CRÉATION DE L’HOMME NOUVEAU
Le racisme, en tant que conception particulière du monde et en tant qu’il donne naissance à une nouvelle doctrine politique et sociale, apporte incontestablement un message important à l’homme européen. Bien que celui-ci ne le perçoive pas toujours distinctement, le ferment d’un monde nouveau a été jeté. Il peut se heurter à une opposition sérieuse, à une incompréhension momentanée, il sera néanmoins tôt ou tard entendu.
Sans doute, l’homme européen semble presque plus tenir à sa propre dégénérescence qu’à son progrès ; Il semble fier de sa décrépitude raciale, de sa décadence. Et dans la mesure où le racisme s’attache à sélectionner une espèce nouvelle d’homme blanc ; Dans la mesure où cette sélection rigoureuse peut l’exclure d’un monde qu’il soupçonne sans le souhaiter ; Dans la mesure enfin où il se trouve blessé dans sa propre suffisance, il tente de se dresser contre sa guérison et son salut.
Nous avons dit qu’il s’agit de galvaniser les forces qui subsistent, de ramener au jour les vestiges d’une ancienne noblesse raciale qui caractérisent la civilisation, la culture et l’homme européens. Il s’agit en ce faisant de hâter la naissance et l’avènement d’un individu plus fort et plus complet, — plus sain — qui fera éclater les limites de la société étriquée et du monde sans perspectives actuels. Face au dernier homme de la décadence, faire naître le premier homme du monde nouveau, de l’ordre nouveau, digne d’une philosophie et d’une éthique correspondant au niveau des connaissances de notre temps, tel est le message et l’objet de notre racisme.
Le racisme est en même temps la négation la plus totale et l’affirmation la plus brutale. Au delà d’un dégoût et d’une sorte de désespoir d’un homme que le mélange des sangs et l’influence des philosophies asiatiques ou africaines ont émasculé, il veut éveiller la confiance, la foi en l’homme qui vient. Il en est la certitude. Il doit pour être lui-même s’opposer dès l’abord à tous ceux qui tournés vers le passé, ses méthodes et ses valeurs périmées, voient l’âge d’or derrière et non devant eux. Il doit s’opposer à tout le désordre, à tout le chaos, à toute l’insuffisance des sociétés actuelles qui héritent de connaissances et de techniques dont elles ne sont dignes en aucun cas, dont elles ne peuvent pas faire usage.
Notre message utilise encore certains mots de l’homme d’hier et du monde d’hier, dans la mesure où les valeurs nouvelles encore en gestation n’ont pas créé leur propre langue. Déjà pourtant les anciens mots pour nous s’emplissent d’une substance nouvelle. C’est ainsi que la voix de la race qui commence de balbutier ses premiers mots doit s’éveiller et être éveillée chez le grand nombre.
On peut espérer d’ailleurs que l’orgueil immense de faire naître et de voir naître l’homme du nouvel âge pourra, chez beaucoup, étouffer le petit égoïsme, l’étroite soif de jouissances immédiates, la voix de la race en déclin qui gît et survit en chacun.
La première sélection qui crée le parti révolutionnaire, l’expression de son but, la forme de son combat, préfigurent déjà la race nouvelle. Son message n’est reçu que par ceux qui dans leur chair et dans leur esprit sont prêts à le recevoir. Son message naît de leur propre mouvement, de leur volonté, de leur représentation du monde nouveau.
Nous ajouterons pourtant qu’il s’agit non d’un dogme immuable, mais d’une figure mouvante ; C’est un message toujours incomplet, toujours en devenir, vivant et marchant comme et avec l’homme combattant et créateur qui le conçoit. C’est pourquoi le parti, comme expression plus complète, comme synthèse de l’homme d’hier et de celui d’aujourd’hui doit devenir tour à tour héritier et juge du passé, créateur et législateur de l’avenir.
À chaque époque, la masse des hommes refuse une perfection nouvelle pour se rattacher à ce qui fut la perfection du passé, mais à chaque époque, le parti révolutionnaire et la mince élite qui exprime son message, suscitent une série de combats chez l’individu et dans la société. Nous voulons que notre parti demeure assez vivant et assez jeune pour déclencher constamment cette lutte de soi contre soi, et de soi contre tous, non comme le voulaient les morales et les religions négatives, pour réprimer les aspirations instinctives et profondes de l’homme, mais au contraire, pour les exalter et les sublimer.
