mardi 27 avril 2010

L’écroulement de la Russie et les juifs

L’écroulement de la Russie


« British Israel truth »

Commentaire écrit en 1906 par les Juifs Dinnis Hanau et Aldersmith (la date de ce document est affreusement remarquable). « Le retour complet, définitif et triomphant des Juifs aura lieu après l’écroulement de la Russie. Nous pouvons attendre des changements considérables de la grande guerre qui arrive et qui est suspendue sur les nations d’Europe. Selon notre interprétation des prophéties, l’Empire turc sera démembré et une grande puissance comme l’Angleterre ne peut pas permettre qu’une autre puissance occupe la Palestine. »



La Judéopathie totalitaire est-elle tolérable ?

Les Juifs nous avouent eux-mêmes ce que tout le monde sait, c’est-à-dire qu’ils contrôlent la finance mondiale, le grand commerce et la politique internationale, les grands instruments de propagande, les arts et lettres, et qu’ils veulent dominer tous les pays du monde. Ils contrôlent par le commerce et la confection, le marché du travail féminin. Ce dernier détail est important en ce qui concerne le sang de la race que certains Juifs se sont vantés de contaminer. #
Comment les Juifs sont-ils mentalement qualifiés pour exercer une pareille hégémonie ? #

Voyons la réponse qu’ils nous donnent :


« Jewish Encyclopedia »

A la la rubrique « maladies nerveuses », Volume 9, il est dit que les Juifs sont plus sujets aux maladies nerveuses que les autres races et peuples au milieu desquels ils vivent. Hystérie et neurasthénie sont les maladies les plus fréquentes.

Quelques médecins ayant soigné les Juifs, prétendent que la majorité d’entre eux présentent un syndrome de neurasthénie ou d’hystérie. Tobler affirme que toutes les Juives de Palestine sont hystériques.

Et Raymond dit qu’à Varsovie, en Pologne, l’hystérie se rencontre fréquemment tant chez les hommes que chez les femmes. La population de cette seule ville est la source inépuisable d’hystériques mâles pour toutes les cliniques d’Europe.

En ce qui concerne l’Autriche et l’Allemagne, la même condition de névrose chez les Juifs est dénoncée par Kraft Ebing, qui dit que les maladies nerveuses, et particulièrement la neurasthénie, affectent les Juifs avec une exceptionnelle sévérité.

Biswanger, Erb, Joly, Mmobius, Lowenfeld, Oppenheim, Ferré, Charcot, Bouveret et presque tous les autres spécialistes des maladies nerveuses disent la même chose dans leur études sur la neurasthénie et l’hystérie, et soulignent le fait que l’hystérie, si rare chez les mâles des autres races, est très fréquente chez les Juifs.

L’Encyclopédie juive ajoute que l’étude de la théologie talmudique à un âge précoce est pour quelque chose dans l’étiologie de cette pathologie.



Bernard Lazare, Juif

Propos cité par Maingnial dans « La Question Juive », 1903 : « A mesure que le monde se faisait plus doux pour eux, les Juif – du moins la masse – se retiraient en eux-mêmes, ils rétrécissaient leur prison, ils se liaient de liens plus étroits. Leur décrépitude était inouïe, leur affaissement intellectuel n’avait d’égal que leur abaissement moral. »
Dr Hugo Ganz, Juif

Ce médecin juif de Roumanie écrit dans « Reiseskizzen aus Roumanaeniens », Berlin 1903, page 138 : « C’est à l’étude trop exclusive de la théologie que ces malheureux doivent leurs poitrines étroites et leurs membres grêles et faibles. C’est la chasse aux sempiternelles affaires qui leur donne la ruse caractéristique et qui procure à l’antisémitisme sa raison d’être. Il est aussi possible qu’ils souffrent d’un « excès de tête ».

Note de l’auteur : Il est évident que ce médecin ignorait les effets de la circoncision qui est seule responsable de ces déséquilibres hormonaux « cérébraux-somatiques ».



Théodore Reinach, Juif

Auteur de l’article « Juif » de la Grande Encyclopédie, page 273, tome 21 : « La longue spécialisation des Juifs dans le commerce de l’argent explique leur supériorité héréditaire dans cette branche et dans toutes les occupations qui s’y rattachent comme aussi la fréquence des défauts qu’elle engendre : âpreté, goût démesuré du lucre, finesse dégénérant en duplicité, penchant à croire que tout est à vendre et qu’il est légitime de tout acheter.

La brusque émancipation intellectuelle et religieuse produisit d’autres effets de déséquilibre : en rompant les liens qui l’attachaient au Judaïsme traditionnel, le Juif ne trouve plus dans sa conscience vidée ni frein ni guide moral pour l’arrêter. Il s’abandonne comme un cheval échappé à toute l’effervescence de son imagination et de la logique, à tous les excès de la pensée et de l’action. La société berlinoise dès la fin du siècle dernier, a offert de remarquables exemples de ce radicalisme ou plutôt de ce nihilisme moral. »



Dr Rudolf Wasserman, Juif

Extrait de son traité « Etude sur la criminalité juive » : « Chez les Juifs, c’est l’intelligence, chez les Goyim, c’est la main, l’instrument du délit. Le Chrétien réalise le succès délictueux par une activité physique directe : rapines, vols, voies de fait sur des biens ou des personnes. Le Juif, lui, réalise son délit d’une façon indirecte en induisant psychiquement une autre personne, au moyen de la tromperie et de la ruse, à lui accorder un avantage illégal. »






