samedi 20 février 2010

CRÉATION DE L’HOMME NOUVEAU 11 ème Partie

René BINET
Théorie
du
RACISME


Les marxistes, ont, de différentes manières, célébré le centenaire du « Manifeste Communiste » de Marx.
Bien qu’avec quelque retard, nous le célébrerons à notre manière : En replaçant l’histoire sur ses pieds.
La méthode dialectique n’est pas mauvaise en elle-même ; Il suffisait seulement de prendre avec elle un bon départ.
A l’origine du monde on trouve l’homme et non la classe ; L’homme inventeur d’outils et non pas « possesseur d’outils ». La notion « d’appropriation » et « d’aliénation » est une notion marxiste. Le fils du rabbin Mardochai connaissait bien les aptitudes des siens. De les avoir vu s’approprier les inventions et le travail des peuples occidentaux lui a donné l’idée de faire une loi historique de ce qui n’était qu’un acte de brigandage sans lendemain.
Nous avons volontairement repris son plan et utilisé certaines de ses formulations pour le réfuter. Nous pensons, qu’ainsi, la démonstration sera plus probante : Le manifeste marxiste représente aujourd’hui uni siècle de falsification de l’histoire.
Cette escroquerie touche à son terme. Il en sera fait justice.

René Binet - Juin 1950.


Théorie
du
RACISME

Depuis quelques années, un drapeau a été levé sur le monde. Ce n’est pas celui d’une nation, ce n’est pas celui d’un parti mais c’est celui d’une nouvelle sorte d’hommes armés d’une connaissance nouvelle et qui appartiennent à toutes les nations blanches : Ces hommes sont les racistes.
Les puissances du vieux monde, les tenants des anciennes philosophies, les serviteurs des vieilles divinités se sont ligués pour combattre cette sorte d’hommes et leur arracher leur emblème.
Désormais, tous ceux qui s’opposent en quelque point du globe à la déchéance de leur peuple, à la décadence de la race et à l’asservissement sont accusés de racisme et de fascisme parce qu’ils ont saisi ce drapeau.
Le moment vient donc, pour les racistes, de confesser ouvertement leur volonté de sauver, de nos valeurs, ce qui peut encore l’être et de proclamer, face au monde désuet qui fait de leur titre une insulte, ce que signifie réellement ce titre. Aux mensonges, aux calomnies, à la haine que déversent des forces d’obscurité, ils veulent opposer la clarté de leur manifeste.




Aryens et allogènes
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L’histoire du développement de tous les êtres vivants de l’origine à nos jours est l’histoire des luttes de chaque espèce contre les autres espèces, de chacune d’elles pour sa sauvegarde propre et pour sa survie.
L’histoire des êtres vivants depuis les origines démontre que toujours l’espèce la moins douée et la moins adaptée périt devant les autres dont elle devint la proie. Les races hominiennes n’ont pas connu d’autre développement. Leur histoire est celle des luttes de races : Le clan s’est opposé au clan, la horde à la horde, la tribu à la tribu. Pour assurer sa subsistance et sa vie nue, pour conquérir ou conserver le terrain de chasse, la source d’eau ou la terre fertile des clairières, des clans furent détruits ; Les tribus victorieuses exterminèrent les tribus vaincues. Des peuples disparurent entièrement de la surface du Monde. Toujours le groupe qui possédait la meilleure arme, les meilleurs instruments et la meilleure organisation sociale triompha des autres groupes. Cette possession n’était fondée dès lors que sur l’aptitude des hommes de ce groupe à les créer.

Ainsi, la plus grande aptitude de ses membres à créer des instruments et des armes, à imaginer une organisation sociale et militaire garantissant leurs qualités physiques et morales, autorisa seule finalement leur victoire. C’est l’aptitude à créer des outils et des armes et à les utiliser qui permit aux races supérieures, même hautement minoritaires dans le monde, d’assurer leur propre triomphe sur les races inférieures et la marche en avant du progrès.
Un adoucissement des moeurs, une humanisation de la lutte de races introduisit la clémence à l’égard des vaincus et fit pour la première fois apparaître une différenciation sociale. Le vaincu au lieu de périr devint esclave. Le vainqueur fut son maître. La qualité de maître et d’esclave, de patricien et de plébéien, de seigneur et de serf, introduisit la notion sociale de supérieur et de subordonné.

Cette division en classes n’est donc que le résultat d’une préalable différence de race. La division en classes et en castes, la hiérarchie des peuples et des nations et à l’intérieur des Etats la hiérarchie des hommes, n’est que le résultat tangible, la manifestation extérieure de la domination de races supérieures sur les races inférieures, de la conquête par une race mieux douée de races moins douées.

Si donc le développement de la société et du monde obéit à des règles précises qui sont celles de la lutte des races et si les Etats ne sont que les moyens de domination de races sur d’autres races, il devient évident que l’histoire du monde peut être étudiée avec autant de précision que n’importe quelle autre science dite exacte.
Le processus du développement humain obéit aux règles de la lutte de races et est déterminé par elles. Il devient donc possible à qui les étudie de prévoir les directions essentielles du développement historique ultérieur et d’adapter son attitude politique aux nécessités inéluctables de l’histoire.

Or, au début, nous avons vu que ce n’est pas la richesse, mais la race qui détermine le rang social ; La plus ou moins grande richesse n’est que le résultat de cette différenciation antérieure. Ainsi vit-on la société bourgeoise sortir de la société féodale au moment où les couches supérieures affaiblies par les guerres, amoindries par les mélanges de sangs, dégénérées en un mot, abandonnèrent les privilèges dûs à la qualité de leur race.

Si, historiquement, la révolution bourgeoise démocratique consacre la déchéance d’une couche raciale, elle n’a pas néanmoins fait disparaître les antagonismes de races, malgré sa prétention à le faire, mais elle n’a pu qu’accélérer les oppositions raciales en hâtant la dégénérescence générale de la société qu’elle a fait naître.

C’est donc par suite de cette dégénérescence générale et visible que les éléments les plus sains et les plus conscients de la race sont amenés à notre époque à se retrouver dans un réflexe de défense.
Désormais, notre société se trouve divisée en deux camps ennemis, ceux qui prennent conscience de l’éminente dignité de la race et ceux qui, en proclamant l’égalité de toutes les races admettent, par là, implicitement la démission, le déclin et la disparition de la leur propre.
Entre ceux qui tiennent à reconstituer la pureté de leur sang et ses privilèges et ceux qui, y renonçant, se font les défenseurs et les adeptes de races inférieures, une lutte inexpiable est ouverte. Elle ne se terminera que par le triomphe final de ceux qui sauvegarderont la pureté de leur sang et, par là, la valeur de leur culture. Désormais, la limite des deux camps est tracée, la lutte ne peut souffrir de trêve ni d’adoucissement.




La tyrannie de l’or
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Au cours de la période historique la plus proche de nous l’apparition du capitalisme comme moyen de différenciation sociale et comme base d’une nouvelle structure sociale, a faussé momentanément tout le développement de la lutte traditionnelle des races. L’inégalité des hommes, au lieu d’être fondée sur l’inégalité de leur valeur personnelle physique, intellectuelle et morale, sur l’inégalité de leurs aptitudes, sur l’inégalité de leur race a été fondée sur l’inégalité de leur richesse. Or il ressort de l’étude des races et de leurs tendances particulières que la conception du monde qui prend pour critère dans son évaluation de la valeur de l’homme, la richesse et non la valeur personnelle appartient en propre à un certain groupe ethnique. Par suite, elle ne peut durer qu’aussi longtemps que dure la domination de la race qui en fait la base de sa conception du monde. Cette race n’est pas aryenne.
Le capitalisme en tant que moyen d’expression de ses aspirations et en tant que structure sociale correspondant à sa conception de l’univers, n’est donc qu’un accident dans l’histoire du monde aryen. C’est l’expression de la domination pour un temps limité du monde aryen par une couche ethnique étrangère, domination qui ne peut durer qu’autant que le monde aryen la supportera.

