extraits sélectionnés dans la France Juive de Drummond
il nous faut au début de cette étude essayer d'analyser cet être particulier, si
vivace, si complètement différent des autres êtres : le Juif.
Quel motif amène sous ce toit ces représentants de la noblesse? - Le respect de l'argent.
Que vont-ils faire là? - S'agenouiller devant le Veau d'or.
Après leur déchéance ils sont les premiers à se railler eux-mêmes
- Voulez-vous savoir ce que c'est que la voix du sang? Demandait à ses amis un duc français qui,
malgré les larmes de sa mère, avait épousé une Rothschild de Francfort, regardez...
Il appelle son petit garçon, tire un louis de sa poche et le lui montre. Les yeux de l'enfant flamboient...
-voyez, reprend le duc, l'instinct sémitique se révèle de suite...
Le Sémite, homme de proie dans les sables de l'Arabie,
héroïque dans un certain sens, devient un vil intrigant dans la société.
Laissons donc de côté ces lieux communs. Demandons à un examen plus attentif
et plus sérieux les traits essentiels qui différencient le Juif des autres hommes et
commençons notre travail par la comparaison ethnographique, physiologique et
psychologique du Sémite et de l'Aryen, ces deux personnifications de races distinctes
irrémédiablement hostiles l'une à l'autre dont l'antagonisme a rempli le monde dans le
passé et le troublera encore davantage dans l'avenir.
Laissons donc de côté ces lieux communs. Demandons à un examen plus attentif
et plus sérieux les traits essentiels qui différencient le Juif des autres hommes et
commençons notre travail par la comparaison ethnographique, physiologique et
psychologique du Sémite et de l'Aryen, ces deux personnifications de races distinctes
irrémédiablement hostiles l'une à l'autre dont l'antagonisme a rempli le monde dans le
passé et le troublera encore davantage dans l'avenir.
Le nom générique d'Aryens ou Aryas, d'un mot sanscrit, qui signifie noble,
illustre, généreux, désigne, on le sait, la famille supérieure de la race blanche, la
famille indo européenne qui eut son berceau sur les vastes plateaux de l’Iran. La race
aryenne rayonna sur le monde par des migrations successives. Les Ario Pélasges (les
Grecs et les Romains) s'arrêtèrent sur les bords de l'Hellespont et de la Méditerranée,
tandis que les Celtes, les Ario Slaves et les Ario Germains se dirigeaient vers
l'Occident en contournant la mer Caspienne et en franchissant le Danube.
Rien, dit Littré, ne peut disputer aux Romains le caractère aryen, le latin qu'ils
parlaient en est le signe assuré. Ce n'est pas sans surprise, mais avec une pleine
certitude que l'érudition moderne a reconnu la parenté du latin avec le grec, de tous
deux avec le persan et le sanscrit, et a rangé tous ces frères, étonnés de leur fraternité,
en un même groupe.
Toutes les nations (nationalisme crée par les juifs pour remplacer la foi chretienne) de
l'Europe, on le voit, se rattachent donc par les liens les plus
étroits à la race aryenne d'où sont sorties toutes les grandes civilisations.
Dès les premiers jours de l'histoire nous voyons l' Aryen en lutte avec le Sémite.
Ilion était une ville toute sémitique et le duel entre deux races explique le
retentissement particulier qu'eut la guerre de Troie.
Le conflit se perpétua à travers les Ages et presque toujours c'est le Sémite qui a
été le provocateur avant d'être le vaincu.
Aujourd'hui le Sémitisme se croit sûr de la victoire. Ce n'est plus le Carthaginois
ou le Sarrasin qui conduit le mouvement, c'est le Juif, il a remplacé la violence par la
ruse. A l'invasion bruyante a succédé l'envahissement silencieux, progressif, lent. Plus
de hordes armées annonçant leur arrivée par des cris, mais des individualités séparées,
s'agrégeant peu à peu en petits groupes, se mettant à l'état sporadique, prenant
possession sans éclat de toutes les places, de toutes les fonctions d'un pays depuis les
plus basses jusqu'aux plus élevées. Au lieu d'attaquer l'Europe en face, les Sémites
l'ont attaquée à revers: ils l'ont tournée, dans les environs de Wilna, ce Vagina
Judeorum , se sont organisés des exodes qui ont occupé l'Allemagne, franchi les
Vosges et conquis la France.
