jeudi 10 juin 2010

histoire occulte de la race blanche

LA TERRE ET SON HISTOIRE SECRÈTE
Si nous regardons un globe terrestre reproduisant l'état actuel des continents et des mers et que nous nous attachions à la description physique de ce que nous verrons, nous ferons comme l'analyste qui décrit l'extérieur d'un livre, son poids, etc., sans savoir ce qu'il y a dedans.
Si, croyant aller plus loin, nous nous adressons au géologue, celui-ci nous racontera l'histoire physique et chimique des matériaux qui ont servi à bâtir notre livre. Ce sera déjà plus intéressant, mais ce ne sera pas plus complet.
Adressons-nous à l'initié et demandons-lui la clef de ce qu'il y a écrit dans ce livre colossal qu'est le globe terrestre. Et l'initié va nous répondre : IEVE.
IEVE cela veut dire le cycle du nombre Quatre et cela s'écrit en langue astronomique et physique Est-Ouest-Sud-Nord.
La Terre est formée en ce moment d'un seul continent nullement complet : L'Europe – Toutes les autres terres ne sont que des restes de continents disparus ou en voie de transformation.
Or, Europe cela veut dire Nord et Race Blanche et cela indique que cette race a été précédée d'autres races humaines et par suite d'autres continents complets, car chaque race humaine réellement différente est le produit d'évolution d'un continent réellement personnel et différent.
Il y a donc eu une race Sud, la Race Noire, dont l'Afrique représente aujourd'hui le lieu d'origine.
Une race Ouest, la Race Rouge dont l'Amérique représente le lieu d'origine.
Et enfin une race Est, la race Jaune dont l'Asie représente le point de départ : tout cela d'après le cycle E. S. O. N.
qui se traduit mieux EO-SN (Est-Ouest, Sud-Nord) au point de vue de l'Histoire.
Car il faut encore se souvenir d'une remarque capitale.
Dans toute disparition ou évolution d'un continent, le lieu, de ce continent qui a donné naissance à la race humaine caractéristique dudit continent, survit et demeure comme témoin sur la Planète.
Voilà la raison d'être réelle et philosophique de ces masses de terre dont le géographe ne nous dit que le corps et le géologue que la vie. L'Initié seul peut nous en donner l'Esprit.
La Terre a donc été dominée successivement par quatre grandes races :
La Race Jaune.
La Race Rouge.
La Race Noire.
La Race Blanche.
Chacune de ces races a fait à son point de vue personnel une évolution intellectuelle couronnée par une Science et une Tradition et confirmée par une INVOLUTION DE LA DIVINITÉ dans ladite race.
Chaque race a, de plus, usé de procédés particuliers pour s'élever de l'état instinctif à l'état d'illumination divine. De là la différence apparente des diverses traditions sous lesquelles on retrouve toujours une unité que l'initié est seul capable de comprendre dans toute son intégrité.
Nous parlerons plus tard de ces traditions, revenons maintenant à l'histoire de la Terre.
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VIE DE LA TERRE
Tout dans la Nature est vivant. La Terre est un être, un être vivant au même titre qu'un chien, un arbre, un homme, un minéral ou le Soleil.
Ces lois de vie de la Terre ont été vaguement perçues par la Science positive sous les noms de Magnétisme Terrestre, d'électro-magnétisme avec leurs effets et leurs causes.
L'inclinaison de la Terre sur l'écliptique et les déplacements périodiques du pôle terrestre déterminent l'année platonique (25.000 ans).
Si l'équateur et l'écliptique se confondaient, la Terre serait dans un état d'harmonie physique, au [238] point de vue des saisons et des climats, qu'elle ignore totalement.
Cette harmonie n'existant pas, les pôles terrestres oscillent périodiquement et c'est de cette oscillation que dérivent les transformations subies par les continents et gravées dans la mémoire des hommes sous forme de cataclysmes géologiques et de déluges.
Chaque pôle terrestre peut, d'après la tradition secrète (et non plus d'après la science actuelle), occuper huit situations successives par rapport à l'équateur. C'est là la loi des huit pôles terrestres que nous nous contenterons de nommer sans aller plus loin.
D'où vient cette inclinaison de l'écliptique par rapport à l'équateur ? Toutes les initiations sont unanimes à cet égard ; cela vient de LA LUNE.
La Lune destinée primitivement à faire partie intégrante de la Terre a été projetée dans l'espace et cette projection a déterminé l'épouvantable cataclysme connu sous le nom de déluge universel, car l'inclinaison sur
l'écliptique s'est produite alors et les eaux du pôle ont balayé tous les continents habités.
Louis Michel donne la clef de ce mystère en racontant que la Terre a été formée de quatre planètes en voie de désintégration devenues des continents terrestres et que la Lune, destinée à former un continent, a refusé d'être incrustée avec les antres planètes et a été condamnée, de par sa propre volonté, à se désintégrer à titre de simple satellite. N''oublions pas qu'il exista des peuples dont les noms indiquent qu'ils n'ont pas connu la Lune. [239]
Le lecteur doit seulement entrevoir ce mystère et nous nous en tiendrons là sur ce point.
Chaque continent ayant amené sa race humaine à la civilisation, la race évoluée a retrouvé chaque fois les grandes lois secrètes de la Nature.
Parmi ces lois, celles qui se rapportent à la vie terrestre et à ses phases a donné naissance à la révélation des cycles.