La loi de l’homme complet est l’effort et le combat. Seul l’homme du parti préparé physiquement et intellectuellement peut vivre totalement, en lui-même, cette lutte. Si l’homme en effet, est perpétuellement divisé entre son désir de se surmonter, de se dépasser lui-même, en faveur d’une nécessité collective impérieuse et son inertie purement animale, seul celui qui est depuis longtemps armé pour cette lutte peut y triompher. Il n’appartient qu’au petit nombre de prendre entière conscience des intérêts généraux de l’espèce et d’entraîner la masse du peuple dans ce sens. Comme héritier et comme ascendant, comme créateur et comme médiateur, comme juge et comme législateur, le parti est seul apte à surmonter et à faire surmonter cette hésitation et à conduire le peuple au même but.
Cela crée l’obligation pour l’homme du parti de s’intéresser constamment aux traditions et aux habitudes, aux aspirations et aux besoins de son peuple, non dans la mesure où ils s’expriment spontanément mais dans la mesure où le parti les exprime, les pense et les préfigure.
Il doit constamment maintenir le contact avec ce qui est mouvant et positif dans son peuple, mais il doit aussi le devancer et le guider. Il doit déceler dans le peuple dont il est guide et responsable, tout ce qui est cause d’affaiblissement et de chute.
Il ne s’agit donc pas d’un contact machinal, d’une adaptation pure et simple, dans l’examen familier, mais d’une critique permanente et aiguë, d’un échange actif et créateur jetant le ferment de la progression raciale, de la sélection, de la crise permanente dans la pâte de tout le peuple. L’homme du parti, en perpétuelle inquiétude, est précurseur du devenir permanent du peuple et de la race. Sa vie est le refus constant de se satisfaire, pour lui-même et son peuple, de la norme de vie qui à chaque instant est celle de son peuple. L’homme du parti doit voir à chaque instant au-delà de l’état actuel, le but nouveau, la conquête nouvelle, le type nouveau à réaliser. Recevant en lui-même l’expression de son peuple et de sa race, il doit aussitôt la transposer, en extraire un élan nouveau et conduire son peuple dans un mouvement ininterrompu de sélection, dans une crise permanente d’enfantement racial, dans une révolution permanente. Chaque jour, il rejette le type du jour comme un type déjà révolu,pour le modèle racial plus profondément sélectionné que sa volonté projette et dessine.
LA VOLONTE DE PUISSANCE.
Il n’est pour l’homme du parti plus question d’objectif fixé, de but en soi, d’idéal final et permanent. Il n’a plus comme dans les religions du passé un type éternel à éternellement imiter et reproduire. Il cesse de concevoir qu’on puisse modeler sa vie et son devenir sur tel ou tel type humain passé.
Pour l’homme européen nouveau, créateur de sa race, le but est un but qui marche, le modèle est devant et non derrière. Son idéal racial, chaque jour recréé, n’est pas arbitraire et extérieur, mais dans le sens de l’élévation de la race, de la divinisation de sa race. Pour lui se divinise, en quelque sorte, le type idéal et mouvant de la race. Ce modèle mouvant et vivant, perpétuellement incréé et constamment recréé, est la projection de sa volonté dans le monde. Mais le parti et l’homme du parti ne peuvent recréer chaque jour ce but et ce type mouvant que par la soumission totale de leur vie et de leur morale à l’impératif du développement et de l’élévation de leur race : Héritiers et créateurs de leur race, créateurs de leur modèle.
Nous vivons sans doute un moment où les porteurs de l’idéal racial, où les créateurs de la race se sont lassés pour un instant d’être les porteurs d’une culture et d’un type humain supérieur. Ils ont pour un temps été affaiblis et amoindris par le mélange des sangs, par le chaos social, par le contact continu avec une échelle de valeurs créée par des éléments venus d’Asie ou d’Afrique. Leur contact spirituel avec des valeurs négatives leur a fait parfois supporter que d’autres races fussent tenues pour égales de l’Homme européen. Ces valeurs adaptées sans doute au niveau et aux aptitudes, aux besoins, pour tout dire, des races qui les ont enfantées ne sont certainement pas mauvaises en elles-mêmes. Pourtant, bien que vivantes et valables pour d’autres, elles sont porteuses, pour les races de l’Europe, d’hypnose et de mort.
