mardi 29 juin 2010

la france juive 7

a googler : De ce règne des Juifs pendant dix-huit ans, un chef d'oeuvre impérissable est
sorti : Les Juifs rois de l'époque par Toussenel.




LA RESTAURATION ET LA MONARCHIE DE JUILLET


EN 1790, le Juif arrive, sous la première République et sous le premier Empire, il
entre, il rôde, il cherche sa place, sous la Restauration et la Monarchie de juillet, il
s'assied dans le salon, sous le second empire il se couche dans le lit des autres, sous la
troisième République, il commence à chasser les Français de chez eux ou les force à
travailler pour lui. En 1890, si, comme je veux l'espérer quand même, il y a encore
chez nous assez de force cachée pour nous arracher à la mort, il sera revenu à son
point de départ et aura restitué en bloc tout ce qu'il avait pris en détail à des gens trop
hospitaliers et trop confiants.
En 1815, tous les discours superbes prononcés depuis 89, tout le sang versé sur
les échafauds et sur les champs de bataille, les belles morts des hommes politiques,
des héros, des héroïnes, des Girondins, des Montagnards, des Vendéens, le courage
des soldats de Sambre et Meuse, des chouans, des grognards, des hussards de Lusoff,
des milices écossaises, des Vergniaud, des Saint-Just, des Charrette, des Cathelineau,
des Stofflet, des Lannes, des Davout, des Bessières, des Charlotte Corday, des Mme
Roland, les capitales de l'Europe prises tour à tour, les charges irrésistibles de
cavalerie que menaient, l'éclair aux yeux, les Murat, les Lassalle, les Montbrun, les
Nansouty, les Blücher, les Ziéthen, les Platow, Valmy, les Pyramides, Marengo,
Austerlitz, Waterloo, le génie de Napoléon, la rouerie de Talleyrand, la ténacité de
Wellington - tout cela aboutissait à un compte de liquidation.- Ce formidable
mouvement humain [334] venait finir dans la Judengasse de Francfort. L'homme du
moment était un Juif servile et rampant encore, qui disait : « y affre moyen » ou « y
affre bas moyen. »
Les Aryens s'étaient entretués pendant vingt-cinq ans pour mettre au pinacle un
Sémite à mine abjecte qui, pendant qu'on se battait, rognait paisiblement des ducats.
Le compte de liquidation est le triomphe du Juif.

Centralisant entre ses mains toutes les créances particulières d'Allemagne et
d'Angleterre, Rothschild mettait en même temps ses fonds à la disposition du
gouvernement français, il fournissait l'argent qu'il réclamait et réclamait l'argent qu'il
fournissait. Comme le maître Jacques de Volière, il changeait de rôle selon les
circonstances, il était tour à tour le plus implacable des créanciers et le plus
complaisant des prêteurs. Comment discuter la validité d'une créance avec quelqu'un
qui vous oblige ?
Sous la pression de ce Shylock serviable, la France dut payer jusqu'au dernier sou
les réclamations les plus improbables, les réparations les plus fantastiques, les dettes
les plus chimériques.
Tout ce que des armées de 1.500.000 hommes avaient pu causer de dommages
réels ou imaginaires dans leur promenade à travers l'Europe revenait à la
Restauration, mais grossi par la crasse des mains des Juifs subalternes, par lesquelles
ces créances avaient passé avant d'arriver aux mains déjà plus propres, mais toujours
aussi avides, de Rothschild. A l'appel d'Israël, le passé même sortait du tombeau et la
France dut acquitter la solde [335] d'un régiment de reîtres allemands qu'un
principicule quelconque avait fourni à Henri IV.
Ces trafics, en apparence exclusivement financiers, avaient avantage en outre de
servir puissamment l'idée juive. Les Juifs disséminés dans toute l'Europe, et auxquels
on reprenait avec un bénéfice les créances qu'ils avaient achetées pour un morceau de
pain, savaient qu'il y avait en France un des leurs qui traitait d'affaires d'État
directement avec les ministres.
James de Rothschild, qui s'était installé déjà rue de Provence, n'était déjà plus le
petit compagnon d'autrefois, il était baron autrichien, s'il vous plaît, grâce à M. de
Metternich. Si la duchesse d'Angoulême, saisie de surprise à la proposition, s'écriait :
Fi donc ! lorsqu'on lui parlait d'admettre Mme de Rothschild en sa présence, le
Nucingen qui traverse l'oeuvre de Balzac avec son baragouin tudesque était déjà une
manière de personnage.
Les Juifs d'outre Rhin, qui s'essayaient timidement encore, il est vrai, à prendre
pied à Paris, s'habituaient à regarder la maison Rothschild comme la maison mère du
judaïsme français.
Avec l'esprit de solidarité qui anime la race, les Rothschild aidaient les nouveaux
arrivants, leur fournissaient des fonds pour faire la petite usure, en même temps ils
recevaient d'eux de précieux renseignements et organisaient cette police qui est sans
égale dans le monde entier

