dimanche 25 avril 2010

LA SS Organisation de combat anti-bolchévique

LA SS
Organisation de combat
anti-bolchévique
Reichsführer SS Heinrich Himmler
1936
Le bolchévisme
Aujourd’hui, on parle beaucoup du bolchevisme, et la plupart des gens pense que ce bolchevisme est
une manifestation propre à notre époque actuelle. Beaucoup croient même que ce bolchevisme
structuré par les Juifs et le combat mené par les sous-hommes sont devenus, pour la première fois, un
problème tout à fait nouveau dans l’histoire internationale.
Contrairement à eux, nous considérons que, depuis que des hommes existent sur terre, le combat
entre les hommes et les sous-hommes représente une loi historique ; que cette guerre menée par les
Juifs contre les peuples, aussi loin que nous puissions regarder en arrière, fait partie du cours naturel
de la vie sur notre planète. On peut en tirer la conviction que cette lutte de la vie et de la mort est
une loi naturelle, au même titre que la lutte de l’homme contre n’importe quelle épidémie, comme le
combat du bacille de la peste contre le corps sain.
Il est donc nécessaire d’étudier, grâce à deux exemples évidents, les méthodes de cette lutte
employées dans le passé jusqu’à nos jours, pour nous familiariser avec la tactique de l’ennemi judéobolchevique.
La fête de Pourim
La Bible nous livre l’un de ces exemples de l’extermination d’un peuple aryen par les méthodes judéobolcheviques.
Il suffit de lire ce chapitre de l’histoire juive dans lequel est raconté comment les Juifs se
sont implantés au sein du peuple perse, dans toutes les villes, les villages et dans la capitale Suse. Le
peuple perse, aryen, a eu conscience du danger que représentaient ces Juifs et la volonté de régler la
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question juive en Perse – incarnée par le ministre Aman – se posait à l’ordre du jour. Le monarque,
connu dans la Bible sous le nom d’Assuérus mais qui s’appelait Xerxès, se sépara de sa femme perse
Vasthi à cause des intrigues tramées de manière prudente et habile par ses Juifs de cour. Le Juifs, sous
des formes diverses mais dans ce cas sous la forme d’une femme juive, la Juive Esther, séduisit le roi.
Dès lors, le jeu des intrigues s’exerça avec tout le raffinement juif contre la volonté du ministre
Aman, conscient de sa race et lié à son peuple. Il aboutit à ce que le fidèle ministre fut livré à la
potence par son propre monarque, veule et aveuglé par le Juif Mardochée – un événement qui s’est
répété de multiples fois dans l’histoire des peuples. Mardochée fut fait vice-roi et donna des ordres
avec ce sens du calcul implacable, calme et froid propre au bolchevisme, afin que les plus nobles des
Perses, tous antisémites, soient assassinés un jour déjà établi par écrit, dans toutes les villes et villages,
grâce à un décret royal protégeant les Juifs. La Bible indique qu’à l’époque, 75.000 Perses furent
abattus. Pour couronner le tout, un décret de ce roi aryen fait du 14 et du 15 du mois d’Adar des
jours fériés, et tous les ans jusqu’à nos jours est donc célébrée la fête de Pourim, la fête de la victoire
des Juifs.
Naturellement, le vieux peuple perse n’a jamais pu se relever de ce coup. Face à la situation tragique
de ce peuple anéanti et touché dans sa substance par le bolchevisme juif, on peut remarquer que, non
seulement la pure doctrine religieuse de Zoroastre mais aussi la langue maternelle de ce peuple aryen
sont tombées dans l’oubli. Après plus de deux mille ans, l’érudition allemande et un travail
scientifique des plus difficiles ont permis que les livres de Zoroastre soient traduits en allemand.
Car le bolchevisme procède toujours de la même façon : on abat de façon sanguinaire les plus grands
esprits et les chefs d’un peuple, et ensuite s’instaure l’esclavage étatique, économique, scientifique,
culturel, spirituel, moral et physique. Le reste du peuple est abâtardi par d’innombrables mélanges
raciaux et dépouillé de sa valeur. On sait ce qu’il est advenu d’un tel peuple au bout de seulement
quelques siècles.
D’autres exemples
On ne peut dire combien de semblables tragédies – menées à terme ou non – ont eu lieu sur cette terre.
Dans de nombreux cas, nous pouvons pressentir que c’est notre ennemi éternel, le Juif, sous de
multiples apparences ou à travers ses organisations, qui était pour quelque chose dans l’affaire. Tout
au long des temps, nous voyons briller l’épée du bourreau de Cannstatt et de Verden. Les bûchers
s’élevaient sur lesquels, par d’innombrables dizaines de milliers, les corps torturés et lacérés des mères
et des jeunes filles de notre peuple finirent en cendres durant les procès des sorcières. Les tribunaux
de l’Inquisition ont dépeuplé l’Espagne de même que la guerre de Trente Ans qui, en l’espace d’une
génération, réduisit notre florissant peuple allemand de 24 millions à quatre millions d’habitants à
moitié morts de faim.
La Révolution française des francs-maçons
A présent, j’aborde une époque plus récente. Et en raison d’un processus européen généralisé et
confirmé, je ne fais qu’effleurer les méthodes du règne de terreur employées par la Révolution française
qui, sous le jacobinisme et à l’époque de la loi « pour la suppression des suspects », livrait au
bolchevisme, le système à tuer les blonds aux yeux bleus, les meilleurs fils du peuple français. On doit
donc dire la vérité : la Révolution française et son régime de terreur ne furent uniquement qu’une
révolution menée par l’ordre des francs-maçons, cette organisation juive par excellence. La francmaçonnerie
n’a pas seulement eu droit à sa « glorieuse » révolution ; mais elle l’a célébrée dans toutes
les loges du globe, même les loges allemandes les plus modestes, comme étant sa victoire et son acte
de libération du genre humain.
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La Révolution russe
J’en viens maintenant à la Révolution russe. Ma tâche n’est pas d’énumérer à nouveau des dates
connues mais de présenter l’essentiel, c’est-à-dire la méthode.
