DE LOUIS-PHILIPPE À NOS JOURS
ÉMILE DE GIRARDIN, MOÏSE MILLAUD
ISAAC MIRÉS ET ISAAC PÉREIRE
Le règne de Louis-Philippe vit naître et se développer rapidement cette presse de publicité
commerciale et financière, cette presse d’affaires et de chantage, qui finit par devenir le quatrième
pouvoir de l’État.
Sous l’impulsion d’un écrivain de grand tallent, remuant, entreprenant et peu scrupuleux, Émile de
Girardin, type vraiment balzacien, elle atteignit vite, dans toutes les classes de la société, une diffusion
considérable pour l’époque, et dès lors disposa d’un prestige et d’une force avec lesquels les
gouvernements durent compter.
Le nouveau roi pressentit cet événement. Aussi son premier soin fut-il d’amadouer les journaux en
proclamant, dans la Charte de 183o, le droit pour tous les Français de publier leurs opinions sans
cautionnement ni censure et de déférer aux jurys d’assises les délits politiques de presse.
Régime de liberté dont Émile de Girardin ne manqua pas de profiter pour mettre à exécution ses
ambitieux projets.
Après avoir fondé plusieurs petits périodiques, parmi lesquels le Voleur qui s’adressait au public
populaire, et la Mode qui touchait le noble faubourg, il lança un .grand quotidien, la Presse, qu’il fit moins
grave, moins gourmé et moins cher que les autres journaux et où il donna une importance jusqu’alors
inconnue à la partie « annonces » et « réclames ».
Il s’entoura d’une brillante rédaction où figuraient Balzac, Alexandre Dumas, Théophile Gautier,
Victor Hugo, Eugène Sue, Eugène Scribe, George Sand, etc. ... et inaugura le roman-feuilleton à suite,
qui valut à la Presse une vogue sans précédent.
Chose curieuse ! Émile de Girardin, qui s’était fait élire député, avait épousé la poétesse Delphine
Gay, fille de Sophie Gay qui tenait à Paris un célèbre salon littéraire fréquenté par l’élite de la société :
Guizot, Thiers, Hugo, Balzac, Musset, Théophile Gautier, Sainte-Beuve, etc. ...
Or, cette Sophie Gay, femme intrigante s’il en fut, était descendante d’un Juif, Moïse Gay, qui, avec
trois autres de ses congénères, les sieurs Godechaux, Perpignan et Abraham Lévy, avait été condamné
dans un procès fameux plaidé le 7 février 1777.
On peut supposer que la poétesse Delphine Gay, ayant du sang juif dans les veines, ne manquait
pas d’un certain sens pratique qui n’a pas dû nuire aux entreprises de son mari.
Sans doute n’a-t-elle pas été étrangère à la création par Isaac Péreire d’une société au capital de
500.000 francs pour monopoliser les annonces commerciales de la Presse, du Constitutionnel, des Débats
et du Siècle, ni à l’affermage, par la Société juive Panis et Cie, de la publicité financière de ces mêmes
journaux.
Ne voit-on pas poindre dans ces financements la mainmise d’Israël sur l’orientation de la presse
d’information et d’opinion ?
Toujours est-il qu’à la faveur de cette ingérence, profitable aux deux parties, on vit se créer, par
émissions et souscriptions publiques, des quantités d’affaires, comme le Chemin de fer du Nord, le
chemin de fer de Saint-Germain, le .Crédit foncier, le Crédit mobilier, les Mines de Saint-Bérain, la
Nationale-Assurances, les Houillères de Bouzognes et de Mazuras, etc. ... dont certaines tournèrent mal
et engloutirent les économies de la petite épargne.
Ce fut le commencement de l’écumage des petites bourses au profit des gros coffres-forts, et Von
se doute bien que les capitalistes de la race élue ne perdirent rien dans ce transvasement.
Avec les années, l’immixtion de la Juiverie dans le domaine de la presse ne fit que croître et
embellir.
En 1856, à son retour de l’exil subissait depuis le coup d’Etat, Girardin vendit la Presse au Juif
Moïse Millaud et acheta la Liberté.
Plus tard, après la Commune, rallié à la République, il s’appropria le Petit Journal également fondé
par Millaud, puis il prit la direction de la France. Ce furent ses derniers journaux.
