mardi 27 avril 2010

l'invasion juive partie 4

IV
Ce qui|rend la crise nouvelle infiniment plus grave que toutes
celles qui l'ont précédée, c'est quelle a été longuement élaborée par
les Juifs eux-mêmes, c'est eux qui ont inspiré la Révolution de 1789.
Ce peuple a parfaitement compris qu'un formidable obstacle se
dressait devant lui, qu'il s'opposait à son entrée dans la société
moderne et par conséquent à sa marche envahissante, cet obstacle
c'était la religion chrétienne sur laquelle reposaient toutes les institutions
séculaires qui ont créé la civilisation moderne, il fallait dès
lors saper cette base, c'est ce que les Juifs ont fait avec un acharnement
de sectaire, avec la force latente d'une haine longtemps
concentrée, avec cet élan que donne à l'homme de lucre la perspective
d'un immense butin à conquérir.
Mais pour détruire la religion chrétienne et surtout la religion
catholique, bases de nos sociétés civilisées, il fallait que le Juif dissimulât
son jeu, qu'il tît agir les autres sans montrer sa main à bon
droit détestée, il fallait qu'il lançât à l'assaut des troupes autres
que les siennes et qu'il fît tomber la citadelle chrétienne au nom de
la liberté.
C'est ce qu'il a fait.
M. des Mousseaux, dans son livre le Juif, nous a dit :
<( Les cabalistes appellent les Juifs : nos pères dans la foi, et leurs
chefs sont les chefs de la grande association cabalistique connue en
Europe sous le nom de maçonnerie. »
Dans son livre, il prend le Juif déicide à sa sortie de Jérusalem,
emportant, à travers les siècles et les peuples, la malédiction divine,
qu'il a lui-même attirée sur sa tête, il le montre associé depuis
dix-huit siècles à l'oeuvre ténébreuse de l'esprit du mal. Successive
ment il nous le fait voir pratiquant les théories gnostiques et les
sortilèges de Simon le Magicien ; astrologue au moyen âge et propagateur
des criminelles illusions de la cabale; plus tard, l'inspirateur
de la Franc-Maçonnerie, aujourd'hui fauteur de la libre-pensée.
M. l'abbé Chabauty dit, de son côté, dans les Juifs nos maîtres
(p. 139), « par leur ongue expérience, leur génie naturel, leurs
richesses inépuisables, l'habileté et l'adresse de leurs agents immédiats,
les Juifs ont pu s'emparer de la Franc-Maçonnerie, de toutes
ses branches et affermir leur domination absolue sur le monde entier
des associations occultes.
L'invasion a donc commencé par la Franc-Maçonnerie, les Juifs
se sont peu à peu emparés de cette société secrète, et ils l'ont
dirigée à leur gré quoique restant dans Fombre, et ce n'est que
par quelques révélations involontaires que Ton est parvenu à
connaître leur rôle occulte, mais prépondérant dans cette association.
M. des Mousseaux nous assure de source certaine que le conseil
souverain de la Franc-Maçonnerie se compose de neuf individus,
iont cinq au moins doivent être de nationalité judaïque.
Après cela, il importe peu que les Juifs aient longtemps été
exclus de certaines loges, ils avaient les leurs, ils ne s'opposaient
pa3 directement à leur exclusion de grades inférieurs, ils se réservaient
la direction, sachant bien qu'un jour viendrait où ils vaincraient
les répugnauces de leurs dupes de la petite Franc-Maçonnerie. En
effet, aujourd'hui le Juif est entré dans toutes les loges.
Le grand moteur, le bélier dont se servent les Juifs pour abattre
le christianisme, sous ses diverses formes ou du moins pour le
frapper sans cesse", espérant un événement qui arrivera sans doute
en même temps que leur Messie, cet instrument puissant de
destruction se nomme la Franc-Maçonnerie.
« L'origine juive de la Maçonnerie est manifeste, dit M. Drumont,
et les Juifs ne peuvent être accusés de beaucoup de dissimulation
dans cette circonstance. Jamais but plus clair, en effet, ne fut
indiqué sous une plus transparente allégorie. 11 a fallu toute l'ingénuité
des chrétiens pour ne pas comprendre qu'en les conviant à
s'unir pour Tenverser l'ancienne société et reeonstruire le temple de
Salomon, on les conviait à assurer le triomphe d'Israël.