Le drame de notre époque est que les hommes européens ont, par lassitude et par faiblesse, abandonné le sentiment de supériorité pourtant évidente de leur race, de leur sang et de leur culture.
Créateurs de toute culture, bâtisseurs de toute civilisation, ils ont accepté pour leurs égaux ceux qui, loin de créer, avaient, au contraire, traditionnellement détruit les cultures et les civilisations qu’ils avaient rencontrées sur la route de leur expansion.
Les hommes européens ont eux-mêmes condamné leurs dieux et leur morale pour accepter ceux des peuples du désert sans même sentir qu’ils allaient ainsi vers la destruction de ce qui faisait leur valeur supérieure, le niveau de leurs idéaux et la validité de leurs buts.
Ils sont allés parfois jusqu’à se demander si les peuples qui depuis des millénaires sont plongés dans l’apathie physique et le néant intellectuel, dans la stagnation morale et la dégradation sociale, n’avaient pas découvert dans leurs ‘‘ contemplations ’’ des valeurs égales ou supérieures. Ils ont supporté qu’on exprime cette idée contre nature que les individus qui mimaient les gestes de leur culture et de leur civilisation étaient de même importance et de niveau égal à la race qui créait cette culture et cette civilisation. Ils ont ‘‘ découvert ’’ ce que les autres appellent ‘‘ l’humilité culturelle ’’ en face des autres continents et se sont placés dans la situation du professeur qui voudrait s’instruire de la science de ses élèves. L’autorité du maître sur l’élève leur semble un privilège exorbitant. Bien plus, si cette autorité doit devenir permanente parce que l’élève est incapable de s’élever jamais au niveau du maître, alors, désabusés ils préfèrent se retirer et se taire que de devoir s’éveiller de leur rêve.
L’intérêt qu’ils portent et qu’ils ont pour mission de porter aux valeurs dont ils sont dépositaires et comptables doit leur faire repousser la supposition même que l’on puisse substituer à la culture traditionnelle de l’homme blanc celle de races qui au cours des siècles ont été inférieures, aussi longtemps que la pureté de leur propre sang sera garante de la permanence et du développement de cette culture.
C’est pourquoi encore, et comme contrepartie, ils doivent veiller jalousement à la pureté de leur sang, refuser tout mélange et tout mode de vie qui pourraient l’amoindrir, toute échelle de valeurs et tout enseignement qui pourraient conduire à son affaiblissement.
En acceptant seulement de discuter l’évidence historique de la supériorité de leur race, ils ouvrent la porte à la désintégration de leur personnalité et de leur race. L’ouverture du débat est-elle autre chose, en effet, que la manifestation préalable d’un doute sur la valeur et le rôle historique de leur race et de son devenir ?
La puissance de la race n’est pas seulement issue de constatations culturelles raisonnées, mais naît d’une certitude évidente et suffisante, congénitale. C’est un sentiment intérieur de supériorité, une foi dans la puissance du sang.
La prise de conscience totale de la réalité raciale conduit et doit conduire au sentiment de participer consciemment à la forme la plus parfaite du devenir humain et du devenir du monde lui-même. La plus grande insulte qui puisse être infligée à la race tout entière et indirectement à sa propre personnalité par un individu appartenant à la race supérieure est incontestablement le doute ou la fin de non-recevoir opposée à la réalité raciale ou à l’idée de la supériorité de l’homme européen, en tant que créateur et que législateur, en tant que participant à un type unique, mythique, divin.
Ce n’est qu’ainsi que se développe le sens de la supériorité absolue de la race dont on hérite le capital racial, en même temps que le sens de la responsabilité à l’égard de cet apport qui doit être transmis accru à la race nouvelle créée en permanence dans et par chaque homme de la race.
Nous pourrons donc résumer en une seule formule notre conception : La race détermine l’être, mais l’être consciemment crée la race. L’action est consubstantielle à l’être ; L’obéissance à l’impératif racial s’identifie à la connaissance.
Ainsi la race n’agit en aucun cas hors de l’homme, mais l’homme peut agir au-delà de la race sous sa forme actuelle. C’est là et là seulement que s’exprime la plus grande liberté de l’homme : Dans la création consciente et permanente de la race. C’est cette certitude, c’est cette liberté vers le haut qui détermine la solution qu’il apporte et doit apporter au problème des relations de la race et du monde ; De la race et de l’individu ; De la société et de l’individu ; Qui détermine, par suite, plus particulièrement l’attitude de l’homme européen à l’égard des autres races et des autres sociétés. Le fait que les différentes races se trouvent présentement face à face et souvent cohabitent rendrait impossible d’écarter cette question.