L’insatisfaction du peuple russe tombé dans la misère sociale est d’abord systématiquement exploitée
et utilisée au profit de la propagande révolutionnaire. Un grand nombre de chefs russes qui voulaient
abolir le servage, en particulier le ministre Stolypine, sont renversés par le camp judéo-anarchiste –
avant d’avoir pu appliquer leurs réformes pour le bonheur providentiel de la Russie. Cette dernière est
poussée à faire la guerre à l’Allemagne par tous les moyens existants. Ici aussi, c’est l’action judéomaçonnique
qui exhorte au déclenchement de la Grande Guerre.
En Russie s’ouvre ensuite le deuxième chapitre de la révolution bolchevique. La franc-maçonnerie
nomme cela passer du « système du drapeau jaune » au « système du drapeau rouge ». Ce qui signifie
dans l’usage parlementaire : le pouvoir passe des partis démocrates-bourgeois au parti menchevik
adverse, social modéré, chez nous social-démocrate. A sa tête se trouve le Juif Kerenski, un homme
qui doit sa vie à la commisération aryenne. Sa mère juive – je me permets de signaler ici cet épisode
instructif – fut condamnée à mort pour avoir participé à des attentats anarchistes et fut graciée par le
père du dernier tsar parce qu’elle était enceinte du fameux Kerenski.
Ce Kerenski qui vit le jour grâce à la générosité aryenne, dépose de façon préméditée le dernier tsar
et est le précurseur du bolchevisme.
Cependant, trop de forces de résistances sont encore présentes en Russie. Ce peuple est, dès lors, à
nouveau froidement poussé à déclarer l’offensive. La Russie aryenne doit de nouveau aller à l’étal du
boucher. Le dénouement peut alors avoir lieu. Pour parler encore le langage maçonnique, on passe
alors du « système du drapeau rouge » au dernier système, le « système du drapeau noir ». Dans le
langage parlementaire, cela signifie : le pouvoir passe du parti socialiste modéré au parti radical
socialiste des bolchevistes. Désormais, ils ne rencontrent plus d’obstacles sur leur route. Aidés de
l’ensemble du pouvoir étatique, les Juifs accomplissent la destruction radicale de tout le sang valable
leur étant hostile et les autres se courbent par peur et par terreur. Dans ce cas aussi, on peut se référer
au livre d’Esther dans lequel il est dit : et beaucoup de Perses, par peur des Juifs, se mirent de leur
côté. Dans ce système du drapeau noir, tous les non-Juifs qui sont faibles de caractère se mettent alors
du côté des Juifs et deviennent les valets des bourreaux, des esprits assujettis, des délateurs et des
espions de leurs propres concitoyens.
On peut remarquer à quel point cette méthode d’extermination est parfaitement appliquée grâce à la
tactique de la GPU qui organise toujours les mêmes soulèvements contre son propre régime par
l’intermédiaire d’agents provocateurs. Elle découvre ainsi les nouveaux individus qui y avaient participé
et s’en empare afin que, par ce moyen, disparaisse tout autorité de la résistance qui, au sein de ce
peuple aryen martyrisé, serait encore pleinement capable de penser ou de diriger une action contre
les bolchevistes et les Juifs.
Si vous étudiez la Révolution russe, vous pouvez établir d’innombrables parallèles avec la révolution
allemande de 1918. La seule différence c’est que précisément un Seigneur bienveillant, un destin
clément mirent un frein à la licence publique de la juiverie, suscitèrent des capacités de résistance et
confièrent sa mission à Adolf Hitler au bon moment, en 1919.
Ayant connaissance de ces exemples a peine esquissés, vous pouvez vous faire par vous-même une
image plus complète de tout cela et rassembler d’innombrables témoignages de cette peinture
sanglante du bolchevisme dans l’histoire des peuples.
Je ne crois pas que vous puissiez me donner tort et je vous prie de ne pas considérer les détails avec
une objectivité allemande et aryenne trop exagérée, mais de voir les choses dans leur ensemble. Vous
devez ainsi en tirer la règle générale qu’en la présence du Juif, du sous-homme et de ses organisations,
nous sommes confrontés à des adversaires adroits, habiles dans l’art d’organiser la destruction, à
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utiliser toutes les possibilités et occasions se présentant dans les salons, l’anti-chambre des ministres
d’Etat et des monarques, par l’attentat, la confection de poisons, l’emploi du poignard de l’assassin
sciemment guidé, le fait de laisser mourir de faim des peuplades indésirables entières, l’intrigue, la
diffamation des individus, l’éloignement des personnalités dirigeantes – les combats de rue aussi bien
que les faux-fuyants de la bureaucratie, le déracinement des paysans et la perversion des Eglises et de
la piété. Ils ont mieux compris que nous que ces luttes ne comportent aucune solution pacifique mais
seulement un vainqueur ou un perdant ; et que dans ce combat, un peuple vaincu, c’est un peuple mort.
Rappelez-vous aussi que cet adversaire peut inscrire sur son drapeau sanglant de la destruction les noms
de peuples anéantis et éteints ; un nombre non négligeable de victoires que l’on ne peut lui contester.
Pour autant que l’on prenne en compte les considérations passées et présentes sur le bolchevisme,
puissiez-vous tous ne jamais oublier aussi celles du futur.
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Notre peuple
L’examen des faits suivants me révèle toujours à quel point notre peuple était grand, sa façon de penser
supérieure et son droit parfait :
Le droit germanique
L’ancien droit germanique veillait à ce que nul ne puisse détruire ce qui est sacré pour tous les
hommes dans la nature créée par Dieu.
Jusqu’aux époques récentes, il était interdit de couper un chêne sur le territoire d’une colonie
germanique, dan le périmètre d’un village, si les paysans n’avaient pas donné leur accord. S’il pouvait
être coupé, on devait alors planter trois jeunes arbres près de lui.
L’ordre divin
La conviction sacrée de nos ancêtres que Dieu créa et anime tout ce qui était et est vivant sur cette
terre est un élément de cette conception du droit. Des gens sots, malveillants et ignorants ont inventé la
fable que nos ancêtres auraient adoré des dieux et des arbres. Non, forts d’une doctrine et d’un savoir
très anciens, ils étaient convaincus qu’il existe un ordre divin régnant sur le monde animal et végétal
et sur l’ensemble de la terre.
