Ce qu’ils ont fait pour l’humanité
Latzis, Juif
Cet incitateur de la terreur rouge en Russie la fonde sur la haine de classe : « Nous exterminerons non pas seulement les individus, mais la bourgeoisie en tant que classe. Il est inutile de nous enquérir de preuves quant aux actions criminelles des accusés. Leur sort est décidé par la classe à laquelle ils appartiennent et par l’éducation qu’ils ont reçue. »
Dr. Fromer, Juif
Extrait de son livre « Das Wesen des Judentum », Berlin,1905, page 35 : « La situation anarchique démontre que la religion juive appliquée avec conséquence est essentiellement incompatible avec le maintien d’un Etat ordonné, qu’elle ne peut vivre une paix durable avec les représentants d’une autre conception de la vie. Et cette conclusion s’applique avec une force égale à la religion, restant sur la base strictement orthodoxe, et à la religion en tant qu’elle cherche à s’adapter aussi bien que possible à l’esprit de nos jours. »
Même auteur : « En lisant les accusations des rhéteurs contre lesquels se défend Josèphe, on s’étonne qu’une vie commune de trois siècles et la participation la plus intense à la civilisation des concitoyens en Egypte, n’ait pu établir une base permettant un compromis et une entente amicale, que dans leur manière de penser, d’être de sentir, les Juifs soient restés si entièrement étrangers et antipathiques à leurs concitoyens.# »
Même auteur : « Depuis ce temps [de la transmission des écrits d’Aristote] les Juifs n’ont rien fait pour l’humanité ni essayé de faire quoi que ce soit. Où est-ce bien le sens de la mission juive qui s’accomplit si les Juifs modernes ruinent chaque mouvement nouveau par le fait qu’ils y participent de leur verbe et de leur activité ? »
Quelques propos significatifs de Juifs
« A la Bourse, il y a un moment où, pour gagner, il faut savoir parler hébreux » (Rothschild).
Question : Pourquoi étant si riche, travaillez-vous encore à le devenir davantage ? « Oh ! vous ne connaissez pas la jouissance qu’il y a de sentir sous ses pieds un tas de Chrétiens » (Saint-Victor, à la fin d’un dîner).
Le Juif Mires en 1860 : « Si dans cinquante ans vous ne nous avez pas pendus, vous les Catholiques, il ne vous restera pas la corde pour vous pendre » #
« Le Peuple Juif », 20 Tamouz, 1936 : « L’infiltration d’immigrants juifs, attirés par l’apparente sécurité, ainsi que le mouvement social ascendant des Juifs autochtones, agissent puissamment ensemble et poussent à un cataclysme. »
Thédore Herzl dans « L’Etat Juif » : « Plus l’antisémitisme se fait attendre, et plus furieusement il doit éclater. » (C’est exactement ce que je clame à la communauté juive sourde depuis des années, avec l’impératif catégorique de la suppression de leur circoncision).
Les fantaisistes catholiques qui, depuis des décennies, traficotent le rite et la tradition jusqu’au dérisoire, devrait méditer cette phrase d’un rabbin : « Si j’étais catholique je serais intégriste, car étant Juif, je suis à coup sûr intégriste ». Il faut méditer aussi cette déclaration du Dr. Mayer Abner du B’nai B’rith, député de Bukovine à la chambre roumaine reproduite dans le « Ostjüdische Zeitung » (organe des Juifs de Bukovine) le 14 juillet 1929, (N°1235) : « Pour tous les Juifs sans exception, la Thora, le Talmud et sa récapitulation systématique, le Schulchan Aruch, sont la source incontestable et reconnue de la vie religieuse juive. Il ne saurait y avoir en fait aucune différence dogmatique chez nous, Juifs. Notre force réside dans le maintien rigide de la tradition trois fois millénaire. »
Corruption fondamentale
Un nouveau programme social actif sur le plan mondial est aujourd’hui pratiquement réalisé. Il s’agit de celui élaboré par la « Ligue Mondiale pour la Réforme sexuelle », dont le président était le docteur juif Imianitoff de Belgique.
Voyons les dix points de ce programme qui, en l’an 2000 sont pratiquement normatifs :
· Egalité politique, économique et sexuelle des hommes et des femmes.
· Libération du mariage et particulièrement du divorce, des règles tyranniques de l’Eglise et de l’Etat. (Remarquons que de la loi Naquet sur le divorce à la pilule pathogène et à l’avortement libre de Simone Veil, tout est Juif).
· Contrôle de la conception de telle sorte que la procréation soit consentie délibérément et avec un sens exact des responsabilités.
· Amélioration de la race par l’application des méthodes de l’eugénisme et de la puériculture. (L’eugénisme est devenu criminel et oublié : la naissance de tarés est plus profitable à l’hégémonie juive).
· Protection des filles-mères et des enfants illégitimes.
· Conduite humaine et rationnelle envers les anormaux sexuels, comme par exemple les homosexuels, hommes et femmes, les fétichistes, les exhibitionnistes, etc.
· Prévention de la prostitution et des maladies vénériennes.
· Incorporation des troubles dus à la pulsion sexuelle dans la classe des phénomènes pathologiques et non plus envisagés comme crimes, vices, ou péchés.
· Seuls peuvent être considérés comme criminels des actes sexuels qui transgressent la liberté ou portent atteinte aux droits d’une autre personne. Les relations sexuelles entre adultes responsables consenties mutuellement doivent être respectées comme étant des actes privés et qui n’engagent que leurs personnes.
· Education sexuelle dans le sens de la plus grande liberté et dans le respect de soi-même et d’autrui.
Citation de Léon Blum, Juif, président du Conseil du gouvernement du Front populaire en 1936, dans son essai sur les mœurs intitulé « Du mariage » : « Elles reviendront de chez leur amant avant autant de naturel qu’elles reviennent maintenant du cours ou de prendre le thé chez une amie. » (…) « La virginité rejetée gaiement et de bonne heure n’exercerait plus cette singulière contrainte faite de pudeur de dignité et d’une sorte d’effroi. » (…) « Je n’ai jamais discerné ce que l’inceste a de proprement repoussant, je note simplement qu’il est naturel et fréquent d’aimer d’amour son frère ou sa sœur. »
Citation de la femme Kroupskaya, veuve de Lénine, dans le journal soviétique « Outchi Gazetta » du 10 octobre 1929 : « Il est impérieusement nécessaire que l’Etat reprenne son travail antireligieux systématique parmi les enfants. Non seulement nous devons rendre nos garçons et nos filles non-religieux, mais activement et passionnément antireligieux. L’influence des parents religieux à la maison doit être vigoureusement combattue. Quoique la socialisation des femmes ne soit pas encore officiellement sanctionnée en Russie Soviétique, elle doit devenir une réalité et pénétrer la conscience des masses. Par conséquent, quiconque essaie de défendre une femme contre un assaut indécent manifeste une nature bourgeoise et se déclare en faveur de la propriété privée. S’opposer au viol, c’est s’opposer à la Révolution d’Octobre. »
Note de l’auteur : tout cela a un caractère tellement psychopathique que l’on a peine à croire à sa réalité.
Citation de Karl Marx dans « Deutsch-Franzosiche Jahrbucher » de 1844 : « C’est en vain qu’on cherche dans le labyrinthe de l’âme juive une clef pour sa religion. Au contraire, on doit chercher le mystère de sa religion dans le mystère de sa nature. Quelle est la base du Judaïsme ? Une passion pratique et un lucre pour le profit. A quoi pouvons-nous réduire son culte religieux ? A l’extorsion. Qui est leur Dieu véritable : l’argent comptant. »
Citation de Walter Ratheneau, Juif, dans son livre « Der Kaiser » (Paris, 1930) : « En 100 ans, la Révolution française a fait le tour de la terre et s’est réalisée sans restriction ; aucun Etat, aucune institution, aucune société, aucune dynastie, ne fut épargnée par elle. La formule oratoire de la Révolution russe, c’est l’Humanité. Son désir secret, la dictature provisoire du prolétariat et anarchisme idéalisé.