Au dehors et au-delà de toutes les races, la race blanche dresse et doit maintenir la flamme d’une culture et d’une échelle de valeurs qui lui appartiennent en propre et qui pour n’être pas valables pour toutes les races n’en sont pas moins les seules qui puissent les élever un peu au-dessus de leur éternel état végétatif.
Il est bon d’ailleurs de ne pas tirer une interprétation erronée de cette dernière affirmation. Sans doute la culture de l’homme européen est la seule qui puisse contribuer en quelque manière à élever un peu le niveau de vie des autres races. Nous n’entendons nullement en tout cas prétendre que notre conception du monde et du rôle de l’homme dans le monde, que notre échelle de valeurs soit applicable, assimilable ou accessible à ces races. Nous savons et affirmons le contraire. Nous pensons toutefois que ces éléments sont clans certains domaines aptes à reproduire et à copier de façon très conséquente — et, pour eux, utile, —les manifestations de notre culture. Il n’est même pas impossible que pour les adapter à leurs besoins ils les transforment en les améliorant. Dans ce cas, comme dans les autres, ils n’auront cependant que copié et manifesté ainsi leur impuissance à créer à notre niveau et à influencer utilement notre propre développement.
Le sens véritable de notre race qui est l’initiative et la création se trouve opposé aux aptitudes de toutes les autres races, non pas par haine étroite ou incompréhension de notre part, mais parce qu’elles gêneraient le développement harmonieux de notre race dans les mêmes domaines. Il est donc inutile en ce moment d’insister sur ce qui différencie notre race des autres et ce qui en fait un produit unique sans qu’aucune analogie extérieure ou sentimentale puisse jamais les rapprocher.
On nous objectera qu’il n’est pas de race pure à l’heure présente dans le monde. Nous aurions loisir de rétorquer qu’elle existe en fait dans les manifestations historiques d’une culture absolument unique et qu’elle est donc biologiquement virtuelle dans la plupart des pays de l’Europe. Mais aussi sur cette base biologique, quand on nous aura reproché d’en faire une notion purement subjective et que nous aurons reconnu qu’elle existe surtout dans notre volonté de la voir renaître, nous ajouterons que c’est aussi la manifestation de la volonté créatrice qui définit et qui crée les conditions d’existence de la race. L’identité de notre représentation du monde et de l’expression de notre volonté dans l’action constitue la seule base valable d’un développement individuel et collectif au sein des peuples européens.
La projection de cette volonté et de cette pensée dans la vie courante de notre époque doit recréer par là même les conditions biologiques de l’unité sociale et politique de ces peuples, au-delà des nationalités librement associées du continent.
Ceux qui parlent de fédération ou d’union européenne, d’Europe ou d’union du continent sans concevoir ou exprimer que cette union ne peut prendre naissance que dans les aspirations les plus profondes des peuples du continent et par l’apparition progressive de la race européenne et non par la création d’un magma informe de peuples et de races sans caractère, ceux-là trahissent la culture humaine en général et lui ferment la route de tout progrès.
Ceux même qui oseront accepter l’idée de la création d’une race européenne sans voir clairement qu’il faut pour la créer éliminer d’abord toutes les causes de dégénérescence au sein de chaque communauté nationale, ceux-là empêcheront encore la véritable libération raciale du continent. Toute attitude confuse ou indécise dans ce domaine, toute solution qui ne donnerait pas la prédominance absolue aux éléments les meilleurs, produits d’une sélection dans l’ensemble de l’Europe, ne pourrait qu’édulcorer et rendre stérile toute construction sociale et politique et ne ferait que contribuer au déclin plus rapide de notre civilisation d’origine.
C’est pourquoi nous n’insisterons jamais assez sur l’abîme fondamental et total qui doit opposer la future ‘‘ race européenne ’’ aux autres races, quel que soit leur niveau actuel apparent. Encore ne les opposons-nous pas de façon toute négative : Nous appartenons à une race et d’elle nous créons une race meilleure. En créant ainsi, nous nous heurtons à d’autres races qui se trouvent en travers de notre route et de notre devenir. Notre racisme, manifestation de foi, de force et de plénitude, n’est, ni ne peut être, négatif. C’est au nom même de son devenir qu’il écarte ce qui s’oppose à son devenir.