« Ouvrez n'importe quel rituel, et tout vous parle de la Judée :
Kadosch, le plus haut grade de la Franc-Maçonnerie, veut dire
saint, en hébreu. Le chandelier à sept branches, l'Arche d'alliance»
la table en bois d'acacia (1), rien ne manque à cette reconstruction
figurative du Temple.
« L'année maçonnique est à peu près réglée sur l'année juive;
Talmanach israélite porte 5446e année de la création, l'almanach
maçonnique 5884e année. Les mois maçonniques sont les mois
juifs : Adar, Veadar, Nissan, Iyar, Sivan, Tammouz, ab, elouly
Tischri, Keschvan, Kisler, Thebet, Schebat.
« Le jour où Jérusalem a vu s'écrouler sa grandeur passée est un
inoubliable souvenir que les loges prennent soin de rappeler sans
cesse. Dans la cérémonie pour le grade Rose-Croix, à cette question :
« Quelle heure est-il ? » on répondait :
« 11 est la première heure du jour, l'instant où le voile du temple
se déchira, où les ténèbres et la consternation se répandirent sur la
surface de la terre, où la lumière s'obscurcit, où les outils de la
maçonnerie se brisèrent, où l'étoile flamboyante disparut, où la
pierre cubique fut brisée, où la parole fut perdue. »
Qu'est-ce que la parole perdue?
Barruel va nous l'apprendre :
« L'adepte, écrit-il, qui a suivi dans la maçonnerie le progrès de
ses découvertes, n'a pas besoin de nouvelles leçons pour entendre
le sens de ces paroles. Il y voit que le jour où le mot Jéhovah fut
perdu fut précisément celui où Jésus-Christ, ce Fils de Dieu, mourant
pour le salut des hommes, couronna le grand mystère de la religion
chrétienne, et détruisit toute autre religion, soit judaïque, soit
naturelle et philosophique. Plus un maçon est attaché à sa parole,
c'est-à-dire à la doctrine de la prétendue religion naturelle, plus il
apprendra à détester l'auteur et le consommateur de la religion
révélée. Aussi cette parole qu'il a déjà trouvée dans les grades
supérieurs n'est-elle plus l'objet de ses recherches dans celui-ci; il
faut à sa haine quelque chose de plus, il lui faut un mot qui, dans
sa bouche et dans celle de ces coadeptes, rappelle habituellement le
blasphème du mépris et de l'horreur contre le Dieu du christianisme.
Et ce mot, il le trouve dans l'inscription même apposée sur la croix
I. N. R. L Jésus ou Iesus Nazareth Rex ludoeorum, Jésus de
Nazareth, Roi des Juifs.
« L'adepte Rose-Croix apprend à y substituer l'interprétation
suivante : Juif de Nazareth conduit par Raphaël en Judée, interprétation
qui ne fait plus de Jésus-Christ qu'un Juif ordinaire emmené
par le Juif Raphaël à Jérusalem pour y être puni de ses crimes.
« Dès que les réponses de l'aspirant ont prouvé qu'il connaît le
sens maçonnique de l'inscription INRI, le vénérable s'écrie : MES
FRÈRES, LA PAROLE EST RETROUVÉE 1 et tous applaudissent à ce trait de
lumière par lequel le .-. Frère leur apprend que celui dont la' mort
est le grand mystère de la religion chrétienne ne fut qu'un simple
Juif crucifié pour des crimes. De peur que cette explication ne
s'efface de leur mémoire, de peur que toute la haine dont elle les
anime contre le Christ ne s'éteigne dans leur coeur, il faudra que
sans cesse ils l'aient présente à leur esprit. Le maçon Rose-Croix la
redira lorsqu'il rencontrera un frère de son grade, c'est à ce mot
INRI qu'ils se reconnaîtront. Les mots de passe franc-maçonnique
sont Judas et Benjamin, le grand mot de passe Schibboleth est une
indication plus significative et plus expressive encore. 11 rappelle ce
passage du chapitre xn des Juges que les gens de Galaad menacèrent
au passage du Jourdain ceux d'Ephraïm qui ne pouvaient bien prononcer
le mot Schibboleth. Les Juifs ont fait, de ce sinistre souvenir,
une menace pour quiconque n'est pas des leurs. »
Ce sont là des preuves certaines, indéniables de l'origine Juive de
la Franc-Maçonnerie.
En France, en Allemagne, en Angleterre, aux États-Unis, à Rome,
il existait et il existe encore des loges exclusivement juives.