Son plan pratique d’avenir, la suppression de la stratification européenne sous la forme politique de républiques socialisées. Dans un siècle le plan de l’Orient sera réalisé aussi complètement que l’est aujourd’hui celui de l’Occident. Après que pendant des siècles notre planète a bâti, rassemblé, conservé, préservé, accumulé des trésors matériels et intellectuels, pour servir à la jouissance de quelques uns, voici venir le siècle des démolitions, de la destruction, de la dispersion, du retour à la barbarie. Des ruines derrière nous et des ruines devant nous. Nous sommes une race de transition ? destinée au fumier indigne de la moisson, écrivais-je au début de la guerre. Pourtant, non seulement nous devons parcourir la route sur laquelle nous nous sommes engagés, mais nous voulons la parcourir. »
Un Juif, Paul Mayer, a écrit le « Joyeux chant de route du Juif errant ».
On ne peut pas dire qu’il manque de sincérité :
N’ayant ni foyer ni patrie,
Je ne m’incruste nulle part.
Foin de la vaine nostalgie
Je n’ai que faire du cafard !
Mon âme à moi s’est endurcie.
De tous vos seuils, comme un voleur,
Chassez-moi – je sais qu’on m’envie
Et me recherche avec ardeur.
Je bois à vos sources de vie
Et je connais votre valeur.
Sous l’humble loque où dort mon âme,
Je cache l’or de l’univers.
La vierge que tu veux pour femme,
Avide, tourne un œil de flamme
Vers le fils maudit des déserts !
Fumant vos tabacs sans délices,
Vous remâchez vos lourds ennuis,
Mais je suis là, moi, roi des vices,
Et j’offre à vos bouches novices
Le fruit de péchés inédits.
Ainsi je joue avec le bal,
Ce jeu subtil, ce jeu fatal,
Qui vous amuse et vous attrape
Et dont le secret vous échappe,
Le jeu du sang oriental !
Le Jewish Chronicle commente l’œuvre d’un théologien irlandais
Le 23 octobre 1936, ce journal juif de Londres publiait l’article suivant : « Le corps mystique du Christ dans les Temps Modernes » sur l’œuvre du R. P. Denis Fahey, professeur de philosophie et d’histoire de l’Eglise à la Senior House of Studies de l’Université Blackrock de Dublin.
« Ce prêtre est l’auteur de plusieurs travaux théologiques et s’est sérieusement alarmé de l’expansion des tendances sécularistes du monde moderne. D’où la publication de son nouveau livre dont le but principal est de traiter au point de vue théologique et historique l’aspect de la révolte moderne contre le plan divin d’organisation de la société humaine.
Jusque là, fort bien. Mais, malheureusement, le Père Fahey est convaincu que tous les troubles du monde aujourd’hui sont dus à une alliance extraordinaire entre les révolutionnaires juifs et les financiers juifs pour le renversement de l’ordre existant des choses et l’établissement d’une domination mondiale juive sur ses ruines. #
A l’appui de cette thèse curieuse, le R. P Fahey apporte toute la kyrielle antisémite ordinaire. Il donne la preuve documentaire que la Révolution russe fut financée par Jacob Schiff au coût de 12.000.000 de dollars. Il réimprime une liste de noms notoires pour dire que sur 25 artisans du Bolchevisme, seul Lénine n’était pas Juif. » #
Les Judéo-Communistes du Front Populaire espagnol et 1837
Les Judéo-Communistes du Front Populaire espagnol ont baptisé du nom de Joseph Papineau le groupe des 400 volontaires canadiens qui se battent en Espagne pour étendre le règne de Staline, Litvinoff, Kaganovitch, Karakhan, Ioffe, Rosenberg, etc.
Les Juifs aiment beaucoup Papineau qui se sauva à l’étranger quand ses infortunés compagnons montèrent sur l’échafaud. Ils l’aimaient beaucoup parce que c’est Papineau qui, dans notre Histoire, a le plus vivement combattu pour l’émancipation des Juifs, c’est-à-dire pour qu’ils soient sur le même pied que les Canadiens authentiques en 1832.
La « Jewish Encyclopedia », au mot « David », nous apprend que c’était les deux fils du Juif David de la rue Notre-Dame qui commandaient la cavalerie contre nos héros de Saint-Eustache et Saint-Denis en 1837.
Un livre publié par les Juifs du Canada en 1926, « Jews in Canada », nous apprend que ce fut le Juif Benjamin Hart qui, après avoir fait espionner nos héros de 1837, signa les mandats d’arrêt contre ceux qui furent incarcérés.
Le même livre nous apprend qu’à cette époque, les Juifs et particulièrement la famille Franck, contrôlaient les postes de commerce entre Montréal et New York, par la voie du Richelieu. Plusieurs personnes croient que ce sont ces Juifs qui permirent à Papineau, en le conduisant de poste en poste, de fuir aux Etats-Unis sous le déguisement d’une femme, tandis que les petits et les sans-grade subissaient leur procès. Cela aurait été la récompense des Juifs envers Papineau pour leur émancipation de 1832.
Les Judéo-communistes aiment à parler aux Canadiens de la révolte de 1837, mais ils ne disent pas que les victimes de ce mouvement furent arrêtées à cause de la trahison d’un Juif, et que les Juifs de Montréal commandaient le feu contre nos patriotes. Le travail le plus malpropre de 1837 fut accompli par un Juif, Benjamin Hart. Sans doute parce qu’aucun Canadien blanc, anglais, français, écossais ou irlandais n’aurait voulu le faire dans cette cruelle circonstance.
Témoignages unanimes, aussi bien des Juifs que des Goyim
Tout ce qui a été avoué, admis dans ce livre par les Juifs l’a été depuis longtemps par des esprits supérieurs de la Chrétienté et d’ailleurs. La Chrétienté a-t-elle fait ce qu’il faut pour empêcher le triomphe de la judéopathie juive mondiale ? On peut en douter et la phrase de Julien l’Apostat prend toute sa valeur en l’an 2000 :
« Si le Christianisme triomphe, dans deux mille ans le monde entier sera dominé par les Juifs ».
Ceci était-il une prophétie ou la simple logique ? Quoiqu’il en soit, des saints, des conciles généraux et locaux de l’Eglise, des papes, des empereurs, des rois, des princes de tout pays, des hommes d’Etat célèbres, des réformateurs protestants comme Luther, des religieux musulmans, des évêques, des pasteurs de toutes les confessions religieuses, des écrivains de toutes les écoles, comme nous le verrons dans la deuxième partie de cet ouvrage, des historiens illustres, des savants, des diplomates, des dirigeants socialistes, libéraux et conservateurs, des statistiques et archives officielles de nombreux pays, TOUS ont dit la même chose quant à la perversité financière et idéologique juives ;
Mais comme tous ces penseurs ne font pas partie de la race élue, les Juifs les accusent de :
· Fanatisme,
· Persécutions,
· Obscurantisme,
· Etroitesse d’esprit,
· Intolérance,
· Haine,
· Jalousie
C’est pourquoi, dans cette première partie de ce livre, il était essentiel de faire parler des personnalités juives d’envergure :
· Karl Marx
· Benjamin Disraeli,
· Adolphe Crémieux,
· Bernard Lazare,
· Alfred Nossig,
· Max Nordau,
· Emil Ludwig,
· Otto Weininger,
· Kurt Munzer
· Léon Blum
· Oscar Lévy,
· Nahum Sokolov
· Walther Ratheneau,
· Theodor Herzl,
· et moi-même R. D. Polacco de Ménasce
Il est donc GROTESQUE de parler d’antisémitisme si l’on veut dénoncer les grandes misères modernes, leurs révolutions, leurs guerres, leurs crimes, les crises de démoralisations, les conséquences polluantes et destructives de leur capitalisme, l’effondrement de tout par le Rothschildo-Marxisme.