Nous avons admis et sous-entendu l’unité d’essence de la race et de l’individu dans la race, par suite la tendance à l’unité du monde et de l’homme dans la mesure où le monde s’extrait pour lui d’un concept de sa volonté. Le but suprême du raciste conséquent est de réaliser entièrement en une unité volontaire sa conception de la race, de l’homme et du monde. Le centre immuable de toute notre conception du monde est la volonté, l’impératif de la race tel qu’il se manifeste fragmentairement dans chaque individu sain.
Il y aurait cependant une contradiction certaine dans le fait de vouloir dresser sur notre conception de la race, du monde, de l’homme, une théorie spéculative et abstraite alors que seule la race vivante, l’homme vivant, en devenir constant, sont les seules prémisses valables de notre conception.
La volonté de la race se manifeste dans l’homme sain et conscient comme un acte concret et non comme une spéculation métaphysique. L’individu ne peut être en quelque sorte, s’il est sain et ‘‘ bien venu ‘’, que cette volonté faite chair et projetée dans le monde et le combat permanent de la vie.
Tout affaiblissement libéral de cette conception ne pourrait qu’ouvrir une brèche et saper la base sociale du devenir racial. La race ne peut survivre d’abord, progresser ensuite, que par la création constante dans la vie, par la sélection systématique et non par l’élaboration de théories plus ou moins intellectuelles et coupées du réel. De telles théories stérilisantes sont de simples négations sans perspectives constructives raciales ou sociales. Nous ne nions pas que le refus pur et simple d’accepter certains voisinages de races et certaines manifestations sociales et politiques issues de ces races est bien tentant, dans la mesure même où il demande moins d’efforts. De telles solutions de facilité ne peuvent nous agréer. Ce n’est pas la fuite qui protège la race et le peuple mais le combat. Ce n’est pas la défensive stérile qui conduit à la victoire mais seulement, dans le combat, l’attaque permanente.
Quand l’un de nous observe l’histoire des migrations par exemple et les transformations d’ordre social, racial et politique, il doit non seulement en saisir les particularités organiques, non seulement analyser la capacité de combat et de virulence des races qui en sont les troupes, mais exprimer dans quelle mesure et de quelle manière le devenir de notre race les surmontera et les dépassera. D’autre part il ne peut s’agir de choisir parmi les valeurs admises par l’adversaire celles qui pourraient de prime abord sembler acceptables aussi pour nous, c’est-à-dire qu’il ne peut s’agir d’un choix déterminé par rapport à l’adversaire. Même une valeur qui semble acceptable dans ce cas ne peut être tenue pour telle que par suite d’une erreur d’appréciation momentanée. Elle n’est pas l’expression d’une réalité. Aucune valeur ne peut être patrimoine commun de deux races ni de deux espèces. Dans le cas où leur forme serait semblable, leur essence, par définition, ne pourrait être que contradictoire et par suite nuisible au développement original de notre propre race.
On ne peut en aucun cas choisir parmi les valeurs de l’autre race. Ces valeurs, pour être réelles chez l’autre sont fausses dans notre propre devenir. Toute adoption, toute acceptation d’une valeur non originale est un acte contre nature. Même la valeur la plus proche de nous, est entachée, au fond, de la tare d’origine qui la marque. La différence essentielle entre notre échelle de valeurs, notre conception du monde et celle des autres races, réside en ce fait que chaque échelle de valeur se tient sous l’influx d’une volonté raciale bien précise, délimitée et hautement caractéristique. Or la volonté de la race en tant que représentation du monde est tout à la fois la loi, la crise et le jugement de tout acte humain, de toute histoire, de toute philosophie et se trouve être même inconcevable comme accessible à une autre race quelle qu’elle soit, qui ne veut trahir ni sa mission, ni sa vocation.
Toutes les attitudes intellectuelles, morales, sociales ou politiques naissent de prises de positions nettes sur la nature et la volonté de la race, sur la nature et la volonté de l’individu, et tant qu’il a choisi dans son domaine d’être législateur et créateur de la race.