Quant à Moïse Millaud, avec lie concours de son coreligionnaire le banquier Mirès, il acheta le
Constitutionnel et le Pays qu’il s’empressa de Mettre à. la disposition du gouvernement impérial.
Ainsi se consolidait et progressait l’influence d’Israël sur un organisme qui lui permettait d’agir à. la
fois sur l’opinion publique et sur les sphères dirigeantes.
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La rencontre de ces trois personnages : le grand pirate de presse Émile de Girardin et les deux Juifs
Moïse Millaud et Isaac Mirès, fut vraiment providentielle pour les secrets desseins d’Israël. C’est à croire
quelle a été voulue et manigancée par Jéhovah
Dans une étude sur le banquier Mirès, publiée dans le numéro de Paris-Soir du 28 décembre 1940,
M. René Giverny s’exprime ainsi sur ses origines et ses débuts :
Isaac Mirès, né à Bordeaux en 1809, eut le génie de l’escroquerie.
Lorsqu’on prend connaissance des documents de l’époque, on est stupéfait de constater qu’il a
« découvert » la technique de tous les scandales financiers politico-judéo-maçonniques de ces vingt
dernières années.
Ancien fonctionnaire des contributions directes, courtier malheureux et agent d’affaires sans scrupules,
Isaac Mirès débuta à Paris en 1840. Mais son ascension vertigineuse ne commença qu’après la révolution
de 1848.
Associé à son coreligionnaire Moïse Millaud, il comprit l’importance d’une presse à sa solde, en tant
qu’agent de corruption et de persuasion.
Les deux compères achètent à crédit le « Journal des chemins de fer », véritable outil de leur
fortune. Simultanément ils fondent la « Caisse des actions réunies », au capital de 5 millions de francs.
Une habile publicité orienta la faveur des épargnants sur les titres dont ils s’étaient préalablement assuré
un paquet respectable. Les titres montèrent, la Caisse réalisa : les titres baissèrent, la Caisse se défila.
Quelques distributions de dividendes fictifs permirent d’étaler l’opération.
Cette déconfiture ne paralysa pas l’esprit d’entreprise de Mirès.
S’appuyant sur la Société des Journaux réunis, qu’il avait fondée avec Émile de Girardin et Moïse
Millaud, il lança la Caisse des Actions réunies, au capital de 12 millions bientôt porté à 50 millions.
Vinrent ensuite la Société du Port de Marseille et lia Société Immobilière de Marseille qui le
poussèrent au premier rang de la haute finance, au grand dam des petits épargnants de la Canebière et
d’ailleurs.
Son dernier coup de maître fut celui de la Société des chemins de fer de Pampelune, qui lui
rapporta en quelques semaines un, bénéfice de 10 millions-or, ce qui était une jolie somme à l’époque.
N’oublions pas que toutes ces affaires, qui ont mal tourné, ne purent être réalisées que grâce aux
coups de grosse caisse d’une presse soudoyée pour alléger le bon public de ses économies.
Le journaliste financier Neymarck, qui faisait alors autorité, a écrit : « Les actions appartenaient,
pour la plupart, à des ouvriers, à des artisans, « à des domestiques, à de petits négociants », sans oublier
les humbles ecclésiastiques et les modestes fonctionnaires.
Digne préface des grandes rafles d’aujourd’hui !
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Finissons-en avec la diabolique trinité judéo-politico-financière formée par un Aryen de haute
culture, mais d’esprit dévoyé, et deux Hébreux qui surent admirablement exploiter son amoralité.
Aussi bien n’avons-nous parlé si longuement de ce groupe sans scrupules, que parce qu’il est
éminemment représentatif de l’intrusion sémitique dans un milieu susceptible d’exercer une action
prépondérante sur le cours des événements politiques et sociaux.
A l’instar de Girardin, d’autres hommes de plume favorisèrent plus ou moins consciemment cette
intrusion, tels A. de Villemessant avec son Figaro, Édouard Hervé et J.-J. Weiss avec leur Journal de Paris,
Hébrard avec le Temps, Taxile Delord avec le Siècle, Clément Duvernois avec le Peuple français, etc.
