« Tout finira par la canaille »
Nietzsche
PREMIÈRE PARTIE
Ce que les Juifs ont dit d’eux-mêmes
« Les rois du siècle où nous entrerons bientôt seront ceux qui sauront le mieux s’emparer des richesses. Les fils d’Israël possèdent cette aptitude à un degré qui n’a pas encore été égalé, et dans le mouvement général qui se dessine partout contre eux, il faut voir des symptômes précurseurs des luttes redoutables qu’il faudra mener contre eux pour se soustraire à leur menaçante puissance ».#
GUSTAVE LE BON, fin du XIXème siècle
Avant propos fondamental
Le mot antisémite ne signifie strictement rien.
Un Juif n’est sémite que si les circonstances géographiques l’y contraignent et cela au même titre que d’autres sémites. Un Juif, grand, blond, aux yeux bleus, et dont la famille demeure depuis sept siècles en Pologne, n’a rien de sémite. Un petit Juif râblé d’Amérique du Sud n’a rien de commun avec ce Juif Polonais hormis un particularisme constant dans le temps et l’espace dont ce livre traitera abondamment.
Hormis les races blanche, noire, jaune et rouge, les races n’existent pas : il n’existe que les ethnies qui sont le résultat de l’adaptation hormonale à un environnement fixe, pendant au moins huit à dix siècles. Les Juifs n’ont jamais séjourné mille ans dans un lieu géographique fixe, pas même en Palestine : ils ne peuvent en aucun cas constituer une ethnie.
Les traits caricaturaux qu’ils présentent souvent, comme leurs possibilités spéculatives hors pair, mais privées de sens moral et d’esprit de synthèse, comme nous le voyons à profusion dans l’actualité de ce siècle, et dans l’Histoire, sont exclusivement dues aux effets de la circoncision au 8ème jour, premier jour des vingt et un jours de la première puberté. #
Il n’y a donc pas de Goyim tel que des Soros, Warburg, Hammer, Marx ou Freud
(finance, logique démâtée, rêve à système).
On peut donc être « antijuif » pour des raisons évidentes prouvées par des arguments implacables et des faits.
Des Juifs célèbres les ont exposés. Des Goyim célèbres comme Benjamin Franklin, qui voulait leur refuser la citoyenneté américaine, les ont confirmés.
Toute vérité concernant les Juifs est automatiquement taxée « d’antisémitisme » et désormais punie par la loi, puisque les Juifs ont fait promulguer des lois racistes « antiracistes » (crime de la pensée selon Orwell) qui interdisent de divulguer leurs manœuvres, leurs actions, leur importance monstrueuse dans les gouvernements occidentaux où, comme par exemple aux Etats-Unis, ils dominent tout.
Nous allons étudier dans ce livre les vérités exprimées par des Juifs très célèbres et confirmées par de célèbres Goyim.
A notre époque, une telle étude est confidentielle puisqu’en l’an 2000 il ne subsiste aucune liberté d’expression, hormis celle accordée profusément à la drogue, à la pornographie, à l’homosexualité, à l’avortement, à la pilule pathogène et tératogène, à la chimification alimentaire et pharmaceutique, à la pédophilie, à la destruction écologique et à l’horreur économique en général…
On me pose souvent la question : « Pourquoi, vous, Juif, choisissez-vous de révéler la vérité qui ne peut que desservir votre "race" » ?
Je réponds à cela que d’abord il ne s’agit pas de race mais de pathologie extra dimensionnelle et que ce n’est pas parce qu’on a la peste que l’on doit clamer que la peste est un critère de santé.
De plus la symbiose de la perversité juive et de la connerie (il n’y a pas d’autre mot) goy sont en train de mener le monde entier au néant, à sa fin.
Je voudrais éviter, à la mesure de mes moyens, que ne se réalise cette prédiction de Hitler dans Mein Kampf : « Si les Juifs avec leur profession de foi marxiste prennent les rênes de l’humanité, alors la terre sera privée de ses habitants et recommencera à tourner, seule dans l’éther comme il y a des millions d’années. »
Le texte qui suit : « Un rabbin plaide coupable », est d’une telle importance que je l’ai volontairement mis au début de ce livre. Avec une lucidité implacable, le rabbin Manfred Reifer fait un panorama magistral de l’action nécrosante juive qui précédait Hitler, démythifiant ainsi la diabolisation hitlérienne et mettant en évidence la diabolisation juive.
Jamais un « antisémite » Goy n’a écrit avec une lucidité aussi implacable, même pas Céline…
Un rabbin plaide coupable
Ce document devenu introuvable a été détruit massivement par les Juifs.
On comprendra aisément pourquoi. Huit mois après l’accession de Hitler au pouvoir, le « Czernowitz Allgemeine Zeitung » publiait le 2 septembre 1933 cet article du rabbin Manfred Reifer.
« La situation actuelle des Juifs d’Allemagne est l’aboutissement d’un processus historique. C’est un développement dont le début peut remonter au temps de Bismarck. Il fallait qu’il aboutît ainsi si l’on comprend la profonde importance historique de ce mouvement antisémite dont Hitler est l’expression la plus forte. Celui qui ne pouvait prévoir cela était aveugle. #
On essayait de fermer les yeux sur les événements et on agissait suivant l’axiome vulgaire : « ce que l’on ne désire pas, on n’y croit pas ». C’était un moyen commode d’éviter les questions fondamentales, de regarder le monde à travers des lunettes roses. Les prédicants de l’assimilation juive tentaient de jeter un voile sur la réalité des choses et ils jouaient comme dernière carte, le Libéralisme, mort depuis longtemps. Ils ne comprirent pas le cours de l’Histoire et crurent qu’ils pourraient y échapper en se déclarant « Allemands de foi mosaïque », en niant l’existence d’une nation juive, en coupant tous les fils qui les reliaient à la juiverie, en effaçant le mot « Sion » de leur livres de prières, et en inaugurant le « Sunday Service ». Ils regardaient l’antisémitisme comme un phénomène passager qui pourrait être éliminé par une propagande intensive par l’organisation de sociétés fondées en vue de le combattre. #
Telles étaient les pensées d’un grand nombre de Juifs allemands. De là l’immense désappointement, la profonde résignation devant la victoire de Hitler, de là le désespoir sans nom, la psychose grandissante, culminant jusqu’au suicide, la démoralisation complète. Mais celui qui juge les événements d’Allemagne suivant le principe de causalité, jugera le mouvement national-socialiste comme le point culminant d’un développement naturel.
Il comprendra aussi que l’Histoire ne connaît pas d’accidents, que chaque époque est le résultat de l’époque qui la précède. Là est la clef de la compréhension de la situation actuelle. La lutte contre le juivisme a été conduite en Allemagne avec intensité depuis un demi-siècle avec une précision toute allemande. L’antisémitisme scientifique a pris racine dans le sol même de l’Allemagne.
