« Dans tous les pays où les Juifs se sont établis en nombre, ils ont abaissé son niveau moral, avili son intégrité, tourné en ridicule ses institutions. Je vous préviens, Messieurs, si vous accordez la citoyenneté aux Juifs, vos enfants vous maudiront dans vos tombeaux. Dans tous les pays où les Juifs se sont installés en nombre, ils ont abaissé le niveau moral, discrédité l’intégrité commerciale, et ont fait bande à part sans jamais s’assimiler aux autres citoyens. Ils ont tourné la religion chrétienne en ridicule, ont tenté de la miner. Ils ont bâti un état dans l’état et quand on leur a opposé résistance, ils ont essayé d’étrangler financièrement le pays.
Si vous ne les excluez pas des Etats-Unis dans cette constitution, en moins de 200 ans ils y fourmilleront en quantité si considérable qu’ils domineront et dévoreront notre patrie et changeront la forme du gouvernement. Si vous n’interdisez pas aux Juifs l’accès de ce pays, en moins de 200 ans vos descendants travailleront la terre pour pourvoir aux besoins d’intrus qui resteront à se frotter les mains derrière leurs comptoirs. Je vous le redis Messieurs, si vous n’excluez pas pour toujours les Juifs de notre communauté, nos enfants nous maudiront. » (Discours devant le Congrès en 1787, en préliminaire à la rédaction de la Constitution)
Tout cela a été parfaitement réalisé comme le prévoyait Franklin.
Napoléon
« Nous devons considérer les Juifs non seulement comme une race distincte, mais comme un peuple étranger. Ce serait une humiliation trop grande pour la nation française d’être gouvernée par la race la plus basse du monde. Je ne puis regarder comme des Français ces Juifs qui sucent le sang des véritables Français. Si je ne faisais rien, le résultat serait la spoliation d’une multitude de familles par des usuriers rapaces et sans pitié. Ce sont des chenilles, des sauterelles qui ravagent la France. » (Adresse au Conseil d’Etat, le 6 avril 1806)
Schopenhauer
Le philosophe allemand les appelle « les Grands maîtres du mensonge. »
Alfred de Vigny
« La bourgeoisie est la maîtresse de la France ; elle la possède en longueur, en largeur en profondeur : L’homme redevient singe. Le Juif a payé la Révolution de Juillet parce qu’il manie plus facilement le bourgeois que le noble. » (1837)
Honoré de Balzac
« Les Juifs ont accaparé l’or. Ils sont plus puissants que jamais. » (Les Illusions perdues, 1843)
Ernest Renan
« Le Juif ne connaît guère de devoir qu’envers lui-même. Poursuivre sa vengeance, revendiquer ce qu’il croit être son droit est à ses yeux une sorte d’obligation. Par contre, lui demander de tenir sa parole, de rendre justice de façon désintéressée, c’est lui demander l’impossible. » (1864)
Dostoïevski
« Ce qui vient, c’est le matérialisme, la soif aveugle et rapace du bien-être matériel, la soif de l’accumulation de l’argent par tous les moyens. Alors, à la tête de tous, se trouvera le Juif, car bien que prêchant le socialisme, il reste néanmoins en sa qualité de Juif, avec ses frères de race, hors du socialisme et quand tout l’avoir de l’Europe sera pillé, il ne restera que la banque juive. » (Journal d’un écrivain, Passim, 1880)
Victor Hugo
A propos de Waterloo, qui fit la fortune de Rothschild, « Vieillard, chapeau bas, ce passant fit sa fortune à l’heure où tu versais ton sang. Il jouait à la baisse et montait à mesure que notre chute était plus profonde et plus sûre. Il fallait un vautour à nos morts, il le fut. »
Wagner
« Le plus urgent est de nous émanciper de l’oppression juive. Je tiens la race juive pour l’ennemi-né de l’humanité et de tout ce qui est noble. Il est certain que les Allemands notamment vont périr par elle. Peut-être suis-je le dernier Allemand qui a su s’affirmer contre le Judaïsme qui tient déjà tout sous sa coupe. » (Lettre à Louis II de Bavière, 1881)
E
douard Drumont
« Quand le Juif monte, la France baisse, quand le Juif baisse la France monte. La Haute Banque, la Franc-Maçonnerie, la Révolution cosmopolite, toutes trois aux mains des Juifs, concourent au même but par des moyens différents. On trouve toujours un Juif prêchant le socialisme ou le communisme, demandant qu’on partage le bien des anciens habitants, pendant que leurs coreligionnaires arrivés nu-pieds, s’enrichissent et ne se montrent aucunement disposés à partager quoi que ce soit. Je n’ai pas l’intention de remuer toutes les immondices du journalisme juif, de rappeler toutes les injures, toutes les ignominies qu’ils ont versées sur les Chrétiens… Des chefs-d’oeuvre chrétiens sont laissés dans l’ombre, mais on bat la grosse caisse au contraire pour tout ce qui porte la marque juive.