Le droit des animaux
En outre, seul un Aryen, un Germain, était capable d’accorder une place à l’animal dans son système juridique
alors qu’il est privé de droits dans d’innombrables autres pays. On trouve des survivances de cette attitude
jusqu’à la fin du Moyen Age. Même dans les cas où il était notoirement prouvé que des animaux étaient
responsables d’une nuisance, comme lors d’invasions de rats ou de souris, nous savons par tradition ancestrale
que même le conseil municipal ne pouvait envisager unilatéralement de détruire ces rongeurs. Car ces petits
animaux, dans ce cas pourtant nuisibles à l’humanité, faisaient partie de l’ordre divin, furent et sont aussi créés
par Dieu. Un avocat les représentait devant le tribunal et on ne pouvait entamer une campagne de
dératisation que si la procédure juridique avait démontré que ces rats et souris avaient réellement troublé
l’ordre et l’harmonie de coin de terre.
Les découvertes culturelles
Permettez-moi de vous présenter d’autres aspects de la question. Lorsque nous creusons le sol
allemand, il nous arrive de trouver ici et là dans les champs que nous cultivons aujourd’hui, sur une
surface de la taille de la main, des pièces de grande valeur cuivre, en argent et en or dont nous
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n’arrivons plus, nous hommes modernes si doués pour tout ce qui est technique, à percevoir la
qualité de leur art forgé et leur beauté classique.
Le culte des ancêtres
Ou lorsque nous faisons face aux gigantesques tumulus en pierre, on ne peut s’empêcher de se dire
qu’un peuple, il y a de lointains millénaires, et qui n’était pas misérable comme nous, a élevé des
cimetières qui furent déblayés et nivelés quelques générations après et dont les os finissent dans des
caisses. Mais nous avons érigé ici un monument à nos ancêtres, pour des milliers d’années, qui nous
remplit de respect encore aujourd’hui, et qui éveille à nouveau l’idée chez beaucoup d’entre nous que
respecter les ancêtres constitue la source de vie d’un peuple. Donc, quiconque honore ses ancêtres,
mesure sa propre grandeur et son importance de façon exacte.
Bravoure et force
Citons un autre exemple : la description faite par les écrivains romains des premières tribus, celles des
Cimbres et des Teutons, faisant leur entrée historique dans le monde romain. Leur taille était
formidable, leur vigueur et leur beauté physiques étaient immenses, leur assaut effréné, brisant et
détruisant les armées romaines les unes après les autres avec une force absolue. Mais ces tribus,
également victimes des erreurs de nos ancêtres, furent vaincues par l’ordre militaire et la discipline
romaine et disparurent.
Les connaissances astronomiques
J’aimerais vous présenter une illustration plus pacifique. Lorsque nous regardons une carte
géographique et que nous relevons l’emplacement d’anciens sites et la manière dont ils sont disposés,
nous pouvons constater qu’ils sont orientés suivant des données astronomiques précises dépassant le
champ visuel humain, de lieux en lieux, avec une harmonie parfaite, cela grâce à une connaissance de
l’univers inégalée jusqu’à présent. Ce fut le fait d’hommes qui ont dû vivre dans le plus profond
respect pour cette essence divine qui a créé toutes ces étoiles ainsi que celle où nous vivons.
La plus ancienne charrue
Je voudrais vous citer un autre exemple : la charrue, qui fut l’arme la plus ancienne de notre peuple,
fut tirée sur notre sol il y a plus de 5000 ans, ce qui est démontré historiquement, et avec une
organisation ingénieuse de l’exploitation en vue d’un échange prospère des produits.
Pour rester fidèles à la vérité, rappelons-nous que la charrue ne nous fut pas transmise par d’autres
peuples, mais que ce sont nos ancêtres germaniques qui ont donné aux Romains un modèle de charrue à
roue perfectionné.
L’écriture
Comme dernier exemple, je voudrais vous parler de l’écriture runique, la mère des caractères de la
plupart des peuples, qui fut créée et conçue grâce au savoir des plus lointains ancêtres du peuple
allemand aryen. Nous possédons peu d’exemples datant des temps initiaux car la nature a recouvert
de végétations la plupart des monuments ; ce sont les gravures rupestres. En revanche, nous pouvons
affirmer que Charlemagne a fait rassembler d’innombrables oeuvres écrites que son fils enjuivé, Louis
le Pieux, a fait brûler presque sans exception, de concert avec une Eglise stupide.
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L’histoire douloureuse de notre peuple
Ces quelques esquisses révèlent ce que fut notre peuple.
Mais si nous étudions les derniers 2000 ans, on constate qu’il vécut l’histoire la plus douloureuse
que, de tous temps, eut et pouvait vivre un peuple comblé de tous les dons spirituels et physiques.
Demandons-nous pourquoi.
Ici aussi, je désire me limiter à citer quelques exemples sortant à peine du contexte pour m’efforcer
d’apporter une réponse.
Hermann le Chérusque
Comme on le sait, Hermann le Chérusque libéra la Germanie de la domination impériale romaine. Il
tomba, tué par des hommes de son clan, de son sang, après que son beau-père eut livré sa propre
fille, la femme du libérateur, aux Romains.
Le secrétaire germanique
Evoquons les derniers siècles de l’empire romain. Son pouvoir et sa grandeur furent consolidés parce
que, déjà sous César, son plus proche collaborateur et secrétaire, un Germain, gérait la Gaule au nom
de Rome jusqu’aux époques des grandes invasions. La force créatrice, le génie dirigeant, le potentiel
d’autorité et l’aptitude militaire des germains servirent l’Etat romain corrompu et déjà condamné à
mort racialement, cela contre leur propre sang.
Le combat désespéré de Widukind
Je cite le combat désespéré d’un Widukind qui devait être perdu parce que les nobles de sa tribu et de
son peuple, des hommes du même sang qui déjà auparavant ne pouvaient pas s’entendre, attaquèrent
leur duc dans le dos.
La bataille des Alamans
La bataille des Alamans, souvent citée, fut perdue parce que les Germains libres ne supportaient pas
que leurs chefs du même sang qu’eux aient fait la guerre à cheval pour dominer la bataille et ainsi
qu’ils aient eu une demi-taille de plus qu’eux.
