mardi 29 juin 2010

la france juive 2

L'armée juive a donc à sa disposition trois corps d'armée:
Les vrais Juifs, les Juifs notoires, comme les appellent les Archives, qui vénèrent
officiellement Abraham et Jacob et qui se contentent de réclamer la possibilité de faire
leur fortune en restant fidèles à leur Dieu .
Les Juifs déguisés en libres-penseurs (type Gambetta, Dreyfus, Raynal), qui
mettent leur qualité de Juif dans leur poche, et persécutent les chrétiens au nom des
glorieux principes de la tolérance et des droits sacrés de la liberté.
Les Juifs conservateurs qui, chrétiens d'apparence, unis aux deux précédents par
les liens les plus étroits, livrent à leurs camarades les secrets qui peuvent leur servir.
Dans ces conditions l'incroyable succès du Juif, quelque invraisemblable qu'il
paraisse, la façon inouïe dont il pullule peuvent s'expliquer aisément.
La force du Juif c'est la solidarité. Tous les juifs sont solidaires les uns des autres
comme le proclame l'Alliance israélite qui a pris pour emblème deux mains qui se
rejoignent et s'entrelacent sous une auréole.
Ce principe est observé d'une extrémité à l'autre de l'univers avec une exactitude
véritablement touchante.

On devine quel avantage, au point de vue humain, ce principe de la solidarité
donne au Juif sur le chrétien qui, admirable de charité, est étranger à tout sentiment de
solidarité.
Nul plus que moi, on peut le croire, n'admire cette fleur sublime que le
christianisme a fait éclore dans l'âme humaine, cette charité infatigable, inépuisable,
ardente qui donne toujours, qui donne sans cesse, qui donne non point l'argent
seulement, mais le coeur lui-même, le temps, l'intelligence.
Ce que je voudrais indiquer dans cette oeuvre qui est un travail de rigoureuse
analyse, c'est la différence qui existe entre la solidarité du Juif et la charité du
chrétien.
Les chrétiens ouvrent leurs bras tout grands à toutes les infortunes, ils répondent
à tous les appels, mais ils ne se tiennent pas entre eux. Habitués, ce qui est assez
naturel, à se considérer comme chez eux dans un pays qui leur appartient, ils n'ont
point l'idée de se former en rangs serrés pour résister au Juif.
Le Juif en a donc assez facilement raison en les frappant isolément.

Aujourd'hui,
c'est un marchand dont un Juif désire le fonds et que tout le commerce israélite
s'entend pourconduire tout doucement à la faillite. Demain, c'est un écrivain qui gène et
que les Juifs réduisent au désespoir et mènent à l'ivrognerie ou à la folie. Une autre
fois c'est un grand seigneur porteur d'un beau nom et qui aura rudoyé aux courses un
baron suspect, on s'arrange pour procurer au malheureux une maîtresse juive, un
coulissier affilié à la bande vient lui proposer une affaire avantageuse, on amorce
parfois la victime par un premier gain et finalement elle se trouve à la fois ruinée et
notée d'infamie.
Si le marchand, l'écrivain, le grand seigneur s'étaient entendus, s'ils s'étaient unis,
ils auraient échappé, ils se seraient défendus mutuellement, chacun aurait apporté un
appui à l'autre, mais je le répète, 'ils succombent sans se voir, et sans soupçonner
même quel a été leur vrai ennemi.

Par malheur pour les oreilles délicates il y a constamment dans le monde un Juif
qui crie et qui réclame quelque chose. - Que réclame-t-il? Ce qu'on lui a pris, ce qu'on
aurait pu lui prendre et enfin ce qu'il aurait pu gagner.
Très souvent l'Anglais, qui sent une affaire, se met à crier derrière le Juif et à
pousser des aôh aôh gutturaux qui rendent la cacophonie épouvantable.

