LE RACISTE LA MORALE ET LA LIBERTÉ
Nous avons dit d’autre part que ce n’est pas par instants, mais constamment, que le socialiste raciste demeurait fidèle à son idéal et à sa conception du monde. Sa vie tout entière est conditionnée par une attitude prise à l’égard du peuple et de la race, en raison de l’appartenance à une race particulière.
Par suite cette attitude ne peut être superficiellement bornée à la participation à une réunion, mais dans la mesure où sa prise de conscience de la réalité raciale éveille en lui un orgueil et une foi profonde elle devient une attitude constante. Elle modèle sa vie en tout temps.
Quand, du parti, il rentre dans la vie de tous les jours, quand il va se retrouver en contact avec une masse qui n’a pas pris conscience encore de cette vérité qui le transporte, lui, et le soulève, il ne pensera pas, ainsi que fait le militant d’un autre parti, que son travail est fini. Il ne supposera pas qu’il peut vivre ‘‘ comme tout le monde ’’ et passer inaperçu. Au contraire, son travail débute à ce moment. Il a saisi des arguments nouveaux et son contact avec son parti, avec ses camarades, lui a infusé une nouvelle ardeur ; Il va retourner plus franchement au service de son peuple.
Le raciste ressentira dans sa vie personnelle l’orgueil d’appartenir à une telle race, de maintenir et d’élever toujours plus cette dignité, cette noblesse qui est la sienne. Dans la vie collective en même temps il fera respecter cette dignité, cette noblesse, cet ‘‘ honneur ’’ chez lui-même d’abord, dans son peuple ensuite. Il poussera ses compatriotes à en prendre directement conscience. La dignité de la race est une réalité permanente, et non une affirmation de réunion et il ne peut y avoir d’éclipse dans ses manifestations.
Celui qui appartient à une race de civilisateurs, de conquérants, de législateurs, ne peut agir en tout temps que comme un civilisateur et un conquérant et non comme un sujet servile !
Le raciste exclut absolument de sa pensée et de sa conception la notion d’un parti qui ferait des ‘‘ membres honoraires ‘’, se contentant d’avoir une carte en poche et de régler une cotisation sans que l’adhésion les engage à autre chose qu’à cet effort symbolique ou platement matériel.
Pour lui, le manoeuvre qui a donné son adhésion totale et a modifié profondément son genre de vie, en prenant conscience de sa dignité raciale, est plus noble et plus près de la réalité saine du peuple que le fils d’une famille titrée qui se contenterait d’une adhésion de forme. Un seul critère : On est ou on n’est pas digne de sa race et de son peuple, et l’origine sociale n’y est pour rien !
Un seul domaine d’action est ouvert à tous pour permettre à chacun de manifester sa véritable ‘‘ noblesse ‘’ : Le peuple avec toutes ses revendications, ses besoins, et la libération
qu’il attend. Ainsi, chacun où il se trouve, à l’école, à l’usine, aux champs, au bureau, qu’il soit directeur ou simple manoeuvre, ne doit voir qu’un but, ne doit connaître qu’un idéal : Servir sa race et son peuple, oeuvrer à son élévation, à sa libération, à la prise de conscience de sa dignité et de sa destinée. Nous ne nions en aucune façon que certaines positions sociales empêchent quelques-uns, pour un temps, de donner toute leur mesure, mais ce que nous voulons surtout affirmer c’est qu’aucune position ne peut excuser l’indifférence ou la tiédeur. Il est toujours une façon de contribuer ‘‘ au maximum ’’ à l’affranchissement du peuple et de la race, au développement du parti.
Il n’y a aucun domaine qui puisse échapper à la détermination par la race et celui qui ne conduit pas son action en tenant compte de la loi raciale a trahi les intérêts de son propre peuple et de sa propre destinée.
Que personne ne songe alors qu’il est une tâche au-dessous de sa destinée si cette tâche est au service du peuple et de la race. L’activité la plus humble aujourd’hui est peut-être celle qui sera la plus riche de conséquences en amenant un homme de plus au parti. Qui sait en effet si cet homme ne sera pas celui qui libérera le peuple et la race ?
