mardi 27 avril 2010

Ce que les Goyim disent des Juifs

Ce que les Goyim disent des Juifs




Il était impossible de constituer un énorme livre de ce que les Goyim ont dit.
Mais on pourrait citer les auteurs suivants :

· · Henri de Montherlant
· Léon Bloy
· Romain Rolland
· François Mauriac
· Roger Martin du Gard
· Alfred de Musset
· René de Chateaubriand
· Mme de Sévigné
· Racine
· Molière
· Shakespeare
· Dickens
· Walter Scott
· Daniel Defoe

Etc.


Winston Churchill

Extrait d’un article paru en 1920 sous le titre « Juif internationaux » et dont l’intégralité se trouve dans mon livre « Auschwitz, le silence de Heidegger, et la clef de la tragédie juive » : « En violente opposition à toute cette sphère d'efforts juifs, s'élèvent les projets de l'internationale juive. Les adhérents de cette sinistre confédération sont, pour la plupart, issus des malheureuses populations des pays où les Juifs sont persécutés à cause de leur race. La plupart, sinon tous, ont abandonné la foi de leurs ancêtres et ôté de leur esprit tout espoir spirituel en un autre monde.

Ce mouvement parmi les Juifs n'est pas nouveau. Depuis le temps de Spartakus, de Weishaupt à Karl Marx, et ensuite Trotsky (Russie), Bela Kuhn (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne), et Emma Goldman (U.S.A), cette conspiration mondiale pour le renversement de notre civilisation et la reconstitution de la société sur la base d'un arrêt du développement, d'une malfaisance envieuse, et d'une impossible égalité, a été constamment grandissante.

Elle a joué, comme un écrivain moderne, Mme Webster, l'a démontré, un rôle définitivement évident dans la tragédie de la Révolution française. Elle a été le ressort principal de tous les mouvements subversifs au XIXème siècle. Maintenant cette clique de personnalités extraordinaires du sous-monde des grandes cités d'Europe et d'Amérique a pris dans ces griffes les cheveux du peuple russe et est devenue pratiquement maîtresse incontestée de cet énorme empire.
Il n'est pas nécessaire d'insister quant au rôle joué par ces Juifs internationaux, pour la plupart athées, dans l'accomplissement actuel de la révolution bolchevique russe. Il est, sans aucun doute, d'une très grande importance. Leur rôle ici l'emporte sur tous les autres.

Si l'on excepte Lénine#, la majorité des figures dirigeantes sont Juives. De plus la puissance motrice comme l'inspiration prennent leur source parmi des leaders Juifs. Ainsi Tchitcherin, russe de pure souche, est éclipsé par son subordonné Litvinoff, et l'influence de Russes comme Bukharin, ou Lunacharski, ne peut être comparée au pouvoir de Trotsky ou Zinovieff, le dictateur de la citadelle rouge (Pétrograd) ou de Krassin ou Radec, tous Juifs.

Dans l'institution soviétique la prépondérance des Juifs est encore plus étonnante. Et la partie dominante, sinon principale du système de terrorisme appliqué par la Commission extraordinaire de combat contrerévolutionnaire, a été pris en main par des Juifs et dans certains cas remarquables, par des Juives.

La même néfaste prépondérance fut exercée par les Juifs pendant la brève période de terreur lorsque Bela Kuhn dirigeait la Hongrie.

Le même phénomène s'est présenté en Allemagne (particulièrement en Bavière) aussi longtemps qu'il a été permis à cette folie de fondre sur les Allemands temporairement prostrés. Bien que dans tous ces pays il se soit trouvé de nombreux non-Juifs en tout point aussi néfaste que le pire des révolutionnaires Juifs, le rôle joué par ces derniers, quant on considère l'insignifiance de leur nombre par rapport à la population, est stupéfiant. »



Mahomet

« Je ne m’explique pas qu’ont ait pas depuis longtemps chassé ces bêtes malfaisantes qui respirent la mort. Est-ce qu’on ne tuerait pas immédiatement des bêtes qui dévoreraient des hommes, même si elles avaient formes humaines ? Que sont les Juifs, sinon des dévoreurs d’hommes ? »



Erasme

« Que de vols, quelle oppression subissent les pauvres victimes des Juifs ? Dieu les prenne en pitié. S’il est d’un bon chrétien de détester les Juifs, alors nous sommes tous de bons Chrétiens. » (1487)



