VII
11 existe au coeur de Paris, dans la rue du Croissant, une sorte
d'officine, c'est là que s'impriment, que se vendent en gros, que
s'exportent pour la province les journaux révolutionnaires; or, on
ne saurait trop le répéter, cette officine est absolument aux mains
des Juifs. Là se créent avec l'argent juif les journaux radicaux et
antichrétiens.
Il y a là une organisation qu'il importe de faire connaître parce
qu'elle révèle l'effort des Juifs, dirigeant les franc-maçons, et comment
ils ont organisé cette effroyable propagande contre la presse
catholique, contre la presse religieuse au profit de la libre pensée et
de l'incroyance.
Deux des imprimeries de la rue sont juives, les deux autres ont
des associés juifs et franc-maçons; à côté de ces imprimeries nous
trouvons deux autres grandes imprimeries juives» faubourg Montmartre
et rue de la Grange-Batelière, plus loin l'imprimerie juive de
la Lanterne. De ces établissements sortent la plupart des journaux
révolutionnaires et antireligieux.
Les Juifs fournissent d'abord de l'argent pour créer des journaux.
Ils y trouvent un triple profit : 1° par le Bulletin financier du journal
ils tripotent et s'enrichissent à la Bourse, 2° si le journaljréussit, ils
touchent de gros bénéfices, 3° ils possèdent un levier puissant pour
battre en brèche le parti conservateur, le chrétien, sa religion, ses
moeurs et ses lois et pour entraver autant que possible la marche des
journaux conservateurs.
On ne connaît qu'un seul exemple à Paris de Juifs dirigeant un
journal qui passe pour conservateur, mais qui surtout est un journal
boulevardier.
La Liberté, créée et dirigée par le Juif Péreîre, n'est pas absolument
inféodée au parti républicain ; mais le fondateur étant Juif et
saint-simonien, la Liberté ne peut, on lë comprend, passer ni pour
un journal conservateur, ni pour un journal chrétien.
Mais ces deux exceptions à part, la presse créée ou soutenue par
les Juifs est toute radicale et libre;penseuse.
11 nous serait impossible de donner la liste complète de tous les
journaux fondés ou soudoyés indirectement par des Juifs, depuis
l'année 1870.
En voici cependant un certain nombre créés par eux :
La République Française-. La Petite République. La Semaine
Populaire. La Famille, L'Armée française. Le Lampion de
lier luron. La Petite Mode. L'Imagerie Patriotique,
Ces huit journaux ont ét.ê fondés par Gambetta, par son ami
M. Spuller, d'origine badoise et Juif; par M. Scheurer-Kestner,
Juif; par M. Jean David, Juif; par les frères Reynach, Juifs, ainsi
que par M. Paul Bert, franc-maçon influent (1).
Par cet ensemble de journaux, Gambetta espérait pénétrer dans
toutes les classes de la société et les déchristianiser. Sa devise : Le
cléricalisme (c'est-à-dire le christianisme) voilà ïennemi ! s'y trouve,
en effet, développée sous mille formes.
Il y a dans les 'journaux créés par lui du poison à toutes les
doses, sous toutes les formes, selon toutes les formules.
Le Petit Journal a été fondé par le Juif Millaud.
La Lanterne a été fondée par le Juif Mayer; elle est dirigée par
lui.
L'Intransigeanty le journal d'Henri Rochefort, a été fondé par le
même Juif Mayer.
Le Courrier de Paris a été fondé par le Juif Mayer. Le journal
Paris a été fondé par le Juif Vel Picard. La Nation appartient au
Juif Dreyfus. La Paix est au Juif Dreyfus. Le Journal officiel est
imprimé par le Juif Wittersheim. Le Grand Journal a été fondé par
le Juif David. La Police illustrée, par le Juif Meyer. Le Rappel est
le journal des Juifs Meurice et Lockroy, celui-ci actuellement
ministre du commerce et chargé d'organiser la grande manifestation
du centenaire de 1789.
Le XIX" Siècle a été fondé par une société dans laquelle figurent
deux Juifs, MM.Cernuschi et Crémieux et de nombreux francsmaçons.
La Ligue, de M. Andrieux, l'exécuteur de l'article 7 contre les
religieux, a été créée par le Juif Crémieux.