Il est utile cependant de résumer en quelques lignes le mécanisme du passage de la société aryenne de type féodal à la société capitaliste, forme moderne d’oppression des aryens, qui ne s’est imposée au pouvoir que du fait des aryens eux-mêmes.

Au moment de la décadence de l’empire romain, des groupes toujours plus nombreux de Germains se sont introduits dans l’Empire. La conquête proprement dite, connue sous le nom de « grandes invasions barbares », ne fut que le couronnement et comme le point final d’un long état de fait. Les Germains occupaient l’Empire avant de l’envahir militairement et de s’emparer du pouvoir lui-même.

Suivant le mécanisme habituel des luttes de races, dans une société à majorité germanique ils reléguèrent les vieilles races autochtones au second plan économique et politique.

S’ils adoptèrent une partie, valable pour eux, de la culture latine, ils imposèrent la structure sociale qui est celle des peuples nordiques. Notamment, ils affirmèrent, d’abord, le mépris que dès les premiers âges de leur civilisation, on retrouve chez tous les peuples du Nord : Le mépris de l’or et du pouvoir qu’il pourrait conférer. Refusant d’exercer le métier de marchand d’argent qu’ils jugeaient dégradant, ils l’abandonnèrent aux membres de races étrangères à l’Europe, tenues pour les moins nobles. Socialement ils abandonnèrent la gestion des richesses et le commerce de l’or aux races inférieures — Juifs et autres — tout comme à l’heure présente on confie à un comptable la garde d’un coffre ou de la caisse.

En revanche ils se livraient traditionnellement à tous les travaux créateurs : Les découvertes ou les conquêtes de terres comme les grandes inventions sont uniquement leur oeuvre.
A l’époque qui correspond historiquement au temps de la Renaissance dans l’Occident européen, ils découvrirent en même temps des terres nouvelles et des moyens nouveaux de production.

Les découvertes de terres firent affluer des richesses énormes dans les coffres des marchands d’or.
Les inventions scientifiques et techniques conférèrent immédiatement une importance nouvelle aux richesses qu’ils avaient conquises. C’est donc à ce moment et à ce moment seulement que les richesses commencèrent d’être indispensables comme permettant de développer les moyens de production et non le travail seul comme aux âges précédents.

Les produits du travail humain au lieu de demeurer des valeurs individuelles, devinrent des valeurs sociales. L’industrialisation, dans la mesure où elle dut faire appel aux marchands d’or pour se développer, passa sous leur contrôle et échappa à celui de ses créateurs.
L’or ne servit plus à satisfaire des besoins individuels mais devint également une valeur sociale, dans la mesure où il fut nécessaire pour acquérir les moyens de production et les matières premières.

La situation fut donc la suivante : L’homme aryen a conquis des richesses qu’il a confiées pour gestion aux hommes des races inférieures, relégués dans ce métier servile. Puis il invente des moyens de production nouveaux. Il fait appel pour les utiliser et les construire aux richesses qu’il a conquises. Caissiers indélicats, serviteurs révoltés, ceux qui les détiennent expriment des exigences avant de les restituer à leurs légitimes possesseurs.
Ils exigent des droits économiques d’abord, politiques ensuite. La « banque » pose ses conditions aux hommes aryens qui lui ont permis de naître à l’époque précédente.

Elle commence même de nier le fait 1° de l’origine aryenne du capital, 2° de la valeur sociale et non personnelle de ce capital, 3° du droit exclusif aryen de contrôle et de propriété sur le capital.
Là comme à la période précédente et comme à toutes les époques historiques, nous assistons à la lente montée d’une couche ethnique qui s’empare d’abord de la richesse économique et des moyens de production puis qui accède au pouvoir politique :
Au temps de la décadence romaine, les Germains avaient peu à peu pris en mains les moyens de production — la terre — puis les moyens de les conserver — les armes — ; Ils s’étaient finalement emparée du pouvoir politique.
Au temps de l’apparition du progrès technique, une autre couche raciale, inférieure celle-là, s’empare peu à peu des moyens de production par le truchement de la banque. Elle parvient ensuite au pouvoir politique et à la domination générale.

Mais, contradictions essentielles : 1° elle possède la richesse sans droit réel émanant de sa valeur supérieure 2° elle ne contrôle aucunement les moyens de la conserver : Les armes demeurent aux mains des seuls hommes qui aient la valeur et le courage : Les hommes aryens.
Le capitalisme est donc un simple accident historique et une crise de croissance de la société aryenne. Cette société ne durera qu’aussi longtemps que les aryens l’accepteront.
Quoi qu’il en soit une situation de fait fut créée au moment du passage de la société féodale à la société capitaliste :
Les premières inventions, la construction des premières machines, puis la possession de ces nouveaux moyens de production, devint le privilège, non de ceux qui étaient les plus aptes à les créer et qui les créèrent réellement mais de ceux que l’or mettait à même d’en acquérir la propriété.

Les moyens de production échappaient à leurs véritables propriétaires ; Le maître devenait, non celui que sa race plaçait au premier rang, mais celui que l’or rendait maître du travail des autres. La sélection se fit à rebours. Faute de contrôler l’or qui, à l’origine, n’avait été qu’un moyen commode d’échange, l’homme de bonne race perdit son indépendance à l’égard du serf et de l’usurier du ghetto.
Dans certains cas et surtout dans les pays neufs, des hommes de bonne race réussirent sans doute à s’imposer mais ils ne le purent que grâce à l’or dont ils avaient acquis la possession et non à la supériorité de leurs aptitudes. Ils durent accepter les règles d’un jeu dont ils n’étaient pas les meneurs, tenir pour valables les normes qu’imposèrent les races inférieures détentrices de la richesse.

Ainsi, avec l’apparition du capitalisme, les divisions de classe apparurent sous des formes nouvelles non comme conséquence seulement de l’inégalité des races, mais comme conséquence de l’inégalité des fortunes. La possession n’était pas due à la plus ou moins grande aptitude à la création, mais à la plus ou moins grande aptitude à piller les richesses ou le travail d’autrui.
La promotion des couches sociales-raciales inférieures, leur accession à la puissance conduisaient en même temps la société à modifier sa conception du monde et sa structure politique. Dans l’usurpation de la puissance, les races inférieures devaient chercher et trouver un principe qui pût justifier cette usurpation.



Le mensonge de l’égalité
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L’affirmation « tous les hommes sont égaux » permettait de justifier cette accession au pouvoir d’une part, le pillage du monde d’autre part. La possession du capital, puis par elle l’appropriation de la création et des découvertes d’hommes de notre race par les hommes de couches inférieures conduisit à l’entrée des sous-hommes dans la politique. Apportant avec eux des valeurs morales propres à justifier leur puissance nouvelle, ils préparaient la déchéance totale des hommes racialement supérieurs.