Luther

« Comme les Juifs aiment le livre d’Esther, qui correspond si bien à leur sanglant appétit de vengeance, à leurs espoirs meurtriers ! Le soleil n’a jamais brillé sur un peuple plus assoiffé de sang, plus vindicatif que celui-ci qui se prend pour le peuple élu, afin d’avoir licence d’assassiner et d’étrangler les gentils. Il n’y a pas de créatures sous le soleil plus avides qu’ils sont, ont été ou seront. Il n’est que de les voir pratiquer leur maudite usure. Ils se flattent de l’espoir que lorsque leur messie viendra, il rassemblera tout l’or et tout l’argent du monde et le leur partagera. »



Ronsard

« Fils de Vespasien, grand Titus, tu devais, détruisant la cité, en détruire la race. » (1560)


Voltaire

« Les Juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. Ils sont le plus abominable peuple de la terre. » (Dictionnaire philosophique, 1745)


Emmanuel Kant

« Les Palestiniens [Juifs] qui vivent parmi nous ont la réputation très justifiée d’être des escrocs… Mais une nation qui n’est composée que de commerçants, c’est-à-dire de membres non productifs de la société, ne peut être autre chose que cela. » (Anthropologie, 1786)


Benjamin Franklin

« Dans tous les pays où les Juifs se sont établis en nombre, ils ont abaissé son niveau moral, avili son intégrité, tourné en ridicule ses institutions. Je vous préviens, Messieurs, si vous accordez la citoyenneté aux Juifs, vos enfants vous maudiront dans vos tombeaux. Dans tous les pays où les Juifs se sont installés en nombre, ils ont abaissé le niveau moral, discrédité l’intégrité commerciale, et ont fait bande à part sans jamais s’assimiler aux autres citoyens. Ils ont tourné la religion chrétienne en ridicule, ont tenté de la miner. Ils ont bâti UN ETAT DANS L’ETAT et quand on leur a opposé résistance, ils ont essayé d’étrangler financièrement le pays.
Si vous ne les excluez pas des Etats-Unis dans cette constitution, en moins de 200 ans ils y fourmilleront en quantité si considérable qu’ils domineront et dévoreront notre patrie et changeront la forme du gouvernement. Si vous n’interdisez pas aux Juifs l’accès de ce pays, en moins de 200 ans vos descendants travailleront la terre pour pourvoir aux besoins d’intrus qui resteront à se frotter les mains derrière leurs comptoirs. Je vous le redis Messieurs, si vous n’excluez pas pour toujours les Juifs de notre communauté, nos enfants nous maudiront. » (Discours devant le Congrès en 1787, en préliminaire à la rédaction de la Constitution)

Tout cela a été parfaitement réalisé comme le prévoyait Franklin.


Malesherbes

« Il existe dans le cœur de la plupart des Français une haine très forte contre la nation Juive, haine fondée sur l’usage où sont les Juifs de tous les pays de se livrer à des commerces que les Chrétiens regardent comme leur ruine. »


Fichte

« Pour nous protéger contre eux, je ne vois qu’un seul moyen : conquérir pour eux leur terre promise et les y expédier tous. » (Sur la Révolution française 1793)


Napoléon

« Nous devons considérer les Juifs non seulement comme une race distincte, mais comme un peuple étranger. Ce serait une humiliation trop grande pour la nation française d’être gouvernée par la race la plus basse du monde. Je ne puis regarder comme des Français ces Juifs qui sucent le sang des véritables Français. Si je ne faisais rien, le résultat serait la spoliation d’une multitude de familles par des usuriers rapaces et sans pitié. Ce sont des chenilles, des sauterelles qui ravagent la France. » (Adresse au Conseil d’Etat, le 6 avril 1806)


Charles Fourier

« Une fois ceux-ci bien répandus en France, le pays ne serait plus qu’une vaste synagogue, car si les Juifs tenaient seulement le quart des propriétés, ils auraient la plus grande influence à cause de leur ligue secrète et indissoluble. »


Schopenhauer

Le philosophe allemand les appelle « les Grands maîtres du mensonge. »
Alfred de Vigny

« La bourgeoisie est la maîtresse de la France ; elle la possède en longueur, en largeur en profondeur : l’homme redevient singe. Le Juif a payé la Révolution de Juillet parce qu’il manie plus facilement le bourgeois que le noble. » (1837)


Honoré de Balzac

« Les Juifs ont accaparé l’or. Ils sont plus puissants que jamais. » (Les Illusions perdues, 1843)