Tout cela les Juifs d’Allemagne refusèrent de le voir. Ils se nourrissaient de faux espoirs, ignoraient la réalité et rêvaient de cosmopolitisme, de l’époque des Dohm, Lessing, Mendelssohn. Les Juifs déracinés se livrèrent à des idées fantastiques et se leurrèrent de rêves cosmopolites. Cela se manifesta d’une double façon : ou ils acclamèrent le libéralisme général ou ils se firent les porte-drapeau du Socialisme. Les deux champs d’activité fournirent un aliment nouveau à l’antisémitisme. En toute bonne foi, désirant servir la cause de l’humanité, les Juifs commencèrent à s’infiltrer activement dans la vie du peuple allemand. Avec leur passion juive si caractéristiques ils se lancèrent dans tous les champs de connaissances. Ils s’emparèrent de la presse, ils organisèrent les masses des travailleurs et ils s’efforcèrent d’influencer toute la vie spirituelle dans le sens du libéralisme et de la démocratie. Cela devait naturellement occasionner une profonde réaction dans le peuple qui les hébergeait. Quand les Juifs, par exemple, prirent le contrôle des disciplines soi-disant internationales, lorsqu’ils se distinguaient dans les champs de la physique, de la chimie, de la médecine, de l’astronomie et, jusqu’à un certain point de la philosophie, ils pouvaient tout au plus inspirer de l’envie à leurs collègues Aryens, mais non une haine générale de toute la nation. On n’aimait pas à voir des Juifs obtenir des Prix Nobel, mais on acceptait la chose en silence. Mais dans le cadre des disciplines nationales, c’est tout autre chose.
Dans ce domaine, chaque nation s’efforce de développer ses forces originales et de transmettre aux générations présentes et futures les fruits des travaux spirituels de la race. Ce n’est pas une affaire indifférente pour le peuple de savoir qui écrit des articles sur Noël, qui célèbre la messe, qui demande de fréquenter l’Eglise. Chaque peuple de chaque nation veut que ses enfants soient éduqués dans son propre esprit. Mais pendant que de grandes parties du peuple allemand luttaient pour le maintien de leur espèce, nous les Juifs, avons rempli de nos clameurs les rues de Germanie.
Nous avons posé aux réformateurs du monde et nous avons pensé influencer la vie publique par NOS idées.
Nous avons sonné les cloches et lancé l’appel à la prière silencieuse, nous avons préparé le repas du Seigneur et célébré sa Résurrection.
Nous avons joué avec les possessions les plus saintes du peuple et avons tourné en dérision tout ce qui était sacré pour la nation.
Nous nous sommes fiés aux droits impérissables de la démocratie et nous nous sommes sentis des citoyens égaux de l’Etat dans la communauté allemande. Nous avons posé aux censeurs de la morale du peuple et avons déversé des coupes pleines de satires sur le Michel allemand.
Nous avons voulu être des prophètes dans les champs païens de la Germanie et nous nous sommes oubliés jusqu’au point d’oublier que tout cela devait attirer la destruction sur nous.
Nous avons fait des révolutions et comme des éternels chercheurs de Dieu nous nous sommes élancés à la tête des masses populaires.
Nous avons donné une deuxième Bible au prolétariat international, une Bible en rapport avec l’époque et nous avons soulevé les passions du Tiers-Etat.
· De l’Allemagne le Juif Karl Marx déclara la guerre au capitalisme.
· Le Juif Lassalle organisa les masses du peuple en Allemagne même.
· Le Juif Edouard Bernstein en popularisa l’idée.
· Les Juifs Karl Liebknecht et Rosa Luxembourg donnèrent vie au mouvement Spartakiste.
· Le Juif Kurt Eistner créa la république soviétique de Bavière, et en fut le premier président.
Contre tout cela la nation allemande se souleva et se révolta. Elle voulait forger sa propre destinée, déterminer elle-même l’avenir de ses enfants. Elle ne devrait pas être blâmée de le vouloir.
Ce sur quoi je n’ai jamais exprimé mon accord, c’est l’idée de citoyenneté mondiale et de cosmopolitisme, avec des Juifs au premier rang de leurs troupes. Ces déracinés # s’imaginaient qu’ils possédaient la force de transplanter les idées d’Isaïe dans les plaines de Germanie et de prendre d’assaut la Walhalla avec Amos. Par moment, ils y réussirent, mais ils s’engloutirent eux-mêmes avec tout le peuple juif sous les ruines d’un monde qui s’est écroulé.
Il faut examiner la lutte du régime hitlérien sous un angle différent de celui que nous imposons et apprendre à le comprendre. Nous, les Juifs, ne nous sommes-nous pas révoltés et n’avons-nous pas fait des guerres sanguinaires contre tout ce qui était étranger ?
Que furent les guerres des Maccabées, sinon une protestation contre une manière de vivre étrangère et non juive ? Et en quoi donc consistèrent les éternelles batailles des prophètes ? En nulle autre chose qu’en l’élimination des éléments étrangers et en la conservation sacrée de la nature originale du Juivisme. Ne nous sommes-nous pas révoltés contre les rois racialement mêlés de la maison des Iduméens. N’avons-nous pas exclu de notre communauté les Samaritains parce qu’ils pratiquaient les mariages mixtes ?
Pourquoi les nationalistes allemands ne feraient-ils pas comme nous, lorsqu’un Kurt Eisner s’approprie personnellement les prérogatives des Wittelsbach ?
Nous devons apprendre à regarder la vérité bien en face et à tirer nos conclusions.
Je voudrai bien être un faux prophète, mais écarter les faits tangibles ne résoudra pas le problème.
Ce qui arrive aujourd’hui en Allemagne arrivera demain en Russie. Pour tous les crimes qui ont découlé du système communiste les Juifs de la Russie soviétique auront à souffrir un jour. Nous aurons à payer chèrement le fait que Trotsky, Joffe, Sinovieff, etc. ont joué des rôles prépondérants en Russie soviétique.
N’avons-nous pas péché plus gravement contre la démocratie en Russie Soviétique qu’en Allemagne ? Alors qu’en Allemagne Hitler était élu par la majorité, rien de la sorte n’a eu lieu en Russie. Dans ce pays-là une petite minorité qui aujourd’hui compte à peine quatre millions de personnes, après 15 ans d’organisation, a proclamé la dictature du prolétariat.
En Russie soviétique, les Juifs ont aussi essayé d’être les précurseurs et les proclamateurs d’une nouvelle vérité absolue. Ils multiplient leurs efforts pour interpréter la bible bolchevique et pour influencer la pensée du peuple russe.