Avec ce que l’on appelle la révolution bourgeoise ou société capitaliste se créa donc une nouvelle échelle des valeurs politiques et éthiques qui conduisirent à instaurer la république bourgeoise au lieu de la hiérarchie populaire basée sur les inégalités de valeur des hommes qui en étaient membres. A chaque échelon du processus historique correspond un stade politique précis : Races soumises par le seigneur conquérant qui en fait des serfs, puis association d’affranchis se livrant au commerce, achetant les franchises et le droit de porter des armes, puis républiques indépendantes de marchands affranchis commençant d’évaluer les individus d’après leur fortune et non d’après la race, telles sont les différentes étapes de l’élévation des uns et de la déchéance des autres.

En même temps que diminuent les privilèges dûs à la Race, les revendications des couches sociales-raciales inférieures se font plus arrogantes jusqu’à l’instant où, l’équilibre étant rompu, la richesse permet d’imposer politiquement le mélange des sangs et la déchéance sociale et politique des maîtres d’hier.
Le gouvernement moderne n’est plus que le mandataire de ceux que leur pillage a rendus plus fortunés et ainsi plus puissants. Toutes les lois qui sortent de ces gouvernements ne sont prises que comme un moyen de lutte de race et foulent aux pieds toutes les valeurs qui avaient été celles des Etats antérieurs.

Les devoirs réciproques qui unissaient primitivement l’homme à l’homme ont été brisés : Le « baron » ne protège plus sa « suite », ses subordonnés ne lui doivent plus de « services ». Le capitalisme livrait l’homme nu à l’arbitraire et à la malédiction de l’or, toute solidarité humaine était niée. Désormais, seul s’affirme le droit et l’avoir du capitalisme : L’homme n’est plus qu’un chiffre, qu’une valeur comptable qu’on soumet à l’exploitation brutale et sans scrupules : Son honneur et sa dignité ne pourraient être inscrits dans l’établissement d’un bilan.
Même les relations de famille ont cessé d’être des rapports humains pour n’être plus que soumises au calcul d’intérêts. En même temps que la société perdait son support naturel : La Race, elle abandonnait tous ses rapports à base humaine. Ordre biologique contre nature, ordre politique contre nature, telle est la société capitaliste. Tournant le dos aux rapports et à l’équilibre biologique naturels, cette société est conçue pour alimenter en profit les quelques parasites qui l’ont fondée et qui en vivent. Elle a ouvert la voie à la concurrence désordonnée et stérile, à l’anarchie totale de la production et à l’envahissement politique par les races inférieures.

La production cesse de correspondre aux besoins réels de la communauté pour ne plus représenter que de la plus-value pour les usurpateurs des moyens de production. En même temps que son organisation politique naturelle, la production perd sa base nationale. Le capitalisme est cosmopolite dans sa doctrine sociale et politique parce qu’il a rompu tous liens avec les bases biologiques des sociétés humaines.



La barbarie capitaliste
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L’individualisme et la soif de pillage, c’est-à-dire le désir de profits obtenus sans travail sont les seuls moteurs de la société capitaliste. Les valeurs éthiques du capitalisme ont pour base les valeurs instinctives des races inférieures qui l’ont créé, qui le régissent et qui l’utilisent comme leur instrument de domination. Elle doit donc rechercher dans le monde entier des marchés toujours nouveaux, des matières premières à bon marché, une main-d’oeuvre plus nombreuse à des prix plus bas. Son mépris absolu des valeurs humaines, mépris basé sur sa méconnaissance des valeurs héréditaires, des traditions et des hiérarchies raciales auxquelles elle ne tient pas, la conduit à détruire les traditions des peuples dans la mesure où ces traditions s’opposent à sa main-mise sur la terre, sur les richesses et sur la main-d’oeuvre des pays conquis.
En proclamant une fois de plus ses principes fondamentaux d’« égalité » qui lui permettent d’obtenir à bas prix une armée de travailleurs dociles, le capitalisme favorisa la transplantation des populations et le brassage des races. Il pensa ainsi obtenir par métissage une masse toujours plus nombreuse de sous-hommes sans traditions, sans liens politiques et par là sans moyens de défense et qui ne mettraient pas en doute les principes de domination que cette société contre nature a instaurés.

Sous le nom de civilisation, il s’efforce de développer partout une barbarie uniforme et sous le nom d’égalité, il prépare le- nivellement au niveau des sous-hommes de toute civilisation humaine.
Mais de cette manière, il conduit dans tous les pays les éléments les plus sains de chaque peuple à voir en lui le danger le plus grave et l’ennemi inconciliable. Les individus restés fidèles aux éléments de traditions de leur race, combattent non seulement le capitalisme comme moyen d’action économico-politique d’une domination mondiale, mais découvrent en lui son essence raciale. Le capitalisme n’est que le moyen de domination de races inférieures sur le monde. Il prépare le crépuscule de toute société humaine et de toute civilisation.

Ainsi la société capitaliste a pu fausser sur un espace restreint du monde et durant une courte période de temps le processus régulier de la lutte de races, elle n’a pu l’abolir. Des transfuges de races supérieures ont pu adopter ses manières d’être, une part importante de chaque race a pu être réduite à l’état de servitude par l’association monstrueuse de ces transfuges et des maîtres du capital, en revanche, la partie la plus pure de chaque peuple a relevé la tête et a commencé de se regrouper pour sa propre sauvegarde et pour le salut de sa race.
Le capitalisme a créé lui-même les propres moyens de sa disparition : Individualiste et concurrentiel, il développe l’anarchie de la production qui entraîne des crises toujours plus violentes et qui déchaînent des luttes sociales pour le pain.

Il s’empare de richesses constamment accrues dont il est incapable d’assurer le plein emploi et ne peut prévenir les crises économiques, ni les faire cesser.
Il soumet des peuples de plus en plus nombreux qu’il déracine, qu’il amoindrit, dont il assure la décadence, mais il oblige à se dresser chez chacun d’eux des élites raciales qui défendent leur peuple et s’efforcent d’abattre le capitalisme, sa doctrine et ses causes, et qui rétabliront finalement une échelle véritablement humaine des valeurs.
Il a créé un nombre croissant de métis et d’éléments anti-sociaux et associaux de moins en moins contrôlables et gouvernables, suivant les procédés politiques du libéralisme capitalisme. Ainsi se lève une armée de sous-hommes qui accentueront le progrès à rebours par l’ascension d’un nombre toujours plus grand d’entre eux au pouvoir.

Enfin, le cosmopolitisme de principe qui est la base de son organisation conduit à la constitution d’États tentaculaires tendant à la domination mondiale, c’est-à-dire à la prolétarisation de nations et de continents entiers, augmentant ainsi l’opposition générale à ses méthodes.
Dans tous les domaines, s’assemblent les forces qui feront justice du chaos actuel, né de l’ascension au pouvoir des sous-hommes.
Enfin, les races qui constituent l’Etat capitaliste, inaptes au métier des armes et à toute création, doivent confier les laboratoires, les armes et les moyens techniques de la guerre à des hommes qui, lorsqu’ils prendront conscience de leur sujétion actuelle, les retourneront contre elles.

En résumé, le travail, au lieu d’être un honneur et un devoir social, la source de tout revenu, est devenu une servitude pour la plus grande part du peuple. Il se trouve que ce furent les couches les plus aptes à la création que le renversement des valeurs économiques et sociales livra à l’arbitraire des sous-hommes devenus maîtres de la production par le Capital et l’appropriation de l’or.