Alphonse Toussenel

« Mais comment trouvez-vous ces pauvres enfants d’Israël qui continuent de poser en victimes ? N’est-ce pas que cette attitude éplorée leur va bien ? Donc en dépit de tous les faux philanthropes et de tous les charlatans du Libéralisme, je répète que la France doit expier cruellement les torts de sa charité envers les Juifs. Charité imprudente, charité déplorable dont tous les grands penseurs de tous les siècles lui avaient signalé à l’avance les périls ; car Tacite est sur ce point d’accord avec Bossuet, avec les encyclopédistes et Fourier. Tacite le plus illustre historien de l’Antiquité s’élève contre l’indomptable orgueil et l’esprit de fourberie du peuple juif. » (Les Juifs, rois de l’époque, 1845)


Proudhon

Pour le père du socialisme libertaire, « Le Juif est l’ennemi du genre humain. Ce sont des êtres méchants, envieux, bilieux, qui nous haïssent. Il faut renvoyer cette race en Asie. » (Carnet du 24 décembre 1847)


Michelet

« Patients, indestructibles, ils ont vaincu par la durée. Ils sont maintenant libres. Ils sont maîtres. De soufflets en soufflets, les voilà au trône du monde. » (1853)


Ernest Renan

« Le Juif ne connaît guère de devoir qu’envers lui-même. Poursuivre sa vengeance, revendiquer ce qu’il croit être son droit est à ses yeux une sorte d’obligation. Par contre, lui demander de tenir sa parole, de rendre justice de façon désintéressée, c’est lui demander l’impossible. » (1864)



Bakounine

« Eh bien, tout ce monde juif qui forme une seule secte exploitante, est actuellement à la disposition de Marx d’un côté et des Rothschild de l’autre. » (Lettre aux internationaux de Bologne, 1871)


Dostoïevski

« Ce qui vient, c’est le matérialisme, la soif aveugle et rapace du bien-être matériel, la soif de l’accumulation de l’argent par tous les moyens. Alors, à la tête de tous, se trouvera le Juif, car bien que prêchant le socialisme, il reste néanmoins en sa qualité de Juif, avec ses frères de race, hors du socialisme et quand tout l’avoir de l’Europe sera pillé, il ne restera que la banque juive. » (Journal d’un écrivain, Passim, 1880)


Victor Hugo

A propos de Waterloo, qui fit la fortune de Rothschild, « Vieillard, chapeau bas, ce passant fit sa fortune à l’heure où tu versais ton sang. Il jouait à la baisse et montait à mesure que notre chute était plus profonde et plus sûre. Il fallait un vautour à nos morts, il le fut. » (la défaite de Waterloo fut à l’origine de la fortune de Rothschild)


Wagner

« Le plus urgent est de nous émanciper de l’oppression juive. Je tiens la race juive pour l’ennemi-né de l’humanité et de tout ce qui est noble. Il est certain que les Allemands notamment vont périr par elle. Peut-être suis-je le dernier Allemand qui a su s’affirmer contre le Judaïsme qui tient déjà tout sous sa coupe. » (Lettre à Louis II de Bavière, 1881)


Edouard Drumont

« Quand le Juif monte, la France baisse, quand le Juif baisse la France monte. La Haute Banque, la Franc-Maçonnerie, la Révolution cosmopolite, toutes trois aux mains des Juifs, concourent au même but par des moyens différents. On trouve toujours un Juif prêchant le socialisme ou le communisme, demandant qu’on partage le bien des anciens habitants, pendant que leurs coreligionnaires arrivés nu-pieds, s’enrichissent et ne se montrent aucunement disposés à partager quoi que ce soit. Je n’ai pas l’intention de remuer toutes les immondices du journalisme juif, de rappeler toutes les injures, toutes les ignominies qu’ils ont versées sur les Chrétiens… Des chefs-d’œuvre chrétiens sont laissés dans l’ombre, mais on bat la grosse caisse au contraire pour tout ce qui porte la marque juive.
Le malheur du Juif est qu’il dépasse toujours un point presque imperceptible qu’il ne faut pas franchir avec le Goy. Au Goy, on peut tout faire, mais il faut éviter de l’agacer. Il se laissera dérober tout ce qu’il possède mais, tout d’un coup, entrera en fureur pour une simple rose qu’on veut lui arracher. Alors, soudain réveillé, il comprend tout, ressaisit l’épée qui traînait dans un coin, tape comme un sourd et inflige au Juif qui l’exploitait, le pillait, un de ces châtiments dont l’autre porte la trace pendant trois siècles… Il disparaît, s’évanouit dans un brouillard, se terre dans un trou où il rumine une nouvelle combinaison pour recommencer... ». (La France juive, 1886)