Sans doute on peut changer de patrie comme certains Italiens l'ont fait au moment
de l'arrivée en France de Catherine de Médicis, comme les protestants français au
moment de la révocation de l'édit de Nantes. Mais pour que ces transplantations
réussissent il faut que le sol moral soit le même à peu près que celui que l'on quitte, il
faut que sous l'humus de surface il y ait le fonds chrétien.
La première condition, en outre, pour adopter une autre patrie, c'est de renoncer à
la sienne. Or, le Juif a une patrie à laquelle il ne renonce jamais, c'est Jérusalem, la
sainte et mystérieuse cité, Jérusalem, qui triomphante ou persécutée, joyeuse ou
attristée, sert de lien à tous ses enfants qui chaque année au Rosch Haschana se disent:
« l'an prochain à Jérusalem !

Si le cerveau de nos concitoyens fonctionnait de la façon
régulière et normale dont fonctionnait le cerveau de leurs pères ils seraient vite
convaincus que le Juif n'a absolument aucun motif d'être patriote.
Réfléchisses une minute et demandez-vous pourquoi un Reynal, un Bichofsheim,
un Leven seraient attachés à la France des Croisades, de Bouvines, de Marignan, de
Fontenoy, de saint Louis, d'Henri IV et de Louis XIV.
Par ses traditions, par ses croyances, par ses souvenirs cette France est la
négation absolue de tout le tempérament juif. Cette France, quand elle n'a pas brûlé le
Juif, lui a fermé obstinément ses portes, l'a couvert de mépris, a fait de son nom la plus
cruelle des injures.

les Spuller, les
Leven, les Reinach, les Strauss, les Bauer, les Meyer, les Wolff, les Blowits
qui se sont abattus sur notre malheureux pays à la fin de l'empire, et qui ont
pris une telle place depuis la République.


Encore une fois il ne faut par juger les Juifs d'après nos idées. Il est incontestable
que tout Juif trahit celui qui l'emploie. Cavour disait de son secrétaire 'le Juif Artom :
« Cet homme m'est précieux pour faire connaître ce que j'ai à dire, je ne sais pas
comment il s'y prend, mais je n'ai pas plutôt prononcé un mot qu'il m'a trahi avant
même d'être sorti de mon cabinet. « Pourquoi Dieu aurait-il créé le Juif, dit à son tour
le prince de Bismarck, si ce n'était pour servir d'espions. »
Sédécias empoisonne Charles le Chauve. Le Juif Meïre empoisonne Henri III de
Castille, le Conseil des Dix discute, le 9 juillet 1477, la proposition du Juif
Salomoncini et de ses frères qui offrent de faire empoisonner Mahomet II par le
médecin juif Vatcho (1). Le Juif Lopes, médecin d'Elisabeth,

est pendu pour s'être vendu à Philippe II. Le Juif Lewis Goldsmith sert d'espion à
Talleyrand en Angleterre pendant le premier empire, le Juif Michel est guillotiné pour
avoir livré à la Russie des documents militaires. Un autre Goldsmith dérobe, il y a
trois ans, les plans du grand Etat major prussien. On sait le rôle qu'a joué la Païva
avant la guerre. Qui ne se rappelle les tentatives faites par la juive Krulla pour
surprendre nos plans de mobilisation? Qui a oublié Esther Guimont et son fameux
salon politique?
Le Juif Gustave Klootz, dont les parents ou les homonymes avaient, je crois,
éprouvé quelques désagréments judiciaires à Paris vers 1869, trahit le général Hicks,
qui est égorgé avec ses troupes par les soldats du Mahdi. Klootz reçoit une forte
somme d'argent et il est nommé général.
Krajewski se confie au Juif Adler qui le vend à la Prusse et le vieux poète
polonais est jeté dans une forteresse.
Devant ces faits qu'il serait facile de multiplier à l'infini, il est visible qu'il s'agit
non d'un cas isolé qui ne prouve rien contre une collectivité, mais d'une vocation
spéciale à une race, la vocation d'Abraham.
Pour les Juifs cela constitue-t-il de l'espionnage ou de la trahison? En aucune
façon. Ils ne trahissent pas une patrie qu'ils n'ont pas, ils font les affaires de la
diplomatie, de la politique voilà tout. Les vrais traîtres à leur pays sont les natifs qui
laissent des étrangers mettre le nez dans ce qui ne les regarde pas. Les ministres
républicains qui, non contents de nommer officier de là Légion d'honneur Oppert de
Blowits, allemand de naissance et anglais d'occasion,
le prennent pour confident, lui livrent le secret de nos arsenaux, sont dignes de
tous les mépris. Mais de quel droit empêcheriez vous ce Juif oscillant entre deux
patries de favoriser de ses renseignements celle des deux qui paye le mieux ?
Ceci on le comprend rend fort difficile l'étude du Juif au point de vue de la
criminalité. Comme dit cet excellent Crémieux, c'est l'intention qui est tout. Le mal
que font les Juifs, mal épouvantable, insondable, inconnu, rentre dans la catégorie des
crimes commis au nom de la raison d'Etat. Assassiner, ruiner, dépouiller le chrétien
constitue pour eux un crime agréable à Dieu. Comme l'explique Éisenmenger dans le
Judaïsme dévoilé, c'est ce qu'ils appellent faire un « Korban ».
Tel juif qui aura, à l'aide de ses coreligionnaires, réduit au désespoir ou au
suicide un négociant chrétien dont il veut prendre la place, sera vis-à-vis des siens le
plus charitable, le plus serviable, le plus désintéressé des amis.