Le malheur du Juif est qu’il dépasse toujours un point presque imperceptible qu’il ne faut pas franchir avec le Goy. Au Goy, on peut tout faire, mais il faut éviter de l’agacer. Il se laissera dérober tout ce qu’il possède mais, tout d’un coup, entrera en fureur pour une simple rose qu’on veut lui arracher. Alors, soudain réveillé, il comprend tout, ressaisit l’épée qui traînait dans un coin, tape comme un sourd et inflige au Juif qui l’exploitait, le pillait, un de ces châtiments dont l’autre porte la trace pendant trois siècles… Il disparaît, s’évanouit dans un brouillard, se terre dans un trou où il rumine une nouvelle combinaison pour recommencer... ». (La France juive, 1886)
Edmond de Goncourt
« A moi qui depuis 20 ans crie tout haut que si la famille Rothschild n’est pas habillée en jaune, nous seront très prochainement domestiqués, ilotisés, réduits en servitude…lorsque nous avons publié Manette Salomon, le mot d’ordre a été donné dans la presse juive de garder le silence à tout jamais sur nos livres… » (Journal, avril 1886)
Guy de Maupassant
« A Bou-Saada, on les voit accroupis en des tanières immondes, bouffis de graisse, sordides et guettant l’Arabe, comme l’araignée guette la mouche. Il l’appelle, essaie de lui prêter cent sous contre un billet qu’il signera. L’homme sent le danger, hésite, ne veut pas, mais le désir de boire et d’autres désirs encore, le tiraillent. Cent sous représentent pour lui tant de jouissances ! Il cède enfin, prend la pièce d’argent et signe le papier graisseux. Au bout de six mois il devra dix francs, au bout d’un an vingt francs, au bout de trois ans, cent francs. Alors le Juif fait vendre sa terre, son cheval, son chameau, son bourricot, ce qu’il possède enfin. Les chefs caïds, aghas, ou bachaghas, tombent également dans les griffes de ces rapaces qui sont le fléau, la plaie saignante de notre colonie, le grand obstacle à la civilisation et au bien-être de l’Arabe. » (Au soleil, 1887)
Jules Vernes
« Ils pratiquent le métier de prêteur avec une âpreté inquiétante pour l’avenir du paysan roumain. On verra peu à peu le sol passer de la race indigène à la race étrangère. Si la Terre promise n’est plus en Judée, peut-être figurera-t-elle un jour sur les cartes de Transylvanie. » (Le Château des Carpathes, 1892)
Adolph Hitler
« La France est et reste l’ennemi que nous avons le plus à craindre. Ce peuple qui tombe de plus en plus bas au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qu’il prête aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe. » (Mein Kampf, 1924)
Georges Simenon
« Tout se tient, tout se précise. Les Juifs dans leur rage de destruction et aussi dans leur soif du gain, ont enfanté le bolchevisme. Ainsi la pieuvre juive étend ses tentacules dans toutes les classes de la société. » (Le Péril juif, Gazette de Liège, 1921)
Jean Giraudoux
« Les Juifs apportent là où ils passent, l’à-peu-près, l’action clandestine, la concussion, la corruption et sont des menaces constantes à l’esprit de précision, de bonne foi, de perfection, qui était celui de l’artisanat français. » (1940)
Lucien Rebatet
« Je quittais mes papiers et mes livres. Je repartais à travers Paris. J’y retrouvais étalés partout, les signes les plus impudents de la souveraineté juive. Les Juifs savouraient tous les délices, chair, vengeance, orgueil, pouvoir. Ils couchaient avec nos plus belles filles. Ils accrochaient chez eux les plus beaux tableaux de nos plus grands peintres. Ils se prélassaient dans nos plus beaux châteaux. Ils étaient mignottés, encensés, caressés. Le moindre petit seigneur de leur tribu avait dix plumitifs dans sa cour pour faire chanter ses louanges. Ils tenaient dans leurs mains nos banques, les titres de nos bourgeois, les terres et les bêtes de nos paysans. Ils agitaient à leur gré, par leur presse et leurs films, les cervelles de notre peuple. Leurs journaux étaient toujours les plus lus, et il n’y avait plus un cinéma qui ne leur appartînt pas.