Edmond de Goncourt

« A moi qui depuis 20 ans crie tout haut que si la famille Rothschild n’est pas habillée en jaune, nous seront très prochainement domestiqués, ilotisés, réduits en servitude…lorsque nous avons publié Manette Salomon, le mot d’ordre a été donné dans la presse juive de garder le silence à tout jamais sur nos livres… » (Journal, avril 1886)



Guy de Maupassant

« A Bou-Saada, on les voit accroupis en des tanières immondes, bouffis de graisse, sordides et guettant l’Arabe, comme l’araignée guette la mouche. Il l’appelle, essaie de lui prêter cent sous contre un billet qu’il signera. L’homme sent le danger, hésite, ne veut pas, mais le désir de boire et d’autres désirs encore, le tiraillent. Cent sous représentent pour lui tant de jouissances ! Il cède enfin, prend la pièce d’argent et signe le papier graisseux. Au bout de six mois il devra dix francs, au bout d’un an vingt francs, au bout de trois ans, cent francs. Alors le Juif fait vendre sa terre, son cheval, son chameau, son bourricot, ce qu’il possède enfin. Les chefs caïds, aghas, ou bachaghas, tombent également dans les griffes de ces rapaces qui sont le fléau, la plaie saignante de notre colonie, le grand obstacle à la civilisation et au bien-être de l’Arabe. » (Au soleil, 1887)



Jules Vernes

« Ils pratiquent le métier de prêteur avec une âpreté inquiétante pour l’avenir du paysan roumain. On verra peu à peu le sol passer de la race indigène à la race étrangère. Si la Terre promise n’est plus en Judée, peut-être figurera-t-elle un jour sur les cartes de Transylvanie. » (Le Château des Carpathes, 1892)




Adolph Hitler

« La France est et reste l’ennemi que nous avons le plus à craindre. Ce peuple qui tombe de plus en plus bas au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qu’il prête aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe. » (Mein Kampf, 1924)


Georges Simenon

« Tout se tient, tout se précise. Les Juifs dans leur rage de destruction et aussi dans leur soif du gain, ont enfanté le bolchevisme. Ainsi la pieuvre juive étend ses tentacules dans toutes les classes de la société. » (Le Péril juif, Gazette de Liège, 1921)


Jean Giraudoux

« Les Juifs apportent là où ils passent, l’à-peu-près, l’action clandestine, la concussion, la corruption et sont des menaces constantes à l’esprit de précision, de bonne foi, de perfection, qui était celui de l’artisanat français. » (1940)


Lucien Rebatet

« Je quittais mes papiers et mes livres. Je repartais à travers Paris. J’y retrouvais étalés partout, les signes les plus impudents de la souveraineté juive. Les Juifs savouraient tous les délices, chair, vengeance, orgueil, pouvoir. Ils couchaient avec nos plus belles filles. Ils accrochaient chez eux les plus beaux tableaux de nos plus grands peintres. Ils se prélassaient dans nos plus beaux châteaux. Ils étaient mignottés, encensés, caressés. Le moindre petit seigneur de leur tribu avait dix plumitifs dans sa cour pour faire chanter ses louanges. Ils tenaient dans leurs mains nos banques, les titres de nos bourgeois, les terres et les bêtes de nos paysans. Ils agitaient à leur gré, par leur presse et leurs films, les cervelles de notre peuple. Leurs journaux étaient toujours les plus lus, et il n’y avait plus un cinéma qui ne leur appartînt pas.

Ils possédaient leurs ministres au faîte de l’Etat. Du haut en bas du régime, dans toutes les entreprises, à tous les carrefours de la vie française, dans l’économique, dans le politique, dans le spirituel, ils avaient un émissaire de leur race, posté, prêt à retenir la dîme, à intimer les vétos et les ordres d’Israël. L’Église elle-même leur offrait son alliance et lui prêtait ses armes. Ils avaient toute liberté de couvrir leurs ennemis de boue et d’ordures, d’accumuler sur eux les plus mortels soupçons. Les Juifs n’avaient rien acquis que par le vol et la corruption. Plus ils étendaient leur pouvoir et plus la pourriture gagnait avec eux. » (Les Décombres, 1942)


Paul Morand

« Je demande seulement pour nos compatriotes une place, une toute petite place dans le cinéma national. En défendant les Français, je revendique simplement pour eux le droit des minorités. » (France la doulce, 1934)