Soit qu’ils subissent directement la loi des riches Sociétés ou personnalités juives, des Rothschild,
des Péreire, des Hottinguer et des Mirès ; soit qu’ils missent fructueusement leur publicité au service
des grandes affaires d’intérêt public ou des simples rafles et coups de filets qui remplissaient les coffres
d’Israël, ces seigneurs de la gazette faisaient admirablement le jeu de ceux que la Révolution avait si
imprudemment émancipés.
Heureusement que, à côté des trafiquants de la presse, il y eut, dans la période dont nous • venons
de parler, quelques Ales figures de journalistes probes et consciencieux.
A leur tête, citons Lamartine, Louis Blanc, • r Armand Carrel, Proudhon, Louis Veuillot, JulesClaretie et, parmi les débutants, Henri Rochefort, Édouard Drumont, Jules Vallès, Félix Pyat,
Charles Delescluze
Ceux-là ne baissèrent pavillon devant aucune puissance d’argent et l’on peut dire d’eux, qu’en des
temps d’abjecte vénalité, ils sauvèrent l’honneur de la presse.
AGENCE HAVAS (afp)
Pour bien faire comprendre comment la haute Juiverie a pu réussir à vassaliser la presque totalité
de la presse, il est nécessaire de consacrer quelques pages à ces Agences d’information et de publicité
qui ont été son meilleur instrument de corruption.
Un jour, le Juif converti Arthur Meyer, directeur du Gaulois, donnait ce conseil au Comte de Paris,
prétendant au trône de France : « N’ayez aucun journal, Monseigneur, ni le Gaulois, ni un autre ; mais
ayez à tout prix un pied dans une ou plusieurs agences. L’agence donne l’influence déguisée, anonyme ;
personne ne s’en mêle, et c’est une arme d’autant plus sûre ».
Comme Juif de naissance et comme directeur de grand quotidien, Arthur Meyer était, comme dit
l’autre, payé pour le savoir.
D’autre part., un célèbre journaliste autrichien, M. Eberlé, a écrit dans son livre La Presse grande
puissance : «. Les grandes agences télégraphiques du monde, qui signalent au loin ce que le monde doit
savoir ou ignorer, et cela sous la forme voulue, ces agences, ou sont propriété « juive, ou obéissent à la
direction juive ». Nous allons voir que, lui aussi, il était bien renseigné.
Au premier rang de ces puissantes entreprises. se classe, par ordre de date et d’importance,
l’Agence Havas.
Nous ne saurions mieux la présenter qu’en reproduisant un passage de la description qu’en a
donnée notre grand romancier Balzac dans le second numéro de sa Revue Parisienne :
Le public peut croire qu’il y a plusieurs journaux, mais il n’y a, en définitif, qu’un seul journal.
Il existe à Paris, rue Jean-Jacques-Rousseau, un bureau dirigé par M. Halvas, ex-banquier, ex-copropriétaire
de la Gazette de France, ex-co-associé d’une entreprise pour l’exploitation des licences
accordées par Napoléon à l’époque du blocus continental. M. Havas a vu beaucoup de gouvernements ; il
vénère le fait et professe peu d’admiration pour les principes ; aussi a-t-il servi toutes les administrations
avec une égale fidélité. Si les personnes changent, il sait que l’esprit public est toujours le même.
M. Havas a une agence que personne n’a intérêt à divulguer, ni les ministères ni les journaux
d’opposition. Voici pourquoi, M. Halvas a des correspondances dans le monde entier ; il reçoit tous les journaux de tous les pays du globe; lui le premier. Aussi est-il logé rue Jean-Jacques-Rousseau, en face de
l’hôtel des Postes, pour ne pas perdre une minute4.
M. Havas, cette providence des journaux de Paris, est aussi celle des journaux de province. Presque
toutes les feuilles de province appartiennent à des imprimeurs de l’administration, et, pour conserver leurs
impressions, il faut être à la dévotion de M. le Préfet. M. le Préfet demande à M. le Ministre de l’Intérieur ce
qui se doit penser dans son département... M. Havas est l’administrateur secret de la correspondance des
départements à raison de 6.000 francs par mois...
Ainsi, de Même qu’il n’y a qu’un journal à Paris, il n’y a qu’un seul journal pour les départements.
