mardi 27 avril 2010

Ce que les Juifs disent eux-mêmes

Ce que les Juifs disent eux-mêmes
à propos du communisme



Rabbin Judah L. Magnes

S’exprimant à New York en 1919, il déclara : « Les qualités radicales qui sont dans le Juif vont au fond des choses, en Allemagne, il devient un Marx ou un Lassalle, un Haas et un Edouard Bernstein. En Autriche, il devient un Victor Adler, en Russie, un Trotsky. Voyez la situation actuelle en Allemagne et en Russie. La révolution met en action ses forces créatrices, voyez quel grand contingent de Juifs est immédiatement prêt pour la bataille. Socialistes révolutionnaires, mensheviki, bolcheviki, socialistes majoritaires et minoritaires, de quelque nom qu’on les appelle, on trouve dans tous ces partis des Juifs comme leurs chefs dévoués et comme leurs travailleurs réguliers. »





M. Cohan, Juif

Cette déclaration fut publiée dans « The Communist », Kharkoff, No°72, 12 avril 1919) : « On peut dire sans exagération que la grande révolution russe a été faite par la main des Juifs. Ce furent précisément les Juifs qui conduisirent le prolétariat russe à l’aurore de l’Internationale qui non seulement ont conduit mais qui conduisent encore la cause des Soviets, qui restent dans leurs mains fiables. Il est vrai qu’il n’y a pas de Juifs dans l’armée rouge en ce qui concerne les soldats mais les Juifs commandent bravement comme chefs des comités et organisations soviétiques, et mènent les masses du prolétariat russe à la victoire. Le symbole de la juiverie est devenu le symbole du prolétariat russe. Avec ce symbole viendra la mort des parasites de la bourgeoisie qui paiera en gouttes de sang les larmes juives. »





Nahum Sokolow, Juif

Ce grand dirigeant juif déclare dans son livre « The history of Zionism » : « Le Sionisme a joué un rôle important dans les menées bolcheviques en Russie. »





Rabbin Lewis Brown

Ce rabbin nous dit, dans son livre « How odd of God » : « Nous voulons refaire le monde non-Juif, faire ce que les Communistes font en Russie. »





Professeur Reinhold Niebuhr, Juif

Ce célèbre théologien protestant, s’exprimant le 3 octobre 1934 devant le « Jewish Institute of Religion » à New York : « Le Marxisme est une forme moderne de la prophétie juive. »





« The American Hebrew »

L’article suivant a paru dans l’édition du 10 septembre 1920 : « Du chaos économique le Juif a conçu le capital avec son mécanisme d’application, la banque. L’un des phénomènes impressionnants de nos temps modernes est la révolte des Juifs contre ce monstre que son esprit avait conçu et que ses mains avaient façonné. La révolution bolchevique de Russie, cet accomplissement destiné à figurer dans l’Histoire comme le résultat primordial de la Grande guerre, fut dans une large mesure, le résultat de la pensée juive, du mécontentement juif.

Ce que l’idéalisme juif et le mécontentement juif ont si puissamment contribué à accomplir en Russie, les mêmes historiques qualités de cœur et d’esprit juives tendent à l’accomplir dans les autres pays. #

Est-ce que l’Amérique comme la Russie des tsars va accabler le Juif d’amers et vils reproches comme un destructeur et le forcer d’être un ennemi irréconciliable ? Où est-ce que l’Amérique va profiter du génie juif ? C’est à la population d’Amérique de répondre à cette question. »





Hermalin, Juif

Ce Juif communiste a déclaré dans un discours prononcé à New York en 1917 : « La révolution russe fut faite par les Juifs. Nous avons formé des sociétés secrètes. Nous avons imaginé le règne de la terreur. Nous avons fait réussir la révolution par notre propagande convaincante et nos assassinats en masse afin de former un gouvernement bien à nous. »
« Jewish Chronicle »

Dans l’édition du 4 avril 1919 du grand journal juif de Londres : « Il y a beaucoup dans le fait du bolchevisme lui-même, dans le fait que tant de Juifs sont bolcheviks, dans le fait que les idéaux du bolchevisme se confondent sur bien des points, avec les idéaux les plus élevés du Judaïsme. »





Rabbin Judah L. Magnes

Ce rabbin de New York fit la déclaration suivante lors de la conférence radicale nationale des Etats-Unis, en avril 1918 : « Je prétends être un vrai bolchevique. Je peux dire définitivement que le président des Etats-Unis dans peu de temps lancera aux gouvernements alliés un appel pour conclure une paix immédiate. Il demandera une paix immédiate sur la simple base avancée par les Bolchevistes de Russie. »




Otto Weininger, Juif

Dans « Sexe et Caractère », publié à Vienne en 1921, ce Juif autrichien déclare, à la page 406 : « L’idée de la propriété est liée indissolublement avec l’individualité, avec ce que le caractère a de particulier. C’est une des causes qui fait que les Juifs affluent en troupeau au communisme. »
A la page 413 : « Le Juif est un communiste. »
A la page 407 : « L’incapacité complète du Juif à comprendre l’idée de l’Etat. »




« Vers Moscou »

On peut lire dans l’édition de septembre 1919 de ce journal bolchevique juif : « Il ne faut pas oublier que le peuple Juif forme le véritable prolétariat, la véritable internationale qui n’a pas de patrie. »