Il existe dans le Ghetto de la rue du Croissant de véritables
fabriques de journaux radicaux, libres penseurs, antireligieux.
Ces feuilles sont créées, éditées, mises en vente par les Juifs
Dreyfus, Strauss, Madré, Simon Heymann, etc..
On est vraiment effrayé du nombre de ces journaux et de leur
variété, ce sont : la Caricature, le Tam-Tam, la République illustrée,
le Journal des Abrutis, la Science pour tous, la Médecine
pour tous, le Journal des Voyages, la Nouvelle Lune, le Monde
Comique, la Libre-pensée, etc., etc..
L'éclosion des journaux pornographiques, qui a scandalisé même
des journaux républicains, s'est produite dans l'officine juive de la
rue du Croissant.
Citons encore la Revue bleue et la Revue Rose, éditées par
M. Félix Alcan, Juif.
Les Israélites ne se contentent pas de soudoyer, de créer des
publications radicales, ils les répandent, ils leur font distribuer des
réclames financières et des annonces par leurs agences.
Paris ne possède que 80 éditeurs; sur ce nombre, 20 sont Israélites.
Ce sont eux qui lancent les publications révolutionnaires et
antireligieuses. C'est le Juif Strauss qui édita les oeuvres impies de
M. Léo Taxil; c'est le Juif Picard-Bernheim qui édite les oeuvres
antireligieuses de M. Paul Bert; c'est le Juif Alcan qui répand les
traductions des matérialistes allemands; c'est un éditeur juif qui a
lancé les Blasphèmes où toutes les religions sont bafouées, le Christ
honni et maudit et dont le fond est nihiliste; c'est un éditeur juif
qui a repris dans les collections secrètes les livres les plus obscènes
et qui les a réédités pêle-mêle avec des livres antichrétiens.
Les théâtres de Paris, dit M. Ed. Drumont, sont entre les mains
des Juifs directeurs et auteurs.
Les Juifs sont relativement très nombreux au Sénat et à la
Chambre; on en compte une vingtaine pour représenter 60,000 coreligionnaires.
Si, en proportion, les chrétiens s'y trouvaient représentés
autant qu'eux, le Parlement devrait être composé de
40,000 sénateurs ou députés et non de moins d'un millier. On voit
que les Juifs tendent à accaparer toutes les positions (1).
Quant aux sénateurs et députés francs-maçons, on peut affirmer
Sans crainte qu'ils comptent pour les deux tiers parmi les républicains.
Il n'est donc pas étonnant que les députés et sénateurs juifs,
disposant à la fois de la fortune, de la presse républicaine de toutes
nuances, de la Bourse, de 100 journaux de finance sur les 150
existant avant le krach, aient exercé sur les Chambres un ascendant
considérable.
Nous allons maintenant les voir à l'oeuvre et chercher à dissoudre
une à une les institutions, les moeurs, les lois, l'esprit chrétien et
français.
C'est le Juif Naquet qui propose, soutient, fait voter par le Parlement
la loi anticatholique du divorce.
C'est le Juif Armand Lévy qui organise le congrès anticlérical.
Ce sont les Juifs Naquet, Lockroy, Spuller et une foule de députés
francs-maçons qui fondent à Paris l'Union démocratique de propagande
anticléricale.
C'est dans les bureaux du Juif Rothschild que Cousin, l'employé
de ce haut et puissant baron, grand maître de la Franc-Maçonnerie,
prépare et dirige cette guerre anticléricale .dont Gambetta vient de
donner le mot d'ordre.
C'est pour cette guerre que s'agitent les Juifs Dreyfus, Hérold,
Mayer, Naquet, Spuller, Lockroy, Ollendorff, entraînant à leur suite
MM. Constans, Andrieux, Ferry, Paul Bert, Cazot, tous francs-maçons.
Parmi les plus impitoyables, parmi les persécuteurs des chrétiens
se signalent les fonctionnaires juifs Hérold, préfet de la Seine;
Hendlé, préfet de Saône-et-Loire; Schnerb, chef de la police de
sûreté; Isaïe Levaillant, ancien élève rabbin, préfet de la Haute-
Savoie.
C'est un Juif, Sée, qui organise les lycées de jeunes filles d'où
l'instruction chrétienne est bannie.