Marcel Aymé

« Nous communions avec le marxisme intégral, parce qu’il est l’arme de notre nationalisme. Le marxisme, direz-vous, est aux antipodes du capitalisme qui nous est également sacré. C’est précisément parce qu’ils sont aux antipodes l’un de l’autre qu’ils nous livrent les deux pôles de la planète et nous permettent d’en être l’axe. » (cité dans « Genève contre la paix », 1936, par le comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France, qui rapporte les propos d’un grand banquier juif de New York)


Pierre-Antoine Cousteau

Le frère du commandant Cousteau a écrit ceci : « Et tout de suite, on a pu constater que la conquête de l’argent par les ploutocrates Juifs n’allait pas sans la conquête des masses par les agitateurs juifs. Toujours ce même dualisme dont l’expression la plus parfaite est aujourd’hui l’alliance de Wall Street et du Kremlin. » (L’Amérique juive, 1942)


Louis Ferdinand Céline

« Notre République française n’est plus qu’une énorme entreprise d’avilissement, de négrification des Français sous le commandement juif. Le Blanc recherche avant tout l’artificieux, l’alambiqué, la contorsion afro-asiatique. Tous les films français, anglais, américain, c’est-à-dire Juifs, sont toujours infiniment tendancieux. Ils n’existent et ne se propagent que pour la plus grande gloire d’Israël. Cela sous divers masques : démocratie, égalité des races, haine des « préjugés nationaux », marche du progrès, l’armée des bobards démocratiques en somme. Leur but strict est d’abrutir le Goy toujours davantage, de l’amener le plus vite possible à renier ses traditions, ses tabous, ses religions, à lui faire abjurer tout son passé, sa race, son rythme au profit de l’idéal juif.

Le coup du Juif traqué, martyr, prend encore immanquablement sur ce con de cocu de Goy. La petite histoire lamentable du persécuté juif, la jérémiade juive, le fait toujours mouiller. Infaillible ! Seuls les malheurs du Juif le touchent à coup sûr. Il avale tout. Quand le pillard Juif crie au secours, la poire goy sursaute d’emblée. C’est ainsi que les Juifs possèdent toute la richesse, tout l’or du monde. L’agresseur hurle qu’on l’égorge ! : le truc est vieux comme Moïse.
La musique moderne n’est qu’un tam tam de transition. C’est le Juif qui nous tâte pour savoir à quel point nous sommes dégénérés et pourris, notre sensibilité aryenne négrifiée. Alors, nous ayant robotisés, ils nous refilent des camelotes de traite bien assez bonnes pour nos sales viandes d’esclaves. Qui s’en soucie ? Le monde n’a plus de mélodie. C’est encore le folklore, les derniers murmures de nos folklores qui nous bercent. Après ce sera fini, la nuit. Et le tam tam nègre… ». (Bagatelle pour un massacre, 1937)

J’ai réservé bien moins de place aux Goyim qu’aux Juifs pour converger vers la même lucidité. En effet, à notre époque de zombisme, ce que les Juifs disent est plus convaincant…

Il n’y a plus rien à ajouter à tout cela : à moins d’un miracle, à moins de la suppression radicale de la circoncision primo-pubertaire, nous allons vers un cataclysme où Juifs et Goyim seront exterminés.

Laissons un dernier mot à Dostoïevski, et voyons si l’involution que nous vivons n’a pas été prévue par des esprits supérieurs au siècle dernier. Voilà ce que disait Dostoïevski il y a environ un siècle : « Leur royaume est proche, leur royaume complet. Il vient le triomphe des idées devant lesquelles ne soufflent plus mot les sentiments d’humanité, la soif de vérité, les sentiments chrétiens, nationaux, et même les sentiments de fierté populaire des peuples d’Europe. Ce qui vient au contraire, c’est le matérialisme, la soif aveugle et rapace du bien-être matériel personnel, la soif de l’accumulation de l’argent par tous les moyens, voilà tout ce qui est considéré comme un but suprême, comme la raison, comme la liberté, au lieu de l’idéal chrétien du salut par le seul moyen de la plus étroite union morale et fraternelle entre les hommes. On en rira…