Angelo Rappoport, Juif

L’auteur de « Pioneers of the Russian Révolution » nous dit : « Les Juifs de Russie, dans leur ensemble, furent responsables de la révolution. »





Moritz Rappoport, Juif

L’auteur des lignes suivantes, commentant la révolution allemande de 1918 : « La révolution nous rappelle de nouveau l’importance de la Question juive, parce que les Juifs sont l’élément dirigeant de la révolution. »





« Jewish Tribune »

A lire dans son édition du 5 juillet 1922 : « La révolution allemande est l’œuvre des Juifs. Les partis libéraux démocratiques ont un grand nombre de Juifs à leurs têtes, et les Juifs jouent un rôle prépondérant dans les hauts postes du gouvernement. »





Kadmi Cohen, Juif

Dans son livre « Nomades », paru en 1928, le Juif Kadmi Cohen déclare : « L’instinct même de propriété, d’ailleurs résultant de l’attachement à la glèbe, n’existe pas chez les Juifs qui n’ont jamais possédé le sol, qui n’ont jamais voulu le posséder. De là leur tendance communiste indéniable depuis la plus haute antiquité. » (page 85) Ne suffit-il pas de rappeler les noms des grands révolutionnaires juifs des XIXème et XXème siècles, les Karl Marx, les Lassalle, les Kurt Eisner, les Bela Kuhn, les Trotsky, les Léon Blum, pour que les noms des théoriciens du socialisme moderne soient mentionnés ?

S’il n’est pas possible de déclarer le bolchevisme, pris globalement, comme une nation juive, il n’en reste pas moins vrai que les Juifs ont fourni plusieurs chefs du mouvement maximaliste et qu’en fait, ils ont joué un rôle majeur. Les tendances des Juifs au communisme, en dehors de toute collaboration matérielle à des organisations de parti, quelles confirmation éclatante ne trouvent-elles pas dans l’aversion profonde qu’un grand Juif, un grand poète, Henri Heine, éprouvait pour le Droit romain.

Les causes subjectives, les causes passionnelles de la révolte de Rabbi Aquiba et de Bar Kocheba en 70 après J–C contre la Pax romana et le Jus romanum, comprises et ressenties subjectivement, passionnément par un Juif du XIXème siècle, qui apparemment n’avait conservé aucun lien avec sa race. Et les révolutionnaires Juifs et les communistes Juifs qui s’attaquent au principe de la propriété privée dont le monument le plus solide est le Codex Juris Civilis de Justinien et de Vulpien, font ils autre chose que leurs ancêtres qui résistaient à Vespasien et à Titus ? En réalité ce sont les morts qui parlent. » (page 86).





« The Maccabean »

Ce journal juif de New York publia en novembre 1905 un article retentissant sous le titre « Une révolution juive » – « La révolution de 1905 en Russie est une révolution juive, une crise dans l’histoire juive. C’est une révolution juive parce que la Russie est l’abri de presque la moitié des Juifs du monde entier et que le renversement de son gouvernement despotique aura une très grande influence sur les destinées de millions de Juifs habitant ce pays et sur celle de milliers qui ont émigré de tous côtés. Mais la révolution de Russie est une révolution juive parce que les Juifs sont les révolutionnaires les plus actifs de l’empire du tsar. »




Maurice Samuel, Juif

Dans son livre « Moi, le Juif », paru en 1923, l’auteur déclare : « Nous, les Juifs, nous sommes des révolutionnaires. Dieu nous a ainsi faits et constitués que s’il nous était donné d’atteindre quelques-uns de nos buts, objet de nos convoitises avouées, nous nous mettrions immédiatement à l’œuvre, par simple principe, pour essayer de démolir ce qui vient d’être édifié. »





Angelo Rappoport, Juif

Dans « Pioneers of the Russian Revolution », publié en 1918, à la page 100 : « A travers toute l’histoire, l’esprit des Juifs a toujours été révolutionnaire et subversif, mais subversif avec l’idée de construire sur les ruines. »


Bernard Lazare, Juif

Dans son livre publié à Paris en 1894, « L’antisémitisme et ses causes », l’auteur nous dit : « Le Juif joue un rôle dans les révolutions et il y participe en tant que Juif ou plus correctement en tant qu’il reste Juif. L’esprit Juif est essentiellement révolutionnaire et consciemment ou autrement, le Juif est un révolutionnaire. »


« L’Univers Israélite »

Dans l’édition du 5 septembre 1867 : « La révolution avec son égalité et sa fraternité est l’étoile d’Israël. »


« Archives Israélites »

Dans le numéro du 6 juillet 1889 : « L’année 1789 est une nouvelle Pâques, la Révolution française a un caractère hébraïque très prononcé. »


« New York Time »