Ainsi cette prise de position est totalitaire, unitaire, et détermine tous les actes de la vie du raciste, et particulièrement ses obligations envers le parti que volontairement il déclare illimitées.
Mais puisque cette adhésion pénètre dans .tous les domaines, il y aura donc une morale socialiste raciste ? Oui et c’est ce que nous ne cessons de répéter. La morale en effet n’est pas une création artificielle d’esprits maniaques, mais elle prend ses racines dans les observations des tout premiers hommes qui eurent à vivre en société. Déjà la famille primitive, puis la tribu et le clan, la cité enfin eurent leur morale qui fut toujours groupée pour une même race autour de principes constants à travers l’histoire de cette race. De même que le cannibalisme ou le sacrifice humain appartiennent aux races asiatiques ou africaines, de même le refus des sacrifices humains et le respect du corps appartiennent aux races blanches : Rama lui-même n’est-il pas assassiné par les prêtresses noires à cause de son refus des sacrifices humains ? La préoccupation d’obéir à l’impératif de la race amènera le socialiste raciste à refuser en toute occasion certaines attitudes, certaines manières de vivre, comme contraires aux traditions et plus encore à la santé de la race.
À côté de la dépravation et du relâchement que propagent avec tant d’acharnement les races étrangères à l’Europe et ceux qui ont été pourris par leur contact, le raciste adopte tous les impératifs de la morale traditionnelle de notre race. Il est caractéristique d’ailleurs que les notions de vertu aient été sensiblement les mêmes chez les Grecs et les Romains à leurs meilleures époques, chez les Germains et dans toutes les sociétés occidentales. Par suite les notions morales essentielles seront faciles à connaître et à retrouver, et la notion de ‘‘ péché ’’ ne lui sera pas inconnue ! ‘‘ P Péché ’’ contre la race tout ce qui intellectuellement, moralement, physiquement, peut nuire au développement, à la santé ou à la dignité de la race.
Il obéira donc encore à cette loi morale traditionnelle non parce qu’elle lui est imposée par un système métaphysique quelconque, mais bien parce que dans son esprit il aura à chaque instant reconnu que se conduire différemment serait causer un préjudice à la race et à lui-même. Ce ne sera pas une discipline imposée de l’extérieur, mais également la prise de conscience permanente d’une nécessité à laquelle on ne peut se soustraire sans souiller sa race, sans porter atteinte à sa dignité. Il repoussera de même toute hypocrisie formelle car le jugement ne viendra pas de l’extérieur mais de sa propre appréciation.
Personne ne lui demandera de comptes ou n’aura besoin de lui en demander pour qu’il sache qu’agir contrairement aux principes éprouvés de la tradition raciale est contraire à sa propre dignité. Son propre jugement devra lui devenir suffisant pour qu’il se refuse à se mépriser lui-même à la suite d’une action indigne de la race ou nuisible à son développement. Le jugement du parti ou du peuple n’interviendra qu’ensuite.
Seul le contact intellectuel permanent avec l’esprit de son peuple et de sa race permettra à chacun de parvenir sans effort à cette attitude. Il est remarquable encore que le socialisme sémitique marxiste en faisant de l’homme une seule unité économique ne pouvait répondre comme nous à ces questions. Une classe privée de son support populaire et racial, niant toute tradition antérieure, refusant tout héritage historique autre qu’économique, ne pouvait avoir à sa disposition aucune règle morale ni même aucun concept moral.
Seul le raciste, en voyant dans les ‘‘ rapports de classes ’’ actuels un accident momentané qui ne peut l’empêcher, en même temps qu’il y remédiera, de demeurer lié au devenir de sa race et de son peuple, a surmonté aussi cette contradiction et cette faiblesse ; Il l’a fait en se rattachant par delà les siècles et à travers eux, à toutes les sources spirituelles et philosophiques de la race.
C’est ce qui fait le caractère populaire et accessible à tous, de la conception morale du raciste, son caractère unitaire puisque quiconque peut s’y reconnaître, quel que soit son degré de religiosité. C’est aussi ce qui permet au raciste d’admettre toutes les pratiques religieuses dans la mesure où elles ne débordent pas de leur cadre spirituel et moral, c’est-à-dire dans la seule mesure où elles ne nuisent pas au développement harmonieux du peuple et de la race.
