mardi 27 avril 2010

droit-de-l'hommisme anti blanc

Mais Oswald Spengler -- «le philosophe du Vingtième Siècle», comme l'appelle Yockey -- avec Gregor Mendel, Thomas Malthus, spengler,Egon Friedell dans son livre A Cultural History of the Modern Age,
DROITS DE L'HOMME, droit-de-l'hommisme


Appareil central de l'idéologie moderne du progrès et de l'égalitarisme individualiste, et moyen d'instaurer une police de la pensée ainsi qu'une une destruction du droit des peuples.

Synthèse de la philosophie politique (souvent mal comprise) du 18ème siècle, le droit-de-l'hommisme est l'horizon incontournable de l'idéologie dominante. Avec l'antiracisme, il fonctionne comme un des dispositifs centraux du conditionnement mental collectif, du prêt-à-penser et de la paralysie de toute révolte. Profondément hypocrite, l'idéologie des droits de l'homme s'accommode de toutes les misères sociales et justifie toutes les oppressions. Elle fonctionne comme une véritable religion laïque. «L'homme» n'est ici qu'un être abstrait, un consommateur-client, un atome. Il est frappant de constater que l'idéologie des droits de l'homme a été formulée par les Conventionnels de la Révolution française en imitation des puritains américains.

L'idéologie des droits de l'homme a réussi à se légitimer en se fondant sur deux impostures historiques: celle de la charité et de la philanthropie, ainsi que celle de la liberté.

«L'homme» (notion déjà assez vague) ne possède pas de droits universels et fixes, mais seulement ceux qui découlent de chaque civilisation, de chaque tradition. Aux droits de l'homme, il faut opposer deux notions centrales: celle de droits des peuples (ou «droit des gens») à l'identité, et celle de justice, cette dernière notion étant variable selon les cultures et supposant que tous les individus ne sont pas également respectables. Mais ces deux concepts ne sauraient reposer sur le présupposé d'un homme universel abstrait, mais plutôt sur celui d'hommes concrets, localisés dans une culture.

Critiquer la religion laïque des droits de l'homme n'est évidemment pas faire l'apologie de la sauvagerie, puisque l'idéologie des droits de l'homme a cautionné à maintes reprises la barbarie et l'oppression (le massacre des Vendéens ou des Indiens d'Amérique). L'idéologie des droits de l'homme fut très souvent le prétexte de persécutions. Au nom du «Bien».

Elle ne représente nullement la protection de l'individu, pas plus que le communisme. Au contraire, elle s'impose comme un nouveau système oppressif, fondé sur des libertés formelles. En son nom, on va légitimer, au mépris de toute démocratie, la colonisation de peuplement de l'Europe (n'importe qui a le «droit» de s'installer en Europe), la tolérance envers les délinquances liberticides, les guerres d'agression menées en se réclamant du «droit d'ingérence», l'inexpulsabilité des clandestins colonisateurs; mais cette idéologie ne se prononce pas sur la pollution massive de l'environnement ou sur la sauvagerie sociale provoquée par l'économie globalisée.

Et puis surtout, l'idéologie des droits de l'homme est aujourd'hui un moyen stratégique de désarmer les peuples européens en les culpabilisant dans tous les domaines. Elle est la légitimation du désarmement et de la paralysie. Les droits de l'homme sont une sorte d'assomption perverse de la charité chrétienne et du dogme égalitaire selon lequel tous les hommes se vaudraient.

L'idéologie des droits de l'homme est l'arme centrale actuelle de destruction de l'identité des peuples et de la colonisation allogène de l'Europe.

Ce texte est extrait du livre de Guillaume Faye: Pourquoi nous combattons, l'Aencre 2001.

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