Tous les journaux de Paris ont renoncé, pour des motifs d’économie, à faire, pour leur compte, les
dépenses auxquelles M. Havas se livre d’autant plus en grand qu’il a maintenant un monopole, et tous les
journaux, dispensés de traduire comme autrefois les journaux étrangers et d’entretenir des agents,
subventionnent M. Havas par une somme mensuelle pour recevoir de lui, à l’heure fixe, les nouvelles de
l’étranger. A leur insu, ou de science certaine, les journaux n’ont que ce que le premier ministre leur laisse
publier... S’il y a vingt journaux et que la moyenne de leur abonnement avec M. Havas soit de 200 francs, M.
Havas reçoit d’eux 4.000 francs par mois.. Il en reçoit 6.000 du Ministère... Comprenez-vous maintenant la
pauvre uniformité des nouvelles étrangères dans tous les journaux ! Chacun teint en blanc, en vert, en rouge
ou en bleu la nouvelle que lui envoie M. Havas, le Maître-Jacques de la presse. Sur ce point, il n’y a qu’un
journal fait par lui et à la source duquel puisent tous les journaux...
Ce M. Havas (Charles-Louis) était un Juif séphardim qui, pour fonder la maison portant son nom,
avait acheté en 1835 au Juif allemand Boernstein sa Lithographierte Korrespondenz.
Il eut au début, comme collaborateur, le Juif Bernhard Wolff qui créa en 1849 l’Agence Wolffsche
Telegraphen Buro (Agence Wolff), et le Juif Josaphat Beer, lequel fonda la même année, à Londres, l’Agence
Reuter.
Dès 185o, le Bureau Havas, devenu depuis l’Agence Havas, se développa considérablement grâce
à l’invention du télégraphe électrique.
En 1856, elle fusionna avec l’agence d’annonces Bullier, et, en 1873, elle organisa, multiplia et
perfectionna ses services de manière à pouvoir donner à ses journaux abonnés, non plus seulement des
dépêches et des annonces, mais encore une correspondance politique, ainsi que des faits divers, des
feuilletons littéraires et même des romans.
On conçoit dès lors de quelle utilité elle pouvait être à la haute banque juive agissant, au mieux des
intérêts d’Israël, sous la souveraine inspiration du Kahal.
En 1879, après la mort du fils Havas, l’agence fut mise en société anonyme par un autre Juif, le
baron d’Erlanger, avec l’aide de deux de ses congénères, le baron Hirsch et Arthur Meyer.
Son capital, qui était alors de 8 millions et demi, passa successivement à 18 millions et demi en
1920, à 27 millions 750.000 francs en 1921, à 37 millions en 1922, à 50 millions en 1924, à 87 millions
en 1927 et à 105 millions en 1930.
Par son réseau de correspondants de province et de l’étranger, par ses contrats d’échange avec les
plus grandes agences mondiales, par sa soumission aux directives du gouvernement qui lui verse une
subvention annuelle approchant de 50 millions, elle est devenue en France la reine de l’information, de
la publicité et, en quelque sorte, de l’opinion publique.
Dans une étude très documentée de la revue Esprit (N° de septembre 1933), son auteur, M.
Ulmann, expliquait que la publicité « distribuée » par Havas est de trois sortes :
I° Publicité d’influence, faite par un gouvernement pour préparer ou appuyer ses décisions, pour
étouffer un scandale, ou pour dissimuler au public l’importance de certains événements dont la
révélation pourrait orienter l’opinion publique contre la politique de l’État.
2’ Publicité commerciale. Par son expérience et les connaissances techniques de ses
collaborateurs, Havas paraît aux grandes firmes particulièrement bien placée pour distribuer leur
publicité au meilleur prix et avec le meilleur rendement possible.
3° Publicité financière. Cette publicité consiste à créer des mouvements d’opinion, des «
atmosphères favorables » à telle ou telle valeur, à telle émission ou à tel emprunt.
On voit d’ici tout le parti que peut tirer d’une telle puissance, au point de vue politique,
économique et financier, la maffia israélite qui, conformément aux prophéties du Talmud et sous la
baguette directrice de son grand Comité international, a entrepris de conquérir le monde.