Rien de brutal, je le répète, mais une sorte de prise de possession douce, une
manière insinuante de chasser les indigènes de leurs maisons, de leurs emplois, une
façon moelleuse de les dépouiller de leurs biens d'abord, puis de leurs
traditions, de leurs moeurs et enfin de leur religion. Ce dernier point, je le crois,
sera la pierre d'achoppement.
Par leurs qualités comme par leurs défauts les deux races sont condamnées à se
heurter.
Le Sémite est mercantile, cupide, intrigant, subtil, rusé, l'Aryen est enthousiaste,
héroïque, chevaleresque, désintéressé, franc, confiant jusqu'à la naïveté. Le Sémite est
un terrien ne voyant guère rien au-delà de la vie présente, l'Aryen est un fils du ciel
sans cesse préoccupé d'aspirations supérieures, l'un vit dans la réalité, l'autre dans
l'idéal.
Le Sémite est négociant d'instinct, il a la vocation du trafic, le génie de tout ce
qui est échange, de tout ce qui est une occasion de mettre dedans son semblable.
L'Aryen est agriculteur, poète, moine et surtout soldat, la guerre est son véritable
élément, il va joyeusement au-devant du péril, il brave la mort.
Le Sémite n'a aucune faculté créatrice, au contraire l'Aryen invente, pas la
moindre invention n'a été faite par un Sémite. Celui-ci par contre exploite,
organise, fait produire à l'invention de l'Aryen créateur des bénéfices qu'il garde
naturellement pour lui.
Il est inutile de dire qu'il n'y a pas un mot de vrai dans la phrase
stéréotypée : « Les Juifs ont inventé la lettre de change. » La lettre de
change, la lettre de crédit, le chèque étaient d'un usage courant à Athènes
quatre siècles avant notre ère, le symbolon, les kollubiestika symbola étaient
de véritables lettres de change. Les banquiers, les trappistes ne se
contentaient pas d'échanger les beaux statéres à tète de femme de Cyzique
contre les tétradragmes à la chouette d'Athènes, les dariques à l'image d'un
sagittaire de la Perse contre les pièces d' Egine marquées à la tortue, ils
usaient constamment des instruments de crédit en usage aujourd'hui.
Il suffit, pour être convaincu de cette vérité, de parcourir le
Trapésitique d'Isocrate, qui nous fait assister à l'histoire d'une maison de
banque pendant plus d'un siècle.
Dans une de ses lettres à Atticus, Cicéron, au moment d'envoyer son
fils à Athènes, se demande s'il faut lui donner de l'argent comptant ou lui
donner une lettre de crédit.
Voir à ce sujet un intéressant travail de M. Caillemer : Etudes sur les
antiquités juridiques d'Athènes:lettre de change et contrat d'assurance.
L'Aryen exécute les voyages d'aventure et découvre l'Amérique, le Sémite, qui
aurait eu une si belle occasion de s'arracher fièrement à l'Europe, à la persécution et de
montrer qu'il était susceptible de faire quelque chose par lui-même, attend qu'on ait
tout exploré, tout défriché, pour aller s'enrichir aux dépens des autres.
L'Aryen exécute les voyages d'aventure et découvre l'Amérique, le Sémite, qui
aurait eu une si belle occasion de s'arracher fièrement à l'Europe, à la persécution et de
montrer qu'il était susceptible de faire quelque chose par lui-même, attend qu'on ait
tout exploré, tout défriché, pour aller s'enrichir aux dépens des autres.
En un mot tout ce qui est une excursion de l'homme dans des régions ignorées, un
effort pour agrandir le domaine terrestre est absolument en dehors du Sémite et surtout
du Sémite juif, il ne peut vivre que sur le commun, au milieu d'une civilisation qu'il n'a
pas faite.