L'être humain manifeste extérieurement ses fonctions vitales par des pulsations du coeur (de 60 à 70 par minute) et des aspirations et des expirations (20 par minute). Les battements du coeur manifestent également les deux temps de contraction (systole) et de dilatation (diastole) du coeur. De plus, l'être humain poursuit ses quatre âges d'enfance, de jeunesse, d'âge mûr et de vieillesse à travers une succession de périodes de veille et de périodes de sommeil, correspondant généralement au jour et à la nuit. Voilà un résumé rapide de ce qu'on pourrait appeler les cycles de la vie humaine, commençant à la pulsation pour aller jusqu'à la grande période de 20 ans qui enferme chacun des quatre âges (enfance, jeunesse, etc.) de l'être humain.
Les initiés sachant que l'homme incarné ne faisait que refléter en petit les lois du grand homme céleste, ont été amenés à chercher pour les races d'abord ; puis pour l'humanité terrestre ; puis, enfin, pour l'univers lui-même, des périodes cycliques analogues à celles de l'être humain et embrassant dans leur développement la Terre aussi bien que chacun des Peuples et chacune des races.
C'est ainsi que la réaction du jour et de la nuit produite par la situation respective de la Terre et du Soleil donna le jour et la nuit terrestres, manifestant la diastole et la systole de la planète et renfermant chacune un matin, un midi, un après-midi et un soir, manifestant les pulsations locales du corps terrestre, comptées en heures, en minutes et en secondes.
Les positions respectives de la Terre et de la Lune produisirent une période qui était pour la Terre ce que l'aspiration et l'expiration étaient pour l'homme ; un mois divisé en quatre semaines ; deux d'aspiration (N.L. et P.L.) et deux d'expiration (P.L. et N.L.).
Le mouvement de la Terre autour du Soleil (selon les théories actuelles) reproduisirent pour la Terre, sous le nom d'année, ce que la journée était pour l'homme, et l'année comprit une période d'activité (Printemps-Été) correspondant à la période (Minuit-Midi) ; et une période de production et de repos (Automne-Hiver) correspondant à la période (Midi-Minuit) du jour.
A ces périodes il convient d'ajouter la période électro-magnétique de 520 ans (redécouverte de nos jours par Bruck) qui est pour la Terre ce que l'année est pour l'Homme, et la grande année platonique de 25.000 ans qui est pour la Terre ce qu'un des quatre àges est pour l'être humain.
Qu'on nous permette ici une courte digression concernant cette loi quaternaire dont nous avons déjà parlé dans le cours de notre ouvrage et dont nous faisons ici l'adaptation.
La loi générale se présente à nous sous forme de deux grandes périodes, une d'ascension, une autre de descente, séparées chacune par une période caractéristique et qui annonce que le courant va changer de direction. Ainsi pour le jour de l'homme nous avons la figure suivante :
Cette figure est applicable à toutes les périodes même aux plus petites, comme la circulation.
En effet, la diastole et la systole sont séparées chacune par un repos du coeur.
Cette loi est donc une loi réellement universelle et s'applique aussi bien à l'évolution et à l'involution de la force divine dans les Univers qu'à la circulation de la force vitale portée par le sang dans l'organisme humain. [242]
Aussi les anciens collèges initiatiques avaient-ils établi pour chaque race humaine et pour chaque peuple des périodes cycliques pendant lesquelles cette race et ce peuple passaient par leurs phases d'enfance, de jeunesse, d'âge mûr et de vieillesse.
Les Brahmanes indiens, héritiers de la tradition noire et d'une partie de la tradition jaune ont également de grandes périodes de 432.000 ans, applicables aux races humaines.
Mais il ne faut pas oublier que, dans une famille, quand le grand-père arrive près du tombeau, le petit-fils grandit encore à l'état d'enfant. Si l'on voulait appliquer à ce petit-fils les lois qui s'appliquent au grand-père on se tromperait grandement.
Or, chacun des hémisphères terrestres a des lois d'évolution et d'involution réciproquement complémentaires, et quand l'humanité d'un hémisphère est à l'état de vieillard plein d'expérience, l'autre humanité de l'autre hémisphère est à l'état d'enfance et réciproquement.
Actuellement (1896), l'Orient et surtout l'Asie sont l'époque de la sagesse et de la vieillesse, tandis que l'Europe, pivot central, termine l'adolescence et que l'Amérique sort du tombeau à l'état d'enfance et presque de jeunesse.
Les Brahmines indiens savent très bien que l'Europe a eu son Messie il y a à peine 20 siècles, tandis que l'Asie a eu le sien il y a plus de 87 siècles, et cependant certains écrivains d'Occident voudraient appliquer à notre hémisphère les lois cycliques qui régissent l'Orient et viennent prétendre que nous sommes en périodes d'obscuration et d'involution (Kali-Youga). C'est une erreur très grande dont tous les occultistes d'Occident doivent se garder ; car elle aurait de très grands dangers pour l'intellectualité de notre race.
Quand un continent s'effondre sur Terre, un autre naît à l'hémisphère opposé, et ce serait méconnaître toutes les lois de la création que de vouloir appliquer au continent qui vient les lois de celui qui s'en va. Or, cela est aussi vrai pour une race et pour un peuple que pour un homme. Evitons donc soigneusement une telle erreur et ne croyons pas que les cycles brahmaniques sont applicables à l'Europe ou à l'Amérique, du moins de la manière dont on veut les appliquer.
"Les Brahmes, eux-mêmes, préconisent aujourd'hui le Satya-Youg (âge noir) et calomnient l'âge actuel et cela en dépit de leurs propres annales qui signalent le troisième âge comme le plus brillant et le plus heureux. Ce fut l'âge de leur maturité ; ils sont aujourd'hui dans leur
décrépitude ; et leurs regards, comme ceux des vieillards, se tournent souvent vers les temps de leur enfance