Dans l’édition du 24 mars 1917 : « Kennan repasse l’histoire. Il dit comment Jacob Schiff, banquier juif, a financé la propagande révolutionnaire dans l’armée du tsar. M.Kennan a parlé du travail pour la révolution accompli par les amis de la liberté russe. Il dit que pendant la guerre russo-japonaise, il était à Tokyo et qu’il lui fut permis de visiter les 12 000 prisonniers russes aux mains des Japonais. Il avait conçu l’idée d’imprégner l’armée russe d’idées révolutionnaires. Il fit venir d’Amérique toute la propagande révolutionnaire russe qu’on pouvait obtenir. Il dit qu’un jour le Dr Nicholas Russel vint le rencontrer à Tokyo et lui confia qu’il avait été envoyé pour l’aider dans son travail.
Le mouvement était financé par un banquier de New York que vous connaissez et que vous aimez tous, dit-il, en faisant allusion à M. Schiff. Bientôt nous reçûmes une tonne et demie de propagande révolutionnaire en russe. A la fin de la guerre, 50 000 officiers et soldats russes retournaient dans leur pays transformés en ardents révolutionnaires. Les amis de la liberté russe avaient planté 50 000 semences de liberté dans 100 régiments. Je ne sais pas combien de ces officiers s’emparaient de la forteresse de Pétrograd, la semaine dernière mais nous savons quelle part l’armée vient de jouer dans la révolution. Puis fut lu à l’assemblée un télégramme de Jacob Schiff se lisant en partie comme suit : Dites pour moi à ceux qui sont là ce soir combien je regrette de ne pouvoir célébrer avec « les amis de la liberté russe » la récompense tangible de ce que nous avons espéré et que nous avons fait durant ces longues années. »


Elie Eberlin, Juif

Ce Juif, dans son livre « Les Juifs d’aujourd’hui », paru en 1928, a écrit ceci : « Le Peuple du Sionisme poursuit sa tâche en Russie, en Palestine et ailleurs. A l’heure qu’il est, il apparaît comme l’unique parti prolétarien international. Une de ses fractions adhère à l’Internationale communiste, l’autre à l’Internationale socialiste. (page 24) Au cours de son existence autonome, le peuple juif est passé par de nombreuses formes de gouvernement. Mais ni la dictature paternelle du grand Moïse, ni le pouvoir des rois régi par une constitution religieuse, ni la république des fidèles sous la présidence des grands prêtres, ni le despotisme des derniers roitelets s’appuyant sur Rome n’ont été agréés par ce peuple de rêveurs. Les Juifs ont toujours eu un gouvernement mais ils n’ont toujours fait que le subir (page 134). De ce fait, les Juifs n’ont pu maintenir leur Etat parmi les Etats de l’Antiquité et ont dû fatalement devenir le ferment révolutionnaire de l’univers (page 143). Ce qu’il y a encore de Juif dans le bolchevisme, c’est la renonciation aux récompenses de l’au-delà, dans l’autre monde, et la recherche du bonheur sur terre. Cette idée qui marque le triomphe des valeurs juives sur les valeurs mystico-chrétiennes est aujourd’hui commune à tous les peuples. » (page 155).


« Jewish Chronicle »

Le journal juif de Londres publia, dans son édition du 6 janvier 1933 : « Plus d’un tiers de tous les Juifs de Russie sont devenus des officiers soviétiques. »


Manifeste de rabbins

Manifeste du 25 février 1930, signé par les rabbins Menahem Gluskin de Minsk, Osée L. Zimbalist, Herz Mazel, Gabriel Gabrielow, Oscher Kerstein et Mendel Jarcho, et publié par le Juif communiste Michael Sheimann dans « Krestobyl Pokhod Protiv » USSR, Moscou, 1930, pages 103 et 104 :
« Il ne nous est pas possible de séparer notre destin de celui du peuple Juif à l’égard duquel le gouvernement de l’URSS peut être proclamé le seul qui combat ouvertement toutes les manifestations d’antisémitisme. Du point de vue mondial c’est un fait de la plus grande importance que le chef du parti communiste et chef de l’Etat soviétique, Lénine, a émis un décret dans lequel les antijuifs sont déclarés les ennemis du peuple. Et alors que sous la domination britannique, des conflits sanguinaires sont encore possibles, et qu’en Roumanie et bien d’autres pays, des pogromes et autres manifestations antijuives se produisent encore, en URSS tous les moyens de propagande sont mobilisés contre l’antisémitisme et l’appareil de la loi est même mis en action.# Sous le régime soviétique nous n’avons jamais été soumis à aucune persécution à cause de nos convictions religieuses. » #


Louis Fisher, Juif

Ce correspondant en Russie du journal « Nation », a écrit dans le « New York Jewish Tribune » du 18 janvier 1924 ce qui suit : « Si l’on juge les Bolcheviks en considération de ce que les Juifs ont gagné par eux dans le domaine de l’instruction le verdict est certainement en leur faveur. Des enfants Juifs, par dizaine de milliers, suivent des écoles publiques officielles où le yiddish est la langue de l’enseignement. Le gouvernement a établi des séminaires juifs pédagogiques spéciaux où les maîtres sont dressés à donner l’instruction dans les écoles juives en yiddish. Il y a même dans les universités des sections où le yiddish est la langue de l’enseignement. Avant la révolution sous le tsar, la proportion des étudiants juifs était limitée à 4% de l’effectif. A présent il n’y plus aucune limite. Dans certaines universités, 50% des étudiants sont Juifs. A Minsk, (Russie Blanche) le pourcentage est encore plus élevé. »


« The Maccabean »

