V
Nous avons voudu montrer l'ambition maladive, insensée du Juif,
son esprit rétrograde en face de la Religion civilisatrice, sa haine
toujours persistante, son orgueil injustifiable, nous avons fait voir ce
peuple ennemi de tous les peuples, détesté de tous à cause de son
instinct oppresseur, de ses habitudes usurières et de sa marche
envahissante; nous avons vu que l'Église catholique l'a toujours
traité avec mansuétude, se bornant à circonscrire son action et à
protéger la catholicité contre ses entreprises. Nous avons vu que les
rois, chaque fois qu'ils ont laissé le Juif s'installer dans une province
ou dans un État, ont dù bientôt le chasser ou lui faire rendre gorge.
La crise actuelle n'aurait donc rien de plus redoutable ni de plus
anormal que les autres, si un fait nouveau ne s'était produit dans le
monde : les Juifs ont renversé l'obstacle qui arrêtait leur invasion;
eux-mêmes ils ont détruit les remparts qu'on leur opposait et les
voilà nos maîtres, car nous ne pouvons plus nous défendre. Ils
dirigent depuis un siècle la Révolution en Europe, et en France ils
sont au pouvoir.
Il nous reste à constater la force de leur invasion en France et à
mesurer l'étendue de ce désastre national.
Hélas 1 c'est bien une invasion, car en 1791 nous n'avions qu'un
petit nombre de Juifs sur notre territoire, ils étaient quelques centaines
et les voilà plus de 60,000, 100,000. peut-être. C'est une
autre race, regardez leurs visages; c'est une autre langue, ce sont
d'autres moeurs, ce sont d'autres noms durs à prononcer et qui
semblent barbares aux oreilles françaises. D'où viennent-ils ? Qui le
sait? Les uns de Hongrie, les autres de Pologne, ceux-ci de Francfort,
ceux-là de Hambourg; ceux-ci de Rome et ceux-là de Portugal;
ils sont partis de tous les points du globe comme pour prendre
possession d'un pays conquis par eux.
Ils entraient, en 1791, par longues bandes affamées; en 1793, ils
étaient déjà nombreux, peut-être étaient-ils attirés comme des
oiseaux de proie par l'odeur du sang chrétien qui coulait sur les
guillotines, et certainement par la perspective de trafiquer des
dépouilles de la noblesse et du clergé, et d'acheter leurs biens boa
marché pour les revendre cher.
Ainsi que le dit Toussenel, ces bandes cosmopolites n'ont rien du
Français. « Un Juif citoyen français, écrit-il dans la préface des
Juifs rois de lEpoque, l'accouplement de ces deux mots me paraît
monstrueux. Mais le plus riche de tous les Juifs de l'époque doit sa
fortune à Walerloo! Oui, leur fortune à tous, à ces banquiers cosmopolites,
date de nos revers et de notre écrasement! »
Oui, c'est bien une invasion.
« Les Juifs, dit encore Toussenel, sont une nation dans la nation
française, quoi qu'ils fassent et qu'ils disent, et ils y seront la
nation conquérante et dominatrice avant peu. »
Toussenel écrivait ces paroles prophétiques en 1S45.
« Et en 1886, ces Juifs toujours en guerre ouverte avec la
religion et les moeurs de tous les peuples, toujours étrangers là
même où ils sont établis », selon l'expression de M. de Bonald, ces
gens campés parmi nous sont maintenant nos maîtres.
VI
Quelle est la fortune des Juifs? Elle est immense, formidable,
effrayante.
« Les Juifs, dit M. Edouard Drumont, possèdent la moitié dû
capital circulant sur la terre. En France, ils possèdent quatre-vingt
milliards sur envïon 150 ou 200 milliards qui forment le capital
français. »
Pour se rendre compte immédiatement de l'effrayante fortune des
Juifs de France, il faut comparer leur nombre à celui des autres
citoyens; ils sont de 60,000 à 100,000, pas plus, ce qui constitue,
à chacun d'eux, une moyenne de 800,000 francs, à 1,200,000 fr.,
tandis que la fortune moyenne de chaque chrétien Français ne saurait
dépasser 6,000 francs.
