La deuxième république et le second empire
La Révolution de 1848 est la seule en France qui n'ait point été agréable aux
Juifs,
Le coup de pistolet de Lagrange faillit bien faire sauter la banque juive, mais
comme les grecs qui ne s'asseyent jamais à la table d'écarté qu'avec un roi ou deux de
rechange dans la poche de leur gilet, les Rothschild ne se mettent au jeu qu'avec deux
ou trois hommes d'État juifs dans la manche. Le vrai roi tombé sous la table, le
banquier étala brusquement sur le tapis, devant la galerie qui n'y vit que du feu, un
joli lot de rois tout neufs : Crémieux et Goudchaux. Je crois bien qu'il y avait un
brelan et que Marie était aussi d'origine juive.
Le premier a joué un rôle assez important dans la juiverie, un rôle assez néfaste
dans notre histoire, pour que nous lui consacrions un chapitre spécial. Goudchaux
tripotait dans la petite banque, il exploitait les commerçants parisiens gênés, avec
l'aide secrète de Rothschild, il escomptait ce qu'on nomme, je crois, des broches.
C'était une manière de Tirard, du fabricant de bijoux faux, ministre des finances de la
troisième République, qui égare si facilement cent millions au prêteur sur gages de la
deuxième, la différence est peu sensible170.
[364]
D'après les Archives israélites (année 1863), ce ne serait que sur les
supplications du gouvernement provisoire que Goudchaux aurait daigné accepter le
Ministère des finances. Il ne faut voir là, je pense, qu'un nouveau trait de l'effronterie
juive, la houtzpa. Ces abaissements, habituels à nos républicains d'aujourd'hui,
n'étaient pas dans le caractère des républicains de 1848. Arago a pu faire cette
démarche, mais notre glorieux Lamartine, qui reste si grand malgré ses erreurs, avait
l'âme trop désintéressée pour tremper dans ces manoeuvres, avec la candeur des
Aryens, il laissa Goudchaux s'introduire dans le gouvernement pour garantir les
intérêts de la Juiverie, mais il n'eut pas la pensée d'avilir devant la banque israélite le
peuple qui venait de briser un trône171
Chacun, du reste, démeurera fidèle à son rôle. Lamartine, devant les périls de la
Patrie, s'écria : « Sauvons la France ! » Goudchaux s'écria : « Sauvons Rothschild ! »
La situation de Rothschild était critique, et il emplissait les antichambres de
lamentations non sur ce qu'il perdait, mais sur ce qu'il manquait de gagner.
Avec l'avidité qui le distinguait, Rothschild n'avait pas trouvé ces 18 millions
dignes de lui, il avait gardé les titres en portefeuille. Quand la Révolution éclata, il
refusa cyniquement de verser les 170 millions qu'il devait encore, il fit purement et
simplement banqueroute. Il n'est point nécessaire, en effet, d'être très versé dans les
questions financières, pour comprendre que la chance de gagner implique qu'on
accepte le risque de perdre.
La conduite du gouvernement était toute tracée, il n'avait qu'à empoigner ce
banqueroutier et qu'à le déposer à Mazas qui justement venait d'être construit.
Le bon Goudchaux, vous le devinez, se garda bien d’agir ainsi, il considérait
comme valable la théorie de Rothschild que la parole donnée au goy n'engage pas le
Juif. Non seulement il admit en secret cet homme, qui venait de manquer à ses
engagements envers l'État, à une nouvelle [366] émission de 13 millions de rente 5
pour cent à d'excellentes conditions, mais encore il poussa l'amabilité jusqu'à lui
fournir les fonds nécessaires au service de l'emprunt grec.
Le peuple est tout noir de poudre, il meurt de faim sur les pavés qu'il a remués,
tous les ateliers sont fermés, enfin il est vainqueur, il est émancipé, il a assuré la
liberté du monde, il a réussi… à quoi ? A mettre au Ministère des finances un obscur
changeur juif : le Goudchaux. Au milieu de tant de misères suppliantes, une misère
seule frappe l'âme sensible de l'enfant d'Israël, dans le Trésor à sec, il trouve moyen
de ramasser quelques fonds et il les porte lui-même… à M. de Rothschild. Voilà,
Lockroy, la comédie que tu aurais dû faire, tu nous aurais divertis davantage qu'avec
le Zouave est en bas…
Proudhon, d'un mot rude et juste, définit la Révolution [367] de 1848 : « La
France, dit-il, n'a fait que changer de Juifs. »
Peu s'en fallut, cependant, que cette Révolution n’eût une influence considérable
sur l'avenir de la France. Dès la proclamation de la République, les paysans du Haut et
du Bas-Rhin, si cruellement pressurés, s'étaient précipités sur les demeures des Juifs,
à Heyemheim, notamment, ils s'étaient remis en possession de tout ce qui leur avait
été dérobé. Traduits devant le jury à Strasbourg et à Colmar, ils furent acquittés au
milieu des acclamations et portés en triomphe.