Ainsi le parti, différent des autres partis politiques, se refuse autant à la neutralité morale qu’à l’attitude confessionnelle. Alors que les uns proclament leur athéisme ou leur matérialisme absolus, que les autres se déclarent rattachés au catholicisme ou simplement ‘‘ indifférents ’’ considérant que la morale est un problème d’ordre privé, le parti socialiste raciste au contraire, de par sa conception unitaire du monde ne reste pas neutre en face de ce problème et le résout, mais ne peut se heurter à aucune des confessions européennes puisque sa seule revendication est le ‘‘ contact ’’ avec l’esprit de la race.
Il est hautement probable par contre, que sa conception morale se heurtera à toutes les religions asiatiques et sémitiques faites de résignation, de démission, de fatalisme et d’inertie. Notre morale est de lutte, notre morale est de conquête, notre morale est de défense de la race. Nous ne disons pas, pastichant la phrase de Lénine, ‘‘ E Est moral tout ce qui sert la race ’’ encore que cette conception puisse être proche de la nôtre, mais nous disons : ‘‘ Est moral tout ce qui affirme l’homme et qui l’aide à se réaliser complètement ; Qui l’aide à se surmonter pour lui permettre de créer des valeurs et des notions nouvelles ‘’. Ainsi l’homme en se surmontant, en créant des valeurs et des notions nouvelles pour lui-même, les créera aussi pour son parti, pour son peuple et pour sa race. Celui-là seul qui n’a rien créé cèle son trésor, mais celui qui crée jette ce qu’il a créé sur la place publique.
Celui qui crée se détourne de sa création pour la dépasser, pour la surpasser et pour créer autre chose au-delà de sa création. Dès lors elle peut être sur la place publique, car il va vers sa nouvelle oeuvre et vers un nouveau dépassement. Voilà l’homme que demande le parti et voilà l’homme qu’il entend aider à se créer. Que les faibles et les partisans des pâles vertus se détournent de nous car notre morale n’est pas la leur ! Que les partisans du nivellement se détournent aussi car notre morale n’est pas la leur ! Que les modestes s’écartent car notre orgueil les ferait périr !
On a longtemps reproché aux socialistes leur anarchisme, leur désordre, leur impuissance et il semble bien qu’en ceci on ait eu en vue seulement les grandes organisations du socialisme sémitique marxiste. Dans son impuissance à se rattacher à une tradition populaire et raciale il s’efforçait de tout détruire et repoussait comme périmée toute notion qui ne vînt pas de sa propre méthode. D’autre part n’ayant à continuer aucun passé il se voyait impuissant à donner à l’avenir un autre contenu qu’économique.
Du jour au contraire où le socialiste conserve sur le plan social l’intégralité de ses revendications mais où il sait se rattacher à toute la tradition vivante de son peuple, il n’est plus possible de lui opposer cette objection. Cessant de se rebeller, il se soumet entièrement à la notion d’organisation qu’une analyse conséquente des formules traditionnelles de sa race lui indique comme la plus appropriée. Il découvre que les conceptions qu’il considérait comme originales sur le plan social sont au contraire simplement habituelles à sa race et qu’elles furent appliquées à chaque fois qu’une réaction de défense de la race conduisait celle-ci à prendre plus nettement conscience de ses destinées.
En acceptant socialement cette discipline raciale, il l’accepte aussi moralement et modifie d’autant sa manière d’être. Acceptant le matérialisme historique comme méthode d’analyse et d’investigation, cette méthode même, remise sur ses pieds lui fournit l’occasion de se créer moralement un idéal absolu extrêmement ferme. Cette synthèse résout pour lui ce qui jusqu’à ce jour demeurait difficilement conciliable d’un sentiment qui le poussait idéalement vers son peuple et d’une théorie qui s’opposait à tout idéal.
Enfin ceux que le mythe de la division d’un même peuple en classes antagonistes et inconciliables pouvait tromper, constatent que si cette division existe bien, par instants, elle n’est pas de caractère permanent ou inéluctable. Le rétablissement d’une conscience raciale dans un peuple uni doit grâce à l’arbitrage d’un parti et d’un gouvernement forts, résoudre au mieux ce qui n’est, au plus, que querelle d’intérêts, au sein d’une même famille.