Le malheur du Sémite, - retenez bien cette observation fondamentale en mémoire
de moi, - est qu'il dépasse toujours
un point presque imperceptible qu'il ne faut pas franchir avec l'Aryen.
L'Aryen est un géant bon enfant. Il est heureux pourvu qu'on lui conte une de ces
légendes dont a besoin son imagination éprise du merveilleux. Ce qui lui plaît ce ne
sont pas des aventures dans le genre des sémitiques Mille et une Nuits, où des
enchanteurs découvrent des trésors, où des pécheurs, jetant leurs filets dans la mer, les
retirent pleins de diamants. Il est nécessaire, pour qu'il soit touché, que sur la trame de
toutes ces fictions se détache un être qui se dévoue, qui combatte pour une cause, qui
se sacrifie, qui aille comme Parsifal à travers mille dangers à la conquête du Saint-
Graal : la coupe remplie du sang d'un dieu.
A l'Aryen, je le répète, on peut tout faire, seulement il faut éviter de l'agacer. Il se
laissera dérober tout ce qu'il possède
et tout à coup entrera en fureur pour une rose qu'on voudra lui arracher. - Alors
soudain réveillé, il comprend tout, ressaisit l'épée qui traînait dans un coin, tape
comme un sourd et inflige au Sémite qui l'exploitait, le pillait, le jouait, un de ces
châtiments terribles, dont l'autre porte la trace pendant trois cents ans.
Le Sémite, du reste, n'est nullement étonné. Il est dans son tempérament d'être
oppresseur, et dans ses habitudes d'être châtié. Il trouve presque une certaine
satisfaction quand tout est rentré dans l'ordre normal, il disparaît, s'évanouit dans un
brouillard, se terre dans un trou où il rumine une nouvelle combinaison pour
recommencer quelques siècles après.
La moralité elle-même dit-il, fut toujours entendue par cette race d'une manière
fort différente de la nôtre. Le Sémite ne connaît guerre de devoirs qu'envers lui-même.
Poursuivre sa vengeance, revendiquer ce qu'il croit être son droit, est à ses yeux une
sorte d'obligation. Au contraire, lui demander de tenir sa parole, de rendre la justice
d'une manière désintéressée, c'est lui demander une chose impossible. Rien ne tient
donc dans ces âmes passionnées contre le sentiment indompté du moi. La religion
d'ailleurs est, pour le Sémite, une sorte de devoir spécial, qui n'a qu'un lien fort éloigné
avec la morale de tous les jours.
l'ancien membre de la Commune qui, malgré ses erreurs et
ses blasphèmes, contient quelques points de vue exacts. Gustave Tridon est
le seul parmi les révolutionnaires qui ait osé attaquer les sémites qu'il
appelle à l'ombre dans le tableau de la civilisation, le mauvais génie de la
terre. » « Tous leurs cadeaux, dit-il, sont des pestes. Combattre l'esprit et
les idées sémitiques est la tache de la race indo-aryenne. » Il est bon de
remarquer qu'il n'a pas publié de livre de son vivant.
Dans son désir de plaire aux Juifs, Renan ne s'émeut pas pour si peu. Après avoir
constaté jadis que les prétendus
services rendus à la civilisation par les Juifs d'Espagne se réduisaient à rien, que
le rôle philosophique des Juifs au moyen âge avait été celui de simples interprètes, il
déclare tout à coup, dans une conférence organisée par la Société' des Études juives,
que les Juifs sont nos bienfaiteurs.
La conclusion du discours du savant conférencier, disent les Archives israélites
du 31 mai 1883, c'est que l'avenir appartient au judaïsme. C'est à cette religion épurée
et débarrassée de ses scories, que l'humanité se ralliera, car elle seule assurera le règne
de la justice, cet idéal si superbement décrit par les grands prophètes d'Israël.