Ce procédé appelle la plus vive résistance et conduit à l’antisémitisme. Que se passera-t-il lorsque le gouvernement soviétique sera tombé et que la démocratie célébrera en Russie son entrée solennelle ?
Les Juifs auront-ils un meilleur sort que celui qu’ils subissent aujourd’hui en Allemagne ? # Derrière les Trotsky, les Kameneff, les Sinovieff, etc. est-ce que le peuple russe ne découvrira pas leur vieux noms juifs et ne fera pas souffrir les enfants pour les crimes de leurs pères ? Ou même le régime durera-t-il si peu longtemps que les pères aient eux-mêmes à expier ? #
N’y a-t-il pas des exemples de cela ? Des milliers de Juifs n’ont-ils pas perdu leur vie en Hongrie parce que Bela Kuhn avait instauré une république soviétique sur la terre de Saint Etienne ? Ce même Bela Kuhn qui avait fait massacrer 25 000 chrétiens en moins de cent jours ! Les Juifs de Hongrie ont payé chèrement pour avoir joué aux prophètes.
Au sein des Internationales, les Juifs apparaissent comme les éléments les plus radicaux.
Les Allemands, les Français, les Polonais, les Tchèques ont une patrie et leur internationalisme se résorbe en Allemagne, en France, en Pologne, en Tchécoslovaquie. Ils sont autochtones sous un pouvoir national. Cela est démontré dans la vie pratique En 1914, les Allemands brûlèrent le drapeau rouge dans le zoo de Berlin et coururent à la guerre avec des refrains patriotiques aux lèvres. Le socialiste polonais Daszinski fut au premier rang pour la lutte de la résurrection de la Pologne et les socialistes Tchèques chantèrent avec enthousiasme leur chant patriotique (Kde domov muj).
Seuls les Juifs ne voulaient rien entendre à propos de patrie. Ils tombèrent en prophètes ostensibles sur le champ de bataille de la liberté. Karl Liebnecht, Rosa Luxembourg, Kurt Eisner, Gustave Landauer : aucun Kaddosh ne sera récité#, aucune messe ne sera dite. Eux, et dans une certaine mesure, les enfants du Libéralisme, tous ces poètes, auteurs, artistes, journalistes (Juifs) ont préparé les temps présents, ont nourri l’antijuiverie, ont fourni base et matériaux au Nazisme. Ils ont tous désiré le mieux et n’ont atteint que le contraire.
La malédiction de l’aveuglement les avait frappés. #
Ils ne virent pas approcher la catastrophe. Ils n’entendirent pas les pas du temps, les pas lourds de leur destin, les pas très lourds de la Némésis de l’Histoire. »
Ce que les Juifs disent des Juifs
Dans son numéro du 1er juillet 1880, « Le Contemporain », une importante revue parisienne, publiait un long article sous le titre « Compte rendu de sir John Readcliff sur les événements politico-historiques survenus dans les dix dernières années ». Il s’agissait d’un discours prononcé à Prague par le rabbin Reichhorn en 1869 sur la tombe du grand rabbin Siméon Ben Jéhouda. Ce document a été reproduit dans le livre « La Russie juive », de Calixte de Volsky, puis dans « The Britons » de Londres, puis dans « La Vieille France (N° 214), et d’autres journaux. On apprit dans « La Vieille France » que Readcliff avait été tué peu avant la publication de ce document et que le Juif qui le lui avait procuré (un certain Lassalle) avait été tué en duel.
Tel fut le texte prononcé par le rabbin Reichorn :
« Tous les cent ans, nous les Sages d’Israël, avons coutume de nous réunir en Sanhédrin, afin d’examiner nos progrès vers la domination que nous a promise Jéhovah, et nos conquêtes sur la Chrétienté ennemie.
Cette année, réunis sur la tombe de notre vénéré Siméon Ben Jéhouda, nous pouvons constater avec fierté que le siècle écoulé nous a rapprochés du but et que ce but sera bientôt atteint. L’or a toujours été et sera toujours la puissance irrésistible. Manié par des mains expertes, il sera toujours le levier le plus utile pour ceux qui le possèdent et objet d’envie pour ceux qui ne le possèdent pas. Avec l’or on achète les consciences les plus rebelles, on fixe le taux de toutes les valeurs, le cours de tous les produits, on subvient aux emprunts des états qui sont ainsi à notre merci.
Déjà les principales banques, les Bourses du monde entier, les créances sur tous les gouvernements sont entre nos mains. L’autre grande puissance est la presse. En répétant sans relâche certaines idées, la presse les fait admettre comme vérités. Le théâtre rend des services analogues. » (le cinéma n’existait pas à cette époque et il deviendra leur monopole).
Partout la presse et le théâtre obéissent à nos directives. Par l’éloge infatigable du régime démocratique, nous diviserons les Chrétiens en partis politiques, nous détruirons l’unité de leurs nations, nous y sèmerons la discorde. Impuissants, ils subiront la loi de notre banque toujours unie, toujours dévouée à notre cause. Nous pousserons les Chrétiens aux guerres, en exploitant leur orgueil et leur stupidité. Ils se massacreront et déblaieront la place où nous pousserons les nôtres. La possession de la terre a toujours procuré l’influence et le pouvoir. Au nom de la justice sociale et de l’égalité nous morcellerons les grandes propriétés, nous en donnerons des fragments aux paysans qui les désirent de toutes leurs forces qui seront bientôt endettés par l’exploitation. Nos capitaux nous en rendrons maîtres. Nous serons à notre tour les grands propriétaires et la possession de la terre nous assurera la pouvoir.
Efforçons nous de remplacer dans la circulation l’or par le papier-monnaie. Nos caisses absorberont l’or et nous réglerons la valeur du papier, ce qui nous rendra maîtres de toutes les existences. Nous comptons parmi nous des orateurs capables de feindre l’enthousiasme et de persuader les foules. Nous les répandrons parmi les peuples pour annoncer les changements qui doivent réaliser le bonheur du genre humain. Par l’or, par la flatterie, nous gagnerons le prolétariat qui se chargera d’anéantir le capitalisme chrétien. Nous promettrons aux ouvriers des salaires qu’ils n’ont jamais osé rêver, mais nous élèverons ensuite le prix des choses nécessaires à tel point que nos profits seront encore plus grands. Nous préparerons ainsi les révolutions que les Chrétiens feront eux-mêmes et nous en cueillerons tous les fruits.
Par nos railleries, par nos attaques, nous rendrons leurs prêtres ridicules et odieux, et leur religion aussi ridicule et odieuse que leur clergé. Nous serons ainsi maîtres de leurs âmes. Car notre pieux attachement à notre religion à notre culte prouvera la supériorité de nos âmes.