« A Rome, nous dit M. Chabauty (p. 133), il existe une loge
entièrement composé de Juifs, où se réunissent tous les fils des
trames révolutionnaires ourdies dans les loges chrétiennes. Cette
loge est le tribunal suprême de la Révolution. De là sont dirigées
les autres loges, comme par des chefs secrets; de sorte que la
plupart des. révolutionnaires chrétiens ne sont que des marionnettes
aveugles mises .en mouvement par des Juifs, au moyen du mystère.
»
« En 1781, écrit M. l'abbé Lémann, dans son livre : l'Entrée des
Israélites dans la Société française, une assemblée clandestine se
tenait à Wilhemsbad, à trois lieues de Francfort-sur-le-Mein; elle
devait prendre dans l'histoire le nom de couvent de Wilhemsbad.
A ce convent, toutes les sociétés secrètes se trouvent réunies. Elles
sont appelées, d'un bout de la terre à l'autre, comme des oiseaux
sinistres auxquels on aurait fait comprendre que le cadavre de
l'ancien ordre social se prépare et leur sera livré- C'est le grand
révolutionnaire et fondateur de la secte de l'illuminisme, Weishaupt,
qui fut l'inspirateur de ce projet. » C'est dans ce convent que fut
décidée la Révolution de 1789, et que la mort de Louis XVI et celle
du roi de Suède furent résolues. Or, Adam Weishaupt était JUIF.
Le comte de Virieu, qui avait, en sa qualité de franc-maçon,
assisté à ce complot de Wilhemsbad, poussé à bout un jour par un
de ses amis, M. de Gillière, lui répondit à propos de ce convent :
« Je ne vous dirai pas les secrets que j'apporte; maïs ce que je
crois pouvoir vous dire, c'est qu'il se trouve une conspiration si
bien ourdie et si profonde, qu'il sera bien difficile à la religion et
aux gouvernements de ne pas succomber (lj. »
Le cardinal Caprara, alors nonce apostolique à Vienne, se faisant
l'écho d'une communication qui lui avait été faite, adressa au
Pape, en 1787, un mémoire qu'il concluait par ces paroles prophétiques
:
« Le danger approche, car de tous ces rêves insensés de l'illuminisme
ou du franc-maçonnisme, il doit sortir une effrayante
réalité; les visionnaires ont eu leur temps, la Révolution qu'ils présagent
aura le sien (2). »
On trouve, dans les OEuvres pastorales de Mgr Besson, une
confirmation de ce fait si grave, de ce criminel complot contre les
rois de France et de Suède, et de leur mort décidée par les francsmaçons
sous l'inspiration des Juifs. Mgr Besson le tenait d'un
homme fort honorable, M. Bourgon, président de Chambre à la
Cour de Besançon, qui le tenait lui-même de MM. de Raymond et
de Bouligney, francs-maçons, qui revinrent consternés de Wilhemsbad
OÙL le sort les avait délégués, et qui se promirent de ne
plus mettre les pieds dans une loge.
Du reste, pendant toute la Révolution, les francs-maçons dirigent
le mouvement; ils sont aux affaires, les défenseurs des Juifs font
partie du Grand-Orient, ce sont : Grégoire, Roederer et Mirabeau.
Duport et Barnave sont également des francs-maçons de haut
grade.
Le P. Deschamps, dans son livre sur les Sociétés secrètes, nous
apprend, du reste, que Mirabeau fut l'ami du Juif Weishaupt et des
Juifs de Berlin, avec lesquels il se mit en rapport direct en 1781
et 1782, et dont il reçut sans doute le mot d'ordre de la Révolution.
Nous verrons bientôt le Juif sans cesse allié au révolutionnaire
français, ou plutôt la dirigeant à son gré dans notre pays ; mais il
en est partout de même en Europe depuis 1789.
Le R. T. Pvatisbonne, dans sa brochure : la Question Juive,
confesse que les Israélites actuels, quoique divisés en plusieurs
partis : indifférend, réformateur, libéral, orthodoxe, christianisant,
libre-penseur, conservent tous au fond du coeur le souvenir amer des
persécutions subies et qu'ils ont tous voué une haine profonde au
catholicisme.
Quoi d'étonnant dès lors, qu'on les retrouve sans cesse et partout
dans le parti de la Révolution, c'est-à-dire parmi les adversaires du
christianisme.