la dynastie d'Orléans dominée absolument par les
Rothschild,

Il existe, disait-il, dans les vingt-deux principales prisons du royaume, environ
18.000 condamnés à diverses peines.
Sur ces 18.000 condamnés le nombre des juifs est à peu près de 110.
Or la population totale du royaume étant de 34.000.000 d'habitants, la proportion
d'un condamné est d'à peu près un demi pour cent sur mille individus.
Les juifs au contraire, étant à peu près 100.000, la proportion des condamnés
israélites est donc de plus de un sur mille de leurs coreligionnaires.
Il faut ajouter que les Juifs commettent rarement des crimes violents et qu'en
outre soutenus par la Franc-maçonnerie particulière que Bismarck appelle
l'Internationale dorée, Golden internationale, ils échappent presque toujours à la loi.

Dans le numéro de la Revue des Deux Mondes, du 15 juillet 1867, Maxime Du
Camp a publié quelques renseignements qui ont pris place, plus tard, avec certaines
modifications, dans le beau livre « Paris, ses organes, ses fonctions et sa vie »,
renseignements doublement intéressants en ce sens que les Juifs n'ayant pas encore
envahi toutes les places, on peut supposer que ces faits ont une base assez exacte.
Aujourd'hui que la Franc-maçonnerie a pris possession de la Préfecture, on met tous
les crimes commis par les Juifs sur le dos de ceux qui sont signalés comme
catholiques. Si vous alliez demander quelques documents sur Israël, le frère ***
Caubet, qui est à la solde de l'Alliance, aposterait immédiatement des agents juifs qui
attesteraient, sous la foi du serment, qu'ils vous ont vu assassiner votre père.
Il est aisé de comprendre que les innombrables Lévy, Salomon, Mayer, qui
peuplent la préfecture de police depuis les commissariats jusqu'au dernier emploi
d'inspecteur de la sûreté, n'arrêteront un de leurs coreligionnaires qu'à la dernière
extrémité (1).
Voici ce qu'écrivait Maxime Du Camp à une époque déjà bien éloignée de nous
moins par les années écoulées que par les changements accomplis.

Les condamnations qui ont atteint les, Nathan père, mère, frères et gendres, en
tout quatorze personnes, représentaient un total de deux cents années de prison .

L'affaire, qui permet d'étudier le plus facilement le Juif, est l'assassinat de
l'horloger Peschard à Caen, qui est intéressante comme un roman. Là, tous les accusés
sont Juifs allemands. Minder dit Graft, Gugenheim dit Mayer, Louise Mayer ont tous
une physionomie caractéristique. Salomon Ulmo, le fourgat, honnête négociant en
apparence, en réalité affilié à une bande d'assassins, est particulièrement plein de
relief.
Le mot du procès, le mot, de la politique juive dans tous les pays et dans tous les
rangs de la société, est dit presque naïvement par Mme Ulmo qui répond textuellement
au président .
« Dans notre religion, toutes les fois que nous pouvons refaire un catholique, c'est
pain bénit. «

Le goy est fait
pour être volé.