Pour terminer cette première partie, voici une déclaration très explicite, très claire, du Juif Bernard Lazare dans son livre « L’antisémitisme et ses causes » déjà cité à plusieurs reprises :
« Il m’a semblé qu’une opinion aussi universelle que l’antisémitisme, ayant fleuri dans tous les lieux et dans tous les temps, avant l’ère Chrétienne et après, à Alexandrie, à Rome, à Antioche, en Arabie et en Perse, dans l’Europe du Moyen Age et dans l’Europe moderne, en un mot dans toutes les parties du monde où il y a eu et où il y a des Juifs, il m’a semblé qu’une telle opinion ne pouvait pas être le résultat d’une fantaisie ou d’un caprice perpétuel et qu’il devait y avoir à son éclosion et à sa permanence des raisons profondes et sérieuses.
Quelles vertus ou quels vices valurent aux Juifs cette universelle inimitié ? Pourquoi fut-il tour à tour et également maltraité et haï par les Alexandrins et par les Romains, par les Persans et par les Arabes, par les Turcs et par les Nations Chrétiennes ?
Parce que partout et jusqu’à nos jours, le JUIF FUT UN ETRE ASOCIABLE. ».
En l’an 2000, les paramètres de l’antisémitisme n’ont jamais été aussi concentrés à aucun moment de l’Histoire ; l’hystérie juive, leurs lois, comme la loi Fabius-Gayssot, sont de véritables canons braqués sur eux-mêmes. L’interdiction, les condamnations imposées aux révisionnistes sont la plus énorme publicité faite gratuitement en leur faveur.
Les Juifs devraient eux-mêmes faire le point véritable sur l’Holocauste et redresser l’ineptie arithmético-technique de la version officielle. Et enfin, pour tout guérir : supprimer radicalement cette circoncision rituelle, source d’une spéculation financière et révolutionnaire anarchique incontrôlable.
Conclusion tragique
Il est certain que les faits sont là et que nous n’avons plus de questions à nous poser, mais un problème à résoudre : celui de la « Question Juive ». La seule solution devant l’insuffisance mentale du plus grand nombre des humains, est la suppression radicale de la circoncision au 8ème jour.
La Libéralisme juif comme le Marxisme juif vont détruire la planète comme Hitler l’avait prévu.
Nous assistons à une liquéfaction générale sous l’emprise juive assistée de tous les politiciens de tous les partis qui sont leurs séides stipendiés.
Deux guerres mondiales, des millions de morts, la finance régnante, le marxisme tentaculaire, les déchets atomiques non traitables et non neutralisables, la vaccination systématique qui détruit les systèmes immunitaires et dégénère la race avec l’aide de la chimification thérapeutique et alimentaire, les musiques horriblement pathogènes, (que couve un Juif dans des rassemblements de malheureux jeunes pour la musique « techno »), la drogue, la délinquance, l’homosexualité et la pédophilie galopante, le chômage des jeunes, l’avortement, les pilules pathogènes induisant chez les adolescentes, blocages ovariens, troubles de la croissance, frigidité, etc. et chez les adultes, déséquilibres hormonaux, cancers, obésités, maladies cardio-vasculaires, etc. disparitions des forêts, des espèces animales et végétales, enfants privés de tout repère spirituel et moral par manque d’éducation religieuse.
Nous sommes dans un gouffre sans fond, et pratiquement en coma dépassé…
Qu’ont affirmé les Juifs dans cette première partie du livre ?
Ils ont confirmé qu’ils veulent dominer le monde, ce qu’ils font désormais, qu’ils contrôlent la vie économique et financière du monde, qu’ils ont la puissance pour provoquer des crises et le chômage, afin de ruiner les individus et les Etats, préparer la Révolution, qu’ils sont des révolutionnaires-nés, et fournissent la direction et l’exécution de toutes les grandes révolutions , qu’ils sont créateurs, directeurs, propagateurs et financiers du marxisme (socialisme, communisme, bolchevisme), qu’ils veulent absolument faire disparaître les nationalités et les religions pour amener la République universelle, c’est-à-dire leur dictature mondiale absolue, par leur mainmise sur les médias, la presse, la télévision, la radio, l’édition, le cinéma, les agence de presse.
Ils travaillent à tuer le sentiment national, social, religieux afin de faire crouler une civilisation créée par des génies Blancs, qu’ils contrôlent les sociétés secrètes qui sont les véritables gouvernements lesquels font tourner à leur avantage tous les bouleversements politiques et sociaux, qu’ils ne sont jamais nationaux, mais restent des juifs inassimilables ne pouvant penser comme les citoyens des pays qui les accueillent, qu’ils sont à la racine de tous les troubles, perturbations, conflits, révoltes, du monde moderne et judaïsent les autres.
Qu’ils veulent pratiquement détruire tous les peuples en une bouillie infra-ethnique au profit de leurs intérêts, qu’ils corrompent, pourrissent, corrodent, avilissent, rabaissent peuples et nations. Ce sont eux-mêmes qui affirment cela : aucune crtique goy n’est aussi profonde et lucide que celles faites par les Juifs eux-mêmes.
Après avoir étudié encore les déclarations de quelques Juifs célèbres, notamment modernes, nous verrons les déclarations de Goyim célèbres.
R. D. Polacco de Ménasce, auteur de ce livre : « La Juiverie internationale financière et Marxiste est la lèpre de l’humanité. Fascinante folie d’Israël ! Il bouillonne depuis 5000 ans et aujourd’hui bat le record de toutes les chutes. Ou il sera banquier ou idéaliste contre le banquier : Rothschild contre Marx, Marx contre Rothschild, géniale dialectique des frères ennemis qui produit les mouvements de l’Histoire.
Par l’argent maîtres des gouvernements, par la révolution maîtres des masses. J’avoue ma radicale stupéfaction devant la double et grandiose folie furieuse d’Israël qui mène l’homme, la planète et lui-même à l’anéantissement. La pseudo-droite politique préférera se suicider plutôt que de désobéir au père fouettard du B’nai B’rith, en rejoignant le Front National, ultime thérapie d’une France comateuse. Jamais les paramètres de l’antisémitisme n’ont été aussi concentrés qu’en cette fin du XXème siècle. Mais le zombifiage des Goyim et de leurs pseudo-élites de la politique et de la Justice, est le garant du « bigbrotherisme » Juif. »
L’analyse qui suit sur le national-socialisme, complète fort bien celle du début de ce livre par un autre Juif éminent, sur la question des Juifs en Allemagne et l’avènement de Hitler.
Finkelkraut sur FR3 nous a dit : « Le Nazisme a péché par excès de bien ». Phrase remarquable, bien qu’inexacte, car le Nazisme n’a fait que restaurer les valeurs orthodoxes traditionnelles élémentaires. « Hitler est l’esprit le plus constructeur de son temps » a déclaré le baron Pierre de Coubertin. Nous connaissons les propos de Neville Chamberlain sur la responsabilité des Juifs dans la déclaration de guerre de 1939, qu’il a répétés dans une lettre à sa sœur.
Abba Ahimeir, responsable du Bétar, a dit : « Hitler a sauvé l’Allemagne, sans lui elle aurait péri en moins de quatre ans. Ce n’était ni Kerensky, ni Weimar qui pouvaient combattre le Bolchevisme, mais le Fascisme ».