« Le Juif, écrit M. des Mousseaux (p. 33), ne cesse, dans les
pages de ses Revues, de se déclarer l'enthousiaste admirateur de
tous les révolutionnaires qui troublent et bouleversent le monde;
mais surtout de ceux dont la haine, inassouvissable menace, de la
manière la plus directe, l'existence de l'Église. Devant ses sympathies
ardentes, devant ses implacables doctrines, devant ses associations
de toute nature destinées à les faire passer de la théorie
dans les actes, il faudrait donc être frappé de la plus étrange
myopie pour ne pas reconnaître dans le Juif le préparateur, le
machinateur, F ingénieur en chef des Révolutions. Car, elles seules
en le judaïsant, en le transformant à son profit, peuvent conduire
le Juif à ses fins; seul ici-bas, serait-il assez simple, lorsqu'il veut
une fin, pour en repousser les moyens? »
Toussenel, dans les Juifs rois de F Époque, raconte qu'il était,
après 1848, en relations avec un Juif qui, par vanité, trahissait le
secret des sociétés secrètes auxquelles il était affilié, cet homme
l'avertissait huit à dix jours cF avance de toutes les Révolutions qui
allaient éclater sur un point quelconque de l'Europe.
«Je lui dois, ajoute-t-il, Finêbranlable conviction que tous ces
grands mouvements des peuples opprimés sont combinés par]une
demi-douzaine d'individus qui donnent leurs ordres aux sociétés
secrètes de FEurope entière. »
M. des Mousseaux (p. 369) nous apprend encore qu'en Autriche
toute la presse est entre les mains des Juifs "et quelle arrête et
entrave tous les efforts du gouvernement impérial, que les Juifs ont
également accaparé la presse prussienne.
MM. les abbés Lémann, dans Rome et les Juifs, brochure écrite
en 1S73, disent qu'à cette époque, les trois journaux ministériels en
Italie : TOpinione, la Liberia, la Nuova Roma, appartenaient aux
Juifs, c'est-à-dire à MM. Dina, Arbib et Lévi, et que ces journaux
n'ont jamais cessé de déverser l'injure et la calomnie sur le Pape,
sur les prêtres et sur la religion. Pie IX disait d'eux : ils dirigent
contre moi toute la presse révolutionnaire. MM. Lémann ajoutent
(p. 28), que l élément juif s'est fondé avec télément révolutionnaire
en Autriche et en Italie, et MM. les abbés Lémann, qui
connaissent bien leurs anciens coreligionnaires, nous tracent ce
tableau de la démocratie romaine :
« A part M. Alatri et quelques autres noms honorables, nous
avons trouvé toute la communauté juive de Rome sous le poids de
la réprobation publique. Nous croyons, nous, que c'est une minorité
turbulente, révolutionnaire, qui fait loi au Ghetto. Mais pourquoi la
majorité honnête n'a-t-elle pas protesté? En laissant faire, elle se
montre intéressée au crime. On nous a résumé ainsi la triste situation
de Rome : « Ce qui forme la populace, le bas peuple, parmi les
« Israélites» est disposé à tous les coups de main. On compte
u actuellement, dans les murs de Ptome, de huit à dix mille individus
« régulièrement payés par l'Internationale, pour qu'ils se tiennent
« prêts à tout entreprendre aussitôt qu'un ordre leur est envoyé. Ils
« sont toujours prêts; la paie régulière les tient en laisse. Or,
« parmi ces huit ou dix mille individus, figurent beaucoup de Juifs;
« ceux qui forment la lie du Ghetto. Ceux-là allient au mépris de
« l'ordre social la haine du christianisme innée dans leur coeur.
« C'est tout ce qu'il y a de plus bas. Aussi les Israélites honnêtes
« gémissent de leur présence et de leur solidarité! »
Le tableau de la démocratie romaine qu'on vient de voir, est
celui de l'Europe tout entière. Partout et toujours une minorité
turbulente et criminelle conduit une tourbe plus ou moins compacte
dans laquelle grouillent tous les éléments malsains de la société,
hommes vicieux, repris de justice, ivrognes, coquins, fous, tout le
rebut du mode, gens prêts à tout et qui exécutent tous les ordres
qu'un pouvoir occulte leur transmet.
Or, ce pouvoir occulte, nous venons de le voir, est composé de
Juifs et mené par les Juifs.
Aveugle, qui ne le voit pas; faible d'esprit, qui ne peut le comprendre.

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