Naissance d’une conscience de Race
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Mais nul ne peut finalement s’opposer d’une façon permanente aux lois de sa propre race et tout le développement des sociétés actuelles n’est qu’une longue lutte des forces biologiquement saines contre les règles anti-naturelles du Capitalisme. Des luttes de plus en plus violentes s’engagent contre la structure capitaliste du monde et contre sa domination par des sous-hommes. A chaque fois d’ailleurs que les éléments sains d’une race triomphent en quelque point du globe et qu’ils s’opposent à la main-mise capitaliste sur leur pays et à la décadence raciale qui lui donne naissance et qui en découle, le trouble éclate dans tout le monde capitaliste.

Ce dernier rassemble alors toutes ses forces pour briser la résistance qui se fait jour et s’arme pour l’écraser. Or, à chaque tentative nouvelle, la crise du capitalisme est plus grave et son aptitude à la briser moins grande. C’est qu’il a lui-même, par son oppression économique, par la barbarie de ses formes, par la promotion constante des couches racialement de plus en plus inférieures au pouvoir, rejeté dans l’opposition un nombre grandissant d’éléments racialement sains.

Ces derniers prennent conscience du divorce qui existe entre la représentation économique, politique et sociale du capitalisme et les aspirations de leur race. Ainsi l’Etat capitaliste crée progressivement l’armée qui le balaiera.
De moins en moins la couche dirigeante de l’Etat capitaliste a de contacts avec la masse du peuple. De moins en moins, elle représente le peuple qui est rejeté dans l’opposition et dans le combat pour sa propre sauvegarde.
Ainsi l’effort pour l’amélioration de son sort économique va de pair avec la lutte pour l’indépendance politique et pour la protection de la race.

L’exploitation des peuples par le capitalisme international n’étant qu’une conséquence de la lutte des races, le combat des peuples pour l’indépendance nationale et pour la défense de la race entraîne automatiquement au combat pour un nouvel ordre social et économique. Ce combat ne se maintient pas dans les limites de frontières nationales étroites.

L’homme aryen que la tyrannie de l’or a rejeté au ban de la société engage la lutte pour la possession des moyens de production que sa race a créés et cette lutte n’est que partie du combat général qu’il livre pour la survie de sa race.
Le pouvoir de l’or a permis à ceux qui le possédaient d’éliminer des postes de direction économique les hommes racialement supérieurs. Par le jeu des luttes politiques sur le plan national d’abord, sur le plan international ensuite, ce processus d’élimination ne s’est nullement ralenti. Les grands « impérialistes » totalement contrôlés par eux, agissant désormais à l’échelle mondiale, ont prolétarisé non plus seulement le concurrent national mais des nations entières. Ainsi la rupture devient désormais totale entre les groupes ethniques prolétarisés et leurs gouvernements fantoches, agents des impérialismes étrangers.

Là encore, le capital international aux mains des races inférieures crée dès l’abord sa propre contradiction et les armes qui le vaincront. En prolétarisant non plus des couches sociales mais des nations entières, les oppositions entre riches et pauvres s’atténuent progressivement au sein de chaque peuple prolétaire. La conscience d’une communauté d’intérêts se développe et l’alliance des capitalistes nationaux — de moins en moins nombreux — avec les travailleurs nationaux, devient une réalité tangible et une nécessité vitale.

Seule la minorité de capitalistes nationaux qui accepte de se mettre au service du capital international peut survivre un temps : Exactement autant de temps qu’il faudra aux races inférieures pour l’éliminer. Durant ce temps cette étroite couche sociale non seulement deviendra étrangère à la race, à la Nation, mais lui sera ennemie.
L’Etat dans ce cas est non seulement, comme nous l’avons déjà dit, l’organisme de domination d’une couche sociale raciale inférieure sur le plan national, mais encore l’instrument sur le plan international d’un groupe de même espèce ayant conquis un pouvoir mondial.
L’Etat, instrument d’oppression d’une race sur d’autres races est devenu, de plus, l’instrument du groupe racial qu’il représente, aussi sur le plan international.

Au départ la clique dirigeante de l’Etat libéral capitaliste était donc recrutée dans une seule couche raciale et les hommes qui exerçaient le pouvoir furent recrutés dans cette couche. Mais l’affirmation qui la justifiait dans son pouvoir que toutes les races sont égales entraîna une promotion constante des races inférieures. L’élimination de toutes les couches sociales raciales supérieures rejette la presque totalité de la Nation dans l’opposition et désormais l’élite nouvelle de l’opposition se recrute dans toutes les couches demeurées saines de la Nation quelle que soit leur situation de fortune.

L’élite raciale, à ce moment du développement historique est cependant encore dispersée et inorganisée. Elle est constamment conduite à participer aux luttes de ses adversaires. En effet, elle n’a pas complètement pris conscience de l’opposition inconciliable de ses intérêts propres qui sont ceux de la race supérieure, à ceux de la clique des dirigeants, membres de races inférieures.

La mince avant-garde qui prend totalement conscience de ce fait représente les intérêts de la race. Elle s’engage ainsi dans des combats souvent isolés où elle est d’abord régulièrement battue. Mais toutes les luttes et même les luttes au service de ses adversaires entraînent des masses de plus en plus grandes, à se rapprocher d’elle et à mieux prendre conscience des nécessités historiques. L’Etat capitaliste fournit donc à la race qu’il opprime les éléments d’une prise de conscience, qui servent à son émancipation.

Or, au moment où cette opposition de races parviendra à son terme, la décomposition sociale sera totale. Même les éléments qui, par la méconnaissance de la solidarité de race, se plaçaient aux côtés de la clique provisoirement dominante se détacheront d’elle et rejoindront leur propre race.
De plus, les conditions morales d’existence que le capitalisme a imposées par et pour ses dirigeants, sont étrangères à des couches de plus en plus larges de la Nation. L’idée de l’importance de la possession de l’or est remplacée par le sentiment de plus en plus net de la valeur essentielle du travail et de la création, en tant que moyens d’expression d’une race supérieure.

Les valeurs morales de la couche sociale raciale inférieure qui dirige l’Etat capitaliste sont de plus en plus incompréhensibles ou inadmissibles au peuple et une morale nouvelle conforme aux traditions de la race et à ses aspirations se fait jour. Des rapports nouveaux s’établissent entre les membres de la race sur le chemin de son émancipation. Il n’existe plus de morale commune entre les deux groupes.
Dans la mesure enfin où la sujétion des couches raciales les plus saines ne peut se maintenir que par l’action internationale des couches inférieures, le combat d’émancipation des races blanches doit à son tour devenir international ou au moins organiser une coordination internationale de son action.


L’avant-garde raciste
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En délimitant dans ses grandes lignes l’histoire de l’accession des races inférieures au pouvoir, de l’organisation par elles de l’ordre capitaliste d’exploitation de la société, nous avons indiqué quel est le sens des luttes sociales de l’heure présente.
Le combat pour la race la conduit à son émancipation du joug des races inférieures sur le plan politique, et de la domination capitaliste sur le plan économique qui sont les deux formes d’une même sujétion.
La lutte pour la race est une lutte socialiste et la lutte pour le véritable socialisme est un moyen d’atteindre à la libération de la race.

Le régime actuel marche à grands pas vers sa fin. La domination capitaliste a pu fausser pour un instant de l’histoire le processus de la lutte de races, celle-ci ne pourrait être interrompue que par le triomphe définitif de la race supérieure sur toutes les autres.
En tout état de cause, dans le combat gigantesque qui se livre, le rejet à leur véritable rang social des races inférieures et la reprise en mains de ses propres destinées par la race supérieure sont également inévitables.
On peut maintenant se demander quelle attitude prennent les racistes à l’égard de l’ensemble de la Nation et de la Race. Les racistes ne constituent pas et ne peuvent pas constituer un parti politique suivant les notions et les définitions actuellement reçues, notions qui sont celles des races dominantes.