Nous avons déjà placé nos hommes dans toutes les positions importantes. Efforçons-nous de fournir aux Goyim des avocats et des médecins. Les avocats sont au courant de tous les intérêts ; les médecins, une fois dans la maison, deviennent des confesseurs et des directeurs de conscience.
Mais, avant tout, accaparons l’enseignement. Par-là, nous répandrons depuis l’enfance les idées qui nous sont utiles et nous pétrirons les cerveaux à notre gré. Si l’un des nôtres tombent par malheur dans les griffes de la justice des Chrétiens, courons à son aide. Trouvons autant de témoignages qu’il en faut pour le sauver de ses juges, en attendant que nous soyons juges nous-mêmes.
Les monarques de la Chrétienté, gonflés d’ambition et de vanité, s’entourent de luxe et d’armées nombreuses. Nous leur fournirons tout l’argent que réclame leur folie et nous les tiendrons en laisse. Gardons-nous d’empêcher le mariage de nos hommes avec des filles chrétiennes : car par elles nous pénétrons dans les cercles les plus fermés. Si nos filles épousent des Goyim, elles ne nous seront pas moins utiles car les enfants d’une mère juive sont à nous. Propageons l’idée de l’union libre pour détruire chez les femmes chrétiennes l’attachement aux principes et aux pratiques de leur religion.
Depuis des siècles, les fils d’Israël méprisés, persécutés, ont travaillé à se frayer un chemin vers la puissance : ils touchent au but. Ils contrôlent la vie économique des Chrétiens maudits ; leur influence est prépondérante sur la politique et les mœurs. A l’heure voulue, fixée d’avance, nous déchaînerons la révolution qui, ruinant toutes les classes de la Chrétienté, nous asservira définitivement les Chrétiens.
Ainsi s’accomplira la promesse de Dieu faite à son peuple. # »
Baruch Lévy, Juif
Ami de Adolphe Crémieux et de Rothschild, Baruch Lévy a écrit la lettre suivante à Karl Marx. Cette lettre méconnue fut pourtant reproduite dans de nombreux livres et journaux, dont la « Revue de Paris » du 1er juin 1928, page 574 : « Dans la nouvelle organisation de l’humanité, les enfants d’Israël se répandront sur toute la surface du globe et deviendront partout sans la moindre opposition l’élément dirigeant, surtout s’ils réussissent à imposer à la classe ouvrière le ferme contrôle de quelques-uns d’entre-eux. Les gouvernements des nations formant la République Universelle passeront sans effort aux mains des Juifs sous le couvert de la victoire du prolétariat.
La propriété privée sera alors supprimée par les gouvernants juifs qui contrôleront partout les fonds publics. Ainsi se réalisera la promesse du Talmud que lorsque le temps du Messie arrivera les Juifs posséderont les biens de tous les peuples de la terre ».
Saint Paul a dit lui-même : « Les Juifs ne plaisent point à Dieu et sont les ennemis du genre humain » (première épître). Tout ce qui est rapporté ici, parfaitement réalisé en l’an 2000, ne donne pas tort à saint Paul…
Les Glandes de l’humanité.
Texte composé par Louis Lévy en 1918, édité par la maison « Nytnordisk Forlag » de Copenhague. Il fut lu par l’acteur juif Samuel Basekow à une fête en faveur du Karen Hajesad à Copenhague 8 décembre 1935 d’après le « Berlingske Tidende » du 9 décembre 1935 devant un auditoire juif en délire.
« Les temps sont venus – et une seule chose importe maintenant – c’est que nous nous manifestions pour ce que nous sommes : une nation entre les nations – les princes de l’argent et de l’intelligence. Un soupir va s’élever de toute la terre et les foules frémiront tandis qu’elles écouteront attentivement la sagesse qui réside chez les Juifs.
Qui ignore ce que signifient les glandes du corps humain ? Eh bien, maintenant, par un judicieux instinct de conservation, les Juifs se sont fixés dans les glandes de la communauté moderne des peuples. Les glandes de cette communauté des peuples, ce sont les Bourses, les Banques, les Ministères, les grands quotidiens, les maisons d’édition, les commissions d’arbitrage, les sociétés d’assurances, les hôpitaux, les Palais de Justice.
Il y a quelques publicains et quelques pécheurs, des savants et des professeurs qui affirment qu’il n’y a pas de Question juive. Demandez-le donc au premier qui passe dans la rue, il est mieux renseigné. Par sa jalousie belliqueuse, ce rustre sera antisémite !
Naturellement il faudrait que le peuple Juif ait une représentation internationale, un territoire national qui lui soit propre. Ne croyez pas que les Juifs de l’Europe Occidentale bougeront d’un pas. En apparence tout restera inchangé et pourtant tout sera transformé. Jérusalem deviendra la papauté nouvelle. Jérusalem ressemblera à une toile d’araignée laborieuse, une toile dont les fils d’électricité brilleront sur le monde entier.
Le centre de ce réseau d’or d’où partiront tous les fils sera Jérusalem. »
« Jewish World »
Un des principaux journaux juifs d’Angleterre a publié le 9 février 1883 le texte suivant : « La dispersion des Juifs a fait d’eux un peuple cosmopolite. Ils sont le seul peuple vraiment cosmopolite et en cette qualité ils doivent agir et ils agissent comme un dissolvant de toute distinction de race et de nationalité.
Le grand idéal du Judaïsme n’est pas que les Juifs se rassemblent un jour dans quelque coin de la terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l’enseignement juif et que dans une fraternité universelle des Nations – un plus grand Judaïsme en fait – toutes les races et religions séparées disparaissent.
En tant que peuple cosmopolite, les Juifs ont dépassé le stage que représente dans la vie sociale la forme nationale du séparatisme. Ils ne pourront plus jamais y revenir. Ils ont fait du monde entier leur « home » et ils tendent maintenant leurs mains aux autres nations de la terre afin qu’elles suivent leur exemple. Ils font plus. Par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l’activité publique, ils sont en train de couler graduellement les pensées et les systèmes non-juifs dans des moules juifs. »
Walter Ratheneau, Juif
Industriel (AEG) et organisateur de l’économie de guerre du Reich pendant la Première guerre mondiale, Walter Ratheneau, Juif et ministre des Affaires étrangères allemand, a publié dans « Wiener Press » les propos suivants en décembre 1921 : « Trois cents hommes seulement dont chacun connaît tous les autres gouvernent les destinées de l’Europe. Ils choisissent leurs successeurs dans leur entourage. Les Juifs allemands ont en main les moyens de mettre fin à toute forme de gouvernement qu’ils jugent déraisonnable. »
Benjamin Disraeli, Juif
Le Premier ministre de la reine Victoria a écrit ceci dans « Coningsby », roman célèbre publié en 1844 : « Et en ce moment même, en dépit de siècles ou de dizaines de siècles de dégradation, l’esprit juif exerce une vaste influence sur les affaires d’Europe. Je ne parle pas de leurs lois auxquelles vous obéissez toujours, de leur littérature dont vos cerveaux sont saturés, mais l’intellect israélite actuel. Vous ne verrez jamais un grand mouvement intellectuel en Europe auquel les Juifs n’auront pas largement participé. Cette mystérieuse diplomatie russe qui alarme tant l’Europe est organisée et menée principalement par les Juifs. Cette grande révolution, qui sera en fait une seconde Réforme, plus importante que la première, et de laquelle on sait si peu de choses en Angleterre se développe sous les auspices de Juifs qui monopolisent en grande partie les chaires professorales d’Allemagne.
