mardi 29 juin 2010

la france juive 6

LA RÉVOLUTION ET LE PREMIER EMPIRE

Où est le Juif pendant la Révolution ? - sur les routes. Il cherche un coin qui lui
convienne, il pénètre par la brèche ouverte, il prend racine dans cette société dont on
vient de briser les cadres. L'occasion est bonne, en effet. Dans les villes à peu près
désertes et où l'échafaud a fait tomber la tête des plus honnêtes et des plus
intelligents, il n'a plus à craindre cette attention vigilante dont il aurait été l'objet
dans ce vieux monde où, anciens et jeunes, chacun se connaissait pour avoir prié
ensemble à l'église, se tenait par mille liens traditionnels, se soutenait, s'aimait.
Dès le début, la Révolution eut, comme la République juive d'aujourd'hui, le
caractère d'une invasion. L'élément français disparut, comme de nos jours, devant un
ramassis d'étrangers qui s'emparèrent de toutes les situations importantes et
terrorisèrent le pays. « Toutes les écumes bouillonnèrent, dit M. Forneron147. La
Suisse nous a donné Marat, Hulin, Clavière, Pache, Saladin, les pays Wallons ont
envoyé Theroigne, Prolys, Cloots, Pereyra, Fleuriot, tous meneurs de meurtriers, les
déclassés de tous langages ont été accueillis comme des frères par ceux de Paris qui
prétendaient fixer les destinées de la France et peut-être celles du genre humain. »
A cette liste, il faut ajouter des Polonais comme Lazowski, des Allemands comme
Freys, Trenck et Charles de [292] Hesse, des Italiens comme Gorani, Dufourni,
Manini, Pio et Rotondo, des Espagnols comme Guzman, Miranda, Maichena. Dans ce
flot envahissant, le Juif passe inaperçu.
Pereyra, l'inséparable de Marat, l'ami de Gobel, qui pousse ce malheureux aux
sacrilèges comédies que l'on sait, est authentiquement Juif, d'après une tradition
constante, Simon, le bourreau de Louis XVII, était Juif148.

Que dites-vous de Marat ? Mara est le vrai nom.
La famille a été chassée d'Espagne, elle s'est réfugiée en Sardaigne, puis en
Suisse et, ne pouvant s'avouer ouvertement juive, elle s'est faite protestante.
Avec la lèpre qui le ronge, la saleté au milieu de laquelle il vit, la haine qu'il
témoigne pour la société chrétienne, c'est bien là en effet un fils de judaïsants, un
Marane répondant aux bûchers d'Espagne par la guillotine de France.
M. Taine a certainement entrevu cela quand il a parlé des races mêlées qui ont
produit cet être monstrueux, mais, lui aussi, il a tourné autour de la question.
Ce qu'il a bien mis en relief, dans sa Psychologie des chefs Jacobins149, [293] c'est
l'état mental de Marat, qui commence par la manie de la persécution pour arriver à la
manie homicide.
La folie de Marat est cependant spéciale : c'est la névrose juive. Parmi les plus
hardis dans leurs doctrines, nul étranger chrétien ne s'aviserait d'aller à Londres, à
Berlin, à Saint-Pétersbourg, dire tranquillement : « Il faut faire tomber 270.000 têtes
dans ce pays »
On n'oserait pas, le Juif ose.

Sans doute il y avait plus d'un Juif parmi ces organisateurs de sociétés des
Jacobins qui tombaient on ne sait d'où pour dénoncer, proscrire, envoyer de braves
gens à la guillotine. Je ne pense pas qu'alors on ait beaucoup songé à leur demander
leurs papiers.....

A Paris, le premier soin des Juifs, pour se montrer dignes de leur émancipation,
fut de se précipiter sur les diamants de la Couronne, ils jouèrent le principal rôle dans
le vol du Garde-Meuble.

On croirait voir là un symbole. Le
spectacle de ces trésors, patiemment accumulés pendant d'innombrables générations,
couronnes royales, calices offerts par Suger, joyaux donnés par Richelieu, souvenirs
magnifiques et glorieux, semés dans les ruisseaux par les fuyards, partagés à la hâte
sur la berge de la Seine, enfouis dans quelque mare, traînant dans tous les estaminets,
cachés sous des loques, n'est-il pas comme l'image même de tout le passé branlant de
cette France, livrée aux hordes de la révolution cosmopolite ?

Comme l'affaire du Collier montée par Cagliostro, le vol du Garde-Meuble eut le
caractère propre à toutes les entreprises juives, il se rattacha par en haut à la politique
supérieure de la Franc-Maçonnerie, il servit en bas à faire gagner un peu d'argent à
Israël.