Ils possédaient leurs ministres au faîte de l’Etat. Du haut en bas du régime, dans toutes les entreprises, à tous les carrefours de la vie française, dans l’économique, dans le politique, dans le spirituel, ils avaient un émissaire de leur race, posté, prêt à retenir la dîme, à intimer les vétos et les ordres d’Israël. L’Église elle-même leur offrait son alliance et lui prêtait ses armes. Ils avaient toute liberté de couvrir leurs ennemis de boue et d’ordures, d’accumuler sur eux les plus mortels soupçons. Les Juifs n’avaient rien acquis que par le vol et la corruption. Plus ils étendaient leur pouvoir et plus la pourriture gagnait avec eux. » (Les Décombres, 1942)
Paul Morand
« Je demande seulement pour nos compatriotes une place, une toute petite place dans le cinéma national. En défendant les Français, je revendique simplement pour eux le droit des minorités. » (France la doulce, 1934)
Marcel Aymé
« Nous communions avec le marxisme intégral, parce qu’il est l’arme de notre nationalisme. Le marxisme, direz-vous, est aux antipodes du capitalisme qui nous est également sacré. C’est précisément parce qu’ils sont aux antipodes l’un de l’autre qu’ils nous livrent les deux pôles de la planète et nous permettent d’en être l’axe. » (cité dans « Genève contre la paix », 1936, par le comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France, qui rapporte les propos d’un grand banquier juif de New York)
Pierre-Antoine Cousteau
Le frère du commandant Cousteau a écrit ceci : « Et tout de suite, on a pu constater que la conquête de l’argent par les ploutocrates Juifs n’allait pas sans la conquête des masses par les agitateurs juifs. Toujours ce même dualisme dont l’expression la plus parfaite est aujourd’hui l’alliance de Wall Street et du Kremlin. » (L’Amérique juive, 1942)
Louis Ferdinand Céline
« Notre République française n’est plus qu’une énorme entreprise d’avilissement, de négrification des Français sous le commandement juif. Le Blanc recherche avant tout l’artificieux, l’alambiqué, la contorsion afro-asiatique. Tous les films français, anglais, américain, c’est-à-dire Juifs, sont toujours infiniment tendancieux. Ils n’existent et ne se propagent que pour la plus grande gloire d’Israël. Cela sous divers masques : Démocratie, égalité des races, haine des « préjugés nationaux », marche du progrès, l’armée des bobards démocratiques en somme. Leur but strict est d’abrutir le Goy toujours davantage, de l’amener le plus vite possible à renier ses traditions, ses tabous, ses religions, à lui faire abjurer tout son passé, sa race, son rythme au profit de l’idéal juif.
Le coup du Juif traqué, martyr, prend encore immanquablement sur ce con de cocu de Goy. La petite histoire lamentable du persécuté juif, la jérémiade juive, le fait toujours mouiller. Infaillible ! Seuls les malheurs du Juif le touchent à coup sûr. Il avale tout. Quand le pillard Juif crie au secours, la poire goy sursaute d’emblée. C’est ainsi que les Juifs possèdent toute la richesse, tout l’or du monde. L’agresseur hurle qu’on l’égorge ! : le truc est vieux comme Moïse.
La musique moderne n’est qu’un tam tam de transition. C’est le Juif qui nous tâte pour savoir à quel point nous sommes dégénérés et pourris, notre sensibilité aryenne négrifiée. Alors, nous ayant robotisés, ils nous refilent des camelotes de traite bien assez bonnes pour nos sales viandes d’esclaves. Qui s’en soucie ? Le monde n’a plus de mélodie. C’est encore le folklore, les derniers murmures de nos folklores qui nous bercent. Après ce sera fini, la nuit. Et le tam tam nègre… ». (Bagatelle pour un massacre, 1937)
J’ai réservé bien moins de place aux Goyim qu’aux Juifs pour converger vers la même lucidité. En effet, à notre époque de zombisme, ce que les Juifs disent est plus convaincant…
Il n’y a plus rien à ajouter à tout cela : à moins d’un miracle, à moins de la suppression radicale de la circoncision primo-pubertaire, nous allons vers un cataclysme où Juifs et Goyim seront exterminés.
Laissons un dernier mot à Dostoïevski, et voyons si l’involution que nous vivons n’a pas été prévue par des esprits supérieurs au siècle dernier. Voilà ce que disait Dostoïevski il y a environ un siècle : « Leur royaume est proche, leur royaume complet. Il vient le triomphe des idées devant lesquelles ne soufflent plus mot les sentiments d’humanité, la soif de vérité, les sentiments chrétiens, nationaux, et même les sentiments de fierté populaire des peuples d’Europe. Ce qui vient au contraire, c’est le matérialisme, la soif aveugle et rapace du bien-être matériel personnel, la soif de l’accumulation de l’argent par tous les moyens, voilà tout ce qui est considéré comme un but suprême, comme la raison, comme la liberté, au lieu de l’idéal chrétien du salut par le seul moyen de la plus étroite union morale et fraternelle entre les hommes. On en rira…
Tous ces Bismarck, Beaconsfield (Disraeli), la République française, Gambetta et autres, tous, ils ne sont pour moi qu’une apparence : Leur maître comme celui de tout le reste et de toute l’Europe, c’est le Juif et sa banque. Nous verrons encore le jour où il prononcera son veto et Bismarck sera impitoyablement balayé comme un fétu de paille. Le Judaïsme et la banque règnent maintenant sur tout, [68] tant sur l’Europe que sur l’instruction publique, sur toute le civilisation et particulièrement sur le socialisme, car avec son aide, le judaïsme arrachera avec la racine, le Christianisme et la culture chrétienne. Et si de cela rien ne sort, sinon l’anarchie, alors à la tête se trouvera encore le Juif, car bien que prêchant le socialisme, il restera néanmoins en sa qualité de Juif, avec ses frères de race, hors du socialisme, et quand tout l’avoir de l’Europe sera pillé, alors seule la banque juive subsistera. Les Juifs mèneront la Russie à sa perte. »
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