Neander, le fondateur du Christianisme spirituel et qui est professeur royal de théologie à l’Université de Berlin, est Juif. Benary, également célèbre, et de la même université est Juif également.
Il y a de cela quelques années, on s’adressa à nous de Russie. En vérité il n’y a jamais eu entre la Cour de Saint Pétersbourg et ma famille (Rothschild) des liens d’amitié… Cependant les circonstances inclinèrent vers un rapprochement entre les Romanoff et les Sidonia (Rothschild). Je résolus d’aller moi-même à Saint Pétersbourg. J’eus en arrivant une entrevue avec le ministre des Finances de la Russie, le Comte Cancrine. Je me trouvai en face du fils d’un Juif lithuanien. L’emprunt était en rapport avec les affaires d’Espagne. Je voyageai d’une traite. J’obtins dès mon arrivée audience du ministre espagnol, el Senor Mendizabel. Je me trouvais en face d’un de mes semblables, le fils d’un « nuevo christiano », un Juif d’Aragon.
Par suite de ce qui transpirait à Madrid, j’allais tout droit à Paris pour y consulter le président du Conseil français. Je me trouvais en face d’un Juif français : un héros, un maréchal d’empire, et il n’y avait là rien d’étonnant, car où seraient les héros militaires sinon parmi ceux qui adorent le Dieu des armées ?
– Et Soult, est-il Juif ? – Oui, et bien d’autres maréchaux français. Le plus célèbre d’entre eux est Masséna, dont le vrai nom est Mannasseh.
Mais revenons à mon anecdote. Le résultat de nos consultations fut qu’il serait bon de faire appel à quelque puissance septentrionale en qualité d’amie et de médiatrice. Nous fixâmes notre choix sur la Prusse, et le Président du Conseil fit une démarche auprès du ministre prussien qui assista quelques jours plus tard à notre conférence. Le Comte Arnim entra dans le cabinet et je me trouvai en face d’un Juif prussien. Vous voyez bien, mon cher Coningsby, que le monde est gouverné par de tous autres personnages que ne s’imaginent ceux qui ne sont pas dans les coulisses… »
Benjamin Disraeli, Juif
Benjamin Disraeli, (Lord Beaconsfield) publia un autre livre intitulé « The life of Lord George Bentinck, a political biography ». A la page 357 de ce livre, il écrivait ceci : « Qu’une insurrection éclate contre la tradition et l’aristocratie, contre la religion et le droit de propriété, alors l’égalité naturelle de l’homme et l’abolition du droit de propriété seront proclamés par des sociétés secrètes qui forment des gouvernements provisoires, car des Juifs se trouvent à la tête de chacune de ces sociétés. Le peuple de Dieu collabore avec les athées : les plus habiles accumulateurs de richesses s’allient avec les Communistes. La race particulière et choisie donne la main à toute la lie et à toute l’écume des bas-fonds de l’Europe et tout cela parce que les Juifs veulent détruire cette ingrate chrétienté qui leur doit même son nom et dont ils ne veulent plus endurer la tyrannie. »
Disraeli écrivit aussi à la même page, au sujet de la révolution de 1848 qui plongea plusieurs pays dans le chaos : « Si cela n’avait pas été le fait des Juifs, cette perturbation indésirable n’aurait pas ravagé l’Europe. »
Marcus Eli Ravage, Juif
Cet auteur juif a écrit dans le « Century Magazine » de janvier et février 1928 ce qui suit : « Vous faites beaucoup de bruit autour de l’influence indue des Juifs dans le théâtre et le cinéma. Très bien. Admettons que votre plainte est fondée. Mais qu’est-ce que cela à côté de notre influence pénétrante dans vos églises, vos écoles, vos lois, vos pensées de chaque jour ? Vous n’avez pas encore commencé à apprécier la profondeur réelle de notre culpabilité. Nous sommes des intrus. Nous sommes des trouble-fête. Nous sommes des subversifs. Nous avons pris votre monde naturel, vos idéals, votre destinée et nous les avons brouillés. Nous avons été à la racine non seulement de la dernière grande guerre, mais de presque toutes vos guerres, non seulement de la révolution russe mais de toutes les révolutions majeures de votre Histoire. Nous avons apporté la discorde, la confusion et la frustration dans votre vie personnelle et publique. Nous le faisons encore et personne ne peut dire combien de temps nous le ferons encore.
Qui sait quelle grande et glorieuse destinée eût été la vôtre si nous vous avions laissés tranquilles ! Mais nous ne vous avons pas laissés tranquilles. Nous vous avons pris en main et avons abattu la belle et généreuse structure que vous aviez édifiée et nous avons changé le cours de votre Histoire. Nous vous avons conquis comme jamais un de vos empires n’a subjugué l’Afrique et l’Asie. Et nous l’avons fait sans armes, sans balles, sans carnage et sans fracas par la seule force de notre esprit. Nous l’avons fait seulement par l’irrésistible force de notre esprit, de nos idées, de notre propagande.