LES RACES HUMAINES
Muni de ces données, nous pouvons maintenant aborder sans crainte l'histoire des races qui ont dominé sur Terre.
Les races jaunes, rouges, noires et blanches ont-elles accomplies leur évolution successive sur la même Planète, ou chaque continent terrestre n'est-il que la cristallisation d'une autre Planète. Les restes de quatre de ces Planètes ont-ils formés la Terre, ainsi que l'enseigne la haute révélation signée Louis Michel de Figanières ? La Lune est-elle un de ces continents destinés à former la Terre et qui volontairement a été séparé des autres, déterminant ainsi la non harmonie terrestre et devenant non pas un satellite normal, mais bien un cancer de la Terre ? Ce sont des questions trop élevées et trop graves pour être traitées en quelques pages. Que les curieux lisent à ce sujet les oeuvres de Louis-Michel de Figanières, malgré leur difficulté apparente, et considérons simplement le problème comme résolu en commençant notre histoire, alors que tous les continents terrestres sont formés et suivant la méthode de Fabre D'Olivet, sans aller ni plus loin, ni plus haut.
Nous laisserons donc de côté l'histoire de la race Jaune, de la race Orientale dont nous retrouverons simplement les restes avec Fo-hi.
De la race Occidentale, la race Rouge qui avait tenu le sceptre de la civilisation sur la Terre avant les Noirs, nous rappellerons les belles colonies en Grande-Bretagne, en Bretagne, en Espagne (et dans les Pays Basques), en Italie où les Étrusques étaient une colonie rouge et enfin en Égypte où la race rouge fonda la colonie atlante qui, après la grande catastrophe, transmit aux autres races les hautes vérités de l'initiation. On commence à savoir seulement maintenant en Occident, que l'Égypte
était une colonie de rouges, dont les plus beaux restes ont été retrouvés au Pérou .
L'effondrement de l'Atlantide fit passer le sceptre de la Puissance aux mains de la race noire, qui eut bientôt conquis toute la terre alors habitable. La race blanche naissait alors aux environs du Pôle Nord.