Tous ces Bismarck, Beaconsfield (Disraeli), la République française, Gambetta et autres, tous, ils ne sont pour moi qu’une apparence : leur maître comme celui de tout le reste et de toute l’Europe, c’est le Juif et sa banque. Nous verrons encore le jour où il prononcera son veto et Bismarck sera impitoyablement balayé comme un fétu de paille. Le Judaïsme et la banque règnent maintenant sur tout, # tant sur l’Europe que sur l’instruction publique, sur toute le civilisation et particulièrement sur le socialisme, car avec son aide, le judaïsme arrachera avec la racine, le Christianisme et la culture chrétienne. Et si de cela rien ne sort, sinon l’anarchie, alors à la tête se trouvera encore le Juif, car bien que prêchant le socialisme, il restera néanmoins en sa qualité de Juif, avec ses frères de race, hors du socialisme, et quand tout l’avoir de l’Europe sera pillé, alors seule la banque juive subsistera. Les Juifs mèneront la Russie à sa perte. »

Ce texte fut écrit en 1880. C’est-à-dire il y a environ 120 ans.
L’holocauste sherlockholmisé


Les Juifs ont subi de nombreux et douloureux pogroms. C’est de leur faute incontestablement, mais la douleur qu’ils ont subie est gigantesque. Pourquoi avoir inventé le mensonge de l’Holocauste hitlérien, véritable ineptie aritmético-technique ? Incorrigibles, il s’agit d’une escroquerie fantastique qui permet en culpabilisant tout le monde, (sans jamais parler des dizaines de millions de victimes des Juifs par le Bolchevisme), d’extorquer un maximum d’argent à toutes les nations possibles.


Mettons au point ce pseudo-holocauste en le sherlockholmisant :


A-t-on connaissance dans l’histoire humaine d’une seule ethnie qui ne se réjouirait pas en apprenant que dans une guerre terminée cinquante années auparavant, elle avait subi infiniment moins de pertes qu’elle ne le pensait ? Celui qui le découvrirait ne serait-il pas fêté, récompensé pour une si réjouissante nouvelle ? Serait-il accablé d’énormes amendes ? Tenterait-on de l’assassiner comme on a tenté d’assassiner le professeur Faurisson ? Une telle réaction ne ressortit-elle pas à une patente psychopathologie ?

Les squelettes vivants que l’on voit dans des films comme « Nuit et Brouillard » d’Alain Resnais, ont-ils quoi que ce soit à voir avec des « gazages » ? Ne sont-ils pas réduits à cet état par l’impossibilité d’approvisionnement des camps du fait des bombardements par l’aviation anglo-américaine, réduisant en cendres les villes allemandes de plus de cent mille habitants, holocaustant des centaines de milliers de femmes et d’enfants dont on ne parle jamais ?

Où se seraient trouvés les six millions pendant la période holocaustienne intensive de 1943-44, alors qu’un seul camp ne pouvait contenir plus de soixante mille détenus, et que, officiellement, Claude Lanzmann affirme lui-même qu’il n’y a pas eu de gazage au cyclon B ailleurs qu’à Auschwitz. Quant à des gazages massifs avec d’autres gaz, il n’en a jamais été question, et il n’y a à ce sujet aucune preuve.

Que valent les « témoins » alors que tout le monde connaît la manière dont furent obtenus les témoignages au procès de Nuremberg, comme celui du commandant Hoess, dont l’absurdité est désormais légendaire, alors qu’il existe cent témoignages de gazages à Dachau, où il est officiel qu’il n’y a jamais eu de chambres à gaz ?

Il faut 130 kg de charbon pour passer un corps à la crémation. On nous a dit que les Allemands en brûlaient 1300 par jour. L’aviation américaine a pris, pendant la durée officielle de l’Holocauste, des centaines de photographies d’Auschwitz. Pourquoi n’y voit-on sur aucune photo d’immenses volutes de fumée noire, ni de gigantesques tas de charbon nécessaire ?

Pourquoi radio, films, télévision presse continuent à nous infliger quotidiennement le mythe des « Six millions – chambres à gaz », selon la technique juive de la jérémiade, poursuivant cinquante ans après, des nonagénaires qui avaient tenté de sauver l’Allemagne de l’iniquité du Traité de Versailles, de la pourriture de la République de Weimar, de l’effondrement de la jeunesse allemande, d’un chômage de six millions de personnes en rendant du pain au 21.500.000 personnes qui dépendaient d’eux ?

Pourquoi l’American Jewish Year Book, à la page 666 de son numéro 43, nous informe-t-il qu’en Europe occupée, il y avait en 1941, 3.300.000 Juifs ?

Comment les chambres à gaz auraient-elles pu jouxter des fours crématoires alors que le cyclon B est un gaz hyperinflammable ?