La guerre des paysans
Il y eut aussi la guerre des paysans où un grand désordre, l’éparpillement et l’indiscipline portèrent
atteinte à un combat méprisant la mort. La volonté pure et l’idéal sage des meilleurs esprits de la
paysannerie finirent ensevelis avec les corps sanglants des Germains incorrigiblement sots, après la
bataille perdue livrée pour la création d’un Etat allemand. Finalement, on ne pouvait qu’espérer que
les descendants puissent mieux régler cette querelle.
Nos vertus et nos défauts
Notre volonté effrénée de liberté constitue sûrement l’une de nos plus grandes vertus. La valeur de notre
sang, la qualité de notre race représentent certainement le meilleur héritage qui ait été conservé
jusqu’à nos jours. Cependant, dès qu’elles s’exprimèrent dans notre peuple amoureux de liberté, ces
deux qualités ne stimulèrent pas et n’incitèrent pas seulement à la grandeur et au combat héroïque, mais
constituèrent aussi des obstacles à la formation d’un grand Etat rassemblant tous les Allemands. Elles
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furent aussi la cause de toutes les défaites auxquelles nous avons dû faire face siècle après siècle durant
toute notre histoire.
Il était impossible qu’un noble germanique obéisse à quelqu’un d’autre, qu’un duc soit fidèle, qu’il se
subordonne, à cause de son orgueil exagéré de son sang noble. Les Germains ne donnèrent jamais à
leurs chefs, leurs créateurs d’Etats qui assurément existaient, - que ce soit un Widukind ou un
Florian Geyer – la possibilité de créer un Etat allemand. A cause de ces erreurs, les empires
s’effondrèrent finalement les uns après les autres, que ce soit ceux des Goths, des vandales, des
Burgondes, des Alamans et bien d’autres.
Comme la formation d’un Etat créé et réalisé par l’esprit allemand ne voyait pas le jour sur le
territoire allemand, il fallait accepter le pouvoir dicté dans les larmes, le sang et la misère par d’autres
Allemands, mais animés d’un esprit étranger, et la réunion dans un empire conduite d’une main de
fer.
Nous voyons toujours la même chose se reproduire : La désobéissance, l’insubordination, la sousestimation
de l’adversaire et une aspiration irréaliste à des conditions, des situations politiques et des
données qui n’étaient pas présentes. Nous fûmes constamment confrontés à un adversaire aux
multiples visages qui, calmement, tenant compte des réalités du combat politique de cette planète,
progressait continuellement, et malgré son manque de qualité, son sang inférieur et sa culture de peu
de valeur, triomphait perpétuellement de nous.
Notre propre faute
Durant les deux derniers millénaires, notre peuple a vécu une histoire terrible – nous le constatons
en tant qu’Allemands – par sa propre faute. Personne ne fera le reproche à quelque adversaire que ce
soit d’avoir été victorieux et d’avoir exigé notre sang. Car pour la loi du vaste monde divin, celle de
cette terre et celle des peuples, seul compte celui qui triomphe et non celui qui a le coeur pur et
l’esprit supérieur.
Pleins de reproches, beaucoup de gens poseront la question : Pourquoi constate-t-on tous ces défauts
et ces fautes malgré tant de qualités ? Pouvons-nous avoir foi en l’avenir ?
Disons ici ouvertement et franchement que rien ne nous renforce autant dans la foi en l’avenir de
notre peuple et de notre sang que le fait que notre peuple et notre race vivent encore aujourd’hui
malgré tous leurs défauts et leurs torts, et ont retrouvé la grandeur. Nous croyons en la destinée et en
la mission de notre sang. Nous ne constatons pas seulement la présence de l’échec et du malheur dans
l’histoire des deux derniers millénaires. C’est aussi un chemin d’apprentissage nécessaire pour notre
propre survie.
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L’apprentissage de l’obéissance
Le service de l’Eglise et l’ordre des teutoniques
Au début de notre millénaire, presque tous les fils cadets des meilleures lignées allemandes entraient au
service de l’Eglise comme prêtres et princes de l’Eglise, suivant ainsi le commandement de l’Eglise.
Une infinité prit la croix et mena le chemin de croix du meilleur sang en Extrême-Orient, dans le
désert et le sable. Une partie de ces chevaliers croisés partirent comme prêtres chevaliers dans les
divers ordres de chevalerie. Ils y apportaient le courage allemand, l’art du commandement et
.l’intégrité allemands et, au sein de la structure de l’Eglise romaine, suivirent l’école de l’obéissance,
de la subordination et de l’autorité étatique qui existait déjà bien avant l’Eglise chrétienne.
L’Etat de Frédéric II en Sicile
Et ainsi, cet ordre de chevalerie participa à la création du premier Etat moderne fondé sur les principes
de l’administration étatique et de l’obéissance autoritaire, celui de Frédéric II en Sicile. Riche de ces
connaissances, l’ordre émigra vers l’Est allemand dans la première moitié du 13ème siècle, grâce à
l’intelligence étatique du noble germanique Hermann von Salza. Il construisit l’Etat allemand de
l’ordre teutonique dans l’espace oriental que vous connaissez bien.
L’ordre étatique de Prusse orientale
Pour la première fois, l’obéissance fut facile à imposer dans l’espace allemand. Parallèlement au règne
absolu de la religion chrétienne, une chevalerie comprenant les plus nobles lignées sélectionnées par
le combat à partir du meilleur sang et devenue la classe dirigeante de peuples qui n’avaient pas la
même valeur que nous, se mélangea racialement avec eux. Ceci entraîna que, mis à part l’obéissance
religieuse, se manifesta une chute de valeur de la personnalité et des performances.
L’armée prussienne
La Prusse orientale, qui fut gouvernée par les princes Electeurs du Brandebourg à titre de rois de
Prusse, donna à la Prusse les principes de l’organisation et de l’administration, de la dignité et avant
tout de l’obéissance inconditionnelle. Avec ses mercenaires, l’armée prussienne fut la première grande
école qui enseigna la discipline la plus absolue en Allemagne. En ce temps-là, cette discipline ne se
fondait pas seulement sur les motifs les plus nobles de l’âme humaine, mais dans bien des cas sur la
force des plus forts, de l’Etat, sur l paye et la subsistance et sur la peur de la rapière des sous-officiers.
