou des mots impropres, taille dans les passages de style oratoire trop longs, répétitifs et mal construits. Staemple relit le manuscrit, fait les corrections syntaxiques qui s'imposent, améliore le style, supprime certains passages et élimine les inexactitudes les plus flagrantes. Le premier tome de Mein Kampf, largement autobiographique, est publié le 18 juillet 1925 par la maison d'édition du Parti nazi, Franz Eher Verlag. Entre-temps, Hitler avait bénéficié d'une libération anticipée, le 20 décembre 1924, et le Völkischer Beobachter, l'organe officiel du NSDAP, avait pu reparaître le 25 février 1925. Le 20 décembre 1924, dans le très influent quotidien américain qu'était (déjà) le New York Times, parut un entrefilet intitulé « La prison a calmé Hitler », avec pour sous-titre : « Libéré sous condition, il va probablement retourner en Autriche ». Ce bref article du correspondant à Berlin du New York Times illustre l'aveuglement des contemporains de la montée du national-socialisme :
« Berlin, 20 décembre. Adolf Hitler, qui faisait naguère figure de demi-dieu aux yeux de l'extrême droite, a été libéré aujourd'hui sous condition de la forteresse de Landsberg, en Bavière, où il purgeait une peine de prison. Il a immédiatement gagné Munich en automobile. Il avait l'air beaucoup plus triste et raisonnable qu'au printemps dernier quand, inculpé avec Ludendorff et d'autres extrémistes du complot en vue de renverser le gouvernement, il comparaissait devant un tribunal de Munich. Son comportement pendant son emprisonnement a convaincu les autorités qu'il ne présentait plus aucun danger pour les institutions, pas plus que son organisation, connue sous de nom de Völkischer, c'est-à-dire de nationalistes racistes. On pense qu'il va abandonner toute vie publique et se retirer dans son pays d'origine, l'Autriche. »

Le second tome de l'ouvrage, auquel Hitler travaille en 1925 et en 1926, est dicté à Max Amann, et, avec l'aide des mêmes relecteurs, sort le 11 décembre 1926 - mais la date de publication indiquée est 1927. L'année suivante, Hitler dicte un nouveau livre, supposé constituer une suite aux deux tomes de Mein Kampf, mais qui restera à la fois inachevé et inédit de son vivant : connu sous le titre de « Second Livre », il sera publié en allemand en 1961, et traduit en français deux ans plus tard sous le titre L'Expansion du Troisième Reich. Son principal intérêt, pour l'historien des idées politiques, est qu'il permet de mieux comprendre les liens établis par Hitler, en 1928, entre quelques-uns des thèmes fondamentaux de sa doctrine : le combat pour « l'espace vital » (Lebensraum), la défense de la « pureté raciale », la lutte contre la « juiverie internationale » (définie par son « parasitisme » et sa puissance de « dénationalisation ») et l'antibolchevisme radical (impliquant un relatif effacement de la dimension anti-ploutocratique, réactivée après la crise de 1929, puis durant la période 1941-1945). Dans un passage significatif, dont l'importance a été soulignée par Jäckel et par Longerich, Hitler explique pourquoi « le Juif » est pour lui l'ennemi absolu :

« Son but final [Endziel], c'est la dénationalisation [Entnationalisierung], l'abâtardissement des autres peuples par un mélange confus, l'abaissement du niveau racial des peuples les plus élevés, et la domination qu'il entend exercer enfin sur cette bouillie de races [Rassenbrei], par l'extirpation [Ausrottung] des intelligences propres à ces peuples et leur remplacement par des membres de son propre peuple. » Si, pour Hitler, le « péril juif » se confond avec le « péril rouge », c'est parce que, dans le cas où la « juiverie » réaliserait son « but final », les futures élites de substitution seraient recrutées parmi les membres dirigeants du « bolchevisme juif ». L'utopie répulsive par excellence, pour Hitler, est la vision d'une humanité « abâtardie » (dénationalisée, déracialisée) totalement dominée par la « juiverie internationale ».

En 1929, le premier tome de Mein Kampf avait été vendu à environ vingt-trois mille exemplaires, et le second seulement à treize mille. Les deux tomes seront réunis en un volume en 1930 (correspondant à la 5e édition), vendu à quatre-vingt mille en 1932. Environ douze millions d'exemplaires en langue allemande en ont été publiés jusqu'en 1945. Mein Kampf sera traduit intégralement en français en 1934 (sans l'autorisation du dictateur), puis en anglais en 1939, avec une introduction et des annotations. Il n'a jamais cessé d'être réédité dans un grand nombre de langues (au moins seize). Mein Kampf aura été, comme les Protocoles des Sages de Sion, un best-seller et un long-seller du XXe siècle, bien parti aujourd'hui pour continuer de l'être au XXIe siècle, hors des limites de l'Europe.

http://www.surlering.fr/article.php/id/5297
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« Nous ne supporterons jamais que sur notre continent, l’étoile juive éclipse le soleil aryen! », dans Rivarol (7 juin 1951)