Malheureusement le mouvement était isolé, aucun comité anti-sémitique
n'existait alors pour permettre à tous les opprimés de s'entendre et d'agir en commun,
et la tentative d'émancipation des chrétiens n'eut pas de suites.
Fould maria d'abord la Juiverie avec l'Empire, et, en sa qualité de ministre
d'État, maria ensuite l'Empereur et l'Impératrice en prononçant, sans doute, in petto,
toutes les formules de malédictions que contient le Talmud sur l'enfant qui devait
naître de ce mariage et qui fut l'infortuné Prince Impérial.
Au début de l'Empire, la Juiverie allemande, représentée par Rothschild, s'effaça
un peu pour laisser le champ libre à la Juiverie bordelaise représentée par les Pereire,
les Millaud, les Solar. Le Juif Mirés entre en scène
Les Juifs du Midi déployèrent les qualités particulières à leur race et que nous
avons déjà constatées : le brio, le bagout, le mouvement. Avec eux l'or, qui s'entasse
lugubrement dans les caves de Rothschild comme ramené par le râteau silencieux d'un
croupier invisible, sonna, tinta, brilla avec des splendeurs de féerie et des bruits de
chanson ; il accompagna, comme le refrain de Marco, la période joyeuse de ce règne
qui devait finir dans d'épouvantables catastrophes.
Au roulement des écus s'unissaient les ronflantes déclamations sur le règne de la
civilisation, l'ère des progrès, l'amélioration des cités et la moralisation des individus
par le gaz.
Contents de vivre, ils faisaient construire des palais et restauraient de vieux
châteaux lorsque les Juifs allemands [370] frappèrent à la porte de la salle du banquet
et leur dirent : « Frères, il y a dix ans que vous êtes à table, vous devez être rassasiés,
si vous nous laissiez entrer à notre tour. »
Pour les inviter au départ, on pressa légèrement sur la place à l'aide des capitaux
allemands. Pereire, qui avait écrasé Mirès, fut à moitié écrasé par Rothschild et l'on
vit intervenir sur le marché les banquiers d'Outre-Rhin.
Pour remuer les grosses affaires il faut un levier, un thème. Les Rothschild, à
leur première manière, avaient joué des emprunts d'État, les Pereire et les Mirès, en
faisant appel aux souscriptions publiques, avaient vidé les petites bourses. Les uns
s'étaient appuyés sur la paix sans phrases, la paix à tout prix, c'était l'époque où
courait le mot célèbre : « Nous n'aurons pas la guerre, le roi y est décidé, mais M. de
Rothschild n'en veut pas. »
Qui ne connaît cette célèbre entrevue où, sur la terrasse de Biarritz,
Méphistophélès Bismarck vint tenter l'Empereur en lui offrant des royaumes à
partager174 ?
Le tentateur lui-même avait été tenté, il avait succombé et conclu le pacte. Le
Juif, qui est aussi subtil que le Diable, avait été trouver Méphisto et lui avait montré
l'Alsace comme Méphisto montrait à Napoléon III les bords du Rhin.
N'est-elle point toujours d'actualité la fameuse scène du Second Faust ?
- Nous n'avons point d'argent pour payer nos troupes, nos États sont en pleine
révolte et notre Chancelier ne sait où donner de la tête ; ainsi parle l'Empereur,
comme s'il racontait la situation critique de la Prusse quand le Parlement refusait de
voter les impôts.
- Qu'à cela ne tienne, répond le Malin, pour faire sortir l'argent des entrailles de
la terre, il suffit de créer du papier monnaie.
Alors a lieu une fête qui ressemble assez à l'Exposition universelle de 1867, où,
comme dans le Second Faust, on voit apparaître la Belle Hélène, et soudain, le
maréchal entre tout en joie, annonçant que tout va le mieux du monde, le général
vient dire aussi que toutes les troupes ont été payées, le trésorier s'écrie que tous ses
coffres regorgent de richesses.
[372]
- C'est donc un prodige ? dit l'Empereur.
- Nullement, dit le trésorier. Pendant que cette nuit vous présidiez à la fête, sous
le costume du grand Pan, votre Chancelier nous a dit : « Je gage que pour faire le
bonheur général, il me suffirait de quelques traits de plume. » Alors, pendant le reste
de la nuit, mille artistes ont rapidement reproduit quelques mots écrits de sa main,
indiquant seulement : ce papier vaut dix, cet autre vaut cent, cet autre vaut mille,
ainsi de suite. Votre signature est apposée, en outre, sur tous ces papiers. Depuis ce
moment, tout le peuple se livre à la joie, l'or circule et afflue partout, l'Empire est
sauvé175.
La scène de Goethe nous donne à peu près le scénario des événements de 1870.