Pour ne citer que des faits tout récents, n'avons-nous pas vu deux Juifs de
Mayence, les frères Bloch s'établir en 1882, rue d'Aboukir, se faire livrer des
marchandises de toutes sortes et s'enfuir en septembre 1883, à la veille d'une échéance
de trois cent mille francs? Au mois d'août 1884 un autre Juif allemand, Mendel, établi
rue d'Enghien, disparaît en emportant aux fabricants de la place de Paris pour six cent
mille francs de diamants. Essayes donc de faire cela en Allemagne.
Les innombrables changeurs juifs qui lèvent le pied avec les économies des
pauvres diables qui ont travaillé toute leur vie pour amasser quatre sous s'en vont
tranquilles comme Baptiste. Ce sont probablement des agents de police qui portent
leurs sacoches à la gare, prennent leur place au guichet et recommandent au chef de
train de ne pas les réveiller en route

Ils ont même inventé, pour les Juifs qui ont eu des chagrins en des temps moins
prospères pour Israël, une sorte de réhabilitation spéciale, la réhabilitation
ministérielle, qui est aussi légale à peu près que la violation de domicile par décrets.
Jadis, un failli n'était réhabilité que quand il avait payé intégralement ses créanciers.
M. David Raynal a changé tout cela en faveur de M. Lévy Bing.

Avant Lévy Bing, le Juif Alexandre Jacob, l'auteur du Maudit, connu sous le
pseudonyme poète, et qui fut longtemps correspondant du Temps, s'était efforcé de
démontrer dans les Révolutionnaires de l’ A. B. C., que l'orthographe était un préjugé
et qu'il fallait écrire comme on parlait. Cet apôtre de la fonografie, comme il disait,
écrivit d'après son système néografique un pamphlet anti-chrétien: « La France
mystique ou tableau des excentricités religieuses de ce temps, » qui lui valut un an de
prison. « Notre orthographe, disait-il dans sa préface, a des défauts graves, voilà ce
que reconnaîtront toutes les personnes qui ne la défendent pas uniquement par
entêtement et par parti pris. »
Cette irrésistible tendance à bouleverser les mots après les idées est un trait
absolument juif.
Les Juifs, Jules Simon en tête, sont les plus déterminés adversaires de la peine de
mort, non point pour la peine elle-même, puisqu'on l'appliquait fréquemment dans le
royaume d'Israël, mais parce que les: formalités religieuses nécessaires pour
l'exécution d'un Juif, seraient très difficiles à observer à notre époque.

Ce sont les Juives qui fournissent le plus fort contingent à la prostitution des
grandes capitales. Le fait est indéniable et les Archives israélites l'ont reconnu elles
mêmes:
Depuis un quart de siècle, écrivent-elles, et nous ne pouvons choisir une date plus
éloignée, les moralistes se demandent avec raison : d'où vient que dans toutes les
grandes villes de l'Europe on remarque, parmi les femmes de mauvaise vie, un plus
grand nombre de Juives que de chrétiennes?
Cette question est malheureusement motivée, car, à Paris, à Londres, à Berlin, à
Hambourg, à Vienne, à Varsovie et à Cracovie, dans ce qu'on est convenu d'appeler le
demi-monde, sur les places publiques et même dans les maisons de prostitution, on
rencontre plus 'de Juives que de chrétiennes, en tenant compte de la proportion qui
existe entre les deux populations .

L'an dernier, on jugeait à Vienne (Autriche) une bande d'escrocs qui, associés à
des filles, avaient fait d'innombrables ravages.
Au cours des débats, l'avocat, chargé de la défense d'une des accusées, le Juif
Glaser dit : Toute femme a le droit de vendre son corps et de tâcher d'en tirer le
meilleur parti possible.
Le public révolté se mit à pousser des clameurs. Le président exprima son
indignation.
Glaser était cependant dans la pure tradition sémitique. Les ‘hiérodules’, les
prostitutions dans les temples de Cypre et de Paphos ne se rattachaient en rien à la
religion de la Grèce, elles étaient d'origine exclusivement phénicienne.
La prostituée, d'ailleurs, sert Israël à sa façon, elle accomplit une sorte de mission
en ruinant, en poussant au déshonneur les fils de notre aristocratie, elle est un
merveilleux instrument d'information pour la politique juive.
La femme juive de la classe aisée vit à l'orientale, même à Paris, fait la sieste
l'après-midi, garde je ne sais quoi de fermé et de somnolent. Elle est étrangère aux
passionsviolentes, qui troublent si souvent le coeur de la chrétienne, que la foi ne garde
plus, elle est préservée justement par cette absence de tout idéal, qui est la
caractéristique des Sémites