Pour voir quelle place ils occupent dans la Nation, il est bon de donner de cette dernière une définition biologiquement valable.
La Nation ne pourrait être définie que comme l’ensemble de ceux que la communauté de sang a unis en une communauté d’aspirations et d’intérêts. Les Etats modernes ne correspondent aucunement à cette définition. Dans chaque Etat on voit seulement des races en lutte les unes contre les autres et, par le moyen du capital, la domination de l’ensemble de la Nation par les races inférieures et leurs laquais. L’ensemble de la Nation s’oppose aux différents systèmes politiques non nationaux qui l’oppriment.

Les racistes ne peuvent donc avoir d’intérêts différents de ceux de la Nation dans son ensemble ni s’opposer aux différents partis de la Nation en tant que tels mais ils s’opposent à eux chaque fois qu’ils représentent non les aspirations et les besoins de la Nation mais ceux des races inférieures vivant en parasites sur elle.
Ils n’entendent pas par l’affirmation de leurs opinions transformer la Nation tout entière ni imposer leurs conceptions à l’ensemble de ses partis. Mais ils se distinguent de tous par différents aspects de leur activité et de leurs conceptions.
Dans les luttes que mène la Nation ils voient seuls clairement quels sont les intérêts de la race. Ils ne se sentent liés par aucune fidélité formelle au régime qui détient le pouvoir d’Etat aussi longtemps que ce pouvoir n’appartient pas à leur race.

Au cours de la lutte qui oppose la Nation aux couches racialement inférieures, ils représentent toujours les intérêts de la race dans son intégralité.
Ils sont l’avant-garde politique de la Race et par elle de la Nation ; Ils constituent donc sa troupe la plus résolue et qui finalement sera suivie par toutes les organisations.
Sur le plan des principes, ils sont armés d’une théorie claire qui leur permet de définir les conditions du développement de l’histoire et d’analyser les possibilités et les buts de la race. Leur but immédiat est de rendre la conscience à tous les membres d’une race supérieure des obligations et des devoirs que leur confère le fait d’en être membres ; De rassembler toutes leurs forces ; De briser la domination des races inférieures et de leurs systèmes politiques d’oppression sur le monde ; De restituer le pouvoir politique aux chefs de la race.



Le socialisme et le racisme
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Les conceptions du raciste ne sont point des conceptions artificiellement créées pour les nécessités d’un combat électoral ou sur une invention arbitraire. Elles sont le résultat d’une analyse historique précise, suivant les méthodes rigoureuses de la recherche scientifique moderne.
L’évolution des formes politiques de la révolution libérale bourgeoise jusqu’à nos jours n’est pas, selon les racistes, le fait du hasard. L’instauration par des couches sociales raciales inférieures d’un régime particulier économique et politique de domination sur la Nation est un phénomène qui trouve sa place dans l’enchaînement normal de l’histoire.
Quand les racistes proclament leur socialisme, c’est-à-dire leur volonté de modifier les rapports qui lient l’homme à la richesse, ils ne veulent que rendre à la valeur personnelle et raciale sa véritable place.
Ils constatent :
Que l’appropriation et l’utilisation des richesses a pu permettre à des races inférieures d’imposer leur domination à des races supérieures ; Que ces richesses ont été acquises sans travail et que l’éminente dignité du travail est systématiquement niée par elles ; Que la république capitaliste est la force économico-politique qui convient à cette domination.

Ils constatent d’autre part qu’une morale particulière est venue justifier et légitimer cette domination et que les races inférieures actuellement régnantes affirment que cette richesse et leur droit d’en disposer constituent
la base de tout ordre social viable et noble.
Si vraiment cette richesse et le droit d’en user constituent la base légitime de tout pouvoir et en est l’attribut, il est certain que la race supérieure doit la détenir. Si à l’heure actuelle elle ne la détient pas, c’est, ou bien qu’elle a été usurpée, ou bien qu’elle n’est pas le seul critère de valeur mais seulement l’un de ses attributs. De toute manière, l’avant-garde raciste est donc contrainte de réexaminer la légitimité de cette possession, de discuter la notion de propriété et de revendiquer le retour à la Nation des richesses capitalistes ainsi que la fin de la tyrannie de l’or.

La richesse a été le fruit d’un travail et d’une création de la race supérieure et doit par suite, lui faire retour. Seuls le travail et la création en sont la source. Produit de toute la Nation et utilisé par l’ensemble de la Nation, la richesse perdra son importance décisive. Le travail et la création deviendront l’unité de valeur et perdront le caractère de marchandise que leur a imposé le capitalisme. Le travail, honneur, devoir et dignité, doit ouvrir l’accès à tous les avantages du progrès et de la civilisation. En rendant la richesse à la Nation qui l’a créée, est rétabli le droit pour chacun de participer aux avantages matériels que confère cette richesse.

Tel est le sens du socialisme raciste : Tous les membres de la Nation et de la Race associés à des devoirs semblables et associés aux profits que crée l’accomplissement de ces devoirs.
Un tel système n’est possible que par l’expropriation des quelques parasites qui se sont emparés de la richesse et par elle du pouvoir politique. Cela n’est praticable que par la remise à sa place légitime de la minuscule clique de races inférieures qui a usurpé le pouvoir et impose sa domination à la masse de la Nation.
Il est normal alors que cette clique qui dispose de tous les moyens de propagande dénonce aujourd’hui les racistes comme des « monstres » qui menacent tout l’ordre social établi et mettent en cause le « droit des minorités raciales ».

En vérité, les racistes menacent réellement cet ordre social mais s’ils ne nient aucunement le droit à une vie décente des minorités raciales, ils entendent que ne soient pas niés les droits de la majorité. Le « droit » que les antiracistes ont créé de toutes pièces est seulement déterminé par les caractères mêmes de leur race et les conceptions morales qui peuvent en découler et par les conditions de la lutte de race qui les opposent naturellement aux aspirations légitimes des races supérieures.
Cette attitude de défense résolue est celle de toutes les races et cette volonté de revendication et d’agression est aussi celle de toute race supérieure en chemin pour reprendre sa place dominante.


Structure sociale du racisme
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On a proclamé aussi de différents côtés que les racistes menacent la famille et l’autorité de la famille et il a été curieux de constater que ceux qui ont pratiquement détruit la famille par les propagandes néo-malthusiennes, par l’organisation des taudis et de la faim permanente pour la masse du peuple ont soudain résolu de « protéger la famille » contre les racistes.
En réalité, le régime actuel dominé par les races inférieures ne rêvait que restriction et dégénérescence de la famille dans l’ensemble de la Nation. Néo-malthusianisme, avortement, alcoolisme, taudis, mélanges systématiques des sangs sont les moyens habituels dont il use.
En arrachant la jeunesse à l’atmosphère corrompue de la société actuelle, les racistes brisent un certain nombre de servitudes qui étaient légalisées. En réclamant que l’Etat défenseur de la race prenne lui-même en mains la protection de la jeunesse, il ne fait que renverser les rôles.
Dans l’ancien Etat, ce dernier laissait la jeunesse à la famille mais corrompait la famille qui pourrissait la jeunesse. Dans l’État raciste ce dernier prend en mains l’éducation de la jeunesse qui crée ensuite des foyers sains et purs. Les racistes entendent là aussi arracher la jeunesse à l’influence des races inférieures et de leurs conceptions
« morales>>.
Les adversaires des racistes s’indignent aussi en disant que les racistes veulent renvoyer la femme à la cuisine ou en faire une « machine à enfants ». Mais là encore, il semble qu’ils aient voulu fausser toutes les notions communes. Par leur propagande pour l’avortement et l’ « émancipation » des femmes, ils n’ont fait que des détraquées, bêtes à plaisir ou poupées inutiles, jouets aux mains des satrapes du régime. Les racistes, au contraire, entendent leur rendre, avec l’équilibre physique de leur sexe, la dignité de leur rôle social. La femme gardienne du sang, mère de la race et de l’État, source de toute vie dans la Nation, conseillère et guide des générations nouvelles, est arrachée à la futilité malsaine du rôle qu’on lui accorde à l’heure présente.