Les diamants de la Couronne alimentèrent longtemps le commerce des Juifs
d'Allemagne. Danton et Fabre d'Eglantine, que Mme Roland accuse si formellement
du vol, eurent leur part du pillage. Quelques Juifs subalternes qui s'étaient laissés
prendre passèrent seuls en jugement.
[297]
Un des premiers individus coupables du vol du Garde-Meuble, dit le
Bulletin du Tribunal criminel, qui eut à subir la sanction de la loi, fut un juif du
nom de Louis Lyre, natif de Londres et âgé de 28 ans, exerçant la profession de
marchand dans le quartier Beaubourg. il avait été accusé d'avoir participé au
pillage commis dans les nuits des 11, 13 et 15 septembre et d'avoir vendu, dans le
courant de ce mois, à un certain Moyse Trénel, des perles et des diamants, sa part
dans le produit du vol
Un autre Juif, demeurant rue des Vieux Augustins, Delcampo, qui se faisait
appeler Deschamps, fut également exécuté.
Tous les Juifs de Paris étaient dans l'affaire.

Les diamants de la Couronne, en tout cas, n'ont pas de chance avec les
républicains et avec les Juifs. La première République les laisse ou les fait voler,
l'Empire et la [298] Monarchie reconstituent ce merveilleux trésor, sous la République
actuelle, le Juif Lockroy s'abouche avec les marchands au nez crochu qui se réunissent
dans le sous-sol du café de Suède et, pour faciliter à Israël une opération lucrative,
propose et fait accepter une loi autorisant la vente de tous ces souvenirs du passé.
Ce furent les Juifs qui organisèrent le pillage des églises152, La destruction des
chefs-d’oeuvre inspirés par la foi au génie de nos imagiers du moyen âge. Quelle plus
magnifique occasion de satisfaire en même temps ses haines et ses cupidités,
d'outrager le Christ et de s'enrichir ! Toute l'argenterie des églises, acquise à vil prix,
passa entre ces mains rapaces. Le Trésor public, Cambon le constate lui-même, n’eut
presque aucune part dans ces spoliations.
Les mobiliers d'émigrés étaient une autre occasion d'opérations fructueuses. Les
membres de la Convention eux-mêmes se concertaient avec des Juifs pour
s'approprier les dépouilles des proscrits.
Dans les Crimes des sept membres des anciens comités de Salut public et de
Sûreté générale, Lecointre, de Versailles, raconte qu'à la vente du château de
Montbéliard, son collègue Bernard s'est entendu avec un Juif, nommé Trévoux, pour
se faire adjuger, irrégulièrement et presque pour rien, des objets d'une grande valeur.
Il aurait en outre distrait de l'inventaire et fait emballer pour son propre compte une
table en marbre bleu, des livres précieux, etc. Il se serait fait attribuer d'office, sans
criées, une voiture, 18 lustres, 42 flambeaux de métal, 4 pieds de colonne.
La France corrompue et tripoteuse du Directoire offrait aux Juifs une proie
presque aussi belle que la France de la troisième République.

C'est le temps du fameux Michel, Michel l'assassin, dont les petites filles ont fini
par épouser des ducs et des princes, sans qu'ait disparu encore la sinistre légende qui
s'attache à ce nom.
Michel avait attiré dans un château des environs de Paris une famille d'émigrés
qu'il avait égorgée pour s'emparer de l'argent et des bijoux qu'elle rapportait avec elle.
Acquitté par un jury gagné, en dépit de preuves accablantes qui ont disparu avec le
dossier complet de cette affaire, il n'en fut pas moins condamné par l'opinion
publique.
Le roi légitime les eût gênés alors, ils empêchèrent par tous les moyens son
retour, il leur fallait un Schilo, comme l'avait été Cromwell, un Messie temporel,
l'homme était tout prêt.
Napoléon était-il d'origine sémitique ? Disraeli l'a dit, l'auteur du Judaïsme en
France le soutient. Il est certain que les îles Baléares et la Corse servirent de refuge à
[301] beaucoup de Juifs chassés d' Espagne et d'Italie qui finirent par se convertir au
christianisme et, comme cela avait lieu en Espagne, prirent le nom des grands
seigneurs qui leur avaient servi de parrain, Orsini, Doria, Colonne, Bonaparte.
Michelet qui, avec son organisation de voyant, avait l'intuition de certaines choses
profondes sur lesquelles il n'osait trop insister à cause de son parti, a touché ce point
à deux ou trois reprises. « J'ai dit, écrit-il notamment dans son Dix-neuvième siècle,
qu'un spirituel Anglais voudrait faire croire Bonaparte Juif d'origine. Et comme la
Corse fut autrefois peuplée par les Sémites d'Afrique, Arabes, Carthaginois ou Maures,
Maranes, disent les Espagnols, il semble appartenir à ceux-ci plus qu'aux Italiens. »
Franc-Maçon certainement et très avant dans les secrets de la Maçonnerie,
Jacobin farouche, ami de Robespierre jeune, Napoléon avait tout ce qu'il fallait pour
jouer le rôle qu'on attendait de lui. La finance l'adopta, les Michel, les Cerfbeer, les
Bedarride le commanditèrent lors de sa première expédition en Italie au moment où
les caisses de l'État étaient vides. Il n'avait qu'à paraître pour que tout lui réussit : il
prenait en un jour Malte l'imprenable153, pour [302] revenir en France faire le 18
Brumaire, il traversait tranquillement la Méditerranée sillonnée par les croisières
anglaises. La Franc-Maçonnerie avait organisé autour de lui cette espèce de
conspiration d'enthousiasme qui flotte dans l'air, se communique de proche en proche
et finit par gagner tout un pays. Nous avons eu une répétition de cette espèce de carte
forcée avec Gambetta, ce gros homme gonflé de mots qui avait été inepte et
malhonnête pendant la guerre et que la France crut un moment être l'homme
nécessaire.