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La Prusse du Vieux Fritz
Il se passa du temps avant qu’un esprit héroïque, le plus grand roi prussien, le Vieux Fritz, dirigeât luimême
cette armée disciplinée dans trois grandes guerres. Il est exact que lors des dernières batailles de
la troisième guerre silésienne, l’officier prussien élevé dans l’obéissance et la dureté dans le corps des
cadets, se tenait avec son esponton derrière le mousquetaire. Malgré cela, cette obéissance était
ennoblie par l’amour pour ce chef, pour la Prusse devenue une patrie, par l’honneur de n’être pas
seulement des mercenaires mais aussi des héros de cette armée prussienne. Et pour la première fois
résonnait la mélodie : « Soyons de sages enfants du pays ».
Les guerres d’indépendance
On assiste ensuite à une terrible défaite subie par l’armée populaire lors des guerres d’indépendance de
1812 à 1815. Le fils de bourgeois et l’étudiant considéraient déjà comme un honneur le fait de
pouvoir être des hommes de l’armée territoriale et des soldats de l’armée populaire prussienne par
obéissance volontaire. L’histoire s’avançant plus rapidement, les idées de liberté et d’honneur ainsi
que d’obéissance commencèrent à s’enraciner de plus en plus au sein du peuple.
1864-1866
Avec une armée animée d’un tel esprit, dans les années 1864 et 1866, la Prusse conquiert et vainc les
Schlesswig-Holsteinois, les Bavarois, les Wurtembergeois et les autres Allemands du Sud habitant
depuis les temps les plus reculés dans la patrie de leurs ancêtres, en maints points apparentés mais qui
n’avaient pas suivi les mêmes destins. Elle les gagna aussi intérieurement et les incorpora dans l’ordre
et l’obéissance d’un Etat allemand en touchant leur coeur.
La Grande Guerre
Encore une fois on avance d’un demi siècle jusqu’à notre époque et la Guerre mondiale. L’honneur,
la liberté et l’obéissance commençaient à se fondre en un tout. Deux millions des meilleurs Allemands
ne se présentaient pas seulement pour combattre pour la liberté, mais acceptaient de s’engager dans l’ordre
de la meilleure organisation, celle de l’armée allemande.
Durant quatre ans et demi nous avons été saignés à blanc et le destin nous montra de nouveau que
nous n’étions pas au bout de notre apprentissage. A l’instant de l’épreuve finale la plus dure, quand
les couronnes, les symboles et les marques extérieures de l’autorité étatique disparaissent dans la
misère, la boue et la détresse, le destin montre à ceux qui doivent commander et qui l’oublient en
maintes situations, que l’ultime obéissance n’est prêtée qu’à des chefs du même sang que le peuple ;
et seulement dans le cas où ces derniers fondent l’honneur, la liberté et l’obéissance en une unité
harmonieuse et sereine. Il révéla à ceux qui doivent obéir que, hormis le cas où ils peuvent y être
autorisés en raison de l’honneur supposé bafoué et de la liberté supposée violée, toute désobéissance
nuit à leur propre chef. Du fait de ses désobéissances, le peuple s’enfonce dans la décadence en signe
de violation de la fidélité et du péché originel des pères.
Le Führer et le national-socialisme
Et dès lors, le peuple allemand désuni suivit l’enseignement de l’ultime obéissance. Le destin nous
envoya le Führer. Etant lui-même un soldat de la grande armée allemande, il était animé par la
conviction absolue d’assurer la liberté, de restaurer l’honneur et la valeur raciale de notre peuple et
nous l’enseigna. En quinze ans de combats et de victoires, il convertit en nationaux-socialistes d’abord
peu d’individus, puis de plus en plus d’esprits amoureux de la liberté, l’élite du sang allemand le plus
combatif. Permettez-moi maintenant d’exprimer ainsi cette notion : il en fit des hommes qui sont les
détenteurs conscients de la valeur de notre race et de notre sang, sachant que le sang est la condition
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indispensable pour instaurer la culture et la grandeur. Il stimulait simultanément la volonté de liberté
et aussi d’honneur des plus fanatiques dans le but d’en retirer une énergie encore plus forte, une
volonté encore plus inflexible. Il contraint ces trois forces similaires que sont la valeur du sang,
l’indomptable volonté de liberté et l’idée aigüe de l’honneur, à se soumettre sans réserve à la nécessité
de liberté, d’honneur et de conservation du sang.
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La Troupe de Protection
J’en viens maintenant à la Troupe de Protection (SS) qui est une branche de ce Parti National-
Socialiste des Travailleurs Allemands créé et édifié par Adolf Hitler qui, dans le cadre du
Mouvement, lui confia la tâche spéciale d’assurer la sécurité intérieure du Reich.
Mise sur pied de la Troupe de Protection
Il y a des années, en 1925, le Führer donna l’ordre de créer la Troupe de Protection. Ensuite, en
janvier 1929, l’ordre fut donné d’agrandir la structure de cette formation. En fonction de cela, en
1929, nous avons vu clairement que cette Troupe de Protection ne pourrait remplir sa tâche dans
l’avenir que si elle se développait au plus haut degré suivant les décisions et les directives du
Mouvement fixées par le Führer et les vertus lui étant inculquées.
Connaissance de la valeur du sang et de la sélection
La première directive qui prévalait et prévaut pour nous est la connaissance de la valeur du sang et de la
sélection. Cette condition était valable en 1929 et le sera aussi longtemps qu’il y aura une Troupe de
Protection.
Comme le cultivateur de semences qui, à partir d’une ancienne semence encore bonne, mélangée et
abîmée qu’il doit trier, va d’abord dans le champ pour choisir les pousses, nous avons en premier lieu
filtré les hommes qu’extérieurement nous pensions ne pas pouvoir employer pour édifier la Troupe
de Protection.
La nature de la sélection se concentre sur le choix de ceux qui, physiquement, se rapprochent le plus
de l’idéal de l’homme de type nordique. Des caractéristiques comme la taille ou l’aspect racial avaient
et ont une importance.