Prenez les trois principales révolutions des temps modernes, la française, l’américaine et la russe. Que sont-elles, sinon le triomphe de l’idée juive sur la justice sociale, politique et économique. Nous vous dominons encore… Est-il étonnant que vous nous en vouliez ? Nous avons mis un frein à votre progrès. Nous avons simplement divisé votre âme, jeté la confusion dans vos impulsions, paralysé vos désirs. Si nous étions à votre place, nous vous détesterions plus que nous ne vous détestons. Vous nous appelez des subversifs, des agitateurs, des fomentateurs de révolutions. C’est vrai. On peut apprendre avec le plus simple effort et la moindre réalisation des faits que nous avons été au fond de toutes les révolutions majeures de votre Histoire. Sans aucun doute nous avons joué un rôle important dans la révolution luthérienne, et c’est un fait connu que nous avons été les instigateurs principaux des révolutions bourgeoises, démocratiques de l’avant dernier siècle en France et aux Etats Unis. Si nous ne l’avions pas été nous eussions ignoré nos intérêts. »
Isidore Loeb, Juif
Dans son livre « La Question juive », Georges Batault cite les propos suivants d’Isidore Loeb : « Les nations se réuniront pour aller porter leur hommage au peuple de Dieu : toute la fortune des nations passera au peuple Juif. Elles marcheront derrière le peuple juif dans les chaînes comme des captifs et se prosterneront devant lui. Les rois élèveront ses fils et les princesses seront les nourrices de ses enfants. Les Juifs commanderont aux nations. Ils appelleront à eux des peuples qu’ils ne connaissent même pas et des peuples qui ne les connaissent pas accourront vers eux. Les richesses de la mer et la fortune des nations viendront d’elles-mêmes aux Juifs. Le peuple et le royaume qui ne serviront pas Israël seront détruits. Le peuple élu boira le lait des nations et sucera la mamelle des rois. Il mangera la fortune des nations et se couvrira de leur éclat. Les Juifs vivront dans l’abondance et la joie. Leur bonheur ne prendra pas fin, leur cœur se réjouira, ils pousseront comme l’herbe. Les Juifs seront une race bénie de Dieu et le peuple tout entier sera un peuple de dieux. La postérité des Juifs et leur nom seront éternels. Le plus petit d’entre eux se multipliera par milliers et le plus infime deviendra une grande nation. Dieu fera avec eux une alliance éternelle. Il régnera de nouveau sur eux et leur puissance sur les hommes sera telle que suivant une expression consacrée, ils marcheront par grandes enjambées sur les hauteurs de la terre. La nature elle-même sera transformée en une sorte de paradis terrestre : ce sera l’âge d’or de l’humanité. »
« La Revue des Etudes Juives »
Financée par James de Rothschild, cette revue a publié en 1880 un document inédit qui montre les Sages de Sion à l’œuvre en France dès le XVème siècle pour diriger l’action conquérante des Juifs.
Le 13 janvier 1489, Chamor, rabbin des Juifs d’Arles en Provence, écrit au grand Sanhédrin siégeant à Constantinople et lui demande conseil dans des circonstances critiques.
Les Français d’Aix, d’Arles, de Marseille, qui ne se trahissent pas en ce temps-là par l’élection d’un Léon Blum, menacent les synagogues : Que faire ?
Telle fut la réponse : « Bien-aimés frères en Moïse, nous avons reçu votre lettre dans laquelle vous nous faites connaître les anxiétés et les infortunes que vous endurez. Nous en avons été pénétrés d’une aussi grande peine que vous-même.
L’avis des grands satrapes et rabbins et le suivant : à ce que vous dites que l’on vous impose, il est bien de vous faire chrétien. Faites le puisque vous y êtes obligé mais gardez la loi de Moïse dans votre cœur.
A ce que vous dites qu’on commande de vous dépouiller de vos biens : faites vos enfants marchands afin que peu à peu ils dépouillent les Chrétiens des leurs. A ce que vous dites qu’on attente à vos vies, faites vos enfants médecins et apothicaires afin qu’ils ôtent aux Chrétiens leurs vies.# A ce que vous dites qu’ils détruisent vos synagogues, faites vos enfants chanoines et clercs afin qu’ils détruisent leur Eglise.# A ce que vous dites qu’on vous fait d’autres vexations : faites en sorte que vos enfants soient avocats, notaires, et que toujours ils se mêlent des affaires des Etats afin que, en mettant les Chrétiens sous votre joug, vous dominiez le monde et vous puissiez vous venger d’eux.
Ne vous écartez pas de cet ordre que nous vous donnons, parce que vous seriez abaissés alors que vous êtes bientôt au faîte de la puissance. »
(signé ; V.S.S.V.F.F., Prince des Juifs, le 21 de Casleu, novembre 1489)
Les Protocoles des Sages de Sion
Citons pour mémoire ce texte confondant de vérité. Le Canadian Jewish Congress a tenté de discréditer ce document en s’appuyant sur un article de « L’Ordre » que le « Patriote » avait confondu en mars 1934. Dans un pamphlet. le CJC prétend que « les Protocoles des Sages de Sion » furent publiés pour la première fois à Londres en 1920, alors que le British Museum avait catalogué cet ouvrage, édition Nilus, dès 1906. (sous la cote 3926 D17, 10 août 1906, tel que mentionné par les éditeurs de la première édition anglaise, la maison « Eyres and Spottishwoode, Limited », imprimeur du gouvernement britannique)
Remarquons une fois encore que l’authenticité est sans importance, puisque tout ce qui est dans ces textes est vrai. J’ai personnellement constaté pendant ma vie, tout au long du XXème siècle, la réalisation, de tous les mots d’ordre de ce livre, et même bien pire (freudisme, pornographie, musiques pathogènes et criminogènes, drogue, effondrement écologique, effondrement intellectuel et esthétique, sans parler de la suprême horreur marxiste).
Werner Sombart, Juif
Dans son étude « Les Juifs et la vie économique » (1926, page 51) Werner Sombart, économiste et sociologue allemand, nous dit : « Dans une certaine mesure, on est en droit d’affirmer que c’est à l’empreinte juive que les Etats-Unis doivent d’être ce qu’ils sont, c’est-à-dire leur américanisme, car ce que nous appelons américanisme n’est que l’esprit juif ayant trouvé son expression définitive. Et étant donné l’énorme influence que depuis sa découverte l’Amérique n’a pas cessé d’exercer sur la vie économique de l’Europe et sur l’ensemble de la culture européenne, le rôle que les Juifs ont joué dans l’édification du monde américain est devenu d’une importance capitale pour toute l’évolution de notre histoire. »
Le coadjuteur du Grand Rabbin de Jérusalem
Ce rapport sur la situation en Palestine (Source : Agence Télégraphique Juive, juillet 1920) déclarait ceci : « Le Juif apparaît dès à présent comme le véritable monarque du monde. Des empires comme la Russie, l’Allemagne, l’Autriche sont gouvernés par les Juifs. Les Juifs sont les conducteurs des peuples. Bientôt suivront les autres pays et les autres nations. Les Juifs verront flotter leur drapeau sur le monde entier. »
Henri Barbusse, Juif
Dans son livre « Jésus nous dit », cet admirateur de Staline tient les propos suivants : « Nous traiterons les nations avec une verge de fer. Or, la justice, c’est le rétablissement de la dynastie de David : la pitié, c’est celle de la condition des Juifs. La foi, c’est celle de la revanche. Je te dis que nous les vrais et les seuls accomplisseurs de la loi de la lutte finale pour le royaume de Dieu et pour la vie éternelle qui est la gloire éternelle du conquérant juif. Que par toi le verbe du Seigneur roule sur les villes comme un rouleau. J’ai dans l’esprit un soulèvement qui ressemble à la révolution ».