Et que l'on ne croie point ces chiffres exagérés. M. Ed. Drumont
cite la famille des Rothschild « qui possède à elle seule ostensiblement
trois milliards ». Il est parfaitement exact que James de
Rothschild, à sa mort, laissa un milliard (1).
Tout le monde connaît, à Paris, les hôtels de ces Juifs célèbres;
on peut évaluer leur prix à plus de 30 millions, et leurs richesses
intérieures à une valeur égale, soit 60 millions; on peut évaluer
à ce même chiffre leurs châteaux et leurs domaines. On" avouera
qu'une famille ayant 120 millions au soleil, et qui, comme tous les
Juifs, n'aime pas à placer beaucoup en biens immobiliers, doit
posséder en banque des richesses prodigieuses.
Mais les Rothschild ne sont pas les seuls Juifs de France possédant
une fortune colossale.
Toute la haute banque est juive et pas française.
Les MM. Hirsch, Dreyfus, Bichoffsheim, Oppenheim, Erlanger,
Fould, Pereire, Hottinguer, Halphen, Cahen, Camondo, Crémieux,
Ephrussi, Goudchaux,Heine, kesler, Ivoechlim, Schwarz, e t c . . e t c .
tous ces Juifs, à noms étrangers, sont immensément riches. On
peut évaluer à plus de dix milliards ce qu'ils possèdent.
Et toutes ces familles qui se sont introduites sur notre sol depuis
un demi-siècle, sont cosmopolites, quelques-unes ne sont même pas
naturalisées.
Non seulement la haute banque est juive tout entière, car on ne
cite aucune fortune de banquier chrétien qui égale celle de ces
Israélites, mais encore presque toute la banque, à Paris, du moins,
est juive. Sur 600 banquiers de Paris, 300 sont sûrement Juifs et
une centaine encore le sont probablement.
Du reste, tous les métiers, toutes les professions lucratives et où
Ton peut gagner le plus presque sans contrôle, ont été, depuis 1789,
accaparés par les Juifs. A Paris, 30 Agences de publicité sur 60
leur appartiennent; 15 agents de change sur 58 sont Juifs, et la
plupart des associés de ces agents le sont aussi. Sur 160 changeurs
60 sont Juifs; plus de 100 Juifs sont administrateurs dans les
65 compagnies de chemins de fer que nous possédons.
La moitié des orfèvres, joailliers, bijoutiers, antiquaires, fourreurs,
et presque tous les vendeurs de diamants sont Israélites.
Voilà donc le commerce de l'or, des billets, du crédit, de la circulation,
de l'argent, des diamants au pouvoir presque exclusif
dune infime minorité de Juifs.
Et c'est ce commerce-là qui est aimé du Juif, car du petit au grand
l'homme de cette race est toujours courtier, intermédiaire, exploiteur,
usurier; il recherche les gros profits en dehors de l'industrie,
il prend d'une main à Paul pour passer de l'autre à Pierre, et, de
chaque main, il reçoit l'escompte et retient la commission.
À la campagne, un laboureur a-t-il besoin de 100 francs, l'usurieur
Juif les lui prête en retenant 25 pour 100 d'intérêt; à la ville,
un gouvernement a-t-il besoin de fonds, le banquier Juif les prête à
25 pour 100 de frais et commissions diverses.
On conçoit donc que le chiffre de 80 milliards, attribué par
M. Ed. Drumont aux Juifs de France comme fortune, ne soit point
exagéré, puisqu'ils ont entre leurs mains les agents de la fortune
publique et de la fortune privée : or, billets, crédits, bijoux, diamants,
objets d'art, etc..