Le Shah dit : combien y a-t-il de juifs en France?
- Sire, de 100,000 à 420,000.
- Angleterre?
-Un peu moins.
- Dans les autres pays de l'Europe?
M. Albert Cohn, membre du comité central, répond : Sire, en, Allemagne
500.000, dans les Etats de l'Autriche, 1.200.000, dans la Russie 2.400.000.
a la fin du 19e....

faire
du mal aux chrétiens, soit en attaquant leur religion, soit en leur volant leur argent, soit
en les poussant à des guerres de spéculation.

Les Juifs qui ont conservé tous les vices de leur race sans garder même ces
principes religieux, qui sont toujours un frein pour le mal, se chiffrent à Paris au moins
par, 120 ou 150,000 individus, en province, par 400,000, individus au minimum
également, qui, reliés entre eux par la Maçonnerie, s'installent dans tous les comités,
mènent', le corps électoral et créent cette opinion artificielle que l'on prend pour
l'opinion véritable.
C'est l'éternelle histoire des cinq ou six cents misérables, qui ont suffi à imposer à
Paris la Commune de 93, la Commune d'Hébert et de Chaumette, l'histoire des
délégués de la Société des Jacobins, qui venaient, au moment de la Terreur, fonder un
club dans chaque ville. Ces bandits, que personne ne connaissait dans le pays,
guillotinaient tranquillement, pour s'emparer de leurs biens, des vieillards, des jeunes
filles, de vieux chevaliers de Saint-Louis, couverts de blessures, des gens que tout le
monde aimait et respectait dans la contrée.

les accroissements des catholiques, des protestants et des Juifs sont
entre eux comme 1, 2, 3.

Tous se gardent avec soin de recourir à des médecins
qui ne soient pas de leur religion, exemple que les chrétiens devraient bien imiter.

Le Juif, en effet, sent mauvais. Chez les plus huppés, il y a une odeur, ‘fetor
judaïca’, un relent, dirait Zola, qui indique la race et qui les aide à se reconnaître entre
eux. La femme la plus charmante, par les parfums mêmes dont elle se couvre, justifie
le mot de Martial : ‘qui berce olet mate oiet’.
Le fait a été cent fois constaté, « Tout Juif pue, » a dit Victor Hugo qui s'est
éteint entouré de Juifs.

En 1266, raconte le grand poète (2), une mémorable conférence
eut, lieu devant le roi et la reine d'Aragon entre le savant rabbi Zéckhiel et le
frère Paul Cyriaque, dominicain très érudit. Quand le docteur juif eut cité le ‘Toldos
Jechut’, le Targum, les Archives du Sanhédrin, le Nissachon velus, le Talmud, la reine
finit par lui demander pourquoi les juifs puaient.

En Prusse, la proportion des aliénés est beaucoup plus forte chez les Israélites
que chez les catholiques, tandis qu'on n'en rencontre que 24,1 sur 10,000
protestants, 23,7 sur un même nombre de catholiques, les Israélites accusent, sur
40,000 habitants, 38,9.

En Allemagne, il y a des établissements spéciaux pour soigner les
névroses juives. Nous trouvons dans les Archives l'annonce suivante, où le
Talmud,, se mêlant singulièrement à tout l'attirail de la science moderne,
ouvre toutes sortes d'horizons à la pensée qui voit là tous ces millionnaires
torturés par la maladie. :
BockenTuim - Francfort-sur-Mein
Maison de Santé
pour névrotiques Israélites.
« Etablissement hydrothérapique, électrothérapie, au pied du l'aunus, à
proximité d'une charmante forêt, arrangé avec confort et d'après la doctrine
du Talmud. »

En Italie, on trouve un aliéné sur 384 Juifs et un sur 778 catholiques.