Par suite de cette attitude générale, c’est aux bases philosophiques de sa conception que s’en prennent ses adversaires les plus conséquents. Depuis un certain temps, tous les hommes qui réfléchissent et qui agissent en quelque mesure ont tendance à admettre que les conceptions et les constructions de l’esprit des hommes — ce que les philosophes appellent « conscience » — sont déterminés par la race et par les nécessités de tous ordres qui s’imposent à la race pour sa défense et sa survie. En effet, la conscience n’est pas seulement déterminée comme le disait Marx par « les conditions de vie, les relations sociales et l’existence sociale » mais par tout cela réagissant sur les aptitudes raciales de l’individu. Placés dans les mêmes conditions de vie et d’existence sociale, deux groupes ethniques différents n’auront pas les mêmes conceptions car leur aptitude à concevoir et analyser le monde extérieur seront différentes.

On peut donc prétendre que les productions intellectuelles et matérielles se sont modifiées à chaque époque d’après les aptitudes particulières de chaque race, réagissant contre le monde extérieur.



« L’immoralité » raciste
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Les idées dominantes ne peuvent être à chaque période historique que celles de la race dominante et les formes sociales ne sont également que celles qui, historiquement, conviennent le mieux au développement et au maintien de la race dominante. Par suite, quand les révolutions se sont déclenchées, elles ont été un des moyens de la lutte de races. Quand une couche sociale raciale a tendu vers le pouvoir, c’est qu’à ce moment précis la race dominante ayant dégénéré et perdu ses forces vives elle n’avait plus les moyens intellectuels et matériels de garantir sa propre défense et sa survie.

Or la « Révolution » n’a, jusqu’ici, été que l’accession de races inférieures au pouvoir, en remplacement de races supérieures dégénérées : Une révolte des « esclaves », ceux-ci étant issus comme nous l’avons vu précédemment de races inférieures vaincues.
Dans ce cas le processus de désagrégation fut toujours le même : Mélange des sangs, accession progressive d’éléments étrangers à la race à des postes décisifs de l’Etat, coïncidant avec l’affaiblissement continu de la race dominante. La race immédiatement inférieure, pour terminer son ascension au pouvoir, s’appuyait sur les races les plus inférieures, puis finalement supplantait complètement la race dominante et la remplaçait. En même temps, elle proclamait une morale ou une religion nouvelle. Le monde antique, aussi longtemps que chaque peuple a préservé la pureté de son sang, a conservé aussi les formes saines de son paganisme. Il a fallu un grand brassage des peuples, les multiples mélanges des sangs, la décadence biologique en un mot pour que les races inférieures pussent introduire dans le corps social désormais moribond l’idéologie qui en consacrait la fin.

Au moment où de nouveaux mélanges causés par les « grandes découvertes » et les campagnes coloniales se sont ajoutés aux saignées successives de races nobles au cours des croisades et des guerres pour modifier le rapport des forces entre races, les idées se transformèrent à nouveau et les notions de « liberté et égalité » firent leur apparition. Il était entendu dans ce cas, et l’expérience le démontre ensuite, qu’il ne s’agissait de « liberté et d’égalité » que pour les membres d’une même couche, que pour la race parvenant à la domination.
Ainsi la révolution démocratique bourgeoise n’a été que la promotion de certaines races. La race qui accédait au pouvoir, imposait les notions d’égalité et de liberté qui lui étaient propres et qui lui étaient favorables.
Quand on dit des racistes qu’ils sont immoraux, qu’ils nient certaines respectabilités, qu’ils sont antireligieux ou toute sorte d’autres choses de ce genre, les racistes demandent :
En vérité, vous nous dites immoraux, mais par • rapport à quelle morale ?

Irreligieux par rapport à quelle religion ?•

Et irrespectueux à l’égard de quelles valeurs ?•

Vraiment, nous ne combattons pas n’importe quelle morale, mais celle d’une société abâtardie et qui fait tout pour augmenter la dégénérescence de ses membres. Nous ne sommes pas irreligieux à l’égard de toute religion, mais nous n’acceptons pas de servir des dieux étrangers et des idoles étrusques.

Nous ne respectons aucune des valeurs de décadence que les dominateurs actuels ont érigées en principe et en dogmes. Au contraire, nous les foulons aux pieds. Mais nous révérons des principes qui ont nom : Race et Sang, Sol et Nation, Travail créateur, Discipline, Honneur, Fidélité et Camaraderie.

Telles sont les réponses que peuvent faire les racistes aux objections et aux critiques morales de leurs adversaires. Mais il est une réponse plus importante qu’ils pourraient opposer à l’ensemble de ces calomnies.


Une réorganisation du monde
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En réalité, depuis l’aurore du monde, à l’exception peut-être de la toute première tribu primitive, toutes les sociétés ont juridiquement consacré la domination de races inférieures par d’autres qui leur étaient supérieures.
La sujétion d’une race supérieure par un groupe ethnique allogène n’apparaît que comme un accident tout momentané et qui porte en lui-même sa propre contradiction.
La révolution raciste entend rompre avec cet ordre de choses. Elle apporte une série de notions nouvelles et d’abord la prise de conscience de l’inégalité des races. Elle affirme en même temps le droit pour chaque race de se réaliser dans le cadre de ses aptitudes et des ses possibilités créatrices. De là découle, non une absence de morale mais une nouvelle notion morale et une conception différente du monde basée sur la hiérarchie des races dans le monde. Il en découle aussi l’idée d’une ségrégation absolue à l’échelon mondial comme à l’échelon de la Nation.

Selon le raciste qui appuie sa position sur l’examen scientifique de l’histoire, la lutte des races doit aller en dépérissant au sein de chaque nation et se transposer sur le plan mondial. Elle doit s’atténuer sur ce plan également dans la mesure où chacune acceptera une discipline commune dans le cadre d’une nouvelle organisation du monde.

Si l’on admet avec nous que toute la morale sociale n’a, des origines à nos jours, été que la justification de la domination d’une race sur les autres, on comprendra que du jour où la ségrégation aura placé chacune à son rang et dans son domaine géographique, les notions de la morale sociale seront également entièrement modifiées : La lutte des races aura disparu au sein de chaque société.

Le développement rapide des possibilités techniques, en libérant de plus en plus l’homme du travail servile et en lui accordant plus de loisirs — qu’il pourrait consacrer à l’étude et au développement de ses aptitudes — doit permettre, au sein de chaque groupe ethnique une meilleure répartition du travail, des responsabilités et du profit puis faire disparaître l’opposition entre riches et pauvres, plaie des sociétés primitives.