race blanche
nord
race rouge race jaune
ouest est
race noire
sud


"Je vais me transporter à une époque assez reculée de celle où nous vivons ; et raffermissant mes yeux qu'un long préjugé pourrait avoir affaiblis, fixer à travers l'obscurité des siècles le moment où la Race Blanche, dont nous faisons partie, vint à paraître sur la scène du monde. A cette époque dont plus tard je chercherai à déterminer la date, la Race Blanche était encore faible, sauvage, sans lois, sans arts, sans culture d'aucune espèce, dénuée de souvenirs et trop dépourvue d'entendement pour concevoir même une espérance. Elle habitait les environs du pôle Boréal, d'où elle avait tiré son origine.
La Race Noire, plus ancienne qu'elle, dominait alors sur la terre et y tenait le sceptre de la science et du pouvoir : elle possédait toute l'Afrique et la plus grande partie de l'Asie où elle avait asservi et comprimé la Race Jaune. Quelques débris de la Race Rouge languissaient obscurément sur les sommets des plus hautes montagnes de l'Amérique et survivaient à l'horrible catastrophe qui venaient de les frapper ; ces faibles débris étaient inconnus ; la Race Rouge à laquelle ils avaient appartenu, avaient naguère possédé l'hémisphère occidental du Globe ; la Race Jaune, l'Oriental, la Race noire, alors souveraine, s'étendait au sud sur la ligne équatoriale ; et, comme je viens de le dire, la Race Blanche qui ne faisait que de naître errait aux environs du Pôle Boréal .
Qu'il nous soit ici permis de rendre justice et d'exprimer toute notre admiration à l'initié qui, devançant les découvertes de la critique historique contemporaine a su aller arracher au Plan astral, où elle était fixée, l'histoire de notre race. Toutes les écoles initiatiques d'Occident doivent honorer comme un des plus grands maîtres que la Providence ait envoyés, l'auteur de l'Histoire Philosophique du Genre humain, FABRE D'OLIVET. Devant le labeur de ce grand esprit, l'étudiant s'arrête, partagé entre la crainte et l'admiration, et l'initié salue dans la langue des esprits celui qui demanda à là Prière et à l'Extase les clefs que ses prédécesseurs avaient égarées et méconnues. – Maître vénéré, quels que soient les traits que la calomnie des Instituts et des Académies dirige contre vous, soyez assuré de trouver dans le coeur de tout véritable élève de la tradition occidentale, un asile pour l'avenir.
Fabre d'Olivet fut la lumière du courant pythagoricien et son oeuvre magnifique expose un seul côté de la révélation – le côté encyclopédique. C'est à un autre grand initié, doublé d'un homme de grand coeur, Saint Yves d'Alveydre, que nous devons la révélation et la justification de l'autre courant : le courant de l'Eglise des Patriarches, des Prophètes et de Jésus, c'est-à-dire le côté vivant et le pôle d'amour créateur de la révélation que nous aborderons à la fin de ce traité.