Extrait d’un article du Juif Haas publié par ce journal : « La révolution russe est une révolution juive parce qu’elle marque une étape dans l’histoire juive. C’est aussi une révolution juive parce que les Juifs étaient les plus actifs révolutionnaires de l’empire russe. »


« Jewish World »

Article paru le 8 août 1922 : « Les affaires reprennent en Russie et sous le nouveau régime les Juifs deviennent promptement les capitaines d’industrie. Il y a maintenant 100.000 Juifs à Moscou et les enseignes de boucheries Kasher se voient dans de nombreuses rues. Cependant l’antisémitisme progresse dans la ville parallèlement à l’accroissement de la population juive. »
« Canadian Jewish Chronicle »

Edition du 10 août 1923, cité par le « Jewish Correspondance Bureau » : « Le nombre des bandits juifs à Moscou s’accroît de façon alarmante. Il ne passe guère de jour où des attaques sur la voie publique, des cambriolages avec violence ne soient le fait de bandes dont les membres sont majoritairement Juifs. Ils sont les maîtres de la pègre y compris la Mafia et pour mieux impliquer les Italiens, ils changent leurs noms juifs pour des noms italiens. »


Maurice Murrey, Juif

Ce Juif de France a écrit dans son livre « L’Esprit juif » les propos suivants : « Par le sang et par la tradition Karl Marx appartient corps et âme au Judaïsme. Karl Marx et Rothschild représentent les deux extrêmes, mais comme on le dit souvent, « les extrêmes se touchent ».

Marx et Rothschild personnifient tous deux l’idéal juif élevé à sa plus haute puissance. Plus les masses s’éloignent du Christianisme, plus elles deviennent juives et cela visiblement. L’idéalisme régénérateur juif prépare peut être pour le XXème siècle une révolution désastreuse. Chaque manifestation intense de l’idéalisme proprement juif en Europe a coïncidé avec des soulèvements, des meurtres et des rébellions. »


« Novy Mar »

Cet organe de presse bolchevique publia le 16 mars 1922 un appel aux travailleurs juifs et citoyens juifs du monde entier, dans lequel on lisait : « Notre gouvernement des Soviets a dépensé des milliards pour secourir les Juifs qui avaient souffert des pogroms. Mais aujourd’hui notre république est sans ressources. Vous devez opérer une pression sur vos gouvernements pour qu’ils réparent à leurs frais les districts juifs dévastés et pour qu’ils dédommagent les Juifs qui ont souffert en Russie. Toutes les organisations juives du monde sont invitées à soumettre cette requête à la conférence de Gênes par l’organe de la délégation des Soviets. Il est de votre devoir sacré de peser sur vos gouvernements, qu’ils soient ou non représentés à Gênes, pour les obliger à soutenir les demandes des Juifs de Russie. Vous devez insister pour que les délégués de vos pays respectifs à Gênes appuient les demandes que les Juifs feront présenter par leurs représentants, les délégués des Soviets. »


J. Olgin, Juif

Ce dirigeant communiste, dans son journal « Morning Freiheit » de New York a publié les lignes suivantes : « Tout Juif doit soutenir le Front Populaire parce que c’est le rempart de défense des droits du peuple juif. »

Bernard Lazare, Juif

Dans son livre « L’antisémitisme et ses causes » publié à Paris en 1894, l’historien juif nous dit ceci : « Au milieu de toutes les nations d’Europe, les Juifs existent comme une communauté confessionnelle ayant sa nationalité, ayant conservé un type particulier, des aptitudes spéciales et un esprit propre. » (page 297) 

« Le Juif est un type confessionnel tel qu’il est, c’est la loi et le Talmud qui l’ont fait plus fort que le sang et les variations climatériques, ils ont développé en lui des caractères que l’imitation et l’hérédité ont perpétués. » (page 283) #

« Nulle religion autant que la religion juive ne fut aussi pétrisseuse d’âmes et d’esprit. » (page 283)

[la religion juive est] « plus ancienne, plus immuable, plus étroite, et plus strictement respectée que n’importe quelle autre. » (page 281)

« Animé de ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d’un paradis réalisé sur la terre et repoussa toujours la lointaine et problématique espérance d’un Eden après la mort. » (page 346)

« La philosophie du Juif fut simple. N’ayant qu’un nombre restreint d’années à lui dévolues, il voulut en jouir et ce ne furent point des plaisirs moraux qu’il demanda, mais des plaisirs matériels propres à embellir, à rendre douce son existence. Comme le paradis n’existait pas, il ne pouvait attendre de Dieu, en retour de sa fidélité, de sa piété, que des faveurs tangibles, non des promesses vagues bonnes pour des chercheurs d’au-delà, mais des réalisations formelles, se résolvant en un accroissement du bien-être. N’ayant aucun espoir de compensation future, le Juif ne pouvait se résigner au malheur de la vie ; ce n’est que fort tard qu’il put se consoler de ses maux en songeant aux béatitudes célestes. Aux fléaux qui l’atteignaient il ne répondait ni par la fatalisme musulman, ni par la résignation chrétienne mais par la révolte. » (page 307)

« Donc la conception que les Juifs se firent de la vie et de la mort fournit le premier élément à leur esprit révolutionnaire. Partant de cette idée que le bien c’est à dire le juste devait se réaliser non pas outre-tombe puisqu’outre-tombe il y a le sommeil jusqu’à la résurrection des corps, mais pendant la vie ils cherchèrent la justice et ne la trouvant jamais, perpétuellement insatiables, ils s’agitèrent pour l’obtenir. » (page 314)