Il n’est certainement pas possible d’admettre que la collectivité sociale, quelle qu’elle soit, puisse jamais se trouver à l’abri de faiblesses et de compromissions, de tendances à l’abandon et à la décadence. C’est pourquoi la formulation la plus rigoureuse et la vigilance la plus grande sont à requérir de chacun et d’autant plus que son rôle sera plus important.
Une seule forme de société peut garantir un retour automatique à la santé raciale, l’obéissance à l’impératif de la race. C’est celle où la loi correspond autant que possible aux nécessités de la race. Il ne s’agit alors pour l’homme, ni d’accepter ni de refuser cette loi, ni seulement de lui obéir passivement, mais au contraire, dans la mesure où elle correspond à sa propre nécessité, de se dresser lui-même comme le champion de cette loi, de s’identifier à elle. Son attitude devient alors un état constant d’opposition à toute valeur étrangère à la race, de tension constante et de militantisme dirions-nous, en tant qu’il est lui aussi créateur de cette race et héritier de son impératif.
Or, l’homme européen n’arrive pas dans une société ou monde où il soit maître d’un domaine à lui seul réservé, où l’opposition ne viendrait que de l’extérieur, de races vivant dans d’autres parties du monde. Il ne se trouve pas dans un espace vierge qu’il pourrait immédiatement peupler de sa conception sociale, politique et culturelle. Bien au contraire son propre espace est encombré d’une végétation parasitaire considérable issue de toutes les races qui l’entourent. De plus, dans son propre sein, par le mélange des sangs antérieur à lui, des aspirations qui lui sont étrangères et débilitantes se sont introduites.
Si nous parlons alors de la création d’une nouvelle race en devenir permanent, nous ne pouvons imaginer la moindre spontanéité de création. Une telle spontanéité rendrait inutile l’organisation et le parti. Il s’agirait de cas de perfection individuelle et collective dont l’histoire humaine ne connaît pas d’exemple. Elle n’est en tout cas pas concevable dans l’état actuel du développement humain. Nous ne pourrons négliger par suite, ni l’étude systématique de l’histoire des races supérieures de l’Europe, ni la préparation méthodique individuelle par l’élaboration collective au sein du parti et du peuple ; Le parti agissant comme facteur subjectif du peuple et de la race.
L’enseignement racial sera donc composé des notions familières et connues, mais devra aussi comporter l’approfondissement de valeurs entièrement nouvelles et révolutionnaires ; Valeurs de choc et de crise.
La religion de la race n’est ni soumission ni obéissance, mais héritage et création permanente. Elle n’est pas la réponse à un mot d’ordre ou à une discipline extérieure, à un dogme mystérieusement justifié, établi ou ‘‘ révélé ‘’, mais la brusque prise de conscience d’une réalité retrouvée, d’un critère qui avait déjà été un impératif au temps où dans les sociétés naissantes la hiérarchie spontanément s’établissait de la race conquise à la race conquérante. Elle est la reprise de conscience d’un sentiment que des siècles de soumission au dogme de religions négatives, de corruption faussement égalitaire, d’humanitarisme vide avaient étouffé et parfois presque détruit.
La première tâche sera donc de dénoncer la fragilité de ce vernis, de démasquer la parodie immonde qui sous prétexte d’amour de l’humanité ’’ annihile l’homme le meilleur et le prive de tout ce qui ferait sa force et sa valeur. Il faudra dénoncer sans cesse la menace qui pèse sur une vie qu’il faut faire redevenir totale et pure de toute hypocrisie faussement morale. Il faudra dénoncer tout ce qui pourrait restreindre l’orgueil victorieux qui doit habiter chacun pour peu qu’il se sente vraiment héritier et continuateur d’une race de conquérants et de législateurs, de créateurs. Il lui faudra enfin rallier les énergies éparses, les membres dispersés d’un grand corps racial égaré et qui se retrouve.
Participation à la création volontaire de l’homme nouveau au sein de la race nouvelle, adhésion spontanée au corps populaire et racial, participation constante dans le parti au devenir de la race dans sa volonté, tels seront les premiers devoirs de celui qui dans notre temps osera se dresser contre la dégénérescence générale, contre l’abaissement progressif de son peuple et de sa race. La prise de conscience de cette nécessité est le premier pas dans la voie d’une lutte de l’homme européen qui relève le drapeau de sa dignité et de sa civilisation.
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