RAM — INITIATION DES BLANCS
Et maintenant, je vais résumer de mon mieux, l'histoire de notre race, telle que nous l'a transmise Fabre d'Olivet dont les ouvrages doivent être le vade-mecum de tout véritable occultiste au début de ses études.
La Race Blanche, née près du Pôle Nord, fut d'abord à l'état sauvage et errant, ignorant qu'il existât d'autres êtres humains sur terre. Protégés par leur climat, les Blancs grandirent en nombre et en force. Puis commença la descente progressive vers le Sud à travers les immenses forêts de la Terre des Chevaux Ross-land (Russie actuelle), qui amenèrent les Blancs jusqu'aux terres supérieures Poli Land (Pologne) et de là aux terres élevées Teuts-Land (Europe centrale), bornées au nord par la Limite des Ames D'AHN-Mark, et à l'ouest, par les Terres inférieures Holl-Land et Ghôll-Land (la Gaule). C'est là que se fit la rencontre de la Race Blanche et de la Race Noire.
Les Blancs, faibles et sans armes sérieuses, furent emmenés par masse en esclavage et furent occupés aux travaux des mines et aux constructions des forteresses. Mais ils apprirent, dans la souffrance, à utiliser les armes perfectionnées de leurs ennemis, et, à la faveur des forêts impénétrables, ils se perfectionnèrent dans l'art de combattre les Noirs.
Mais, malgré tout, livrés à leurs seules forces physiques, les Blancs n'auraient pas fait de rapides progrès sans l'assistance de la Providence divine qui fondait de grandes vues sur leur race.
C'est la femme qui fut choisie, dès le début, par l'Invisible pour agir prophétiquement sur la race blanche, et c'est à une prophétie de la femme à l'état d'extase, de la Voluspa que les Blancs durent leur salut. Sur le point en effet d'en venir aux mains entre eux, deux grands chefs blancs furent avertis par le Voluspa que les guerriers noirs, cachés en grand nombre dans les environs, n'attendaient que la fin de la lutte entre les blancs pour survenir et anéantir les survivants. Cette révélation surnaturelle frappa grandement l'esprit des deux chefs qui s'unirent et exterminèrent les noirs.
Mais pleins de reconnaissance pour la prophétesse, ils créèrent dès ce jour les collèges des prêtresses et l'autorité des druidesses grandit rapidement. Celles-ci perdirent bientôt toute union réelle avec l'invisible céleste, et, pour masquer leur faiblesse elles introduisirent dans la race blanche les sacrifices humains et le régime de la terreur. C'est ainsi que la femme alors toute-puissante provoqua la terrible réaction qui allait, pour longtemps, lui enlever toute liberté. Déjà une partie des Celtes s'était expatriée pour fuir le despotisme des Druidesses (vers 10.000 avant J.-C.), et avait gagné à travers les régions occupées par les noirs, la contrée qui fut plus tard l'Arabie. Ce sont ces celtes errants ou bodhones dont une
partie constitua plus tard, après mille vicissitudes, le peuple hébreu .Telle est l'origine de l'état inférieur de la femme chez les Juifs. Revenons à nos Celtes restés en Europe sous la tyrannie des druidesses.
La race blanche faillit encore être anéantie par un terrible fléau : la lèpre, contractée dans les communications avec les noirs et qui fit d'effrayants progrès – malgré la multiplication des sacrifices humains offerts par les druidesses au dieu Thôr et à la déesse Freya. C'est à un homme de génie que la Providence s'adressa cette fois : au druide Ram.
Ram souffrait en son âme de voir d'une part les ravages faits dans les corps des blancs par la lèpre et d'autre part les ravages non moins effrayants faits par les exactions des druidesses dans les esprits. Plein de ces sombres pensées le jeune druide s'endormit au pied d'un chêne et bientôt le plan astral se révéla à son être lumineux. Ram vit apparaître l'âme collective de sa race le grand Herrmann, qui lui révéla que le gui du chêne préparé d'une certaine manière était le remède de la lèpre et le moyen de redonner au collège des druides l'autorité que leur avaient ravie les druidesses.
Ram annonça cette révélation au chef de son collège et l'expérience confirma la réalité de la vision. Les druides gardèrent pour eux le secret de la préparation du gui et une fête commémorative transmit d'âge en âge ce grand événement. Cette fête fut la récolte du gui du chêne chaque année à l'époque du renouvellement des forces de la Terre (à la Noël).
Fabre d'Olivet raconte (d'après ses propres visions astrales) comment les druidesses firent des efforts désespérés pour retenir l'autorité qui leur échappait.
Ram fut cité à "porter un message aux ancêtres" c'est-à-dire à être sacrifié sur l'autel. Ram refusa et, pour éviter une guerre civile, s'expatria avec plusieurs milliers de Celtes qui s'étaient attachés à sa fortune (vers 6700 avant J.-C.). Ram se dirigea vers le sud-est, longea la mer Caspienne ; s'arrêta plusieurs années aux pieds des monts Ourals où il augmenta son armée de tous les Blancs établis depuis longtemps en ces régions, et ayant définitivement organisé ses forces entreprit la conquête de l'Inde alors au pouvoir des Noirs .Il franchit à cet effet la chaine de l'Oural et établit son premier campement entre la mer Caspienne et la mer d'Aras.
C'est de là que soit par lui-même, soit par ses lieutenants Ram repoussa les Noirs jusqu'à l'île de Lanka (Ceylan) ou le Pha-Rawon noir fut définitivement écrasé et perdit la vie .Le poème indou du Ramayana raconte une partie de ces hauts faits. A cette époque commence l'Empire de Ram qui eut une telle influence sur toutes les traditions de la race blanche.
J'ose à peine dire ici combien de siècles comptent les chronologistes.
J'ai déjà montré qu'on peut, au moyen de calculs astronomiques, faire remonter l'époque de Ram à près de 5.000 ans au-dessus de notre ère, en supposant qu'il n'y eût pas eu de corrections dans le calendrier runique ; mais qui assurera qu'il n'y en avait pas eu ? Arrien qui, sans doute, avait écrit d'après des traditions originales, rapporte que depuis ce Théocrate jusqu'à Sandrocothes qui fut vaincu par Alexandre, on comptait 6.402 ans. Pline s'accorde parfaitement avec Arrien, quoiqu'il ne paraisse pas l'avoir copié. Or chacun sait que l'expédition d'Alexandre aux Indes eut lieu 326 ans avant J.-C. d'où il résulte qu'on peut établir depuis Ram jusqu'à la présente année 1821 une durée de 8.550 ans.
Maître du monde qui devait présider à la civilisation de toute sa race, Ram organisa son empire d'après les formes théocratiques et religieuses. Il établit au Thibet le siège du Souverain-Pontife et changeant son nom de combat Ram (le Bélier) en celui du prêtre qu'il avait été Lam (L'agneau), il fonda ce culte Lamique, ce culte de l'agneau mystique que nous retrouvons comme caractéristique de la race aryenne.
C'est ici que les historiens profanes commencent l'histoire. Ils voient bien la race blanche ou aryenne partir de l'Inde pour apporter de là, la tradition blanche sur toute la Terre ; mais ils ne savent pas que les Blancs étaient venus d'ailleurs et d'Occident dans l'Inde.
Tout ce que nous avançons ici sera peut-être considéré comme un pur roman et cependant nous avons la certitude que, dans trente ans, tous les livres sérieux d'histoire n'auront plus d'autres bases que celles données par le grand maître Fabre d'Olivet .
Nous pourrions, à la rigueur, arrêter ici notre digression historique et renvoyer aux historiens ; mais nous préférons résumer en quelques pages les points les plus importants à retenir pour tout véritable occultiste.
Ram frappe tellement le monde par sa conduite réellement providentielle que tous les peuples blancs et quelques autres placèrent le héros dans leurs annales où il est facile de le reconnaître sous les noms suivants :