Adolphe Crémieux, Juif
Adolphe Crémieux, émancipateur des Juifs d’Algérie, était Grand Maître du Grand Orient de France, président de l’Alliance Israélite Universelle et fut deux fois ministre de la Justice en 1848 et en 1870, au moment critique de ces deux révolutions. La déclaration suivante fut reproduite dans « The Morning Post » de Londres du 6 septembre 1920 : « L’union que nous désirons fonder ne sera pas une union française, anglaise, irlandaise ou allemande mais une union juive universelle. D’autres peuples et races sont divisées en nationalités. Nous seuls n’avons pas de citoyens mais des coreligionnaires.
En aucune circonstance, un Juif ne deviendra l’ami d’un Chrétien ou d’un Musulman avant qu’arrive le moment où la lumière de la foi juive, la seule religion de la raison brillera sur le monde entier. Dispersés parmi les autres nations, qui depuis un temps immémorial furent hostiles à nos droits et à nos intérêts, nous désirons d’abord être et rester immuablement Juifs. Notre nationalité, c’est la religion de nos pères et nous ne reconnaissons aucune autre nationalité. Nous habitons des pays étrangers et ne saurions nous inquiéter des ambitions changeantes de pays qui nous sont entièrement étrangers pendant que nos problèmes moraux et matériels sont cruciaux. L’enseignement Juif doit s’étendre à toute la terre.
Israélites ! quelqu’endroit où le destin vous conduise, dispersés comme vous l’êtes sur toute la terre, vous devez toujours vous considérer comme faisant partie du peuple élu.
Si vous vous rendez compte que la foi de vos pères est votre unique patriotisme, si vous reconnaissez qu’en dépit des nationalités que vous avez adoptées, vous restez et formez toujours et partout une seule et unique nation, si vous croyez que le Judaïsme est la seule et unique vérité religieuse et POLITIQUE, si vous êtes convaincus de cela, Israélites de l’univers, alors, venez, entendez notre appel, et envoyez nous votre adhésion.
Notre cause est grande et sainte et son succès est assuré. Le Catholicisme, notre ennemi de tous les temps, gît dans la poussière, mortellement frappé à la tête. Le filet qu’Israël jette actuellement sur le globe terrestre s’élargit et s’étend et les graves prophéties de nos livres saints vont enfin se réaliser.
Le temps est proche où Jérusalem va devenir la maison de prière de toutes les nations et de tous les peuples, où la bannière unique du Dieu d’Israël sera déployée et hissée sur les rivages les plus lointains. Mettons à profit toutes les occasions.
Notre puissance est immense : apprenons à adapter cette puissance à notre cause. Qu’avez-vous à craindre ? Le jour n’est pas éloigné où toutes les richesses, tous les trésors de la terre deviendront la propriété des enfants d’Israël. »
Adolphe Crémieux, Juif
Cet homme d’influence déclarait dans la revue « Les Archives israélites » (cahier N°25, 1861) : « Un messianisme des temps nouveaux va surgir, la Jérusalem d’un nouvel ordre, sainte fondation entre l’Orient et L’Occident, doit se substituer au double empire des papes et des empereurs. Je ne cache pas qu’au cours des années, je n’aie jamais consacré ma pensée qu’à cette seule et unique œuvre. A peine a-t-elle commencé son œuvre que l’influence de l’Alliance Israélite Universelle s’est faite sentir au loin.
Elle ne se restreint pas seulement à notre culte, elle veut pénétrer dans toutes les religions comme elle a pénétré tous les pays.
· Les nationalités doivent disparaître, les religions doivent être supprimées.
· Israël, lui ne doit pas disparaître car ce petit peuple est l’élu de Dieu.
Dans tous les pays nous devons mettre les Juifs isolés en relation avec les autorités pour qu’à la première nouvelle d’une attaque nous puissions nous lever comme un seul homme. Nos voix désirent se faire entendre dans les cabinets des ministres, jusqu’aux oreilles des princes et advienne que pourra. Tant pis si nous devons faire usage des lois de force incompatibles avec les progrès de l’heure, nous nous joindrons alors à tous les protestataires#. On nous adjure de pardonner le passé, le moment est là où se crée sur des fondements inébranlables une alliance immortelle. »
René Groos, Juif
Dans un article publié par « Le Nouveau Mercure » de mai 1927, il écrit ceci : « Les deux internationales de la finance et de la révolution travaillent avec ardeur : elles sont les deux visages de l’internationale juive… Il y a une conspiration juive contre toutes les nations. »
Blumenthal, Juif
Ce rédacteur du « Judisk Tidskrift » a écrit ceci (N°57, 1929) : « Notre race a donné au monde un nouveau prophète, mais il a deux visages et porte deux noms : Rothschild, chef des grands capitalistes, et Karl Marx, l’apôtre des ennemis de l’autre. »
(Ces lignes résument toute la politique mondiale).
La conférence centrale des rabbins américains
Le journal Juif « The Sentinel » de Chigago, rapporte dans son numéro du 24 septembre 1936, les propos suivants, tenus pendant cette conférence : « La plus remarquable mais aussi la plus nuisible des conséquences de la guerre mondiale a été la création de nouveaux nationalismes et l’exaltation de ceux qui existaient déjà.
Le nationalisme est un danger pour le peuple juif. Aujourd’hui comme à toutes les époques de l’Histoire, il est prouvé que les Juifs ne peuvent demeurer dans les Etats forts où s’est développée une haute culture nationale. # »
Déclarations faites au sein du B’nai B’rith
Cette secte maçonnique exclusivement juive, est donc interdite aux Goyim. Les propos qui y furent tenus ont été cités par « Le Réveil du Peuple » de février 1936 : « Aussi longtemps que subsistera parmi les Goyim une conception morale de l’ordre social, et aussi longtemps que la foi, le patriotisme et la dignité n’auront pas été déracinés, notre règne sur le monde est impossible.
Nous avons déjà accompli une partie de notre tâche mais nous ne pouvons encore prétendre que tout le travail est accompli. Nous avons encore un long chemin à parcourir avant de renverser notre principal ennemi : l’Eglise catholique. Nous devons toujours avoir à l’esprit que l’Eglise catholique est la seule institution qui s’est maintenue et qui, tant qu’elle se maintiendra, nous barrera la route.