Dans leur Histoire de la Presse, nos distingués confrères Jean Galtier-Boissière et René Lefebvre
s’exprimaient ainsi :
Alors qu’en Italie et en Allemagne, pays de dictatures, les journaux qui n’ont pas été supprimés publient
uniformément le même texte, communiqué par le Pouvoir, en France, où règne la liberté de la presse, une
puissante organisation extra-gouvernementale se trouve posséder le quasi-monopole de l’information
mondiale de la publicité commerciale et financière, des subventions et budgets de silence ; tient à sa merci
la presque totalité de la presse quotidienne, en la soumettant aux ordres de l’oligarchie industrielle et
financière et contrôle enfin divers organes politiques — AUQUELS ELLE A L’HABILITÉ DE LAISSER LEUR
COULEUR POLITIQUE.
Cas vraiment extraordinaire ! Cette agence OFFICIELLE, qui reçoit des dizaines de millions de l’État, se sent
assez puissante pour lancer,- à la demande de ses clients, des campagnes publicitaires ouvertement dirigées
contre certaines initiatives gouvernementales. OFFICIELLEMENT chargée de la propagande française,
distributrice des énormes budgets coloniaux, l’Agence Havas commandite un « organe de la solidarité
française » ouvertement fasciste et qui prêche le renversement du régime républicain ; s’emploie à monter,
par l’intermédiaire de ses journaux de nuances politiques opposées, des mouvements d’opinion en sens
différents. Et devant la baguette du mystérieux chef d’orchestre, tous les cabinets — qui l’entretiennent —
s’inclinent en tremblant, comme jadis les présidents américains devant les trusts : Ils n’ignorent pas qu’un
coup de campagne de presse — à droite ou à gauche — une panique en Bourse ou un mouvement public
« spontané », à déclencher une émeute, à envenimer une situation diplomatique, à renverser un
gouvernement...
« La presse, déclarait prophétiquement El Araby5, est devenue l’une des principales puissances qui
gouvernent le monde ; la plus redoutable, peut-être, par son pouvoir de faire le mal plus encore que le bien.
Par le monopole de l’information et de la critique publiques,, elle stimule, maîtrise ou actionne toutes les
forces sociales. Et elle-même, pour peu que ses représentants s’entendent pour la poursuite d’intérêts
économiques communs, devient pratiquement irresponsable même envers une opinion publique que trop
souvent elle crée, qu’elle guide toujours, qu’elle est en mesure d’aveugler ou d’éclairer. Il n’y a pas de
compartiment de l’activité sociale où le maintien de la libre concurrence — non pas seulement de la
compétition économique effective, mais de la lutte des idées, des méthodes, des doctrines — soit plus
désirable pour la sauvegarde des intérêts du public que dans celui qu’exploite la presse. Si cet instrument
d’éducation de la conscience populaire venait à tomber en la possession exclusive d’un consortium de
financiers ou d’hommes d’affaires, il deviendrait possible à ce consortium de dicter à un peuple sa politique
sociale et de la conduire, au gré des intérêts d’un gouvernement occulte, sur la pente de la guerre aussi aisément
que sur celle de la paix ».
C’est ce qui est malheureusement arrivé !...
Nous pourrions multiplier, les détails pour montrer que le « gouvernement occulte » qui avait
créé et développé ce formidable instrument d’asservissement de la presse, était celui constitué par la
haute finance juive.
Havas, Wolff, Beer, qui l’avaient forgé ; d’Erlanger, Hirsch, Meyer qui avaient accru sa puissance,
n’étaient-ils pas de purs descendants d’Abraham ?
Les banquiers juifs Horace Finaly, Jacques Stern et Rosenbleth6 n’en étaient-ils pas, ces dernières
années, les trois principaux actionnaires ?
Et l’Hébreu Léon Blum n’y avait-il pas, dès son arrivée au pouvoir, installé ses créatures à la tête
des services les plus importants : les André Hesse, Fransallès, Wolff, Quilici, Gunsbourg, Hirsch, Lièvre,
Tabet, Cerf, Schumann, Alary, Halévy, Nathan, Sazlawski, Gaymann, etc. ?
Inutile donc de nous étendre davantage sur cette organisation néfaste, qui a causé tant de ravages
dans notre pays.
Nous en avons dit, assez pour faire comprendre aux lecteurs intelligents et sans parti pris le
mécanisme au moyen duquel Israël est arrivé à dicter sa loi à une classe dirigeante partagée entre
l’aveuglement et la vénalité, et à créer des courants d’opinion favorables à ses secrètes ambitions.
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