NOMS DIVERS DONNÉS A RAM
Hindous
Rama.
Thibet
Lama.
Chine
Fô.
Japon
Pa.
Pa-pa.
Pa-di-Shah ou Pa-si-pa.
Uiam-shyd.
Nord de l'Asie
Persans
Iraniens
Aryens
Dionysos.

Ces noms suffiront seuls à retrouver l'unité au milieu de la diversité des histoires mythiques se rapportant à Ram.
Ajoutons à ces noms le Zodiaque aux signes duquel Ram a mêlé son histoire, comme le fera plus tard Moïse pour l'histoire de la Terre, et nous trouverons aussi l'adaptation de la partie mythique de l'astronomie.
Les signes du Zodiaque, au nombre de douze, sont ce qu'il y a de plus remarquable dans la sphère céleste ; les autres ne servent guère qu'à en développer la triple expression. C'est dans l'invention de ces signes que Ram a mis toute la force de son génie. Celui qui porte son nom, le Bélier, doit être considéré comme le premier. Mais à quelle partie de l'année doit-il correspondre ? Si c'est au commencement, comme il parait certain, il faut donc le placer au solstice d'hiver, à cette nuit-mère appelée par les Celtes Modra-Neet. Alors, en examinant l'état du ciel, nous verrons aujourd'hui que cette nuit tombe sur le Sagittaire ; ce qui donne une rétrogradation, de près de quatre signes ou cent vingt degrés. Or en calculant ces cent vingt degrés, nous trouvons, pour l'ancienneté du Zodiaque, précisément 8640 ans ; ce qui ne s'éloigne pas trop de la chronologie d'Arrien, que j'ai déjà rapportée.

3 commentaires:

Heretique a dit…

http://urlcut.com/1wewu

la suite ici

Anonyme a dit…

Texte biaise et stupide.

Anonyme a dit…

C'est pareil maintenant avec l'hégémonie de la race grise.
Les blancs se regroupent en europe.
Tout est une question de natalité et donc de considération de la femme.