E
nfin et il s’agit là du problème contraire, il lui semblait qu’en abandonnant son attitude ‘‘ marxiste ’’ il renonçait à une ‘‘ liberté ’’ certaine. Il constate qu’en fait, la liberté est le droit pour chacun de réaliser entièrement ses facultés et ses dons naturels. La seule liberté possible est celle où chacun accomplissant tous ses devoirs à l’égard de tous, reçoit par là même une somme de possibilités qu’aucun autre régime ne peut lui garantir. Il est tout surpris, en définitive, de constater que la liberté est seulement une somme de devoirs et non l’affirmation d’une série de droits. L’accomplissement des devoirs crée des droits, la revendication de droits crée seulement l’irresponsabilité et l’anarchie.
Naturellement les conditions dans lesquelles le socialisme moderne est né ont influé sur l’attitude individuelle du socialiste et en ont fait souvent un révolté autant qu’un révolutionnaire ; Quelquefois un révolté en même temps timoré. C’est que la Révolution d’inspiration juive de 1789 en même temps qu’elle permettait aux sémites de prendre en mains les leviers politiques du pays la révolution bourgeoise d’inspiration maçonnique eut lieu dans les autres pays d’Europe à d’autres moments mais à peu près dans les mêmes conditions portait interdiction de s’unir et de s’associer à toutes les catégories travailleuses du peuple.
Par suite les organisations socialistes et syndicalistes furent dès l’abord clandestines et pourchassées. Cet héritage de souffrances et de difficultés sans nombre, ne pouvait que donner au socialiste révolutionnaire une attitude anarchique. En même temps son organisation prenait souvent des formes appropriées à cet état de choses et non au socialisme et à l’union de toutes les couches du peuple autour d’un programme social commun. Il en est résulté que le socialiste a été dès le début plus ‘‘ contre ’’ tout l’ordre existant que de mentalité constructive. Ce n’est que peu à peu qu’il parvint à une attitude constructive. Dans les pays où le socialisme n’a pas été persécuté il a pris un autre visage (Angleterre, États-Unis, Allemagne), ce qui démontre amplement cette affirmation.
Toutefois, ce que nous notions plus haut de son ignorance du fait racial le rendait incapable de réaliser l’unité du peuple ou même de constituer un programme social et politique réalisable. Cette ignorance est due au fait que très vite les Juifs s’emparèrent du socialisme et en revendiquèrent le monopole et la direction. Ainsi fut masquée la réalité que le peuple était divisé et pressuré par la Banque à majorité juive et l’État dans lequel les Juifs gardaient la haute main.
On propagea la notion que le ‘‘ capital ’’ pris en bloc était seul responsable de cet état de choses, alors que les méthodes juives ou imposées par les juifs étaient réellement à l’origine de cette ‘‘ division en classes ‘‘. Que l’égoïsme inévitable de certains non-Juifs ait permis un développement plus rapide encore de cette erreur et sa perpétuation, n’en laisse pas moins subsister le fait que souvent, les capitalistes non juifs s’efforcèrent de pallier les inégalités flagrantes. Dans la confusion et avec une prudence que seule explique leur position sociale, ils tentèrent d’énoncer des théories sociales (paternalisme ou autre). Ainsi, quelle qu’ait été leur position : Capitalistes ou prolétaires, les non-Juifs posaient et tentaient de résoudre le problème social, cependant que les internationales juives tentaient de s’opposer à toute solution viable ne les portant pas au pouvoir et ne garantissant pas leur exploitation sur les peuples. Que le socialiste tiraillé entre ces diverses tendances ait eu une position désordonnée s’explique donc parfaitement.
Il devait être donné seulement aux socialistes racistes de résoudre ces contradictions et ces oppositions en indiquant quel est le principe d’union et d’élaboration d’une théorie socialiste, en soulignant l’importance primordiale de la race dans le destin des peuples et dans la naissance de leurs théories sociales, politiques et de gouvernement.