L'esprit moderne, ajoute Renan, le monde en se convertissant aux idées de liberté,
d'égalité, de tolérance, est fait juif.
en 1789 la Franc-maçonnerie a donné, les journaux juifs ont monté l'opinion, on a
prodigué l'or, on a payé largement les commissaires de police qui, jusqu'au dernier
moment, refusaient de se rendre coupables d'un crime.
Qu'est-il arrivé? Ce que nous disions plus haut. L'Aryen Égaré, troublé, blessé
dans les sentiments de noblesse et de générosité innés chez lui, a senti le rouge lui
monter au visage devant le spectacle de malheureux vieillards traînés hors de leurs
cellules par des argousins. Il lui a fallu un peu 1e temps pour réfléchir, pour
rassembler ses idées, se recueillir.
Enfin au nom de quel principe agit-on ? a-t-il demandé.
- Au nom du principe de liberté, ont répondu en choeur les journaux des Porgès,
des Reinach, des Dreyfus, des Eugène Mayer, des Camille Sée, des Naquet.
- En quoi consiste ce principe?
- En ceci : un Juif quelconque sort de Hambourg, de Francfort, de Wilna, de
n'importe où, il amasse un certain nombre de millions aux dépens des goym, il peut
promener partout ses équipages, son domicile est inviolable, à moins d'un mandat
d'amener que naturellement on ne décerne jamais. Au contraire un Français natif, un
Français naturel, pour employer le mot de Saint-Simon, se dépouille de tout ce qu'il
possède pour le donner aux pauvres, il marche pieds nus, il habite une chambre étroite
et blanchie à la chaux dont ne voudrait pas le domestique du domestique de
Rothschild, celui-là est hors la loi, on peut le jeter dans la rue comme un chien.
II semble que le Juif, en revenant toujours aux procédés qui le font toujours
chasser, obéisse véritablement à une impulsion irrésistible. L'idée de se conformer aux
habitudes, ou à
la religion des autres n'entre pas dans ces cervelles. C'est vous qui devez vous
soumettre au Juif vous plier à ses coutumes, supprimer tout ce qui le gêne.
De cette société du passé, remarquez-le, ils veulent bien accepter tout ce qui
flatte leur vanité, ils recherchent avec un grotesque empressement les titres militaires
de barons et de comtes qui vont à ces manieurs d'argent comme un chapeau de femme
à un singe. Il n'est pas d'abject tripoteur ou de marchand de chaînes de sûreté
appartenant de près ou de loin à Israël, qui ne soit au moins chevalier de la Légion
d'honneur .
Le droit du Juif à opprimer les autres fait partie de sa religion, il est pour lui un
article de foi, il est annoncé à chaque ligne dans la Bible et dans le Talmud.
Les Goncourt ont merveilleusement dépeint cet envahissement graduel
du Juif dans Manette Salomon, oû l'on voit un grand artiste qui ' en arrive
peu à peu à être annihilé, réduit à rien, foulé aux pieds par une drôlesse
israélite qui s'est introduite dans son atelier, comme les Juifs se sont
introduits en France, par la pitié.
Tu gouverneras, disent les psaumes de David (ps.2), tu gouverneras les autres
peuples que tu soumettras avec une verge de fer, tu les briseras comme le potier fait un
vase.
Il consumera peu à peu les nations devant vous par parties, dit le Deutéronome,
car vous ne pourriez les exterminer toutes ensemble, de peur que les bêtes de la terre
ne se multiplient trop.
Il vous livrera leurs rois entre vos mains. Vous détruirez jusqu'à leur nom. Rien
ne pourra vous résister.
Contre le chrétien, le gentil, le goy (au singulier goy, au pluriel goym), tous les
moyens sont bons.
Le Talmud contient, sous ce rapport, des assertions que nos députés si
chatouilleux en théologie se garderaient bien de porter à la tribune sous peine de se
voir fermer au nez les guichets des banques juives où Ils émargent.
On peut et on doit tuer le meilleur goym.
L'argent des goym est dévolu au juif, donc il est permis de les voler et de les
tromper.