Cette réorganisation entièrement révolutionnaire du monde n’est réalisable que par la prise de conscience de ses responsabilités par la race supérieure et ce, non au sein d’une seule nation mais à l’échelle des Continents entiers. Elle n’est possible que par la reprise en mains du pouvoir politique par la race supérieure.

Cependant, il est évident que cette prise de conscience n’est pas le fait de la race dans son entier aussi longtemps que le régime politique lui-même n’a pas été transformé de fond en comble. Elle est donc le fait d’une avant-garde
dont nous avons déjà défini le sens et qui sera l’état-major véritable de la révolution raciste.


La dictature de la Race
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De là découle un problème précis de direction politique : Les couches sociales-raciales inférieures chassées violemment des positions qu’une transformation historique leur a permis provisoirement d’acquérir, n’accepteront sans doute pas de gaîté de coeur cette expulsion. On peut supposer que durant plusieurs années des résistances désespérées de leur part se déclencheront sporadiquement. Le régime instauré par l’avant-garde révolutionnaire de la Race sera, donc un régime fort et puissamment préparé à vaincre toutes les forces de la réaction déchaînées contre les forces progressives.

Nous avons déjà vu que l’Etat est historiquement un moyen d’oppression d’une race sur d’autres races. La race supérieure devra utiliser pendant une période plus ou moins longue l’Etat pour ses buts propres qui coïncident exactement avec les nécessités du progrès humain. Cet Etat devra briser par la violence tout ce qui s’opposerait au pouvoir de la race supérieure instauré sans partage. Il devra écarter radicalement des espaces appartenant traditionnellement aux races supérieures tous les éléments de races inférieures et veiller à leur réintégration dans leurs espaces d’origine.

A la place de la société racialement divisée apparaîtra donc une société racialement unie et puissamment centralisée. A cause de la solidarité qui liera tous ses membres dans l’unité retrouvée du sang et du sol, se bâtira un socialisme de type nouveau, unitaire et raciste.
Enfin, les antagonismes primitifs ayant disparu au moyen de l’unité au sein de la race, l’Etat, moyen d’oppression, dépérira pour faire place à un simple appareil de direction et d’administration que le socialisme a toujours rêvé mais que, faute de connaître suffisamment les lois du développement historique, il a seulement souhaité et cherché sans le découvrir.

C’est ainsi que sera garanti le libre développement de chacun dans une société construite pour l’homme et pour la défense, le progrès et la protection des valeurs humaines.
En conséquence, on peut admettre que les premières mesures préconisées par les racistes dans les pays occidentaux seront :

Sur le plan biologique :
— Lois de protection de la race et ségrégation ;
— Retour des allogènes dans leurs pays d’origine ;
— Organisation sanitaire et protection des jeunes, de la mère et de l’enfant ;
— Protection et garantie du Travail.

Sur le plan économique :
— Retour à la Nation des moyens de production dont elle est arbitrairement frustrée ;
— Planification de la production et gestion de l’économie par les syndicats professionnels ;
— Politique de l’habitat et des salaires conçus non comme des moyens d’entretenir seulement la force de travail mais comme des moyens de développer une race saine et forte.

Sur le plan culturel :
— Admission de tous aux possibilités de la culture sans distinction d’origine sociale. Étude popularisée des connaissances biologiques et ethnologiques, base d’une conception scientifique de l’histoire du monde et du socialisme.

Sur le plan politique :
— Organisation d’un parti fort, avant-garde et état-major de la race ;
— Pour un régime fort mandataire de la race ;
— Création d’une société socialiste et raciste.


Le racisme primitif et le racisme scientifique
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Pendant longtemps les connaissances scientifiques ont été si restreintes que seul l’instinct de la race pût présider à la prise de conscience raciale. Jusqu’au moment où les connaissances biologiques et anthropologiques eurent frayé la voie à une politique raciste, scientifiquement fondée, il ne fut qu’un réflexe instinctif de défense. Le racisme primitif n’est donc pas différent du réflexe qui pousse le chien à poursuivre le chat, ou le lion à chasser l’antilope.
Dans la période qui suit immédiatement les grandes découvertes, la littérature raciste ne fut pas sensiblement différente de ce qu’elle avait été dans l’antiquité. Pamphlets économiques ou religieux, aucun ne sut placer le problème sur le terrain d’une analyse scientifique de l’histoire.

Ce n’est que l’apparition des « révolutions démocratiques » qui commença d’imprimer un caractère un peu différent à la littérature raciste.
La féodalité s’était imposée au monde comme le pouvoir d’une mince couche raciale supérieure et pendant tout le temps de sa domination, les écrits n’eurent pour but que de justifier son pouvoir ou de l’affermir sur les vaincus de la veille.

La « Révolution démocratique » ayant modifié les rapports de races, les féodaux écartés du pouvoir inspirèrent une nouvelle sorte de littérature raciste.
Ils ne comprirent pas que leur éviction du pouvoir était dûe plus à la perte de substance de leur race qu’aux possibilités réelles du groupe accédant au gouvernement politique et économique. Ils continuèrent donc d’affirmer avec beaucoup de constance la supériorité raciale de leur groupe et des institutions qu’il avait créées mais ne cherchèrent en aucun cas à susciter une nouvelle élite raciale. Cramponnés au passé, niant la dégénérescence de leur groupe, ils ne pouvaient ni prévoir, ni préparer, ni organiser l’avenir.

Les coups très réels qu’ils portaient au régime nouveau n’étaient donc pas, comme trop souvent on l’a cru, d’un appui sérieux pour la race supérieure mais bien au contraire une sorte de justification indirecte de la domination des autres.
Quand ils critiquent le caractère antiraciste et anti-naturel de la société actuelle, ils ne le font que poussés par un dépit impuissant et s’accommodent finalement assez bien du nouvel état de choses. Les mariages mixtes, les associations contre nature de leurs membres avec des individus de race inférieure sont la preuve du peu de consistance de leurs théories.

Finalement ils redoutent plus encore la montée d’une nouvelle élite raciale qui ferait d’un seul coup justice du régime de race actuel et de leurs propres prétentions, que la perpétuation de ce régime.


Le Racisme littéraire
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Les premières études d’anthropologie, les premières tentatives pour donner aux études de l’histoire de l’homme une base scientifique découvrirent à quelques esprits des horizons nouveaux. Cependant, perdant de vue le fait historique réel, ils oublièrent que dès les temps les plus reculés il n’existait déjà plus de races pures. Ils tendirent à poétiser un type déjà disparu à l’époque préhistorique. Ainsi pouvons-nous dire de Gobineau que s’il conserve le mérite éminent d’avoir, le premier, systématisé l’étude de l’inégalité des races humaines, il a néanmoins manqué son but.
En effet, les études biologiques et anthropologiques n’en étaient à son époque qu’à leurs premiers balbutiements et ne pouvaient suffisamment étayer sa thèse pour en faire sortir une théorie scientifique de l’histoire.
Son « Aryen », personnage purement mythique, est sans aucun doute proche du type révélé par les connaissances scientifiques comme ayant fourni son caractère à l’Occident européen, mais ce n’est qu’une création de l’esprit, un symbole littéraire. Naturellement, il ne pouvait être question pour une telle littérature de fournir des conclusions politiques précises et de fournir des armes pour un combat raciste.
Nous dirons de même de Chamberlain qui, cependant, commence de donner à ses écrits un début de justification scientifique : À aucun moment, il ne parvient à une conception raciste du monde et à aucun moment il ne parvient à extraire de ses exposés une philosophie de l’histoire.