L’ignorance de cette loi fondamentale avait conduit à la révolte, à la négation, à l’anarchie, dans les théories et mouvements socialistes. La découverte et l’acceptation de cette loi doit rétablir l’unité. Le véritable socialiste a toujours parlé de l’unité, sans en découvrir le moyen. Sa conscience fut toujours déchirée entre la soif d’unité qu’il souhaitait pour son organisation et son peuple, et les obligations antiunitaires d’une théorie qui leur était étrangère.
Le socialisme raciste a résolu d’une manière entièrement responsable et cohérente la question de l’unité en même temps que celle de l’acceptation des normes socialistes non par une ‘‘ classe ’’ mais par les trois classes du peuple : Ouvriers, paysans, intellectuels. Il restitue toute sa valeur à la notion d’autorité et de hiérarchie qui était devenue étrangère au socialisme, malgré ses protestations contraires. Si les trois parties vivantes d’un peuple se trouvent d’accord sur le principe d’une réorganisation sociale unitaire, il va sans dire que la hiérarchisation des valeurs en découle. La contradiction mortelle du socialisme sémitique qui devait, pour maintenir la ‘‘ dictature du prolétariat ‘’, faire appel à des ‘‘ étrangers à la classe au pouvoir ‘’, se trouve réduite à néant. Le socialisme appartient à tous, chacun y trouve sa place et chacun s’y trouve à sa place. Si des querelles de familles éclataient encore parfois, le parti et l’État, arbitres du peuple parce qu’élites du peuple et de la race, sauraient les résoudre et les apaiser.
La loi n’est donc pour le socialiste raciste ni le résultat d’un sursaut politique provisoire d’une clique au pouvoir, ni la manifestation de l’intérêt d’une classe, mais la règle légitime et permanente, inspirée par les intérêts supérieurs du peuple et de la race, par la défense, la protection et le développement du peuple et de la race. L’autorité qu’il accepte de subir comme une loi morale à laquelle il obéit spontanément dans la conduite de sa vie personnelle, il la retrouve dans l’esprit des lois de l’État. Loin de lui paraître une loi qu’on ne respecte que par la seule ‘‘ peur du gendarme ‘’, elle est la règle volontairement admise ‘‘ parce qu’il n’en peut être de meilleure ’’ pour lui-même et son peuple dans l’état de développement particulier où ils se trouvent. Ainsi sont réunies les conditions d’une liberté aussi complète qu’elle est possible dans la vie en société ainsi que de la discipline la plus librement acceptée pour le bien commun.
Le socialiste raciste se réjouit de voir cette unité de la discipline et de la liberté réunies aussi facilement et de retrouver entière sa responsabilité individuelle dans le choix et l’adhésion. En revanche le socialisme sémitique tend de plus en plus à lui imposer une orthodoxie étouffante dont la manifestation dernière montre ses résultats en U.R.S.S. — Ainsi en même temps qu’un fil conducteur, un point de repère lui est donné de façon permanente, la race. Il voit assurer à son développement personnel et à l’activité de son esprit, une indépendance qu’il avait cessé d’espérer. Enfin il retrouve sa spontanéité propre en plongeant aux sources vives du génie de sa race dont il était coupé depuis si longtemps. Il n’est plus pour lui d’opposition entre l’activité de la collectivité tout entière et la sienne propre puisqu’elles puisent désormais à la même source.
De toute manière, l’application de la loi, qu’elle soit personnelle ou collective, cesse d’être l’observance imposée par l’autorité policière de règles sans vie. Elle devient comme un contact permanent du citoyen avec son peuple et sa race, exactement sans doute comme à un autre moment où la loi et la foi pouvaient se confondre, l’homme du moyen-âge ne voyait pas de différence essentielle entre la règle de l’État et celle de l’Église, entre la règle de l’Église et sa propre conception de la vie. Le christianisme était à ce moment adapté entièrement à la race. Il avait, pour un temps, su réunir toutes les couches du peuple autour d’un idéal et d’un but commun et réaliser une forme d’unité populaire dont beaucoup encore aujourd’hui gardent la nostalgie.
Or faute d’avoir vu clairement l’importance de la race et de son unité, qu’elle a pressentie parfois, l’Église a laissé s’oublier cette organisation, cette conception et cette attitude. Le temps d’une relève dans le domaine temporel semble donc venu. La mission dont elle n’a pas pu s’acquitter, le socialisme raciste la conduira à son terme.
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