Comment leur est venue cette colossale fortune?
Par l'usure, par l'agio, et non autrement. Comme les Rothschild,
petits prêteurs de Francfort au commencement du siècle, ils se sont
élevés peu à peu, s'aidant mutuellement, se faisant la courte échelle,
se signalant les bonnes affaires et les accaparant; d'usuriers de
villages devenant courtiers d'affaires, coulissiers,' changeurs, de
changeurs, banquiers.
Comment, une fois banquiers, ont-ils accumulé de si grandes
richesses? En devenant maîtres des cours, en opérant à leur gré
la hausse et la baisse, ces deux pistons d'une immeuse machine
pneumatique à pomper les capitaux, en dépréciant les titres après
leur avoir donné une plus-value fictive, après avoir entassé ruines
sur ruines par des faillites et des banqueroutes scandaleuses.
Et que l'on ne croie point que nous calomnions les Juifs. Nous
avons relevé sur le tableau des faillites de Paris en 1882, sur un
total de 1500 faillites, 250 banqueroutes de maisons juives, ainsi
2,000,000 de chrétiens fournissaient 1250 faillites et 40,000 Juifs
250, ce qui eût donné le chiffre invraisemblable de Douze mille cinq
cents faillites si les Juifs eussent été 2,000,000 comme les chrétiens.
Sur ces 250 faillites juives, on compte une cinquantaine de
maisons de banque; l'année 18S2 n'est pas anormale, chaque bilan
annuel nous montre la même proportion de banqueroutes israélites.
Tout le monde a présent à l'esprit le souvenir de ces catastrophes
financières des Mires, des Erlanger, des Millaud, des David, des
Lévy Bing, e t c ..
Cette fortune énorme des Juifs s'accroît par une progression en
quelque sorte fatale.
Le docteur Ratzinger l'a dit très justement :
« L'expropriation de la société par le capital mobile s'effectue avec
autant de régularité que si c'était une loi de nature. Si on ne fait
rien pour l'arrêter, dans l'espace de cinquante ans ou tout au plus
un siècle, toute la société européenne sera livrée, pieds et poings
liés, à quelques centaines de banquiers Juifs. »
« Toutes les fortunes juives, nous dit M. Ed. Drumont, se sont
constituées de la même façon par un prélèvement sur le travail
d'autrui.
« La spéculation, dit Schoeffle, qui fit partie du ministère conservateur
de H'ohenwarth, en Autriche, a touché grâce à l'agiotage
deux milliards six-ceni-mngt-six millions de francs en sus du
prix d'émission sur les actions des six grands chemins de fer français.
Ces actions étaient au nombre de 3 millions et le prix total de
leur émission ne s'élevait qu'à 1,529,000,000.
a Notez que nos chemins de fer sont entre les mains de la haute
banque juive.
« L'emprunt de Honduras est plus significatif encore et nous
montre bien les procédés à l'aide desquels le Juif pompe l'argent du
chrétien.
« Le Honduras est un minuscule État de 500,000 habitants, qui
ne possède aucune espèce de ressources. H avait depuis cinquante
•ans une dette de 400,000 francs, et telle était sa détresse financière
que depuis longtemps il était hors d'état de payer un sou d'intérêt
sur cette petite dette.
« Cependant des spéculateurs audacieux n'ont pas craint de
persuader au gouvernement du Honduras qu'il lui fallait entreprendre
un emprunt de 157 millions facile à placer.
« L'emprunt s'est effectué par les soins des juifs Bischoffsheim,
Scheyer, Dreyfus, Il a réussi, mais le Honduras prétend N'AVOIR
BIEN REÇU.
c( Vous savez, disait M. Sourigues à la Chambre, dans la séance
du 1 e r février 1881, que dans rémission du Honduras les lanceurs
et concessionnaires de l'affaire se sont partagé entre eux et leurs
auxiliaires ou ont gaspillé 90 pour 100 de la somme demandée aux
souscripteurs : 140 millions sur 157.