L'évolution sociale du Sémite elle même est absolument différente de la nôtre. Le
type de la famille aryenne dans l'état de civilisation est la gens romaine qui devint la
maison féodale. Pendant de longues générations la force vitale, le génie s'économisent,
puis l'arbre dont les racines plongent dans le sol porte au sommet un homme illustre
qui est comme le résumé des qualités de tous les siens. L'être prédestiné met un siècle
parfois à se développer, mais de l'extraction la plus humble sort une de ces figures
complètes, charmantes et vaillantes, héroïques et lettrées, comme notre histoire en
compte tant.
Dans la race sémitique les choses se passent autrement.
En moins de vingt ans, si les circonstances lui sont favorables, le Juif atteint tout
son développement, il naît au fond d'une judengasse, il gagne quelques sous dans une
première opération, il se lance à Paris, se fait décorer par l'entremise d'un Dreyfus
quelconque, achète un titre de baron, se présente hardiment dans un grand cercle,
prend les allures de quelqu'un qui a toujours été riche. Chez lui la transformation est
en quelque manière instantanée, il n'éprouve nul étonnement, il ignore absolument
certaines timidités.
Prenez comme opposition un brave entrepreneur de bâtisse français, enrichi très
honorablement, il aura toujours l'air un peu emprunté et gêné, il fuira les milieux trop
élégants. Son fils, né dans des conditions meilleures,
initié aux raffinements de la vie, sera tout différent. Le petit-fils, si la famille
continue en s'élevant à rester honnête et chrétienne, représentera le vrai gentilhomme,
il aura une délicatesse de pensée et une noblesse de sentiment que le youtre n'aura
jamais.
Le Juif
est insolent, jamais fier, il ne dépasse jamais ce premier degré auquel, d'ailleurs, il
atteint très facilement. Les Rothschild, malgré leurs milliards, ont l'air de revendeurs
d'habits. Leurs femmes, avec tous les diamants de Golconde, ressembleront toujours à
des marchandes à la toilette, non point endimanchées, mais ensabbatées.
Il manquera toujours au Juif vis-à-vis du chrétien ce qui est l'attrait des rapports
sociaux : l'égalité. Le Juif - qu'on tienne bien compte encore de cette observation - ne
sera jamais l'égal d'un homme de race chrétienne. Il rampe à vos genoux, ou il vous
écrase sous son talon, il est dessous ou dessus, jamais à côté.
Même dans une conversation de dix minutes avec un Juif
ce phénomène apparaît. Dès que vous vous abandonnez avec lui à cette familiarité, à
cette bonhomie, à cette liberté qui fait le charme des commerces mondains, il vous
monte immédiatement sur le dos, il attente à votre cerveau, il
vous supprime, il faut le tenir à la main soigneusement. Que l'on cause avec un
millionnaire ou avec un besogneux, il faut lui rappeler à chaque instant qui vous êtes et
qui il est...
Une autre cause rend le Juif peu propre aux relations où l'on se propose un autre
but que l'intérêt, c'est la monotonie du type, il n'a point cette culture raffinée, ce
superflu intellectuel, chose si nécessaire, qui est le sel de tout entretien, on ne
rencontre que très rarement chez lui ces théories brillantes et chimériques, ces aperçus
piquants, ces paradoxes amusants que certains causeurs sèment au hasard dans leurs
propos. S'il était fourni de ces idées le juif se garderait bien de les gaspiller entre
camarades et il tâcherait d'en tirer de l'argent, mais en réalité il vit sur la masse. C'est
un monocorde, et la causerie la plus longue n'offre nulle surprise avec lui.
Tandis que la race aryenne comporte une variété infinie d'organisations et de
tempéraments.
La vérité est que le Juif est incapable de dépasser un degré très peu élevé. Les
Sémites n'ont aucun homme de génie de la taille du Dante, de Shakespeare, de
Bossuet,de Victor Hugo, de Raphaël, de Michel-Ange, de Newton, et on ne comprendrait
pas qu'ils en eussent. L'homme de génie, presque toujours méconnu et persécuté, est un
être supérieur qui donne quelque chose à l'humanité, or, l'essence même du Juif est de
ne rien donner.