Pourquoi persécute-t-on les historiens révisionnistes qui démontrent l’imposture de la Shoa, alors qu’un dialogue scientifique réclamé depuis 1980, sur un problème essentiellement arithmétique et technique, de caractère primaire, fixerait définitivement la vérité, fermant ainsi la bouche de tout le monde, comme ce fut le cas pour Katyn grâce au révisionniste Gorbatchev ?

Comment le cyclon B, acide cyanhydrique, pourrait-il permettre de gazer mille personnes à la fois, alors que la chambre à gaz américaine, pour un condamné à mort (maximum 2) est d’une complexité et d’un coût inouïs ? Pourquoi au procès de la DEGESH, en 1949, a-t-il été affirmé que de tels gazages étaient impossibles et impensables ?

Pourquoi le rapport de Fred Leuchter, un ingénieur chargé de la maintenance des chambres à gaz aux Etats-Unis, a-t-il dans une expertise affirmé l’inexistence de gazages à Auschwitz ?

Pourquoi le Rapport Rudolf, qui confirme le résultat du Rapport Leuchter, est-il interdit ? Pourquoi ceux qui le divulguent sont-ils condamnés en justice, sans que l’on se soucie de la qualité et de l’exactitude de ce rapport ?

Pourquoi a-t-on annulé (pour la première fois dans l’Histoire) la thèse d’Henri Roques sur le Rapport Gerstein, un document qui fut refusé au procès de Nuremberg, alors que le célèbre historien et ministre socialiste Alain Decaux a déclaré dans son livre (« La guerre absolue », 1998) : « J’ai admiré la perfection du véritable travail de chartiste auquel M. Roques s’est livré » (dans sa thèse de doctorat sur le Rapport Gerstein).

Pourquoi Raymond Aron et François Furet ont-ils affirmé, à un colloque en Sorbonne où aucun révisionniste ne fut invité, (sans doute par probité intellectuelle, et liberté démocratique), qu’il n’existe pas la moindre trace ni orale ni écrite quant à un ordre d’extermination des Juifs ?

Pourquoi ne parle-t-on jamais du projet d’extermination des Allemands, par stérilisation générale, tel que planifié dans le livre « Germany must perish » (L’Allemagne doit périr) du Juif américain Kaufman ? Il ne s’agit là que d’un petit détail sans doute ?

Pourquoi le cyclon B utilisé par les services d’hygiène en Allemagne depuis les années vingt aurait-il servi à autre chose qu’à l’épouillage des vêtements pour éviter le typhus ? Pourquoi a-t-on trouvé de grandes quantités de cyclon B dans des camps où il est reconnu officiellement qu’il n’y a jamais eu de gazage ?

Pourquoi nous parle-t-on toujours des « Six millions – chambres à gaz » et jamais des 80 millions de goyim exterminés en URSS dans un régime entièrement juif dans lequel les bourreaux carcéraux et concentrationnaires se nommaient : Kaganovitch, Frenkel, Jagoda, Firine, Apetter, Jejoff, Abramovici, Rappaport, etc ? (une cinquantaine de Juifs).

Pourquoi au procès Zündel au Canada, les célèbres Juifs exterminationnistes ont-ils été jusqu’à se ridiculiser en parlant de « licence poétique » pour justifier des mensonges flagrants, et à ne pas se présenter devant le tribunal aux convocations ultérieures ?

Pourquoi a-t-on besoin de la loi Fabius-Gayssot ? (Laurent Fabius, le Juif, l’homme du sang contaminé, et Alain Gaysoot, le communiste, qui traîne derrière lui deux cent millions de cadavres).

N’est-elle pas la preuve suprême de l’imposture, la preuve par neuf, nécessaire et suffisante ? On n’a pas besoin de loi stalino-orwellienne, de loi « instituant le délit d’opinion » (le crime de la pensée de « 1984 »), « le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire » comme disait M.Toubon, peu de temps avant de devenir ministre de la Justice, loi antidémocratique, antidroit de l’homme, anticonstitutionnelle, pour établir la vérité. Les faits, les arguments, les preuves suffisent. Le professeur Faurisson demande avec ardeur un débat public avec un nombre illimité de contradicteurs et il ne l’a jamais obtenu. L’Abbé Pierre l’a demandé : on a fait semblant de l’accepter, puis on l’a finalement refusé. Un tel forum a eu lieu lors d’une émission diffusée par la télévision du Tessin (Suisse), à Lugano. Personne ne le sait car les médias aux ordres du lobby juif ne bougent le petit doigt que si ce lobby mondialiste le lui autorise…

Pourquoi, lorsqu’un enseignant déclare que « l’holocauste de six millions de Juifs exterminés dans des chambres à gaz au cyclon B » est une ineptie arithmético-technique, est-il immédiatement révoqué, ce qui institue pour la première fois dans l’Histoire, le concept aberrant de dogme historico-religieux  passible, en cas de non-adoration perpétuelle du mythe holocaustique, des foudres de l’Inquisition laïque ?