Que ce soit Hertzen en Russie, Karl Marx ou Lassalle en Allemagne, on trouve
toujours comme en France un Juif prêchant le communisme ou le socialisme,
demandant qu'on partage le bien des anciens habitants pendant que leurs
coreligionnaires, arrivés nu-pieds, s'enrichissent et ne se montrent pas disposés à
partager quoi que ce soit.

Cette névrose semble se transmettre même à ceux dont la mère, seulement est
Juive. Dumas, à l'âge de trente ans, a traversé une crise terrible sous ce rapport.

Cette névrose, le Juif a fini, chôse étrange, par la communiquer à toute notre
génération. La névrose juive aura eu son rôle dans les destinées du monde. Depuis
vingt ans que les Sémites tiennent, comme le disait Disraéli, les fils de la diplomatie
secrète, et qu'ils ont réduit les ambassadeurs réels à l'état de personnages de parade,
depuis vingt ans qu'ils mènent la politique européenne, cette politique est devenue
véritablement déraisonnable et démente. Le
mot de Bismarck : « Paris est une maison de fous habitée par des singes »
s'applique parfaitement à la Prusse et à l'Europe. Il n'y a plus de trace dans les conseils
de souverains d'une conscience, ni même d'une raison d'Etat un peu élevée.
L'histoire de ces dernières années c'est le monde conduit par des fous raisonnant,
ratiocinant, ayant, comme il arrive à la veille de la crise suprême, une logique
apparente qui déconcerte au premier abord.

Quoi qu'il arrive, déclarait Naquet à un reporter, au mois de
novembre 1885, la République vivra, au besoin, pour la sauver, nous
prendrions avec nous les Bonapartistes... Oh ! il y a bonapartistes et
bonapartistes, et tous ne sont pas du même bois que M. de Cassagnac.
« Je ne dis pas, ajoutait il, que le prince Napoléon soit facile à faire
avaler par tous les républicains, mais s'il faut en venir là : à la guerre comme
à la guerre ! Tout plutôt que la monarchie ! »

Un seul
orateur catholique a osé le déclarer, c'est Mit Freppel, dans la séance du 19 juillet
1884, il s'est écrié : « Le mouvement qui va aboutir à la loi du divorce est, dans le
véritable sens des mots, un mouvement sémitique, un mouvement qui a commencé à
M. Crémieux, pour finir à M. Naquet. » Il a dit à cette gauche déshonorée :
Allez, si vous le voulez, du côté d'Israël, allez vers les Juifs.
Nous restons, nous, du côté de l'Eglise et de la France. »
Mgr Freppel ne savait peut-être pas dire aussi complètement la vérité.
Pour être sûr d'avoir la loi qui lui convenait, qui s'adaptait à ses institutions,
Israël fit préparer le projet par les rabbins.
Ce fut l'ancien rabbin de Bruxelles, Astruc, qui rédigea les dispositions de la loi
et les dicta, en quelque sorte, à la Chambre des députés.
« La commission du divorce, écrit à ce sujet Naquet à Astruc, a accepté votre
amendement, elle a admis que (article 295) « les époux divorcés, pour quelque motif
que ce soit, ne pourront plus se réunir si, depuis le divorce, l'un ou l'autre a contracté
un nouveau mariage (1). »
Revue de Bruxelles citée par les Archives israélites, volume 41.

cette race qui, non satisfaite de se faire une place
prépondérante dans une société qu'elle n'a pas créée, veut en modifier toutes les
coutumes et toutes les lois à son point de vue personnel, ils auraient prononcé un de
ces discours qui font réfléchir les penseurs, qui préparent l'opinion aux mesures que la
France sera obligée de prendre sous peine de périr. Au lieu de cela, ils se renferment
dans des généralités pieuses, qui n'ont aucune efficacité parce qu'elles ne s'appliquent
à aucune réalité. On comprend le dédain qu'éprouvent pour des contradicteurs aussi
nuageux des hommes comme Naquet.