« Sans la loi, sans Israël pour la pratiquer, le monde ne serait pas. Dieu le ferait entrer dans le néant et le monde ne connaîtra le bonheur que lorsqu’il sera soumis à l’empire universel de cette loi, c’est-à-dire à l’empire des Juifs. » (page 8)

« Le bonheur se réalisera par la liberté, l’égalité et la justice. Cependant si parmi les nations celle d’Israël fut la première qui pensa à ces idées, d’autres peuples à divers moments de l’Histoire, les soutinrent et ne furent pas pour cela des peuples de révoltés comme le peuple juif. Pourquoi ? Parce que si ces peuples furent convaincus de l’excellence de la justice, de l’égalité et de la liberté, ils n’en tinrent pas leur réalisation totale comme possible au moins dans ce monde, et par conséquent ne travaillèrent pas uniquement à leur avènement. Au contraire les Juifs crurent non seulement que la justice, la liberté, l’égalité pouvaient être les souveraines du monde, mais ils se crurent spécialement missionnés pour travailler à ce régime. Tous les désirs, toutes les espérances que ces trois idées faisaient naître finirent par se cristalliser autour d’une idée centrale : celle des temps messianiques, de la venue du Messie qui devait être envoyé par Yahvé pour asseoir sa puissance terrestre souveraine. » (page 322)

« Tel qu’il était avec ses dispositions, avec ses tendances, il était inévitable que le Juif jouât un rôle dans les révolutions : il l’a joué. » (page 329)

« Les Juifs furent toujours des mécontents. Je ne veux pas prétendre par là qu’ils furent simplement des frondeurs ou des opposants systématiques à tout gouvernement, mais l’état des choses ne les satisfaisaient pas. Ils étaient perpétuellement inquiets dans l’attente d’un mieux qu’ils ne trouvaient jamais réalisé. » (page 305)

« Les causes qui firent naître cette agitation qui l’entretinrent et la perpétuèrent dans l’âme de quelques Juifs modernes, ne sont pas des causes extérieures telle que la tyrannie effective d’un prince, d’un peuple, ou d’un code farouche. Ce sont des causes internes c’est à dire qui tiennent à l’essence même de l’esprit hébraïque. A l’idée que les Juifs se faisaient de Dieu, à leur conception de la vie et de la mort, il faut demander les raisons des sentiments de révolte dont ils furent animés. » #


« Pendant la seconde période révolutionnaire, celle qui part de 1830, ils montrèrent plus d’ardeur encore que pendant la première, car dans la plupart des Etats de l’Europe, ils ne jouissaient pas de la plénitude de leurs droits. Ceux-là même d’entre eux qui n’étaient pas révolutionnaires par raisonnement et tempérament, le furent par intérêt et en travaillant pour le triomphe du libéralisme, ils travaillèrent pour eux. Il est hors de doute que par leur or, leur énergie et leur talent ils soutinrent et secondèrent la révolution européenne. Pendant ces années, leurs banquiers, leurs industriels, leurs prêtres, leurs écrivains, leurs tribuns, mus par des idées bien différentes d’ailleurs, concoururent au même but. » (page 341)

« On les trouve mêlés au mouvement de la jeune Allemagne ; ils furent en nombre dans les sociétés secrètes, qui formèrent l’armée combattante révolutionnaire dans les loges maçonniques, dans les groupes de la Charbonnerie, dans la Haute-Vente romaine, partout en France, en Allemagne, en Suisse, en Autriche et en Italie. »

« D’un côté, ils ont été parmi les fondateurs du capitalisme industriel et financier et ils collaborent activement à cette centralisation extrême des capitaux qui facilitera sans doute leur socialisation. »

« De l’autre, ils sont parmi les plus ardents adversaires du capital. Au Juif draineur d’or, produit de l’exil, du talmudisme, des législations et des persécutions # s’oppose le Juif révolutionnaire fils de la tradition biblique et prophétique, cette tradition qui anima les anabaptistes libertaires allemands du XVIème siècle et les Puritains de Cromwell. » (page 393)

« A Rothschild correspondent Marx et Lassalle. Au combat pour l’argent le combat contre l’argent et le cosmopolitisme de l’agioteur devient l’internationalisme prolétarien et révolutionnaire. » (page 343)

« Les Juifs émancipés pénétrèrent dans les nations comme des étrangers. Ils entrèrent dans les sociétés modernes non comme des hôtes, mais comme des conquérants. Ils étaient semblables à un troupeau parqué. Soudain, les barrières tombèrent et ils se ruèrent dans le champ ouvert. Or ils n’étaient pas des guerriers : ils firent la seule conquête pour laquelle ils étaient armés : la conquête économique qu’ils préparaient depuis de longues années. » (page 223)

« La Révolution française fut avant tout une révolution économique. Si l’on peut la considérer comme le terme d’une lutte de classe, on doit aussi voir en elle l’aboutissement d’une lutte entre deux formes de capital ; le capital immobilier et le capital mobilier, le capital foncier et le capital industriel et agioteur. Avec la suprématie de la noblesse disparut la suprématie du capital foncier, alors que la suprématie de la bourgeoisie amena la suprématie du capital industriel et agioteur. L’émancipation des Juifs est liée à l’histoire de la prépondérance de ce capital industriel.». (page 224)
Angelo Rappoport, Juif