Je n’ai pas besoin de vous dire qu’au fil des ans ce principe a été amélioré et rendu plus sévère, cela
grâce à nos expériences toujours plus nombreuses. Je vous prie aussi d’être persuadés que chez nous il
est parfaitement clair que cette sélection ne peut s’assouplir. D’année en année, nos exigences
deviennent plus sévères, en conséquence des lois raciales allemandes et par une sensibilisation
toujours plus élevée aux questions du sang et du développement de l’expansion allemande.
Dans cent ans ou plus, il faut que les modalités soient fixées par nos successeurs pour que l’on exige
toujours plus de l’individu comme c’est le cas actuellement.
Nous savons également que le tout premier principe de sélection doit être l’appréciation de
l’apparence extérieure – aujourd’hui complétée par les arbres généalogiques et de multiples examens.
Elle doit être poursuivie au fil des ans par un processus de sélection effectué dans la Troupe de
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Protection. Les aptitudes ne peuvent passer avant le choix fait d’après le caractère, la volonté et le
coeur, de même que le sang.
Par les lois que nous nous sommes données, nous voulons veiller dans l’avenir à ce que tout fils d’une
famille SS inscrite dans le livre des clans de la SS, ne puisse poser sa candidature ou n’ait de nouveau
le droit d’être un SS. Nous voulons veiller à ce qu’uniquement une partie des fils de ces familles soit
admise chez nous et qu’ils soient considérés comme des SS. Par la sélection permanente, le courant
du meilleur sans allemand provenant de l’ensemble du peuple doit pouvoir entrer dans la Troupe de
Protection. Tel est d’abord le principe de sélection.
Volonté de liberté et esprit de combat
La volonté de liberté et l’esprit de combat représentaient la deuxième directive et vertu que nous
efforcions de cultiver dans la Troupe de Protection et d’en faire à l’avenir sa marque indélébile.
Les épreuves de performance
De tous temps, nous avons eu l’ambition d’être les meilleurs dans chaque épreuve et en tous lieux. Et
nous nous réjouissons de tout homme et de toute formation qui, par leur esprit de combat et par
leurs résultats, égalent les nôtres ou nous surpassent. Tous ceux qui nous égalent sont un avantage
pour l’Allemagne, prouvent que nous ne sommes pas assez forts et que nous devons redoubler
d’efforts, régénérer notre volonté au combat et nous endurcir encore envers nous-mêmes.
Par l’école la plus dure que chacun de nous doit suivre dans sa vie, par les épreuves de performances
passées d’année en année, nous veillons à ce que le courage et l’esprit de combat de chaque individu,
mais surtout du corps des officiers, soient mis à l’épreuve. Par ces épreuves annuelles que nous
exigeons, nous empêcherons également que l’aisance devenue tant de fois un péril mortel pour le
peuple allemand, puisse s’installer dans nos rangs. En outre, une communauté dans laquelle sont
exigées régulièrement à tous âges des performances physiques et de volonté, restera simple et rejettera
à la longue les choses d’agrément qui affaiblissent notre force au service de l’Allemagne et qui
peuvent paralyser notre esprit de combat.
Fidélité et honneur
Comme troisième directive et vertu, les idées de fidélité et d’honneur sont nécessaires à l’édification et à
l’essence de cette Troupe de Protection. Elles sont indissociables l’une de l’autre. Elles sont
consignées dans deux phrases, celle que le Führer nous a donnée : « Mon honneur s’appelle fidélité »
(Meine Ehre heisst Treue), et dans la phrase de l’ancien droit allemand : « Tout honneur provient de la
fidélité » (Alle Ehre von Treue kommt).
Comme nous l’enseignons aux SS, beaucoup de choses peuvent être pardonnées sur cette terre, sauf
une, l’infidélité. Celui qui viole la fidélité s’exclut de notre société. Car la fidélité est une affaire de
coeur, jamais d’entendement. L’entendement peut faillir. C’est parfois dommageable mais jamais
irréversible. Mais le coeur doit toujours battre constamment et s’il s’arrête, l’homme meurt,
exactement comme un peuple si la fidélité est violée. Nous songeons ici aux fidélités diverses, la
fidélité au Führer ainsi qu’au peuple germanique allemand, à sa conscience et à sa nature, la fidélité
au sang, à nos ancêtres et à nos descendants. La fidélité à nos clans, la fidélité aux camarades et la
fidélité aux lois immuables de la bienséance, de la dignité et de la chevalerie. Un homme ne pêche
pas seulement contre la fidélité et l’honneur s’il laisse violer le sien et celui de la Troupe de
Protection, mais surtout s’il méprise l’honneur des autres, se moque des choses sacrées pour eux ou
s’il ne prend pas fait et cause de façon correcte et courageuse pour l’absent, le faible et celui qui est
sans protection.
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L’obéissance
La quatrième directive et vertu est celle de l’obéissance. L’obéissance qui provient de la spontanéité la
plus élevée, du fait de servir notre conception du monde, nous donne la capacité de sacrifier toute
fierté, tous les honneurs extérieurs et tout ce qui nous est cher et qui a une valeur pour nous. La
vertu de l’obéissance ne fait pas hésiter une seule fois et fait obéir inconditionnellement à chaque
ordre qui vient du Führer ou qui est donné légitimement par les supérieurs. C’est l’obéissance de
celui qui se tait, même à l’époque du combat politique, s’il croit devoir se révolter par volonté de
liberté ; de celui qui, avec l’esprit au maximum en éveil et l’attention la plus soutenue contre
l’adversaire, ne bouge pas un doigt si on le lui défend, qui obéit aussi sans discuter et monte à
l’assaut, même s’il croit ne pas pouvoir le surmonter dans son coeur.
Nous sommes fiers d’affirmer qu’il existe déjà une profonde sensibilisation pour toutes ces lois, même chez
le dernier homme. Nous croyons pouvoir affirmer qu’en six ans ces directives ont façonné la Troupe
de Protection, qu’elle fut édifiée et vit d’après elles. Nous savons que chaque année, nous sommes un
peu plus pénétrés de ces vertus et qu’elles deviennent de plus en plus le bien de chaque SS. Nous
sommes persuadés qu’après des années, le jour où nous ne serons plus la première génération de cette
Troupe de Protection, si le destin le décide, nous pourrons transmettre ces vertus comme un héritage
et la meilleure tradition à ceux qui seront des SS après nous.