La Restauration ne vit pas le danger de cette invasion juive, que Napoléon avait
si bien discernée. La Royauté n'avait plus depuis plus d'un siècle le sens de la France,
elle ne comprit rien à la Révolution, ni avant ni après – il lui manqua précisément ce
qui, à l'origine, avait fait la grandeur et la puissance de cette Monarchie confinée au
début dans l'Ile de France.
La force des premiers Capétiens avait été de s'identifier avec le génie français, de
protéger les intérêts économiques du pays en même temps que d'agrandir son
territoire et d'augmenter son prestige par les armes.
Les derniers Bourbons n'avaient pas les goûts belliqueux, à une époque où tout le
monde, bon gré mal gré, avait paru sur les champs de bataille, ils ne s'étaient pas
battus une seule fois.

Dans le livre de Toussenel, la nouvelle féodalité juive est peinte de main de
maître et, nous ne pouvons résister au plaisir de reproduire le terrible tableau qu'en
trace l'illustre écrivain :
Montesquieu a oublié de définir la féodalité industrielle, c'est dommage. Il
y avait sur ce sujet de piquantes révélations à [345] attendre de la part du penseur
spirituel qui a dit : « Les financiers soutiennent l'État, comme la corde soutient le
pendu. » La féodalité industrielle, ou financière ou commerciale, ne repose ni sur
l'honneur, ni sur les honneurs, comme la République et la Monarchie de
Montesquieu. Elle a pour base le monopole commercial, oppresseur et anarchique,
son caractère c'est la cupidité, cupidité insatiable, mère de l'astuce, de la mauvaise
foi et des coalitions. Toutes ses institutions portent le cachet de l'accaparement, du
mensonge et de l'iniquité.
Si le despotisme anarchique n'abat que les superbes et respecte les
humbles, il n'en est pas ainsi du despotisme du coffre-fort.
Celui-ci envahit la chaumière du pauvre comme le palais des princes, tout
aliment convient à sa voracité. Comme le mercure168 subtil qui s'insinue par sa
pesanteur et sa fluidité à travers tous les pores de la gangue pour s'emparer des
plus minimes parcelles de métal précieux qu'elle renferme, comme le hideux ténia,
dont les anneaux parasites suivent dans leurs circonvolutions tous les viscères du
corps humain, ainsi le vampire mercantile fait courir ses suçoirs jusqu’aux
ramifications extrêmes de l'organisme social pour en pomper toute la substance et
en soutirer tous les sucs.
Le ton, sous le régime de la féodalité d'argent, c'est l'égoïsme qui cherche
vainement à se dissimuler sous le masque d'un philanthrope hypocrite.
Sa devise est : Chacun pour soi.
Les mots de patrie, de religion, de foi n'ont pas de sens pour ces hommes
qui ont un écu à la place du coeur.
Une patrie, les marchands n'en ont pas !
Ubi aurum, ibi patria. La féodalité industrielle se personnifie dans le juif
cosmopolite.
Une religion à la hollandaise foule aux pieds le Christ et lui crache à la face
pour acquérir le droit de trafiquer avec le Japonais !

Nul mieux que Toussenel n'a signalé la conquête de tous les États chrétiens par
le Juif.
Le juif, écrit-il, a frappé tous les États d'une nouvelle hypothèque et d'une
hypothèque que ces États ne rembourseront jamais avec leurs revenus. L'Europe
est inféodée à la domination d'Israël, cette domination universelle que tant de
conquérants ont rêvée, les juifs l'ont entre leurs mains, le Dieu de Juda a tenu
parole aux Prophètes et donné la victoire aux fils des Machabées. Jérusalem a
imposé le tribut à tous les États, le produit le plus clair du travail de tous les
travailleurs passe dans la bourse des Juifs sous le nom d'intérêts de la dette
nationale.