Les Juifs offrirent à Bismarck tout le papier monnaie dont il avait besoin et, pour
échanger le papier monnaie contre des espèces sonnantes, ils firent réussir la guerre
de France, car la France était le seul pays où il y eût de l'argent « dans les entrailles de
la terre »
La préparation de cette guerre fut admirable de tous points, je le répète.
L'Allemagne, en réalité, eut peu de chose à faire et les agents de Stieber, le chef de la
police de Berlin, qui lança sur nous des armées d'espions, trouvèrent la besogne toute
faite, le Juif livra à l'Allemagne la France toute garrottée.
A partir de 1865, tout est envahi par le Juif allemand, le Juif allemand est le maître en
tous les endroits où la vie sociale se manifeste. Le Juif Offenbach, uni au Juif Halévy, raille
dans le général Boum les chefs de l'armée française. [373] L'excellent père Kugelmann
tient cette imprimerie incessamment traversée par les allants et venants, qui causent
tout haut et qui livrent toujours, à des oreilles toujours tendues, une nouvelle
intéressante, un renseignement utile. Son voisin, Schiller, a à lui les organes plus
sérieux, comme le Temps. Wittersheim a l'Officiel, Dollingen et Cerf, deux juifs,
tiennent les journaux par les annonces. Les correspondants juifs, les Lewita, les
Lewisohn, les Deutch, les Jacob Erdan, arrivent à l'heure de la mise en page dans les
cabinets de rédaction, s'installent dans un bon fauteuil, lisent les épreuves avant les
écrivains et recueillent tranquillement sur leurs carnets tout ce qu'on dit de vive voix
et ce qu'on n'écrit pas.
Regardez vers le quartier où l'on travaille : le Juif Germain Sée, en dépit des
courageuses pétitions de M. Giraud au Sénat, démoralise la génération qui grandit, en
enseignant le matérialisme à la jeunesse.
La confiance de tout ce monde vis-à-vis du Juif était inimaginable. Savez-vous à
qui le colonel Stoffel, qui cependant connaît les Juifs, s'adressait pour faire parvenir
aux Tuileries ses dépêches secrètes ? : au Juif prussien Bleichroeder.
La Correspondance slave a raconté, en 1872, comment un patriote tchèque avait
remis à M, de Gramont un travail d'un considérable intérêt sur une alliance austrofrançaise.
M. de Gramont ne trouva rien de mieux « que de donner ce document à un
Juif allemand qui se hâta, naturellement, de le publier dans les feuilles allemandes, au
grand profit de son ami Bismarck. »
Dans de telles conditions, l'écroulement n'a rien qui puisse surprendre, il fut un
coup de Bourse comme la catastrophe de l'Union générale. Tous les appuis étaient
sciés d'avance et la Juiverie européenne étant d'un côté et la France de l'autre, il était
facile de prévoir qui succomberait.
Tout faillit cependant manquer au dernier moment. Souverain humanitaire,
homme au coeur profondément bon, être doué d'une faculté de voyant que neutralisait
l'absence de volonté aggravée, cette fois, par une maladie terrible, Napoléon III
résistait tant qu'il pouvait à la pression de l'Impératrice qui, aiguillonnée par le Juif
Bauer, s'écriait : « C'est ma guerre ! » Monarque chrétien, Guillaume sen[379]tait sa
conscience troublée en pensant aux cent mille hommes qui, aujourd'hui, cultivaient la
terre tranquillement et qui, dans un mois, quand une parole aurait été prononcée,
seraient couchés morts sur les champs de bataille. Jusqu'à l'heure suprême,
l'impératrice Augusta fut près de lui une suppliante de la paix, on dit même qu'elle se
jeta une dernière fois aux pieds de son mari, quand tout semblait fini, pour le conjurer
de tenter un dernier effort.
Guillaume fit ce que certes l'Empereur n'aurait pas fait ou plutôt n'aurait pu faire
à sa place, la candidature du prince de Hohenzollern au trône d'Espagne fut retirée.
Les Juifs allemands désespérés tentèrent le coup de la fausse nouvelle, qui leur a
presque toujours réussi, le coup du Tartare, comme on dit chez Rothschild. Une
agence juive, l'agence Wolff, annonça que notre ambassadeur avait été grossièrement
insulté par le roi de Prusse, et vous voyez d'ici l'entrain avec lequel la presse juive
française renvoya le volant.
« On a manqué de respect à notre ambassadeur, on a souffleté la France, mon
sang bout dans mes veines ! » ainsi s'écriaient ces républicains qui, aujourd'hui,
reçoivent tous les coups de pied diplomatiques, en disant : grand merci179 !
Quoi qu'il ne soit que le prélude des choses étonnantes que nous allons
désormais recueillir à chaque instant dans cette histoire de France, qui n'est plus que
l'Histoire [380] juive en France
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