Lorsqu’en 1979 éclata l’affaire Faurisson, je me suis demandé pourquoi une mise au point quant au chiffre clamé de six millions de Juifs victimes supposées du Nazisme, suscitait un tel vacarme dans les « marx-merdia » et l’« athée-lévy-sion »... Cette simple réaction, unique dans l’Histoire quant au nombre de victimes de telle ou telle guerre, exsudait déjà l’imposture. Puis, la réflexion se déclencha : six millions, dans sept camps en une année d’Holocauste 1943-44, durée officielle, (fours crématoires perfectionnés installés fin 43 !), un pays comme la Suisse ! Où aurait-on mis ces six millions dans sept camps de concentration, parmi lesquels Dachau, qui contint exceptionnellement 60.000 détenus. Dans sept camps, cela ferait donc un maximum de 420.000 détenus et le chiffre est même impossible ! Pas de traces d’acide cyanhydrique dans des cendres introuvables. Et l’American Jewish Year Book qui fixe à 3.300.000 le nombre de Juifs présents en Europe occupée en 1941 !
Ce chiffre est de plus inexact, puisque de nombreux Juifs sont partis, depuis cette date, en Israël, en Russie Soviétique, en Angleterre, aux Etats-Unis, comme tous les membres de la famille Polacco de Ménasce et de moi-même. Je suivis alors les procès Faurisson en France et Zündel au Canada. L’ineptie arithmético-technique fulgura alors à mon esprit. La plupart des villes allemandes de plus de 100.000 habitants furent détruites à 95% : comment les détenus des camps auraient-ils pu être ravitaillés et ne pas devenir les squelettes que l’on voit dans « Nuit et brouillard », par exemple? Au bord de l’an 2000, Faurisson estime à 150.000, toutes ethnies confondues, le nombre des victimes d’Auschwitz et J.C Pressac, exterminationiste, patronné par les Klarsfeld en est à 700.000 !
L’ineptie arithmético-technique se mit à hurler et hurle toujours. Pourquoi cette révision interdite ?? Gorbatchev ne fut-il pas le plus important révisionniste lorsqu’il mit en évidence le mensonge de Nuremberg attribuant aux Allemands l’assassinat de toute l’élite polonaise à Katyn, alors que ce crime inouï était soviétique... Pourquoi personne hormis Gorbatchev, n’aurait-il le droit de remettre en cause le jugement d’un tribunal de vainqueurs jugeant les vaincus et n’ayant de ce fait, pas la moindre crédibilité morale? Par contre il est certain que de nombreux congénères furent tués entre l’Allemagne et la Russie, et en particulier en Biélo-Russie. Mais il s’agit de tragiques faits de guerre. Les Juifs n’avaient-ils pas déclaré la guerre à Hitler en 1933 ? Le régime bolchevique n’était-il pas Juif dans sa quintessence ? Les Juifs n’étaient-ils pas les soutiens inconditionnels des soldats et partisans soviétiques ?
Alors, si mes congénères ont menti à propos du pseudo-holocauste, pourquoi n’auraient-ils pas menti au sujet de Hitler et de tout ce qui le concerne ? Il fallait donc creuser le sujet, depuis sa participation à la guerre de 14-18 jusqu’à son suicide dans le bunker à la fin de la guerre de 1939-45.
Nous creusâmes : chaque jour, on nous harcèle de la responsabilité de Hitler quant à la guerre et au prétendu « Holocauste ». Ma recherche alla de stupéfaction en ahurissement. Tout l’essentiel était faux. Même « la situation des détenus n’était pas plus terrible loin de là, que celle des Goulags » nous a révélé Bloch-Dassault lui-même. On trouva dans certains camps des salles de musique et des piscines (Inspections de la Croix Rouge) ! Les squelettes décharnés que l’on voit dans les films de propagande, sont ceux de détenus qui mouraient de faim du fait du ravitaillement rendu impossible par les bombardements alliés, qui rasèrent des villes entières avec femmes et enfants (parfois, comme à Dresde ou à Hambourg, 200.000 morts en un seul bombardement) alors que Hitler, bien avant la guerre, avait soumis aux nations un protocole d’accord pour qu’en cas de guerre les populations civiles soient épargnées. Accord refusé par l’Occident soumis à la finance (dénoncée par Karl Marx lui-même : « supprimez le trafic, vous supprimez le Juif » !!!) et au Marxisme juifs... On peut comprendre que Rudolf Hess ne fut jamais reçu en Angleterre, malgré son vol héroïque, et que « ce criminel de paix » comme l’appelle Alain Decaux, fut assassiné à 90 ans pour éviter d’exploser d’inconfortables vérités ! Pourquoi tout le monde ne s’informe-t-il pas comme moi ? Pourquoi ? Les Goyim seraient-ils si bêtes que la domination de, et le zombifiage par mes congénères (avec les Gayssot et Maastricht) leur soient inévitables ? L’abbé Pierre lui-même ne peut même pas défendre l’intégrité et la liberté d’expression CONSTITUTIONNELLE de son ami Garaudy !
Hitler, né en Autriche, qu’il considéra toujours comme partie de la nation germanique, était un jeune homme sensible avec une vocation et un talent de peintre. Son esprit était vaste, sa conscience aiguë, son amour pour la patrie, infini. Mobilisé pendant la guerre de 14-18, il fut un soldat courageux, aimé de ses camarades et, victime des gaz de combat, il devint provisoirement aveugle. Les années qui suivirent la guerre le voient misérable, matériellement et moralement, observateur implacable des malheurs de sa patrie et très au fait de l’étiologie des graves maladies qui la rongeaient. L’iniquité des Traités de Versailles et de Trianon (« Traités de rapines » comme disait Lloyd George, « préparant une seconde guerre mondiale »), négociés par les frères Warburg qui financèrent simultanément les Alliés, l’Allemagne et la Révolution Bolchevique (petit détail) le mettait à la torture. Il vécut l’horreur de la République de Weimar et ses six millions de chômeurs. Il était parfaitement conscient du rôle majeur et effrayant que jouaient mes congénères de la Haute finance et du marxisme. Le peuple mourrait de faim. Le blocus avait étranglé l’Allemagne. La classe moyenne ne possédait rien. 300.000 officiers étaient sans emploi. Des mercantis juifs ruinaient commerçants et ouvriers. En cette fin du XXème siècle où les Juifs réclament, cinquante ans après, des sommes considérables, des tableaux de maîtres et des collections d’objets d’art, on se pose la question : qui étaient les spéculateurs et les usuriers de la République de Weimar ? Une bande de Juifs galiciens, Kutisker, Barmatt, Skalarek, s’étaient rués sur l’Allemagne agonisante. Expulsés, ils continuèrent en Hollande leurs pratiques, (que l’on retrouvera chez un Joanovici, collaborateur, puis bienfaiteur des réseaux de la Résistance). Un timbre-poste portait le chiffre de 12 milliards de Marks! Pour Hitler cet écrasement de son pays était une insupportable douleur.
Il mit toute son énergie à parvenir au pouvoir pour sortir son pays de l’enfer du Traité de Versailles et de la République de Weimar. Quand il fut emprisonné à Landsberg où il écrivit Mein Kampf, un juge lui avait demandé : « que désirez-vous Mr Hitler, un poste de ministre ? » et il avait répondu: « Je serais bien méprisable, monsieur le juge, si je ne voulais qu’un poste de ministre ». Le directeur de la prison le décrit « un homme affable, discret, toujours prêt à rendre service, généreux et d’une nature exceptionnelle ».
Alors, il décida de parvenir au pouvoir démocratiquement, car le peuple avait senti en lui sincérité, clairvoyance et énergie. En six ans, il fit rentrer dans le marché du travail six millions de chômeurs. Il élimina la SA et Röhm qui auraient empêché une action synergique vers la restauration de son pays, que des rivalités auraient livré à une pérennisation de la ruine. Il créa le « Front du Travail » qui ignora la lutte des classes, concept aberrant inventé par des idéologues juifs. Ce Front comprenait 25 millions de membres et était la plus importante organisation socialiste du monde. Il forma une véritable communauté populaire de producteurs. Le Pr Goldhagen nous dit (ARTE, 30 septembre 1996) : « Je ne suis pas d’accord pour dire qu’il n’y avait aucune liberté dans la société nazie. Plus nous apprenons de choses sur le Troisième Reich, plus nous constatons l’existence d’une certaine liberté ».