C'est le Juif Gîedroye qui mutile stupidement nos chefs-d'oeuvre
classiques pour en retirer le nom de Dieu avant de les offrir aux
enfants des écoles.
C'est un Juif, Lyon-Alemand, qui, au mois de mars 1885, dénonce
au Conseil municipal et fait révoquer brutalement un professeur de
Chaptal coupable d'avoir constaté, dans son livre Leçons de l'Antiquité
chrétienne, l'influence bienfaisante du christianisme.
C'est un Juif, Benoît Lévy, qui publie, chez l'éditeur juif Léopold
Cerf, un livre Manuel pratique de la loi scolaire, dans lequel il
approuve pleinement l'enlèvement des crucifix de nos écoles.
« Le h septembre, dit M. Drumont, la révolution mit au pouvoir
les Juifs de France, les Gambetta, les Simon, les Crémieux, les
Picard, les Magnin, auxquels, s'il faut en croire M. de Bismarck,
qui passe pour assez bien informé, il faudrait joindre Jules Favre.
C'estun financier juif, Edmond Adam, qui prend possession de la
préfecture de police. Camille Sée, le secrétaire général du ministère
de l'intérieur, est Juif.
« L'ouvrage de M. Busch, le Comte de Bismarck et sa suite
pendant la guerre de France, est très explicite à ce sujet. Le
10 février, en parlant de Strousberg, M. de Bismarck dit :
« Presque tous les membres ou au moins beaucoup de membres
du gouvernement provisoire sont Juifs. Simon, Crémieux, Magnin
et Picard, qu'on ne croyait pas Juif, et très probablement aussi
Gambetta; d'après le type de son visage, j'en soupçonne même
Jules Favre. »
On avouera que six Juifs dans un gouvernement d'une douzaine
d'hommes, c'est une véritable invasion, une usurpation dans un
pays où les Juifs sont en si petit nombre.
« La Commune a également compté un grand nombre de Juifs :
Gaston Dacosta, féroce ennemi des prêtres; Léo Frantkel, Juif hongrois;
Isidore Lefrançois, Vermesch, Hollandais, Juif d'origine;
Lisbonne, ce cabotin juif qui essaya de créer une brasserie dans
laquelle des filles de joie, habillées en religieuses, auraient servi les
consommateurs; Kremer; Sim m Mayer, qui donna le signal de la
démolition de la colonne Vendôme, était Juif également.
« Depuis la Commune nous avons constamment en France des
Juifs dans le gouvernement : Crémieux, Raynal, Magnin, Lockroy,
sans compter les hommes alliés aux Juifs par leurs femmes, comme
les Ferry, les Floquet, ou inféodés à eux, comme M. Léon Say, le
grand intendant des Rothschild.
« Le rôle des Juifs pendant la guerre a été déplorable. C'est le
gouvernement des Gambetta, des Crémieux, qui a si inutilement
prolongé la résistance ou plutôt complété la défaite et^amené la
grande déroute finale, en proportion de laquelle les exigences des
Prussiens vainqueurs se sont accrues. 11 est absolument prouvé
aujourd'hui que cette résistance a coûté deux départements et
3 milliards de plus.
« C'est pendant la guerre que l'emprunt Morgan s'est effectué avec
un agio effrayant.
« C'est pendant la gestion de Gambetta que 80 millions disparaissent
des caisses publiques sans que jamais on soit parvenu à justifier
cette disparition.
« C'est pendant la guerre que des multitudes de Juifs allemands
s'abattent sur notre malheureux pays, servant d'espions et volant
de toutes parts.
« Quant à notre colossale rançon de guerre, la plus formidable
qu'on ait fait peser sur un peuple, elle a été réglée entre deux banquiers
juifs, MM. Bleichroeder, de Berlin, et Rothschild, de Paris (1).»