A la page 25 de son son livre « Pioneers of the Russian Revolution », paru en 1918 : « Il n’y avait pas une seule organisation politique de ce vaste pays russe qui ne fût pas influencée par les Juifs ou dirigée par eux. Le parti social-démocratique, le parti socialiste-révolutionnaire, le parti socialiste polonais, comptaient tous des Juifs parmi leurs chefs. Plehve avait peut-être raison quand il disait que la lutte pour l’émancipation politique en Russie et la question juive étaient pratiquement identiques. Le Bund, ou l’Union générale des travailleurs juifs, fut fondée en 1897. C’est une association politique, économique du prolétariat juif, d’abord opposé à toute distinction nationaliste, puis graduellement imprégnée de sentiments nationalistes juifs. »

A la page 288 : « Plus que les Polonais, les Lettons, les Finlandais ou même que n’importe quel groupe ethnique du vaste empire des Romanof, les Juifs ont été les partisans de la Révolution de 1917. »


Alfred Nossig, Juif

Pour l’auteur de « Integrales Judentum » publié à Berlin en 1922 : « Le mouvement socialiste moderne est pour sa plus grande partie, une œuvre des Juifs. Ce furent des Juifs qui y imprimèrent la marque de leur cerveau. Ce furent également des Juifs qui eurent une part prépondérante dans la direction des premières républiques socialistes.

Cependant la plupart des chefs socialistes juifs, étaient éloignés du Judaïsme. Malgré cela le rôle qu’ils jouèrent ne dépendit pas seulement d’eux seuls. En eux opérait de façon inconsciente le vieux principe eugénique du Mosaïsme, le sang du vieux peuple apostolique vivait dans leur cerveau et dans leur tempérament social. Le socialisme mondial actuel qui forme le premier stade de l’accomplissement du Mosaïsme, le début de la réalisation du monde futur annoncé par nos prophètes.

Ce n’est que lorsqu’il y aura une ligue des Nations, ce n’est que lorsque ses armées alliées seront employées de façon efficace à la protection de tous les faibles que nous pourrons espérer que les Juifs seront à même de développer sans entraves en Palestine, leur Etat national et ce ne sera qu’une ligue des Nations pénétrée de l’esprit socialiste qui nous rendra possible la jouissance de nos nécessités internationales aussi bien que nationales.

C’est pourquoi tous les groupes Juifs quels qu’ils soient, Sionistes ou adeptes de la dispersion, ont un intérêt vital à la victoire du socialisme. Ils doivent l’exiger non seulement à cause de son identité avec le Mosaïsme, mais aussi par principe tactique. »



Le communisme soutenu et financé
par la Haute Banque juive

Personne ne met plus en doute cette réalité, mais il est intéressant de compulser quelques documents à ce sujet. Ce sont les gros banquiers juifs de New York qui ont financé le Bolchevisme en Russie. Les Services Secrets des Etats-Unis ont communiqué le document qui suit à toutes les ambassades des pays alliés. Ce document prodigieux fut reproduit en 1929 dans ne nombreux journaux patriotiques de différents pays. Il fut aussi reproduit dans un journal catholique « Le corps mystique du Christ dans les Temps modernes » avec l’imprimatur d’un évêque, par le R. P Denis Fahey, professeur de théologie au Black Rocks College du Dublin en Irlande.

Voici ce texte et les analyses du R.P. Fahey.

Le principal document qui traite de la façon dont a été financée la révolution russe, est celui qui fut publié par le service secret américain et transmis par le haut commissaire français à son gouvernement. Il fut publié par la « Documentation catholique » de Paris, le 6 mars 1920, précédé des remarques suivantes : « Nous garantissons l’authenticité de ce document. En ce qui concerne l’exactitude des renseignements qu’il contient, le Service Secret américain en prend la responsabilité. Ce document fut publié en 1920 dans un supplément du journal « La Vieille France » de Paris, qui ajoutait : « Tous les gouvernements de l’Entente eurent connaissance de ce mémorandum, rédigé d’après les informations du Service Secret américain et envoyé au Haut Commissaire français et à ses collègues ».

On trouve aussi ce mémoire dans le livre de Monseigneur Jouin « Le péril judéo-maçonnique », partie III, pages 249-351, avec la remarque additionnelle que les Juifs ont fait obstacle à sa publication, de sorte que la majorité du public ignora son existence. Quoique l’origine juive de Kerensky qui provoqua la première révolution russe de 1917 ait été mise en doute, il semble certain qu’il était le fils du Juif Aaaron Kerbis et de la juive Adler. # Le document est divisé en huit sections. Les sections I à IV et les sections VI à VIII sont reproduites dans ce qui suit.