Si les Juifs allemands représentés par Rothschild avaient si vite réussi à
accaparer la majeure partie de la fortune publique, il convient de reconnaître qu'ils
avaient été puissamment aidés par les Juifs portugais

Lorsque tout fut
fini, quand la France eut dépensé cent millions pour faire cadeau aux Rothschild d'un
chemin de fer tout neuf, James fit venir les Pereire et leur tint à peu près ce discours
« Comme vous vous rendez peu compte de la mission de chaque race ! L'Aryen
doit inventer, trouver la vapeur, par exemple, et mourir ensuite de faim dans un
grenier, il doit, en outre, sous la forme de contribuables, plus ou moins nombreux,
dépenser un certain nombre de millions pour ouvrir le réseau. Alors, mais alors
seulement, nous autres Sémites intervenons pour palper les dividendes. Voilà
comment on travaille avec le goy. N'est-il pas écrit dans le Talmud que le Juif est un
homme et que ceux qui ne sont pas Juifs sont de la semence de bétail ? Le
Deutéronome, au verset 11, chapitre VI, ne dit-il pas : Jéhovah, ton Dieu, te donnera des
maisons pleines de tous biens que tu n'as pas bâties ? Souvenez-vous de cette
leçon par amour de moi et louez le Saint Béni d'être Juifs comme moi sans quoi vous
n'auriez pas un sou des sommes qui vous reviennent et que je vais m'empresser de
vous verser. »

Au mois de juillet 1845, un esprit charmant, un peu tourné vers l'étrange, mais
d'une originalité exquise, Pétrus Borel, écrivait un véritable chef-d'oeuvre dans le
Journal du Commerce, à propos d'une représentation donnée à grand renfort de
réclames, par Rachel et la tribu des Félix, il traitait de haut en bas, avec une fine
insolence de lettré, dont la plume laisse des bleus sur la peau comme une cravache de
gentilhomme toute cette bande de [357] bohémiens et de chanteurs des rues, qui avait
fini par prendre le haut du pavé à Paris.
« Le Juif est de plus en plus envahissant, écrivait-il, sans se douter à quel
point il était prophète, dans l'art comme dans la cité, le temps n'est pas loin où
cette race jadis proscrite et brûlée nous aura tellement décimés et soumis que nos
villes n'auront plus que dans un petit coin de leurs faubourgs une chrétiennerie où
seront relégués dans l'opprobre et dans la misère les restes des derniers chrétiens,
comme au moyen âge elles avaient chacune une juiverie où pourrissaient les
derniers débris de la Judée. »
Pauvre malheureux ! Les Juifs, selon leur coutume, le poursuivirent toute la vie,
ils le traquèrent comme une bête fauve, il était déjà agonisant lorsqu'ils parvinrent à
lui arracher le petit emploi qu'il occupait en Algérie, où il s'était réfugié pour les fuir.
Grâce à leurs intrigues, Pétrus Borel, le grand écrivain, mourut d'inanition !

Le duc d'Orléans était très frappé aussi de cette invasion d'un nouveau genre et
se proposait d'y mettre ordre. Ce prince, si facile d'abord, si affable pour tous et qui
traitait les artistes en camarades, ne voulut jamais recevoir Rothschild à sa table.
En 1842, quand le baron manifesta le désir d'assister aux courses de Chantilly, le
duc d'Orléans refusa de l'admettre dans sa tribune.
Un passage très significatif de l'éloquent auteur des Juifs Rois de l'époque, nous
montre quels étaient les sentiments du Prince royal sur ce point :

L'héroïque Prince Impérial que le Franc-Maçon Carrel fit tomber dans une embuscade et assassiner au
Zoulouland, avait exactement les mêmes sentiments, et nous pouvons affirmer qu'on en trouvera trace dans le
projet de constitution et les travaux politiques émanant de lui, qui seront publiés quelque jour. Tout en se
montrant opposé à toute idée de persécution religieuse, le jeune Prince affirmait hautement la nécessité de
protéger le travailleur contre l’exploitation juive, de défendre l'épargne contre les manoeuvres des financiers.













































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