L’Eglise catholique, par son travail méthodique et par ses enseignements édifiants et moraux, tiendra toujours ses enfants dans un tel état d’esprit qu’ils auront trop de respect d’eux-mêmes pour plier devant notre domination et pour fléchir devant notre futur roi d’Israël.
C’est pourquoi nous nous sommes efforcés de découvrir le meilleur moyen de secouer l’Eglise catholique dans ses bases profondes. Nous avons répandu l’esprit de révolte et un faux libéralisme parmi les nations des Goyim de façon à les persuader d’abandonner leur foi et même à leur inspirer la honte de professer les préceptes de leur religion et d’obéir aux commandements de leur Eglise. Nous avons conduit de nombreux parmi eux à se vanter d’être des athées et mieux encore, à se glorifier d’être des descendants du singe !
· Nous leur avons fourni des théories nouvelles de réalisation radicalement impossible, telles que le communisme, le socialisme ou l’anarchisme.
Ces mythes servent nos fins. Les Goyim, stupides, les ont acceptés avec le plus grand enthousiasme sans réaliser le moins du monde que ces théories viennent de nous et qu’elles constituent un puissant instrument contre eux-mêmes.
Nous avons noirci l’Eglise par les plus ignominieuses calomnies. Nous avons sali son histoire et jeté le discrédit sur ses plus nobles activités. Nous lui avons imputé les torts de ses ennemis et avons amené ces derniers à se rapprocher plus étroitement de nous. Ainsi nous sommes aujourd’hui les témoins satisfaits de rébellions contre l’Eglise dans plusieurs pays.
Nous avons transformé son clergé en objet de haine et de dérision. Nous l’avons exposé au mépris de la foule. Nous avons fait considérer comme démodés et comme perte de temps, les pratiques de la religion catholique.
Les Goyim, à notre stupéfaction, se sont montrés des dupes extraordinaires. On s’attendait à plus d’intelligence et de sens pratique de leur part mais ils ne valent pas mieux qu’un troupeau de moutons : laissons les paître dans nos champs jusqu’à ce qu’ils soient assez gras pour être immolés à notre futur Roi du Monde.
Nous avons fondé de nombreuses associations secrètes qui travaillent à nos fins, sous nos ordres et notre direction. Nous avons fait en sorte que les Goyim considèrent comme un honneur d’en faire partie. Elles sont plus florissantes que jamais grâce à notre or.
Les Goyim qui trahissent ainsi leurs intérêts les plus précieux, doivent ignorer que ces associations sont notre œuvre et qu’elles travaillent pour nous. L’un des nombreux triomphes de la Franc Maçonnerie est que les Goyim ne soupçonnent même pas que nous nous servons d’eux pour construire leur propre prison, et qu’ils forgent les chaînes de leur propre servilité à notre égard. #
Jusqu’ici nous avons conduit nos attaques contre l’Eglise suivant une stratégie opérant de l’extérieur. Mais ce n’est pas tout. Voyons maintenant comment nous avons procédé pour hâter la ruine de l’Eglise, comment nous avons pénétré dans ses cercles les plus intimes et amené une grande partie de son clergé à se faire les chantres de notre cause.
En plus de l’influence de notre philosophie, nous avons pris d’autres mesures pour ouvrir une brèche dans l’Eglise. Nous avons induit certains de nos enfants à se joindre au corps catholique, avec l’intimation explicite qu’ils devaient travailler d’une façon encore plus efficace à la désintégration de l’Eglise en créant des scandales dans son sein. Nous avons obéi à l’ordre séculaire : « faites de vos enfants des chanoines afin qu’ils puissent détruire l’Eglise ».
Malheureusement des Juifs convertis n’ont pas tous été fidèles à leur mission. # Plusieurs d’entre eux nous ont trahis. Mais un grand nombre a tenu sa promesse et fait honneur à sa parole.
Nous sommes les pères de toutes les révolutions, même ce celles qui parfois se sont retournées contre nous. Nous sommes les maîtres suprêmes de la paix et de la guerre. Nous pouvons nous vanter d’avoir été les créateurs de la Réforme.
Calvin était Juif, l’autorité juive lui fit confiance et il eut l’aide de la finance juive pour dresser son plan de réforme.
Martin Luther céda aux influences de ses amis Juifs et grâce à l’autorité et à la finance juive, son complot contre l’Eglise fut couronné de succès.
Grâce à notre propagande à nos théories sur le Libéralisme, à notre définition perverse de la Liberté, les Goyim furent prêts à accepter la Réforme. Ils se séparèrent de l’Eglise pour tomber dans nos filets. L’Eglise s’affaiblit, son autorité sur les rois fut réduite à néant.
Nous sommes reconnaissants envers les protestants pour leur loyauté à nos desseins. Mais la plupart d’entre-eux ignorent totalement qu’ils nous sont loyaux. Mais nous leur sommes reconnaissants pour l’aide merveilleuse qu’ils nous donnent dans notre lutte contre le château-fort de la civilisation chrétienne et nos préparatifs vers l’avènement de notre suprématie sur le monde entier et les royaumes de Goyim.
Nous avons réussi à renverser la majorité des trônes d’Europe. Les autres suivront dans un proche avenir. La Russie sert déjà notre domination. La France, avec son gouvernement maçonnique est entièrement à notre merci. L’Angleterre par sa dépendance à notre finance, est sous notre talon et son protestantisme détruira le catholicisme dans le pays. L’Espagne et le Mexique ne sont que des jouets entre nos mains.
De nombreux pays sont entre nos mains : les Etats Unis y sont intégralement. Mais l’Eglise est toujours vivante. Nous devons la détruire sans attendre davantage et sans la moindre pitié.# La presse mondiale est sous notre contrôle. Encourageons de façon plus violente la haine contre l’Eglise catholique. Intensifions nos activités dans l’empoisonnement de la morale des Goyim. Répandons l’esprit de révolution dans le cœur des peuples.
Il faut les amener à mépriser le patriotisme, l’amour de leur famille, à considérer leur foi comme une fadaise, leur obéissance à l’Eglise comme une servilité dégradante de sorte qu’ils deviennent sourds à l’appel de l’Eglise et aveugles à ses cris d’alarme contre nous. #
Par dessus tout rendons impossible la réunion à l’Eglise des chrétiens qui sont hors de son giron et la réunion des non chrétiens à l’Eglise. Autrement, le plus grand obstacle à notre domination sera raffermi et notre travail restera inaccompli. # Notre complot serait dévoilé. Les Goyim se retourneraient contre nous dans un esprit de vengeance et notre domination deviendrait impossible. #
Tant que l’Eglise aura des militants, nous ne serons pas les maîtres du monde. Les Juifs ne régneront que lorsque le Pape de Rome sera détrôné, comme tous les autres monarques de la terre. »
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