.Pourquoi, dans son numéro de janvier 1995, l’EXPRESS a-t-il affirmé que « la chambre à gaz montrée depuis des décennies dans le camps d’Auschwitz I était une reconstruction  d’après-guerre, dans son état original et que tout ce qui la concernait était faux ? »


Conclusion : il y a bien eu un holocauste de 60 millions de personnes dans une guerre déclarée en 1933 par les Juifs à Hitler. Ce dernier avait tiré six millions de travailleurs du chômage et donné du pain aux 21.500.000 personnes qui dépendaient d’eux. Il avait rejeté la dictature du dieu dollar, et le totalitarisme juif, pollueur de l’homme et de la planète, appelé « démocratie » par mystification sémantique. Il n’existe plus désormais que deux partis : le mondialisme, judéopathie totalitaire, exterminatrice de l’homme et de la planète, et le nationalisme des Goyim qui ne sont pas encore totalement nécrosés par l’influence capitalisto-marxiste juive.


Jean François Kahn s’en prend dans l’hedomadaire « Marianne » aux bureaucrates du Congrès Juif Mondial. Il écrit à propos de la conférence sur la spoliation des biens juifs qui s’est achevée le 2 décembre 1998 à Washington : « Ils ont réduit la Shoah à un marché financier .Ainsi la victime type de la barbarie nazie, l’objet premier du plus effroyable génocide de ce temps #n’était ni l’ouvrier exploité de Cracovie, ni l’humble artisan de Lodz, ni le fonctionnaire subalterne de Kiev, ni le petit commerçant de la rue des Rosiers, ni l’artisan inconnu de Riga, mais le milliardaire cosmopolite qui collectionnait des Rembrandt et des Rubens, dormait sur un tas de lingots d’or, faisait fructifier son immens fortune en Suisse, souscrivait un peu partout de confortables polices d’assurance et envoyait ses enfants faire carrière aux Etats-Unis. Ce puissant lobby d’oligarques américains n’a pas honte de réduire la Shoah à une affaire de gros sous ».
.

Si Faurisson avait osé dire cela, il aurait eu un procès de plus intenté par une justice asservie à ces oligarques…


Je donnerai le dernier mot de cette partie à l’écrivain Paul Chevallet, auteur du remarquable ouvrage « Urnocratie » :

« Le Mondialisme dévastateur est Juif dans son essence. Les Juifs en sont les inventeurs et les profiteurs, au grand dam de l’humanité entière. L’article 131 du TRAITE D’AMSTERDAM précise : « La politique commerciale commune doit contribuer, conformément à l’intérêt commun (sic), au développement harmonieux du commerce mondial, à la disparition progressive des restrictions , aux échanges internationaux et à la réduction des barrières douanières. »
Il saute aux yeux pour quiconque réfléchit encore que cet article 131 est fondamentalement inspiré par les spéculateurs apatrides du type Soros. Il n’est en effet nullement question de fabrication ou de production, mais exclusivement de DEVELOPPEMENT COMMERCIAL, de disparition de restrictions aux échanges internationaux et de barrières douanières !

Il est parfaitement clair qu’il faut mondialement favoriser, non pas ceux qui travaillent, mais ceux qui profitent du travail des autres (CQFD) ! Tous les Etats sont aujourd’hui orientés et dirigés, dans tous les secteurs par les Juifs. Le système est suicidaire à terme, à l’échelle de l’humanité. Les maîtres sont tellement obnubilés par l’or, qu’ils ne se rendent pas compte qu’il faut avant tout préserver l’eau potable pour la survie de tous ! 

Ainsi nous constatons simplement ces faits indiscutables, mais nous gardons bien de les dénoncer car, bien au contraire, nous éprouvons une profonde jubilation à l’idée qu’approche la Fin des Temps annoncée par les Ecritures.

« Depuis 5000 ans, nous parlons trop : paroles de mort pour nous et pour les autres ». (George Steiner, Juif).

5 commentaires:

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