« N'est-ce point là l'usure du Juif portée à son maximum?
« L'usure effrontée, audacieuse, cynique,?
« Le Honduras est resté pauvre, mais les Bischoffsheim, les
Scheyer, les Dreyfus sont, en revanche, immensément riches.
« Un seul banquier juif, Erlanger, a pu prélever sur l'épargne
202 millions sur un total de trente et une affaires lancées par lui.
La plupart de ces affaires sont aujourd'hui tombées, leurs actions
valent juste le prix du papier, ou sont très au-dessous du cours
d'émission.
« Quelques-unes de ces affaires n'ont pu être lancées que par des
moyens frauduleux et sont évidemment de pures et simples escroqueries.
« C'est par de tels moyens, c'est par ces prodigieux lancements
d'affaires, par les retenues usuraïres opérées sur les souscriptions,
par des hausses fictives sur des actions que Ton veut placer, par des
baisses fictives et savantes sur des actions que Ton veut acquérir,
que la fortune privée a été drainée et qu'on a ruiné des multitudes
d'ouvriers, de travailleurs, de rentiers petits ou grands, de paysans,
pour enrichir outre mesure quelques centaines de.banquiers juifs,
qui ont accumulé de si grandes richesses.
« Si les Juifs continuent à vivre chez nous en sécurité complèteégaux
à tous les autres citoyens; en vertu de la force acquise leurs
fortunes vont promptement doubler, tripler. Si, en cent ans les Juifs
ont pu acquérir 60 ou 80 milliards, la fortune totale passera avant
un siècle entre leurs mains, 60,000 individus formeront une féodalité
financière ayant pour serfs, pour esclaves 36 millions deFrançais.
n A vrai dire cette féodalité existe et son pouvoir se fait sentir, il
pèse d'un poids énorme sur le public et sur les cours de la Bourse,
c'est elle qui les fixe, ainsi qu'elle fait les cours des principales
denrées.
« Ce sont les Rothschilds qui dirigent les grands mouvements du
marché financier, ce sont les Ephrussi qui détiennent le monopole
des farines, ce sont les Rothschild, les Pereire, les Hottinguer qui
font les cours des actions de chemins de fer, ce sont les Juifs qui
font les cours de l'or, du change, des diamants. Tout est soumis à
leur action sans rivale.
ce II suffit aux Rothschild de vouloir pour qu'un emprunt d'État
réussisse, il leur suffit d'opposer leur veto pour qu'il échoue.
« Une seule famille exerce une sorte de pouvoir occulte plus réel
que celui du gouvernement public, car celui qui a l'or a le véritable
pouvoir.
<< Et, en effet, Rothschild fut sous Louis-Philippe le ministre
occulte de nos finances. En 1848 un Juif, Goudchaux, fut placé par
lui au ministère et devint pour ainsi dire son commis. Dans les
divers emprunts de l'Empire, James a joué un rôle prépondérant,
aujourd'hui il est plus maître que jamais.
« Les Juifs ont senti eux-mêmes le danger de leur situation, et
c'est autant pour détourner l'attention du public du spectacle scandaleux
de leurs richesses que par fanatisme antichrétien qu'ils ont
ameuté la foule crédule et neuve contre le clergé, contre les religieux,
contre la religion elle-même. Ils sentaient la haine du peuple
monter et grandir contre les détenteurs usuraires du capital, cette
haine allait éclater surtout sur les plus riches, et les plus riches
étaient les Juifs, ils ont habilement et traîtreusement détourné cette
haine du peuple sur les religieux. »
Ces Juifs ont réussi un moment à donner le change, mais le
peuple apprendra bientôt que le véritable ennemi de la France et de
la civilisation, ce n'est pas le cléricalisme, ainsi que le disait Gambetta,
mais le judaïsme.
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