Le Juif dangereux, c'est le Juif vague, socialiste en paroles, agent provocateur,
espion de l'étranger, il trompe à la fois les ouvriers qui se fient à lui, la police qui le
paie [317] et le gouvernement qui l'emploie, il pousse les naïfs dans la Commune, les
dénonce ensuite aux Versaillais, s'éclipse quand on veut tirer l'affaire au clair et
reparaît quand le calme s'est fait pour déclarer qu'il a souffert pour la bonne cause c'est l'animal nuisible par excellence et en même temps l'animal insaisissable ; il est
fourré, en effet, dans tant de choses, qu'on ne sait par quel bout le prendre. Si vous
l'arrêtez dans une émeute, il se réclame de sa patrie, la victorieuse Allemagne, qui sait
faire respecter ses enfants, si vous essayez de l'expulser, il vous prouve qu'il a été
naturalisé à un moment donné. Soldat de l'émancipation des peuples quand la
démocratie est en haut, défenseur de l'ordre quand la réaction triomphe, il est le plus
puissant agent de trouble que jamais la terre ait produit, et il traverse ainsi la vie avec la joie que donne aux Juifs la conscience d'avoir, sous des formes diverses, toujours
fait du mal à des chrétiens.

En France,
les Juifs furent laissés absolument libres le choisir leurs noms. La plupart, profitant
de la tolérance de la loi pour les noms consacrés par l'usage, adoptèrent des noms de
lieux, Lisbonne, Paris, Lyon, Marseille, les autres prirent des noms ordinaires, Picard,
Flamand, Bourgeois, Clément, Laurent, beaucoup puisèrent dans le calendrier
révolutionnaire et s'appelèrent Avoine, Seigle, Froment, Laurier.
Le nom le plus répandu est celui de Mayer164. Il est d'origine très reculée et figure
dans l'Ancien Testament et dans le Talmud, il plait aux Juifs en évoquant pour eux
l'image de quelque chose qui brille. Le vrai mot, en effet, est Meir (éclatant,
rayonnant), et dérive à la fois du mot or et du mot lumière.
[321]
Colin, Kahn, Kohn, Cahen sont autant de variations du mot hébreu Cohen (prêtre
de la famille d'Aaron).
Les prénoms les plus usités chez les Juifs sont la traduction d'un mot hébreu :
Maurice correspond à Moïse, Isidore à Isaac, Edouard à Aaron, James à Jacob,
Alphonse à Adam

Les Juifs, en présence des nouvelles mesures, se bornèrent en apparence à des
doléances, mais le divorce était complet entre eux et l'empereur. Napoléon, qu'il fût
ou non d'origine sémitique, personnifiait, même en matière financière, le contraire de
l'esprit juif 166. Par un contraste comme on en rencontre tant dans cet étonnant génie,
cet homme si chimérique en certaines questions, ce poète en action à la façon d'un
Alexandre ou d'un Antar était, dès qu’il s'agissait des finances publiques, l'économe le
plus rigide, le plus méticuleux, le plus probe qu'on eût vu depuis Colbert. Pour des
oeuvres qui honoraient le nom français, pour des constructions, pour des
encouragements aux artistes, pour des fêtes plus éclatantes que toutes celles qu'avait
contemplées le monde jusqu'à lui, il jetait l'or sans compter, puis le lendemain il
défendait l'argent de son peuple, l'argent des contribuables après tout, avec l'âpreté
bourgeoise d'un Louis XII. Il était précisément, si l'on peut se permettre de
rapprocher ces deux noms, le contraire de Gambetta, qui disait : « Prenez, pillez,
creusez des déficits, je m'en bats l'oeil, je ne suis pas d'ici… »