Chacun avait la place qui lui convenait dans la vie de la nation, et une telle organisation était incompatible avec la guerre. Il créa la conception de la dignité du travail. Les usines avaient bibliothèques, piscines, congés payés. Les ouvriers avaient une petite maison où les femmes pouvaient s’adonner aux soins de leurs enfants qui ne deviendraient pas comme les nôtres, des clients des musiques qui tuent, des drogués, des délinquants, des suicidés, des chômeurs. Il rendit à la jeunesse le culte de l’honneur, de la patrie, de l’idéal. Le petite «coccinelle » Volkswagen devint une voiture populaire. Il créa un code spécial pour la défense des animaux : leur faire du mal eût été sévèrement puni. Il prôna le végétarisme, interdit la vivisection, réglementa la chasse et organisa une action écologique et zoologique remarquable et efficace. La médecine naturelle fut officialisée en 1939, alors qu’en France, seule la médecine chimique, pathogène et tératogène, a force de loi. Luc Ferry (Le Nouvel Ordre écologique) reconnaît un projet nazi « dont l’ampleur n’est à nulle autre pareille, un monument de l’écologie moderne, l’éducation du peuple en vue de l’amour et de la compréhension de la nature et de ses créatures » (…) « le régime nazi nous fait assister à un véritable éloge de la différence, à une réhabilitation de la diversité »…
Patrons et ouvriers collaboraient en égaux à la construction de la nation. « L’honneur social » impliquait l’accomplissement consciencieux de son devoir et était récompensé par dignités et estime. Le nombre des ouvriers ayant droit aux congés payés était le double de celui des autres pays. La guerre était nécessairement exclue du système, car l’Allemagne échangeait équitablement biens et marchandises avec les pays voisins. La guerre fut déclarée à Hitler par mes congénères américains depuis 1933. Les visées hégémoniques de Hitler sont une plaisanterie.
Il n’a jamais voulu que réunifier les pays de langue et d’ethnie allemandes. L’Autriche désirait son rattachement au Reich longtemps avant l’avènement de Hitler et la Tchécoslovaquie comptait trois millions d’Allemands dans le territoire des Sudètes. Hitler prit le pays sous son protectorat car les Tchèques exerçaient une dictature mal ressentie par les Slovaques et les Ruthènes. Hitler n’exerçait pas une hégémonie mondiale comme les Etats-Unis et n’avait pas comme l’Angleterre un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais. En 1918, les puissances capitalistes rapaces avaient volé à l’Allemagne le Togo, le Cameroun, le Sud-Ouest Africain qui ne représentaient que 5% des colonies anglaises et françaises...
Parfaitement désintéressé, Hitler ne posséda jamais que son chien et sa maison. On n’a jamais parlé d’une fortune personnelle acquise par Hitler chancelier du Reich. Quant à son désir forcené de préserver l’ethnie germanique, on peut aujourd’hui le comprendre devant l’hystérie mondialiste de métissage institutionnalisé, alors que mes congénères sont les plus racistes du monde.
Les seize propositions concernant Danzig, présentées au chef du gouvernement polonais, le colonel Beck, étaient les plus raisonnables du monde. Beck les avait acceptées, mais l’Angleterre, sous l’influence du financier Baruch, le persuada de les refuser. Hitler, avec l’aide de Mussolini et du ministre français Yvon Delbos, fit tous les efforts humains possibles pour éviter la guerre, (l’Angleterre reconnut au procès de Nuremberg, qu’à ce moment de l’Histoire la paix aurait pu être sauvegardée !) tandis que en Posnanie, (en Pologne), les Allemands étaient persécutés et parfois massacrés. Hitler fut contraint à la guerre, et la France la lui déclara anticonstitutionnellement, à la remorque servile de l’Angleterre, puisque les deux chambres ne furent pas convoquées.
Quant au monde d’aujourd’hui, il croupit dans toutes les pollutions judéo-cartésiennes morales, physiques et écologiques, avec la Mafia investisseur de choix. Soixante-dix départements sont investis par la pédophilie. 70% des bébés aux Etats-Unis n’ont pas de pères.# Le Communisme entièrement créé par mes congénères (idéologues, financiers, politiciens, administrateurs, bourreaux carcéraux et concentrationnaires) traîne derrière lui deux cents millions de cadavres et a toujours droit de cité. Il est vrai que dans l’arithmétique actuelle, six millions – même vrais – de Juifs sont supérieurs à deux cents millions de Goyim. Le Zohar nous le confirme : « Les Goyim, cette vile semence de bétail » ! On comprend la phrase de Goebbels lorsqu’il se suicida avec sa femme et ses enfants, en même temps que son Führer : « Nous n’allons pas laisser vivre nos enfants dans l’enfer que les Juifs vont leur préparer ». Il n’imaginait certainement pas l’horreur absolue de l’enfer dans lequel il les aurait laissés. Il y a bien eu un holocauste : celui de soixante millions de victimes dans une guerre déclarée à Hitler depuis 1933, et qui voulait secouer le joug du dollar et de la Haute finance de mes congénères. Puis l’holocauste par cent cinquante guerres capitalo-marxistes qui ont suivi ce qu’on a dérisoirement appelé « Libération ».
Et enfin un holocauste de deux cents millions de cadavres dans un régime quintessentiellement juif. Cela est-il la vérité ? Non, c’est de l’antisémitisme ! Clamer la vérité, fût-elle éclatante, c’est toujours « de l’immonde antisémitisme » ; c’est de l’abjection stupide et on ne peut y répondre que par le mépris.
Arrêtons la circoncision au 8ème jour qui est, par ses répercussions hormono-psychiques, la cause de notre mentalité et de l’antisémitisme qui en découle depuis 5000 ans pendant lesquels nous avons trop parlé, « paroles de mort pour nous et pour les autres » (George Steiner).
« Le Troisième Reich était la seule force capable de venir à bout de l’horreur communiste absolue » (Soljénitsyne).
Le document qui suit, lettre de Hitler à Daladier, Président du Conseil de 1938 à 1940, montre la mentalité pacifique de Hitler et son désir de tout faire pour éviter la guerre : elle ne reçut aucune réponse, ce qu’il faut méditer, comme le fait que Rudolf Hess ne fut jamais reçu en Angleterre, alors qu’il était venu pour parler de paix, et qu’en dernier ressort, il fut assassiné à 90 ans dans sa prison !
« Puis-je me permettre, Monsieur Daladier, de vous demander comment vous agiriez, vous français, si à l’issue malheureuse d’une lutte courageuse, une de vos provinces était séparée par un corridor occupé par une puissance étrangère. Si une grande ville, disons Marseille, était mise dans l’impossibilité de se proclamer française, et si les Français résidant dans ce territoire étaient actuellement poursuivis, frappés, maltraités, voire assassinés bestialement ? Vous êtes français, Monsieur Daladier, je sais comment vous agiriez.
Je suis Allemand, ne doutez pas de mon sentiment de l’honneur et de la conscience que j’ai de mon devoir d’agir exactement ainsi. Si vous aviez ce malheur qui est le nôtre, comprendriez-vous, Monsieur Daladier, que l’Allemagne voulût intervenir sans aucun motif pour que le corridor demeurât au travers de la France ? Pour que le retour de Marseille à la France fût interdit ? Il ne peut en aucun cas me venir à l’idée, Monsieur Daladier, que l’Allemagne entrerait en lutte contre vous pour ce motif ».
Le Chancelier termina sa lettre en faisant ressortir combien cette guerre sanglante entreprise par les Alliés pour la Pologne serait inutile, car il est un fait certain, c’est que quelle soit l’issue d’une guerre née de ce problème, l’Etat polonais serait de toute façon perdu.