Rapport des services secrets américains

Section I : En février 1916, il fut d’abord découvert qu’une révolution était fomentée en Russie. On découvrit que les personnes ci-après nommées, ainsi que les banques mentionnées étaient engagées dans ce travail de destruction. Jacob Schiff, Juif, Guggenheim, Juif, Max Breitung, Juif, Kuhn, Loeb & C° banque juive dont les directeurs étaient : Jacob Schiff, Felix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, S.H Hanauer, tous Juifs.
Il ne fait aucun doute que la révolution russe qui éclata un an après que l’information ci-dessus ait été divulguée fut fomentée et déclarée par des influences spécifiquement juives. De fait en avril 1917, Jacob Schiff fit une déclaration publique affirmant que c’était lui avec son aide financière qui avait mené à la réussite la révolution russe.

Section II : Au printemps 1917, Jacob Schiff commença à fournir des fonds à Trotsky (Juif) pour amener la révolution sociale en Russie. Le « New Cork Daily forward » qui est un organe judéo-bolchevique fit une souscription dans le même but. Par Stockholm, le Juif Max Warburg fournissait de même des fonds à Trotsky & Cie°. Ils reçurent aussi des fonds du syndicat Wesphalien Rhénan qui est une importante entreprise bancaire juive. De même, un autre Juif, Olaf Aschberg de la banque Nya de Stockholm, et de Givotovsky, un Juif dont la fille est mariée à Trotsky. 

Section III : En octobre 1917 la révolution éclata en Russie. Grâce à cette révolution les organisations soviétiques prirent la direction du peuple russe. Parmi les Soviets, les individus suivants, tous Juifs, se rendirent célèbres :


Lénine (Oulianov)
Trotsky (Bronstein)
Zinovieff (Apfelbaum)
Kameneff (Rosenfeld)
Dan (Gourevitch)
Ganetzki (Furstenberg)
Parus (Helphand)
Uritsky (Pademilsky)
Larine (Lurge)
Bohrine (Nathanson)
Martinoff (Zibar)
Bogdanoff (Zilberstein)
Garine (Garfeld)
Suchanoff (Gimel)
Kamnleff (Goldmann)
Sagersky (Krochmann)
Riazanoff (Goldenbach)
Solutzeff (Belichmann)
Pianitsky (Ziwin)
Axelrod (Orthodox)
Glasunoff (Schultze)
Zuriesain (Weinstein)
Lapinsky (Lowensohn)


Il faut ajouter à cela que la mère de Lénine étant Juive, la tradition juive le considère comme juif à part entière. Lénine étudia avec des étudiants juifs en Suisse. Victor Marsden, correspondant anglais en Russie, déclara que Lénine était un Juif Kalmouk marié à une Juive (Kroupskaya) dont les enfants parlaient le yiddish. Hervert Fitch, un détective de Scotland Yard, qui avait épié Lénine, comme garçon de table, déclara que celui-ci était typiquement Juif.

Section IV : En même temps le Juif Paul Warburg, qui avait été un des créateurs la Federal Reserve Board, se fit remarquer par ses apports actifs à certains bolcheviks notoires aux Etas-Unis. Ces circonstances et une information menée à son sujet, l’empêchèrent d’être élu directeur à la Federal Reserve.


Section VI : D’un autre côté, Judas Magnès, qui reçoit des subsides de Jacob Schiff, est en rapport étroit avec l’organisation sioniste mondiale Poale-Sion dont il est de fait le directeur. Le but final de cette organisation est d’établir la suprématie internationale du Mouvement Travailliste Juif. Judas Magnès était alors rabbin à New York. Il fut ensuite envoyé à Jérusalem pour y diriger l’Université juive. Le Poale-Sion, organisation marxiste militante, possède à Monréal une filiale active et puissante.

Section VII : La révolution sociale avait à peine éclaté en Allemagne, que la juive Rosa Luxembourg en prit automatiquement la direction politique. Un des principaux chefs du mouvement bolchevique international était le Juif Haase. A cette époque la révolution sociale en Allemagne se développa de façon parallèle à la révolution sociale en Russie.

Section VIII : Si nous tenons compte du fait que la banque juive Kuhn, Loeb et Cie, est en rapport avec le syndicat Westphalien-Rhénan, banque juive allemande, et avec Lazare Frères, banque juive à Paris, ainsi qu’avec la maison juive Gunsbourg de Pétrograde, Tokyo et Paris, si en plus nous remarquons que toutes les maisons juives ci-dessus mentionnées, sont en correspondance étroite avec la maison juive Speyer et Cie de Londres, New York et Francfort-sur-le Main, de même qu’avec la Nya Banken, établissement judéo-bolchevique de Stockholm, il devient manifeste que le mouvement bolchevique est l’expression d’un mouvement général juif et que de grosses banques juives sont intéressées à l’organisation de ce mouvement. 

Ainsi fut établie par les Services de renseignements américains la connivence entre les multimillionnaires capitalistes juifs et les révolutionnaires bolcheviques juifs.


Capitalistes juifs

Quelques remarques supplémentaires quant aux personnages cités plus haut, semblent intéressantes. D’après « l’Echo de Paris » du 28 avril 1920, Max Warburg était le Directeur Général de la Banque Max Warburg & Cie de Hamburg. Il était également le principal actionnaire de la Hamburg-America Line et de la Deutscher-Lloyd. Ses deux frères, Paul et Félix, dont l’un fut marié à la belle-sœur et l’autre à la fille de Jacob Schiff, né à Francfort, étaient avec Schiff à la tête de la Banque Kuhn, Loeb & Cie. Dans la « German-Bolshevik Conspiracy » page 27, publié par le Committee of Public Information, Washington D.C. en octobre 1918, nous apprenons que Max Warburg avançait de l’argent aux Bolcheviques.