A partir de 1810, le Juif, qui avait soutenu jusqu'alors Napoléon et qui n'avait
plus rien à en attendre de bon, se mit du côté de l'Europe. Le tout puissant Empereur
eut contre lui désormais cette force mystérieuse de la finance à laquelle on ne résiste
pas, même quand on est Napoléon Ier, ainsi que Léon Say, l'homme de Rothschild, le
déclara un jour insolemment à la Chambre.
Admirable pour pousser, prôner, lancer, la Juiverie l'est également pour détruire
ou plutôt pour miner, saper, ruiner en dessous. Quand le Juif est contre eux, chef
d'empire ou simple individu, journaliste ou chanteuse d'opérette se sentent pris
soudain par mille fils lilliputiens qui les empêchent d'avancer, « ils sont contrecarrés
en tout, » comme l'explique si bien Disraéli, diffamés, déshonorés, démoralisés, ils ne
savent à qui s'en prendre, rien ne leur réussit sans qu'ils comprennent pourquoi. Il
faut, pour braver cette puissance occulte, devant laquelle Bismarck a reculé, des
hommes comme Napoléon ou des écrivains au coeur droit, à l'âme ingénue qui ont
médité la [328] parole du Christ : « Heureux ceux qui souffrent persécution pour la
justice car le royaume des cieux leur appartient. »
Dans une discussion au Conseil d'Etat, il indiquait bien le caractère parasitaire de la race : « On ne se plaint
point, disait-il, des protestants et des catholiques, comme on se plaint des Juifs. C'est que le mal que font les
Juifs ne vient pas des individus, mais de la constitution même de ce peuple : Ce sont des sauterelles et des
chenilles qui ravagent la France. »
Sans doute, en entreprenant la campagne de Russie, Napoléon contribua à gâter
ses affaires, mais, un peu plus tôt, un peu plus tard, la coalition financière aurait eu
raison de lui.
Le futur banquier de la Sainte Alliance, Rothschild montra, lorsque l'heure du
dénouement approcha, une activité sans égale, la grandeur même des événements
semble avoir élevé au-dessus d'elle-même cette nature de Juif peu portée
généralement aux actes d'héroïsme.
Quand le soir tomba sur Waterloo, quand l'Empereur eut essayé en vain d'entrer
dans le dernier carré, Rothschild, qui guettait à Bruxelles, fut informé immédiatement
de la défaite par les Juifs qui suivaient l'armée pour achever les blessés et dépouiller
les cadavres.
S'il arrivait le premier, en Angleterre avec la nouvelle, il gagnait vingt millions, il
courut à Ostende, mais une tempête effroyable semblait rendre la traversée
impossible. Perplexe un moment devant ces vagues qui déferlaient avec fureur, le
banquier donna quand même l'ordre du départ.
« N'aie pas peur, aurait-il pu dire au capitaine, tu portes plus que la barque
antique, tu portes l'infortune de César et la fortune de Rothschild. »
Bonaparte était mort, écrit Michelet, du siècle de fer était né le siècle
d'argent par les emprunts qu'on fit pour la guerre même en pleine paix et pour
toute chose. Un juif intelligent Olinde Rodrigues, au nom de Saint-Simon, écrivit
l'Evangile de cette nouvelle religion.
Les juifs, qui jusque-là étaient en République, se constituèrent [329] en
double royauté. Les juifs allemands, plus tard ceux du Midi, créèrent deux
réservoirs où se versèrent les capitaux.
Tandis que les premiers faisaient les fonds pour les armées de la Sainte-
Alliance, les seconds se donnèrent au second Bonaparte.
Michelet semble indiquer un antagonisme ou du moins une rivalité. En réalité, la
paix avait été signée sur les ruines de la France entre les Juifs des deux rites, toujours
d'accord malgré les oscillations apparentes de la Bourse, ils allaient monopoliser
l'argent de l'univers.
Peuples et Rois n'étaient plus que des marionnettes dont les Juifs tenaient les
fils.
Les nations s'étaient battues jusque-là pour la patrie, la gloire, le drapeau, elles
ne se battront plus désormais que pour enrichir Israël, avec la permission d'Israël, et
pour la seule satisfaction d'Israël…

2 commentaires:

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