Quoi de plus frappant exemple de cette impuissance créatrice du
Sémite que cette Carthage qui, après avoir été un moment la maîtresse du
monde, n'a pas laissé une oeuvre d'art? Quand les Sémites tout-puissants à
l'heure actuel, les Rothschild, les Camondo, les Stern, souverains de la
Tunisie, grâce à Gambetta, se sont décidés à sacrifier quelques sous sur leur
bénéfice pour interroger les ruines de Carthage, ils n'ont trouvé que
quelques objet insignifiants, tandis que la plus humble bourgade de la Grèce
nous livre chaque jour de nouveaux trésors. Il y avait plus d'art dans la
fabrique d'un potier habitant un hameau de la Béotie, Tanagra, que dans
Carthage tout entière.
Notez encore que le Juif ne crée même pas dans cet ordre, il se
borne à corrompre ce qui existe, il avilit une chose restée décente et propre
tant qu il ne s'en est pas mêlé. De l'ancienne danse française, 'bonne enfant
et rieuse, il fait le cancan ignoble, le chahut canaille, -de la chanson, ariette
naïve ou noël joyeux que nos pères entonnaient au dessert, il fait L'opérette
aux « Evohés rauques », aux sous-entendus obscènes, au rythme lubriques.
Ainsi on répond aux vrais allemands, aux compatriotes de Goethe et de Schiller,
en répudiant toutes ces pornographies et toutes ces opérettes. Ils Nous disent alors:
« Tant pis pour vous, il ne fallait pas recevoir ces gens-là, vous deviez bien supposer
qu'ils ne venaient chez vous que pour vous déshonorer et vous trahir.
Incapable de s'élancer à la découverte dans les régions de l'art, le Sémite n'a pas
davantage interrogé les domaines inconnus de la science. Tout ce qui est une
exploration de l'infini par l'homme, un effort pour agrandir le monde terrestre est
absolument en dehors de sa nature.
Maintenant qu'ils sont les arbitres de l'opinion, qu'ils minent dans les académies
grâce à la lâcheté des chrétiens, les Juifs nous racontent des histoires de l'autre monde
: ils ont gardé le dépôt de la science dans le moyen âge, ils nous ont transmis les
découvertes des Arabes. Rien n'est plus faux, les Juifs ont paru savants en utilisant
quelques bribes des livres d'Aristote, mais dès qu'on a été à la source on s'est aperçu
que rien ne venait d'eux, malgré leur horreur pour les reliques, ils jouaient simplement
le rôle de l'âne de la fable.
Pendant des siècles ils ont monopolisé l'exercice de la médecine qui leur rendait
l'espionnage facile en leur permettant de s'introduire partout, et ils ne se sont pas
doutés une minute de la circulation du sang.
Comme saint Louis, comme le Dante, Christophe Colomb était un
tertiaire de l'ordre de Saint-françois. il paraît maintenant démontré que
Jeanne d'Arc appartenait aussi au Tiers Ordre, elle fut encouragée et
soutenue dans sa mission par le F. Richard, le célèbre prédicateur de
l'époque. Les Franciscains ont joué un grand rôle dans la délivrance de la
France et dans la guerre contre les Anglais. Les agents juifs allemands
déguisés eu républicains savaient bien ce qu ils faisaient en traquant nos
religieux.
prétendre que les juifs ont rendu un service
quelconque à la science, c'est se moquer de la candeur des jeunes gens chrétiens que
Ferry a chargé ce Juif d'instruire.
C'est à l'Aryen qu'on doit toutes les découvertes petites ou grandes, l'imprimerie,
la poudre, l'Amérique, la vapeur, la machine pneumatique, la circulation du sang, les
lois de la pesanteur. Tous les progrès se sont produits par le naturel développement de
la civilisation chrétienne. Le Sémite, il ne faut pas se lasser de le répéter, n'a fait
qu'exploiter ce que le génie ou le travail d'autrui avait conquis. Le véritable emblème
du Juif c'est le vilain oiseau qui s'installe cyniquement dans le nid construit par les
autres.
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