La loi sur le mariage
Nous nous sommes donnés des lois, avons structuré la vie de notre communauté et déterminé la voie
à suivre vers un lointain avenir en fonction de ces directives et vertus. En 1931 fut promulguée
comme première loi l’ordre SS prescrivant l’autorisation de mariage et de fiançailles pour tout SS. La
connaissance de la valeur du sang nous a amenés à tirer la conclusion qu’il est insensé d’entreprendre de
rassembler des hommes par une sélection raciale et de ne pas penser au clan. Nous ne voulions et ne
voulons pas commettre l’erreur des ligues de soldats et des Männerbünde du passé qui désiraient
traverser les siècles mais disparurent dans le néant parce que le flux de la sélection et la tradition du
clan firent défaut. Par la plus profonde et intime conviction, nous savons que seule une communauté
qui vit convaincue de l’origine éternelle de son peuple et en vénérant les ancêtres des temps les plus
reculés, sera à même de suivre sa destinée dans l’avenir. Nous savons qu’une race et un peuple n’ont
une vie éternelle que si la connaissance du sang est envisagée comme un devoir, un testament sacré
qui doit être transmis dans une lignée de la plus pure nature. Nous avons la conviction que seule la
génération inscrite entre les ancêtres et les descendants perçoit la mesure exacte de la grandeur de ses
tâches et de ses obligations et de la petitesse de sa propre et éphémère signification.
La victoire de l’enfant
Nous savons que seul l’homme qui ne possède que cette conviction, même à l’époque du succès,
apprend à éviter de commettre le péché d’orgueil et de présomption. Seuls de tels hommes
supportent les temps de l’épreuve extrême avec un calme de fer, de la même manière qu’ils partagent
les temps du bonheur et vivent de façon spartiate et simple. C’est pourquoi nous enseignons à nos SS
la loi sur l’ordre du mariage, nous les éduquons à choisir une femme racialement parfaite ; que tout
notre combat, la mort des deux millions d’hommes de la Grande Guerre, le combat de nos quinze
dernières années, l’édification de notre puissance militaire pour protéger nos frontières, seraient vains
et inutiles si la victoire de l’esprit allemand n’était pas suivie par la victoire de l’enfant allemand.
L’une des tâches que nous nous sommes données est également de ne pas faire de grands discours
mais d’agir et de donner l’exemple dans nos rangs. Nous inculquerons de nouveau à nos hommes,
aujourd’hui et dans l’avenir, que toute mère de notre sang consciente de la sainteté de son devoir est
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l’être le plus sacré et le plus précieux de notre peuple, et que le bien qui a le plus de prix est l’enfant
allemand.
La loi de l’honneur du SS
Le 9 novembre 1935, comme autre loi, un ordre prescrivit que chaque SS a le droit et le devoir de
défendre son honneur par les armes. Dans le même temps, il y fut dit aussi que tout membre de la SS
est un SS dans l’esprit de la SS. Après avoir accompli une période d’un an et demi comme candidat,
prêté son serment SS au Führer, accompli son devoir dans le Service du Travail et dans l’armée, il
reçoit à 21 ans la dague SS, son arme, et est donc admis dans l’Ordre de la SS en tant que SS à part
entière. Chacun de nous est un SS, qu’il soit simple gradé ou Reichsführer. Nous nous sommes
donnés cette loi de l’honneur parce que nous sommes persuadés que seul un homme qui sait qu’il
doit rendre des comptes pour chacun de ses actes ou de ses paroles à n’importe quelle position que ce
soit, saisira l’esprit suprême de notre communauté et apprendra de nouveau à servir son peuple par
sa vie irréprochable et impeccable de soldat. Ensuite, par cette loi de l’honneur, il est également tenu
de défendre l’honneur en général, comme l’exige le respect des autres, comme nous l’impose le
devoir, tous les principes rigoureux, la bonté et la générosité envers les camarades, les concitoyens et
les prochains.
Je me permets, à présent, de prendre position sur deux problèmes. Le premier : Dans un petit livre
intitulé 50 questions et réponses pour le SS se trouve la première question : « Que dit ton serment ? »
La foi en Dieu
Réponse : « Nous te jurons, Adolf Hitler, Führer et chancelier du Reich allemand, fidélité et
bravoure. Nous te promettons, à toi et à ceux désignés par toi, obéissance jusqu’à la mort. Que Dieu
nous assiste ! »
La deuxième question dit : « Crois-tu en un Dieu ? »
Réponse : « Oui, je crois en un Seigneur. »
La troisième question dit : « Comment considères-tu un homme qui ne croit en aucun Dieu ? »
Réponse : « Je le considère comme étant présomptueux, mégalomane et bête ; nous n’en voulons
pas. »
Je vous ai cité ces trois questions et réponses afin de montrer clairement notre position concernant la
religion. Soyez convaincus que nous serions incapables d’être ce corps assermenté si nous n’avions
pas foi en un Seigneur se trouvant au-dessus de nous, qui a créé notre patrie, notre peuple et cette
terre, et qui nous a envoyé notre Führer.
D’une façon sacrée, nous sommes convaincus que nous devons répondre de chaque acte, de chaque
parole, de chaque pensée d’après les lois éternelles de ce monde. Que tout ce que notre esprit imagine, ce
que dit notre bouche, ce que notre main exécute, ne s’achève pas avec l’acte. C’est la cause qui aura
son effet et qui, dans le cycle inévitable de la bénédiction ou de la malédiction, retombe sur nous et
sur notre peuple. Croyez bien que des hommes qui ont cette conviction sont tout autre chose que des
athées. Nous ne tolérons pas d’être traités d’athées à cause du mauvais emploi du mot païen, parce qu’en
tant que communauté nous ne sommes pas rattachés à telle religion ou à telle autre, à quelque dogme que
ce soit, ou que nous n’exigeons pas de nos hommes quels qu’ils soient, qu’ils y soient attachés. Il est vrai,
nous prenons la liberté et le droit de tirer un trait net et précis entre l’activité confessionnelle, religieuse
et l’état militaire, politique, idéologique, et que tout empiètement sera le plus sévèrement combattu.