De tels théoriciens, ne pouvait naître qu’une méthode politique purement réactionnaire. C’est effectivement ce qui se produisit. Loin de tendre à une sélection des meilleurs éléments raciaux en dépassant le plan étroitement national artificiellement créé, ils se sont maintenus dans le cadre d’une simple critique sentimentale.


Le Racisme scientifique
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Les fondateurs du racisme scientifique n’apparurent que vers la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Encore les groupes dominants organisèrent-ils le silence autour de leurs oeuvres. De plus, la pression du milieu les empêcha souvent de parvenir à une conception claire et entière du problème.

Le plus conséquent d’entre eux est sans doute Vacher de Lapouge qui, joignant à la qualité de professeur d’anthropologie celle de membre du parti ouvrier, jeta les bases d’une étude raciste de l’histoire et analysa systématiquement les conséquences sociales et politiques de l’opposition des races.

Cette première tentative lui permit d’établir de façon précise un certain nombre de lois du développement social et de la répartition en « classes ». Ces lois telles qu’il les présente sont les suivantes :

— « L’homme n’est pas un être à part, ses actions sont soumises au déterminisme de l’Univers. – Les sociétés n’évoluent pas au hasard, les lois de leur évolution sont complexes, à peine connues et difficiles à connaître mais aussi nécessaires que celles du mouvement de l’atmosphère. – Le surnaturel est exclu de la vie humaine et sociale.

— « L’âme et le corps sont un, les phénomènes psychiques étant fonction du cerveau – l’âme est donc héritée comme le corps – la psychologie individuelle est sous la dépendance des ancêtres. – Une inégalité fondamentale des individus résulte de la différence de naissance. L’inégalité de la naissance est la seule qui ne puisse être réparée. – Les effets de l’éducation sont essentiellement conditionnés par l’hérédité. Ils sont intransmissibles. – L’éducation peut farder l’individu, rien ne passe de ce mensonge par la génération.

— « On n’entre par décret ni dans une famille ni dans une nation. – Le sang que l’on apporte dans ses veines en naissant, on le garde toute sa vie. – L’individu est écrasé par sa race et n’est rien. – La race, la Nation sont tout…

— « La liberté, si elle existe, est étroitement limitée 1° par l’hérédité ; 2° par le milieu. – L’action de la volonté sur l’évolution sociale est donc restreinte. – L’évolution sociale est dominée par la sélection.

— « L’évolution a deux caractères généraux : 1° spécialisation et inégalité croissante ; 2° interdépendance croissante, la réaction des actes de chaque individu tendant à intéresser l’humanité entière. Sans cesse, l’individu devient moins libre… »

Sa conclusion est celle-ci :
« Déjà, libéraux, socialistes, anarchistes, traitent les darwinistes de barbares! Soit! Voici les barbares qui viennent, les assiégeants deviennent assiégés et leur dernier espoir est de s’enfermer eux-mêmes dans la citadelle qu’ils attaquaient. L’avenir prochain montrera à nos fils ce curieux spectacle, les théoriciens de la fausse démocratie contraints de se renfermer dans la citadelle du cléricalisme. »

La rigueur scientifique de Lapouge et sa volonté d’établir scientifiquement les lois du développement social et des rapports entre sociétés ne le conduisit pourtant pas à adopter une méthode aussi rigoureuse sur le plan philosophique et surtout il ne parvint pas encore à ébaucher une philosophie de l’histoire en partant des lois qu’il avait reconnues.
Le champ fut ouvert derechef, pour une nouvelle tentative d’« idéalisation » de la théorie de la lutte des races et de l’analyse historique qui en découle. Une nouvelle école raciste apparut. Elle ne parvint pas à appliquer les méthodes scientifiques acceptées dans le domaine biologique aux phénomènes historiques et sociaux.

Ce fut le fait de Rosenberg qui, s’appuyant sur la philosophie de Schopenhauer au lieu de s’appuyer sur celle des Hegeliens de gauche, se priva de la seule méthode qui pût transposer dans le domaine social les découvertes scientifiques modernes et fournir une théorie historique rigoureuse, base de toute action politique cohérente.
En fin de compte, Alfred Rosenberg dut se réfugier dans le mysticisme et faire appel aux théologiens du moyen-âge et notamment à maître Eckhart. Malgré la valeur littéraire de ses écrits et leur élévation de pensée, ils rompaient avec la réalité historique, et avec la réalité matérielle du monde.

Il appartenait aux Français de réagir, à nouveau contre cette tendance et d’assurer enfin la synthèse du socialisme scientifique des hégéliens de gauche et du racisme scientifique. Déjà le Français Walter Darré, qui devint ministre de l’Agriculture du IIIe Reich, reprenait le problème à son début dans ses deux ouvrages : «La Paysannerie » et « La Race » et il parvenait à la conclusion que d’une manière réfléchie et organisée il était possible de sélectionner pour l’avenir une nouvelle élite née du sang et du sol. Sa critique encore empirique ne parvenait pas à dégager complètement une philosophie de l’histoire, sauf sans doute dans son étude sur Rathenau qui lui fait au moins entrevoir toute l’étendue du problème. Après lui la voie était libre pour un nouveau progrès.

C’était la dernière tentative de ne pas rompre radicalement et totalement avec des méthodes périmées d’analyse appartenant à une époque historique révolue et pour conserver les systèmes philosophiques propres à un monde que domine encore partiellement l’ignorance des couches raciales inférieures.
Les racistes d’aujourd’hui repoussent toute méthode empirique d’analyse. Ils définissent la science comme l’appropriation par une race des forces de la nature. Cette appropriation appelle une connaissance de plus en plus poussée des lois objectives de l’évolution naturelle.

Dans ce cas, il ne s’agit aucunement de justifier telle ou telle domination comme le fait la « science » réactionnaire, mais d’élaborer et d’expérimenter constamment la vérité des découvertes nouvelles en les appliquant à la société humaine comme à l’ensemble des êtres vivants et des objets.

Cette analyse dialectique lie donc étroitement les racistes à la réalité objective et aux intérêts permanents de
leur race. C’est pourquoi encore les racistes combattent en même temps pour ses buts les plus lointains mais encore pour ses intérêts immédiats. Ils sont l’avant-garde et l’expression historique de la race.
Ils ne peuvent renoncer à aucun moyen propre à éveiller chez les hommes qui en sont membres la conscience des oppositions violentes qui dressent depuis des millénaires les espèces les unes contre les autres et les lois qui régissent cette opposition.

Ils sont prêts à appuyer tout mouvement révolutionnaire contre l’ordre social et politique actuel, consécration d’une exploitation de la société aryenne par des races inférieures.
Mais dans ces mouvements, ils placent au premier plan de leur propagande le problème de la race comme déterminant tous les autres.

Enfin, les racistes, désormais, publient ouvertement leur but qui est le renversement de tout l’ordre social du passé et l’affirmation de la suprématie de leur race dans le domaine politique, couronnement de sa suprématie dans les domaines de la science, de la connaissance et de la civilisation humaines.

Le chemin pour le parti de la révolution raciste est ouvert ; L’arme idéologique de son accomplissement est forgée, les peuples qui mèneront cette révolution sont prêts à la saisir. Il reste à créer le parti qui en sera l’avant-garde et la conscience.

En avant donc, le moment est venu où les nations prolétariennes, où le monde aryen, où l’homme blanc vont secouer leurs chaînes.

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