En toute question le Juif est guidé par la pensée exclusive
d'être utile aux siens. Voyez ce qui se passe pour les livrets d'ouvriers.
L'industrie française, ruinée par la concurrence étrangère, pousse un
long gémissement. Nos ouvriers français ne trouvent plus de travail, car
800,000 ouvriers allemands, 500,000 ouvriers italiens leur font à eux
aussi une concurrence terrible, nos chefs d'industrie se voient dépouillés,
non seulement de leurs procédés, mais même de leurs marques de
fabrique par des gens qu'ils ont accueillis et employés chez eux.
Que fait le juif Edouard Millaud ? Ce faux cosmopolite qui, au
fond, n'est préoccupé que des intérêts de sa race, n’a qu'un désir, celui de
rendre l'invasion plus facile pour les juifs étrangers, dans la séance du
Sénat, du 19 juin 1888, il demande la suppression de ce livret qui est une
garantie pour l'ouvrier français comme pour le patron, qui permet à tout
directeur d'établissement de se rendre compte de la nationalité, de
l'origine, des antécédents du travailleur qu'il va admettre chez lui, initier
aux secrets de ses travaux et de ses affaires.

Juif fervent, c'est-à-dire fanatique contre le Christ,

Les abbés Leman comptent 25 faux Messies : Theudas en Palestine,
l' an 45, Simon le Magicien en Palestine, de l'an 34 à l'an 37, Ménandre,
même époque, Dositée en Palestine, de l'an 50 à l'an 60, Bar-Kochbas en
Palestine, l’an 488, Moise dans Vile de Crète, l'an 484, Julien en Palestine,
l'an 530, un Syrien sous le règne de Léon 1'lsaurieo, l'an 721, Serenus en
Espagne, l'an 724, un autre en France, l'an 1137, un autre en Perse, en 1138,
un autre à Cordoue, l'an 1157, un autre à Fez, l'an 1167, un autre en Arabie
et un autre vers l'Euphrate, vers la même année 1167, un autre en Perse, l'an
1174, David Almasser en Moravie, l'an 1176, un autre, l'an 1280, David
Eldavid eu Perse, l'an 1199 ou 1200, lsmaël Sophie en Mésopotamie, l'an
1497, le rabbin Lemben en Autriche, l'an 1500, un autre en Espagne, l'an
1534, un autre dans les Indes Orientales, an 1615, un autre en Hollande, l'an
1624, Zabathai Tzevi en Turquie, l'an 1666.


Dans son essence même, le Juif est triste. Enrichi, il devient insolent en restant
lugubre, il a l'arrogance morose: 'tristis arrogantia', du Pallas de Tacite.
L'hypocondrie,qui n'est qu'une des formes de la névrose, est le seul cadeau qu'ils
aient fait à cette France jadis si rieuse, si folâtre, si épanouie dans sa robuste et saine
gaîté.

« Que le peuple héritier du royaume céleste n'ait rien de commun avec celui qui
en est exclu. »

Après avoir, par exemple, comme Bleichroeder, organisé la campagne
de Tunisie qui coûte à la France
la vie de ses enfants, l'argent de ses finances, l'alliance de l'Italie, il se gausse
encore de sa victime en se faisant nommer commandeur de la Légion d'honneur par
quelque ministre avili.

« Un fait remarquable, entre tous, dit M. Franck dans une conférence
faite à la société des Etudes juives, sous ce titre : La Religion et la Science
dans le Judaïsme, c'est que la langue hébraïque, je veux dire la langue de la
Bible et des Prophètes, ne possède pas un môt équivalant à celui de foi.
Celui que plus tard, dans quelques oeuvres de controverse théologique, on a
traduit de cette façon (Emouna) signifie la constance, la fermeté, la fidélité,
la vérité. »
Le fait seul que ces vertus sublimes, ces désintéressements de tout ce qui est
matériel, ces abnégations superbes puissent exister, se dresse comme une épine dans le
lit du grossier « sybarite » juif qui maître de tout, sent qu'il ne peut rien sur ces âmes.

« Dans toutes les affaires, dit Bossuet, il y a ce qui les
prépare, ce qui détermine à les entreprendre et ce qui les fait réussir. La vraie science
de l'histoire est de remarquer dans chaque temps les dispositions secrètes qui ont
préparé les grands changements et les conjonctures importantes qui les ont fait arriver.»

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