De la même façon, nous enseignons à nos hommes, malgré beaucoup de ressentiments
compréhensibles et les pires expériences que fit notre peuple dans ce domaine, que nous respectons en
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paroles ou en actes tout ce qui est sacré pour quelque compatriote que ce soit – dans le domaine de son
éducation ou de ses convictions.
Le sang et le sol
La deuxième constatation, je voudrais la chercher chez vous, paysans allemands, comme Reichsführer,
étant moi-même un paysan par mon origine, mon sang et ma nature : L’idée du sang défendue dès le
début dans la SS est condamnée à mort si elle n’est pas indissolublement liée à la conviction de la valeur et
de la sainteté de la terre. Depuis le début, l’Office pour la Race et le Peuplement consigna dans son
nom le concept « Sang et Sol » avec d’autres mots ayant le même sens. Je peux vous assurer que ce
n’est pas un hasard si le Reichsbauernführer du Reich allemand est un officier de la SS depuis des
années, et qu’il soit, en tant qu’Obergruppenführer, chef de cet Office pour la Race et le Peuplement.
Ce n’est pas non plus un hasard que je sois paysan et que j’appartienne au Conseil des paysans du
Reich. Les paysans et les SS n’appartiennent pas à cette sorte d’hommes qui disent inutilement
beaucoup de paroles aimables et amicales. Mais qu’il soit dit ici clairement que ce qui existait jusqu’à
présent doit exister aussi dans l’avenir suivant notre volonté. Les paysans d’Adolf Hitler trouveront
toujours à leurs côtés la Troupe de Protection comme la plus fidèle amie, exactement comme nous savons
que là où se trouve la Troupe de Protection d’Adolf Hitler, le paysan se tient à ses côtés en tant que
meilleur camarade et ami. C’est ainsi aujourd’hui et cela doit l’être dans le futur.
Service de Sécurité et police secrète d’Etat
Je sais qu’il y a beaucoup de gens en Allemagne qui se sentent mal quand ils voient cette veste noire.
Nous le comprenons et n’attendons pas d’être beaucoup aimés. Nous veillons et veillerons à tout ce
qui tient à coeur à l’Allemagne. Ceux qui ont une mauvaise conscience envers la nation et le Führer
doivent nous craindre. Pour ces hommes, nous avons créé une organisation qui s’appelle le Service de
Sécurité et nous nommons SS les hommes qui entrent au service de la Police secrète d’Etat (Gestapo).
Nous accomplirons constamment notre mission qui est de garantir la sécurité intérieure de
l’Allemagne, de la même manière que la Wehrmacht allemande assure la sauvegarde de l’honneur, de
la grandeur et de la paix du Reich à l’extérieur. Nous veillerons donc que plus jamais en Allemagne, au
coeur de l’Europe, puisse être allumée la révolution judéo-bolcheviste des sous-hommes, de l’intérieur ou de
l’extérieur par des émissaires. Nous serons impitoyables envers toutes ces forces dont nous connaissons
l’existence et les activités, même pour leurs plus petites tentatives. Que ce soit aujourd’hui, dans dix ans ou
dans des centaines d’années, nous serons le glaive intraitable de la justice.
Aucune manifestation quotidienne du bolchevisme
J’en reviens au début et je voudrais mettre encore l’accent sur le fait qu’aucune manifestation
quotidienne du bolchevisme ne peut être traitée à la légère, dans le monde, et ne peut être écartée en
fonction de nos désirs. Nous connaissons les Juifs. Ce peuple qui est composé des rebuts de peuples
et de nations entières de ce globe, a imprimé à tous l’empreinte de la nature de son sang juif, lui dont
la domination mondiale est le désir, dont la destruction est le plaisir, dont le déracinement est la
volonté, dont l’impiété est la religion et dont le bolchevisme est l’idée. Nous ne les sous-estimons pas
parce que nous les connaissons depuis des milliers d’années, parce que nous croyons à la mission
divine de notre peuple et en notre force à nouveau rétablie par l’autorité et l’oeuvre d’Adolf Hitler.
La Troupe de Protection
Nous, Troupe de Protection, avons été fondés et développés d’après l’ordre du Führer au sein de ce
peuple à nouveau ressuscité. Si j’essaye aujourd’hui de vous décrire ce qu’est l’organisation,
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l’édification et la mission de la SS, en dépit de cela, personne ne pourra nous comprendre s’il ne
tente pas de nous saisir avec son être, son sang et son coeur. On ne peut expliquer pourquoi nous qui
sommes si peu nombreux, environ 200.000 hommes au sein du peuple allemand, avons une telle force en
nous. On ne peut expliquer logiquement pourquoi aujourd’hui, chacun d’entre nous qui porte la
veste noire, est soutenu par une force absolument similaire à celle de notre communauté, qu’il soit
sur un cheval de course, qu’il fasse de l’escrime sur le stade, qu’il soit fonctionnaire, qu’en tant
qu’ouvrier il porte les pierres du bâtiment ou qu’il dirige au poste le plus élevé de l’Etat, qu’il fasse
son service en tant que soldat, qu’il travaille aux créations de l’esprit allemand ou qu’il se montre à la
hauteur – peut-être sans être vu – n’importe où de façon humaine. Chacun d’entre nous sait qu’il
n’est pas seul, que cette force fabuleuse de 200.000 hommes qui sont assermentés ensemble lui
concède une puissance immense. De la même manière qu’il sait qu’en tant que représentant de ce
Corps Noir, de sa communauté, il doit faire honneur à sa position par le meilleur résultat. Ainsi,
nous abordons notre destinée et nous la suivons vers un lointain avenir d’après des lois immuables en
tant qu’ordre national-socialiste et militaire d’hommes nordiques et en tant que communauté fidèle à ses
lignées. Nous souhaitons et nous croyons ne pas être seulement les descendants qui se sont le mieux acquittés
de cela, mais par dessus tout les ancêtres de générations futures indispensables à la vie éternelle du peuple
germanique allemand.

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