Voici un message qui apparaît comme révélateur : « Stockholm, 21 septembre 1917. Mr Raphael Scholak, Haparand » : « Cher camarade, en conformité avec un télégramme du Westphalian-Rhineland Syndicate, la Banque Max Warburg & Cie nous informe qu’un crédit a été ouvert à l’entreprise du camarade Trotsky. Signé : Furstenberg. »
D’après une information de source française, Jakob Schiff aurait versé pour la révolution russe de 1917 la somme de $ 12.000.000. Si maintenant nous lisons le livre de Nesta Webster, « The Surrender of an Empire » (La reddition d’un empire), pages 74, 79, nous trouvons des renseignements supplémentaires sur la montée du Bolchevisme.


La Révolution russe est un placement juif

Il semble que le nom véritable de la personne mentionnée à la Section III sous le nom de Parvus, soit Israël Lazarévitch Hellphand, un Juif de la province de Minsk, en Russie-Blanche. Vers la fin du siècle dernier il prit part à un travail révolutionnaire à Odessa. En 1886, il s’en alla à l’étranger et en fin de compte, après plusieurs pérégrinations, arriva à Copenhague où il amassa une grande fortune comme agent en chef de la distribution du charbon allemand au Danemark, travaillant par l’entremise du parti socialiste danois. Le Docteur Ziv dans sa « Vie de Trotsky » relate que lorsqu’il était en Amérique en 1916, il demanda à Trotsky : « comment va Parvus ? ». Trotsky lui répondit : « il est en train de compléter son douzième million ». C’est ce Juif multimillionnaire qui après Karl Marx, fut le plus grand inspirateur de Lénine. Ce fut par l’intervention de Parvus que Lénine fut envoyé en Russie. La Russie bolchevique n’est pas le triomphe des travailleurs, mais ne semble être qu’un gigantesque placement de capitalistes juifs pour leurs propres fins.


Le symbolisme du drapeau rouge

Le drapeau rouge a toujours été un symbole de danger. A l’arrière d’un train, sur le bord d’un précipice, sur une route défoncée, aux abords d’une carrière ou d’une mine, partout où il y a danger de mort ou de ruine, le drapeau rouge est déployé pour prévenir. Aujourd’hui, ce drapeau, si parfaitement symbolique pourtant, est déployé et imposé aux foules ignorantes par ceux qui rêvent de s’emparer du monde pour le mener aux massacres planétaires et au néant.

Il est donc l’emblème de la ruine, des émeutes, des perturbations, du chaos, des déchirement sociaux et de la misère humaine : deux cents millions de cadavres du Communisme international suivent ce drapeau. Il est en fait l’étendard de la finance juive international et il fut tout d’abord déployé par Rothschild. Il fut déployé par Karl Marx comme étendard de la politique judéo-prolétarienne mondiale.

Le premier des Rothschild se nommait Amschel Mayer. Il demeurait à Francfort-sur-le Main en Allemagne, où il avait une boutique de collectionneur et changeur de pièces de monnaie. Lorsqu’il voulait indiquer qu’il y avait une vente spéciale dans sa boutique, il arborait à la devanture un drapeau rouge. Les gens qui y allaient disaient : « Je m’en vais au drapeau rouge ». Un jour qu’un passant avait tourné ce drapeau en dérision, le Juif Amschel Mayer aurait répondu : « Ce drapeau dominera un jour le monde ».
L’initiateur de la grande finance internationale changea bientôt son nom en celui de Rothschild, qui signifie « drapeau rouge » (ou « bannière rouge »). Une fois qu’ils eurent le contrôle du monde par le haut, par la finance, les Juifs décidèrent d’obtenir aussi le contrôle par le bas, par le prolétariat. Ils lancèrent Karl Marx avec sa bible socialiste et communiste et financèrent les grands mouvements internationaux qui en sortirent. Ainsi le drapeau rouge de la Haute finance devint aussi celui du prolétariat international. Que la conquête des peuples s’opère par la finance juive ou par les Internationales sous contrôle juif, c’est toujours les Juifs qui gagnent et c’est toujours le drapeau rouge de la domination juive qui se substitue aux drapeaux des Nations.

Et des légions de Goyim, que les Juifs considèrent comme « une vile semence de bétail » (Zohar), suivent avec extase ce drapeau rouge de leur dégradation et de leur esclavage, comme des moutons qui suivent bêtement leurs bouchers. Des leaders sont dressés pour les faire avancer vers ce qu’ils croient être leur « liberté », c’est-à-dire l’antithèse radicale et absolue de la vraie liberté.

Le drapeau rouge des Rothschild est l’étendard du Veau d’Or, des destructeurs de pays, des massacreurs d’Espagne, de Russie, de Hongrie, le drapeau des Trotsky, des Bela Kuhn, des Litvinoff, des Kaganovitch (qui dirigea les bourreaux carcéraux et concentrationnaires Juifs en URSS : Frenkel, Yagoda, Firine, Apetter, Rappaport, Jejoff, Abramovici et une cinquantaine d’autres bourreaux Juifs).

1 commentaire:

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