Pauvre Pologne, réduite à ce que l’on sait. TOUTE son élite massacrée par les Bolcheviques dans la forêt de Katyn et des bateaux coulés à dessein dans l’Antarctique ! Les Juifs ne demandent pas pour eux des réparations ? ! Ce pays est en faillite, incapable de faire face à ses échéances, dans une situation sans issue. Il est vrai qu’en l’an 2000, la Pologne n’est pas la seule à se trouver dans ce piètre état !
Puisque les Juifs nous parlent de racisme voyons un peu avec mon congénère et collègue Israel Shahak, ce qu’il faut penser de leur « mégaracisme ».
Dans son « Testament politique » (que Robert Faurisson croit être un faux, mais qui correspond parfaitement à la psychologie de Hitler), Hitler dit : « Il est normal que chacun éprouve l’orgueil de sa race et cela n’implique aucun mépris à l’égard des autres. Je n’ai jamais pensé qu’un Chinois ou un Japonais nous fussent inférieurs. Ils appartiennent à de vieilles civilisations et j’admets même que leur passé soit supérieur au nôtre. Ils ont des raisons d’être fiers comme nous sommes fiers de la civilisation à laquelle nous appartenons. Je pense même que plus les Chinois et les Japonais demeureront fiers de leur race, plus il me sera facile de m’entendre avec eux ». Ces propos sont pleins de bon sens élémentaire. Lorsque le professeur Israel Shakak nous fait connaître la véritable nature des écrits traditionnels juifs, dont il peut pénétrer l’essence, puisqu’il connaît l’hébreux, nulle part nous ne trouvons une seule phrase qui s’approche de près ou de loin de cette vue humaine et raisonnable.
Comment donc s’étonner que les Israëliens aient massacré 254 personnes, hommes, femmes, et enfants à Deir Yassin ? Ces procédés ne sont nullement exceptionnels depuis quarante ans, mais personne n’a jamais osé accuser officiellement Israël de «nazisme ». Non seulement l’affaire d’Oradour-sur-Glâne fut exceptionnelle, comme le furent les représailles qui ont suivi l’assassinat d’Heydrich, ou celui de cent soldats tués dans un attentat en Italie, mais il y a plus de vingt ans que je sais qu’elle s’est déroulée de façon tout à fait différente de la version imposée par la propagande officielle (le capitaine allemand Kämpfe avait eu les yeux crevés la langue arrachée par la Résistance, entre Limoges et Oradour…). L’église d’Oradour n’a pas été incendiée, mais une explosion inexpliquée s’est produite dans le clocher… (explosifs stockés par la Résistance).
En Israël, les paysans pauvres furent chassés de leurs terres et n’avaient qu’à fuir ou mourir. Colonialisme patent et cruel. Quant à ceux qui dénonçaient l’horreur, on les a assassinés, comme le comte Bernadotte et comme Lord Moyne. Les procédés utilisés pour déposséder les Palestiniens ressortissent à un impitoyable colonialisme, un racisme patent et incontournable.
La terre dont les Palestiniens sont spoliés ne peut être vendue à un non Juif, ni louée à un non Juif, ni travaillée par un non Juif. La politique agraire d’Israël aboutit à une spoliation méthodique, systématique de la paysannerie arabe. C’est dur acisme intégral. Des lois de spoliation systématique et implacable n’existaient pas en Allemagne nazie. Entre autre exemple, la loi sur l’acquisition des terres du 12 mars 1953 et toutes les mesures prises légalisent le vol en contraignant les Arabes à quitter leurs terres pour que s’y installent des colonies juives. L’exode massif des populations arabes sous la terreur comme à Deir Yassin ou à Karf Kassem a libéré de vastes territoires vidés de leurs propriétaires légitimes et des travailleurs arabes et sont donnés aux occupants Juifs.
Le Pr Israël Shahak a donné en 1975 la liste de 385 villages arabes détruits et passés au bulldozer sur 475 existant en 1948. Pour convaincre qu’avant Israël la Palestine était un désert, des centaines de villages ont été rasés au bulldozer avec leurs maisons, clôtures, cimetières, tombes… De juin 1967 à novembre 1969, plus de 20.000 maisons arabes ont été dynamitées en Israël et en Cisjordanie. La Convention de Genève du 12 août 1949 stipule dans son article 49 que « La puissance occupante ne pourra procéder au transfert d’une partie de sa propre population civile dans le territoire occupé par elle. ». Hitler lui-même n’a jamais enfreint cette loi internationale. 1116 Palestiniens ont été tués depuis le début de l’intifada et parmi eux 233 enfants. L’ONU chiffre à 80.000 le nombre de Palestiniens blessés par balles. 15.000 Palestiniens sont détenus dans les prisons Israéliennes. 20.000 sont torturés chaque année et cette torture est devenue légale depuis 1996. Tout cela s’inscrit dans la spoliation, la discrimination, l’apartheid, le RACISME.
Le malheureux Hitler qui voulait préserver son ethnie du métissage institutionnalisé que nous connaissons actuellement n’a pas inventé le racisme. Qui a conçu l’idée de réduire en esclavage les «races inférieures » ? un représentant du Peuple élu qui sera châtié s’il prend pour femme une païenne, qui choisira ses esclaves parmi les Goyim sans se mêler à eux. « pour mille ans » disait Hitler, « pour l’éternité » disent les Juifs.
Une seule loi, une seule race, un seul destin jusqu’à la fin des siècles. « Et Josué brûla Ai pour n’en laisser qu’un tas de cendres et il employa les vaincus à couper le bois et puiser l’eau pour la communauté ». Tous hommes, femmes, enfants, esclaves, sous le joug d’Israël. Mais le plus souvent, il ne restait personne à réduire en esclavage : « et ils détruisirent tout ce qui se trouvait dans la ville : hommes, femmes, enfants, jeunes et vieux, bœufs, moutons, mulets, par le fil de l’épée ». L’odeur du sang est à chaque page de la Bible. La doctrine dit qu’un peuple doit être élu pour que son destin s’accomplisse. Aucun peuple ne peut connaître la même gloire. Une nation véritable est un mystère, un corps unique voulu par Dieu. Conquérir sa terre promise, abattre ou réduire en esclavage ceux qui se dressent sur cette voie, se proclamer éternel : « que les trompettes sonnent dans Sion, que les chérubins du Tout-Puissant fassent tomber le feu et la peste sur nos ennemis. Ils rasèrent complètement la ville et tout ce qui s’y trouvait. »
En Samarie parce que les Samaritains ne lisaient pas l’écriture comme eux, et parce qu’ils avaient construit leurs propres sanctuaires ; en Térébinthe : au lieu de 6 coudées, ils en avaient mis 5 ou 7 ou Dieu sait quoi. Passés au fil de l’épée, chaque homme, chaque femme, chaque enfant, le bétail. Massacres de villes pour une idée ou affaire de mots. Josué, l’oint du Seigneur extermina des dizaines de milliers d’hommes puis dansa devant l’Arche. D’où Hitler a-t-il appris à choisir une race, la préserver pure et sans tache, lui offrir une terre promise ? Malheur aux Amorites, aux Jébusites, aux Kénites qui ne méritent pas le nom d’hommes ! Le racisme de Hitler est une minicaricature du racisme juif.
Mille ans ! A côté de l’éternelle Sion !
Comme ils étaient charmants ces Dieux païens, cachés sous les feuillages, les rochers, les sources consacrées : ils auraient protégé la nature contre la monstrueuse pollution du matérialisme athée. Le Dieu Juif est celui de la vengeance jusqu’à la trentième génération. C’est un Dieu de contrats, de marchandages dérisoires, de crédits, de pots-de-vin, de pourboires dérisoires. « Et le Seigneur accorda à Job deux fois ce qu’il possédait auparavant, un millier de mules ». Qui connaît le rôle énorme que jouèrent les Juifs dans le trafic des esclaves jusqu’en 1870 ? (article du Pr. Shahak publié en 1967, avant la guerre des Six jours).