Nous n'ajouterons qu'un mot :
En 1781, le Juif Adam Weishaupt donnait à Mirabeau et aux
autres francs-maçons français le signal de la Révolution de 1789,
et en 1791 les francs-maçons Grégoire, Roederer, Duport, Barnave
émancipaient les Juifs; dès lors ils entraient en France par longues
bandes; en 1807, Napoléon 1e r reconnaissait et organisait leur culte;
sous Louis-Philippe, ils dirigeaient déjà la Bourse et la finance; en
1848, ils mettaient un des leurs au gouvernement; sous Napoléon III,
ils augmentaient prodigieusement leurs richesses, en même temps
ils donnaient à Gambetta l'ordre de renverser l'empire en face de
l'ennemi, et ce crime monstrueux mettait les Juifs au pouvoir; dès
ce jour, se servant de la Franç-Maconnerie comme d'un bélier, ils
renversaient les couvents, détruisaient les chapelles, proscrivaient
le Christ des écoles, puis votaient la loi scélérate qui rend l'école
athée obligatoire. En 1886, ils se préparent à fêter le centenaire
de leur Révolution, et pour qu'on n'oublie point que c'est bien leur
propre triomphe qu'ils vont célébrer, ils mettent les leurs, MM. Lockroy,
Ollendorff, Alphan trois Juifs, à ia tète du comité du centenaire
de 4889, qui a été appuyé par toute la finance juive.
CONCLUSION
Français et chrétiens, ne l'oubliez pas : ces Juifs, de noms et
d'origine barbares, et qui la plupart ne sont pas encore Français,
sont devenus nos maîtres en moins d'un siècle. Leur invasion a trois
grandes étapes : la première en 1791, en plein désastre national,
ils sont entrés à travers les ruines de nos institutions ; la deuxième
après Waterloo, leur fortune date de cet écrasement de la France;
& troisième de l'invasion prussienne en 1870.
En 1789 s'ouvrait la révolution contre la domination de la
noblesse et du clergé; que reprochait-on à ces deux castes? de posséder
les deux tiers du sol de la France. M. Taine, dans les Origines
de la France contemporaine, a expliqué, et l'on peut dire justifié,
l'origine de ces richesses. La noblesse avait défendu le territoire
contre les ennemis extérieurs, elle avait donné à la France gloire
et sécurité; le clergé avait apaisé l'étranger, civilisé la France, versé
jpartout les lumières et répandu l'instruction; il avait édifié Je
merveilleuses cathédrales, il avait inspiré, encouragé les arts, produit
une foule de grands hommes, écrivains, savants, lettrés, artistes;
enfin il avait fondé sur notre territoire des oeuvres innombrables de
bienfaisance et de charité.
Quelle était d'ailleurs la fortune du clergé? On l'évaluait à Ix milliards,
mais d'après les chiffres les plus restreints, on comptait en
France, en 1789, environ 130,000 prêtres ou religieux, ce qui
réduisait le capital de chacun à 30,000 francs et le revenu à
4,500 francs. C'était, en somme, peu de chose, on le voit, car il ne
faut pas oublier que ces revenus servaient aussi à entretenir une
foule d'ouvriers, d'artisans, employés dans les cures, dans les
églises, dans les monastères, ils servaient aussi à secourir de très
nombreux indigents.
Mais enfin, on a trouvé cette fortune colossale et abusive et on a
dépouillé le clergé.
Cent ans après, non pas 130,000 religieux, mais 60,000 Juifs;
non pas des Français, mais des étrangers; non pas des hommes
appartenant à, deux classes sociales, illustrées par de glorieux actes
et par des services rendus à la patrie, mais quelques milliers de
Juifs cosmopolites, n'ayant rendu aucun service, nouveaux sur le
sol, ont dans un siècle à peine accaparé 80,000 milliards.
Et maintenant, maîtres de la fortune publique, ils osent donner
le change à l'opinion, afin de détourner d'eux les justes colères du
peuple, afin de mettre à l'abri leurs richesses colossales, ils cherchent
à rallumer dans le coeur des chrétiens toutes les haines antireligieuses
et à lancer les foules inconscientes et aveugles contre ce
clergé pour le dépouiller de biens légitimes et d'ailleurs peu considérables.
Eh! quoi! la Révolution reprochait à 130,000 religieux de posséder
4 milliards, c'est aujourd'hui la fortune d'une seule famille
juive (1), de cent individus environ, c'est la fortune des Rothschild.
Et les Juifs ne se contentent pas de dépouiller la France, ils
osent insulter le Christ toujours vivant, ils essaient de détruire sa
religion bienfaisante et civilisatrice.
Français, chrétiens, unissons-nous pour déjouer le complot,
formons une ligue défensive contre les ennemis de notre nom, de
notre race, de nos croyances, de nos traditions chrétiennes et
françaises.
Paul BELLET.
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