On ne connaît des textes religieux traditionnels Juifs que ce qui est traduit en langues occidentales. On ne connaît pas la réalité des textes car il faut pour cela connaître l’hébreux. Le Pr Shahak qui connaît parfaitement l’hébreux, nous fait connaître ces textes dont le racisme dépasse les bornes de l’imagination (Histoire Juive – Religion Juive, le poids de trois millénaires, Librairie du Savoir, 5, rue Malebranches, 75005 Paris). Ainsi tout Juif passant devant un cimetière doit proférer une bénédiction s’il s’agit d’un cimetière Juif. Par contre, s’il s’agit d’un cimetière de Goyim, il doit maudire la mère des morts. Hostilité gratuite à l’égard de tout être humain.
Examinons le racisme anti-noir de Maïmonide célèbre philosophe juif : « Une partie des Turcs (c’est à dire les Mongols) et les nomades du Nord, les Noirs et les nomades du Sud, et ceux qui leur ressemblent sous nos climats ; leur nature est semblable à celle des animaux muets et selon mon opinion, ils n’atteignent pas au rang d’êtres humains. Parmi les choses existantes ils sont inférieurs à l’homme mais supérieurs aux singes, car ils possèdent dans une plus grande mesure que le singe l’image et la ressemblance de l’homme ». Quand aux Etats-Unis, si les Juifs soutiennent Martin Luther King et la cause des Noirs d’Amérique, c’est pour obtenir un appui tactique au nom de l’intérêt Juif. Il s’agit de gagner le soutien de la communauté noire à la communauté juive et à la politique d’Israël. D’ailleurs, le métissage institutionnalisé partout (sauf en Israël ou ne pénétrera ni un Noir ni un Maghrébin), a deux buts : régner sur un monde de zombies indifférenciés, et avoir des communautés entières, fussent-elles homosexuelles, pour voter pour les pantins de tous les partis dont ils tirent toutes les ficelles. En Israël, le Hassidisme, avatar de la mystique juive, est un mouvement vivant qui compte des centaines de milliers d’adeptes qui ont une influence politique énorme. Or que dit la Hatanya, bible du mouvement ? Les non-Juifs sont des créatures de Satan chez lesquelles il n’y a absolument rien de bon. La différence qualitative entre Juifs et non-Juifs existe dès le stade embryonnaire. La vie d’un non-Juif est quelquechose d’inessentiel car le monde n’a été créé que pour le bénéfice des Juifs. Le rabbin des Loubavitch et d’autres chefs hassidiques ne cessent de publier des déclarations les plus violentes, et les exhortations les plus sanguinaires contre tous les Arabes. L’influence du philosophe Martin Buber est très importante dans la montée du chauvinisme israélien et la haine à l’égard des non-Juifs. De nombreux êtres humains sont morts de leurs blessures parce que les infirmiers militaires israéliens, sous l’influence du Hassidisme, ont refusé de les soigner. Yehezkiel Kaufman, sociologue, préconisait le génocide sur le modèle du livre de Josué.
Hugo Shmnel Bergman prônait l’expulsion de tous les Palestiniens en Irak. L’apologie de l’inhumanité est prêchée non seulement par les rabbins, mais par des personnes qui passent pour les plus grands penseurs du Judaïsme. Les actes les plus horrifiants commis en Cisjordanie sont inspirés par le fanatisme religieux juif. Racisme et fanatisme juifs sont évidents : un ami de Marx, Moses Hess, bien connu et respecté comme l’un des premiers socialistes d’Allemagne, a fait montre d’un racisme juif extrême et ses idées sur «la pure race juive » n’ont rien à envier à «la pure race aryenne ».
« Il est interdit de sauver la vie d’un Gentil parce qu’il n’est pas ton compagnon ». Non seulement environ 400 villages ont été rasés, comme nous l’avons dit, mais des centaines de cimetières musulmans ont été détruits par Israël. (livre de Shahak, page 84).
Quant au Talmud il n’y va pas de main morte : « c’est un devoir religieux de soutirer le plus d’intérêts possibles quant on prête à un Goyim ». Cette mentalité spéculativo-parasitaire a été la cause majeure de l’antisémitisme de tous les temps et de tous les lieux. Ni l’Eglise, ni le Nazisme n’ont l’exclusivité de l’antisémitisme. Il a existé partout comme en Perse cinq siècles avant J–C.
L’Eglise a d’ailleurs très souvent protégé les Juifs au cours de l’Histoire. Il faut dire que Noblesse et Couronne utilisèrent les Juifs pour maintenir les paysans dans l’oppression. Cela est parfaitement ignoble de la part des Goyim, mais les Juifs en profitaient pour pressurer les paysans pour leur propre compte. En Pologne orientale, par exemple, du temps de la domination des magnats, les Juifs étaient les exploiteurs immédiats de la paysannerie et quasiment les seuls citadins. Dans « The rise of Christian Europe », Trévor Roper (page 173-74), établit que les Juifs furent les principaux trafiquants d’esclaves entre l’Europe médiévale et le monde Musulman. Voilà ce qu’écrivait le Dr Prinz : « un Etat fondé sur le principe de la pureté de la nation et de la race ne peut qu’être honoré et respecté par le Juif qui déclare son appartenance à son propre peuple ». Comme on le voit, le métissage institutionnalisé, c’est bon pour les Goyim, « cette vile semence de bétail » (Zohar). Voilà ce que dit Maïmonide traitant du meurtre : « le Juif qui tue délibérement un Gentil n’est coupable que d’un péché contre la loi du ciel, il n’est pas punissable par un tribunal ». « La cause indirecte de la mort d’un Gentil n’est pas un péché du tout ». « Le meilleur des Goyim, tuez-le ». (commentaire du Shulhan Arukh) . Voici, extrait du traité « La pureté des armes à la lumière de la Halakhah » : « Quant au cours d’une guerre ou lors d’une poursuite armée ou d’un raid, nos forces se trouvent devant des civils dont on ne peut être sûr qu’ils ne nous nuiront pas, ces civils, selon la Halakhah, peuvent et même doivent être tués… En aucun cas on ne peut faire confiance à un Arabe même s’il a l’air civilisé… En guerre lorsque nos troupes engagent un assaut final, il leur est permis et ordonné par la Halakhah de tuer même les civils bons, c’est à dire les civils qui se présentent comme tels ». Le Talmud dit qu’il est interdit de profaner le Sabbat pour sauver la vie d’un Goyim gravement malade, ni d’accoucher une non-Juive le jour du Sabbat.
Voilà ce qu’il faut lire pour le croire dans l’Encyclopédie talmudique : « Celui qui a des relations charnelles avec la femme d’un Goyim n’est pas passible de la peine de mort, car il est écrit : « la femme de ton prochain et non la femme d’un étranger et de même que le précepte « l’homme restera attaché à sa femme », qui est adressé aux Goyim, ne s’applique pas à un Juif, de même il n’y a pas de mariage sacré pour un païen ; la femme mariée d’un Goyim est interdite aux autres Goyim, mais un Juif n’est aucunement concerné par cet interdit »…
De cette citation il ne faudrait pas conclure que cela autorise les rapports intimes entre un Juif et une non-Juive, bien au contraire. Mais la peine principale est infligée à la femme. C’est elle qui doit être exécutée même si elle a été violée. Si un Juif s’unit sexuellement avec un non-Juive, qu’elle soit une enfant de trois ans (sic) ou une adulte, qu’elle soit mariée ou nubile, et même si lui-même est un mineur n’ayant que neuf ans et un jour, comme il a commis un coït volontaire avec elle, « elle doit être tuée comme le serait une bête parce qu’à cause d’elle un Juif s’est mis dans un mauvais cas ». Ajoutons que les femmes de toutes les nations sont considérées comme des prostituées. La « tromperie indirecte » est permise. Le vol aux dépens d’un Goyim est autorisé s’il est sous la domination juive. Ces préceptes ne sont pas suivis « s’ils portent préjudice aux Juifs ». On peut comprendre la dépossession violente des Palestiniens par les Juifs ayant sur eux une supériorité écrasante. Si les Juifs sont assez puissants leur devoir religieux est d’expulser les Palestiniens. Il est évident que selon les exhortations génocidaires de la Bible et du Talmud, tous les Palestiniens doivent être exterminés La littérature talmudique reprend avec véhémence : « tu ne laisseras rien subsister de vivant ». Les Palestiniens de Gaza sont comme les Amalécites. Les versets de la Bible exhortant au génocide des Médianites ont été repris par un rabbin israélien pour justifier le massacre de QUBBIYA. Les lois halakhistes inculquent le mépris et la haine envers le Goy. Le Juif dévot rend grâce à Dieu « de ne pas l’avoir fait naître Goy ». « Que tous les Chrétiens périssent à l’instant ! » L’usage s’est instauré de cracher trois fois à la vue d’une église ou d’un crucifix. « Les Juifs sont les meilleurs du genre humain. Ils ont été créés pour reconnaître leur créateur et l’adorer et sont dignes de posséder des esclaves pour les servir ». (voir références dans le livre de Shahak). Nous devons faire acte de miséricorde envers les Juifs mais en nous abstenant de tels actes envers le reste des hommes » (cf. Shahak). Shakak qui vit en Israël nous dit : « quiconque vit en Israël, sait à quel point les attitudes de haine et de cruauté envers tous les Goyim sont répandues et enracinées chez la majorité des Juifs du pays. Le précepte inhumain selon lequel la servitude est le rôle naturel des Goyim ont été cités publiquement en Israël, même à la télévision, par des agriculteurs Juifs exploitant de la main d’œuvre arabe et notamment des enfants ». (page 198).
Les droits de l’homme n’ont jamais été que les droits du Juif comme on le voit spectaculairement dans tout l’Occident. Les Etats-Unis et le Canada soutiennent de façon inconditionnelle la politique israélienne. Il n’y a pas une seule réaction lorsque celle-ci est en contradiction éclatante avec les droits de l’homme fondamentaux.
Il est impossible de rentrer dans un club Juif ou une obédience maçonnique comme le Bnai’ B’rith : mais si l’on interdit lun accès à un Juif, c’est alors les hurlements à l’antisémitisme. Autrement dit, ceux qui se réclament sans cesse des droits de l’homme sont ceux qui les violent en permanence. Et les Goyim avachis opinent du bonnet… Faurisson et Garaudy n’ont pas droit à cet élémentaire droit de l’homme qui est le droit à la liberté de parole. On leur répond par des lois stalino-orwelliennes et des condamnations pour crime de la pensée.
400 villages rasés, Sabra, Chatilla, Deir Yassin, les massacres permanents de Musulmans privés de leurs maisons et de leur terre, 50 Musulmans en prière, tués à coups de revolver, les massacres incessants et, maintenant en Occident, la peur panique d’ouvrir la bouche pour proférer une quelconque vérité : tels sont les droits de l’homme que nous imposent les Juifs. Dans son livre « Germany must perish » paru juste avant l’entrée des Etats-Unis dans la Seconde guerre mondiale, T. Kaufman, Juif américain, préconisait l’extermination totale des Allemands. « Petit détail », comme dirait Le Pen. Le Judaïsme est un totalitarisme raciste écrasant.
Rappelons avant de poursuivre quelques pensées de la tradition religieuse juive dont nous venons de parler :
DEUTERONOME : 4,10-11 : « Lorsque le Seigneur votre Dieu vous aura conduit dans le pays qu’il vous donne, vous y trouverez de grandes et belles villes que vous n’avez pas bâties, des maisons pleines de toutes sortes de richesses, que vous n’avez pas amassées, des puits que vous n’avez pas creusés, des vignes et des oliviers que vous n’avez pas plantés… »
Si cette psychologie n’est pas celles des Israéliens courageux et qui ont échappé au déterminisme de la circoncision, ce qui en fait des victimes rêvées de l’antisémitisme, nous avons là, bien résumée, cette psychologie speculativo-parasitaire mère de l’antisémitisme.
Le Talmud : « Le Juif qui viole ou corrompt une femme non juive et même la tue doit être absous en justice, parce qu’il n’a fait de mal qu’à une jument. » (Nidderas bammidebar rabba).
Wilhelm Marr était un Juif qui participa à la révolution de 1848 en Allemagne. Lorsqu’elle fut accomplie, il comprit qu’elle n’avait profité qu’au seul Israël. Aussi juif honnête, révolté, il publia en 1860 un ouvrage intitulé « Le miroir du judaïsme ». Il provoqua, on s’en doute, l’indignation des Juifs allemands (les Juifs ne supportant jamais la vérité qui les concerne, d’où des lois totalitaires et racistes qui interdisent à priori l’examen des faits).
Voici quelques passages ahurissants de ce livre, d’une pertinence époustouflante : « Je déclare à haute voix, sans la moindre intention ironique, le triomphe du judaïsme dans l’Histoire mondiale. Je publie le bulletin de la bataille perdue, de la victoire de l’ennemi, sans aucun quartier pour l’ennemi vaincu. Dans ce pays de penseurs et de philosophes, l’émancipation des Juifs a eu lieu en 1848. Depuis cette époque commença la guerre de trente ans que les Juifs nous font maintenant ouvertement. Nous autres Allemands avons prononcé en 1848 notre renonciation officielle au profit du judaïsme. Dès le moment de leur émancipation, le Judaïsme est devenu pour nous Allemands, un objet auquel il est interdit de toucher. Il ne convient pas de soumettre à la critique la politique intérieure du Prince de Bismarck depuis 1866. Je me contenterai de constater un fait : depuis cette époque, son Altesse Sérénissime est considéré par le Judaïsme comme l’empereur Constantin par les Chrétiens. »
Traçant un aperçu de la victoire du Judaïsme sur les peuples d’Europe, Wilhelm Marr conclut : « l’avènement du césarisme juif, je base cette affirmation sur une profonde conviction, n’est plus qu’une question de temps. Au Judaïsme appartient la domination mondiale. Le crépuscule des Dieux est déjà arrivé pour nous. S’il m’est permis d’adresser une prière à mon lecteur, voici en quoi elle consistera : qu’il conserve le présent ouvrage et le transmette en héritage à ses enfants, en leur demandant de le léguer aussi à leurs descendants. Je n’ai pas l’intention de me considérer comme un prophète, mais je suis profondément pénétré de l’opinion exposée ici : avant quatre générations il n’y aura plus aucune fonction dans l’Etat, sans excepter les plus élevées, qui ne soit en la possession des Juifs… La capitulation de la Russie n’est qu’une question de temps. Dans cet énorme empire, le Judaïsme trouvera un levier qui lui permettra d’arracher définitivement de ses charnières tout le monde de l’Europe Occidentale. »
Marcel Bernfeld (Le Sionisme, 1920) : « Il importe peu de savoir si les Juifs sont une race pure ou non. L’essentiel est la constatation chez tous les Juifs d’une intime et profonde conviction d’être de souche très ancienne et de pouvoir faire remonter leur généalogie aux antiques Hébreux. Ils ont plus que tout autre peuple l’idée d’être de race pure, de là un sentiment de supériorité. »
Knut Hamsun, Prix Nobel de Littérature en 1920 : « Un grand homme vraiment ce Roosevelt, raide et têtu il poursuit son chemin, Juif qu’il est, à la solde des Juifs, esprit éminent dans la guerre que livre l’Amérique pour l’or et le pouvoir juifs. » (Oslo, 1942)
Simone Weil (La pesanteur et la Grâce) : « Parler d’un Dieu éducateur au sujet de ce peuple est une atroce plaisanterie. » « Le mensonge du progrès, c’est Israël. » « Les Juifs, cette poignée de déracinés, a causé le déracinement de tout le globe terrestre. »
Voilà qui résume tout.
Fin de la première partie
DEUXIÈME PARTIE
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