Cerfbeer de Medelsheim, Juif

Extrait de son livre « L’Eglise et la Synagogue », paru en 1847, page 230 : « Que les Israélites de France y prennent garde ; ils courent sans doute à une réaction désastreuse dont nous voudrions prévenir les effets par nos conseils et nos avertissements. Ils ne s’aperçoivent pas combien chez eux la morale est relâchée, abandonnée. Combien les idées sordides et la convoitise d’un lucre facile, les égarent en les éblouissant. Un simple rapprochement de calcul statistique fera comprendre facilement toutes la vérité et la portée de notre pensée. » #



L’usure a procuré aux Juifs la moitié de l’Alsace


Cerfbeer de Medelsheim, Juif

Dans son livre « Les Juifs » Paris, paru en 1857, page 39, cet auteur, nous dit : « C’est la grande plaie de notre époque. L’usure se commet dans nos campagnes avec autant d’impudence que l’impunité. La petite propriété est dévorée par ce chancre qui ronge tout. Il faudrait un volume pour énumérer les moyens honteux et perfides employés par les Juifs pour attirer à eux toutes les parcelles de terrain qui excitent leur convoitise et nous ignorons s’il pourra se trouver dans l’esprit de nos lois modernes quelques dispositions assez fortes pour arrêter le progrès de ce mal, lorsqu’on sera obligé d’en référer à la législature. Ce ne sont plus les Juifs qui se couvrent du sac de douleurs, ce sont les paysans de nos campagnes qui portent le deuil des iniquités d’Israël. » #



Oscar Frank, Juif

Extrait de son livre «  Les Juifs », Leipzig, 1905 page 84 : « De tout temps l’usure juive a été stigmatisée par les poètes. Au XVIème siècle, l’usurier juif était un personnage bien connu. Dans les Jeux du Carnaval le Juif, usurier et escroc, était le rôle spécialement goûté du public. Dans ce cas, les écrivains n’avaient aucune difficulté pour lui prêter des traits pris sur le vif (page 98) : un homme qui, de façon générale, trompe le milieu chrétien dans lequel il se trouve et s’inspire du désir de s’enrichir. Pour cette raison presque partout, l’opinion prévaut que le Juif est l’exploiteur du peuple chrétien. »


Graetz, Juif

Ainsi s’exprime le grand historien du peuple juif, cité par le philosémite Bonsirven, dans son livre : « Sur les ruines du temple » page 324 : « Les défauts de la méthode de l’enseignement talmudique, la subtilité, la manière d’ergoter, la finasserie, pénétrèrent dans la vie pratique et dégénérèrent en duplicité, en esprit retors, en déloyauté. Il était difficile aux Juifs de se tromper entre eux parce qu’ils avaient reçu une éducation à peu près identique et par conséquent ils pouvaient se servir des mêmes armes. Mais ils usaient souvent de ruse et de moyens déloyaux envers les Goyim. »



Dr Rudolf Wasserman, Juif

Extrait de « Zeitschrift für Sozialwissenschaft », 12ème année, 1909, page 663 : « Nous possédons un matériel copieux et chiffré qui montre que les Juifs tout particulièrement sont sujets aux maladies cérébrales (statistiques), et les spécialistes le reconnaissent unanimement (citations de cas). Chez le Juif, le système nerveux est le « locus minoris résistentiae » (lieu de moindre résistance). »



Dr M. J Guttmann, Juif

Extrait de « Zeitschrift für Demographie », 3ème année, H 4 – 6, page 112 : « La démence précoce est un trouble mental qui, chez les Juifs, est d’une fréquence tout à faite extraordinaire. »



Kreppel, Juif

Extrai de son livre « Les Juifs et le Judaïsme d’aujourd’hui », Edition Amalthéa, 1925, page 387 : « En ce qui concerne la démence, on a établi que dans les asiles d’aliénés publics et privés, le pourcentage des Juifs excède de trois fois celui des Chrétiens. »


Le développement pathologique de la personnalité juive, du fait de la circoncision rituelle, est absolument patent.

Nietzsche n’a-t-il pas dit : « Ce sont les malades qui ont inventé la méchanceté ».

La maladie spéculativo-parasitaire juive cessera immédiatement avec la suppression de la circoncision au 8ème jour.
Le drapeau français vu par le Juif Jean Zay

Jean Zay, membre de la Loge « L’Indépendance » d’Orléans, ministre dans le cabinet Sarrault et Léon Blum, signait l’article suivant dans un journal parisien le 6 mars 1924, dans lequel il oubliait, hélas, deux petits détails # :


Le drapeau

Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.
Quinze cents dans mon pays, quinze millions dans tous les pays.
Quinze cent mille hommes morts, Mon Dieu !
Quinze cent mille hommes morts dont chacun avait une mère, une maîtresse, des enfants, une maison, une vie, un espoir, un cœur.
Qu’est-ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ?
Quinze cent mille morts, Mon Dieu, quinze cent mille morts pour cette saloperie, quinze cent mille éventrés, déchiquetés, anéantis dans le fumier d’un champ de bataille, quinze cent mille que nous n’entendrons plus jamais, que leurs amours ne reverront plus jamais.
Terrible morceau de drap, cloué à ta hampe, je te hais férocement.
Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toute la misère que tu représentes, pour le sang frais, le sang humain, aux odeurs âpres qui gicla sous tes plis, je te hais au nom des squelettes.
Ils étaient quinze cent mille.
Je te hais pour tous ceux qui te saluent, je te hais à cause des peigne-cul des couillons et des putains qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre.
Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial, le défi aux hommes que nous ne savons pas être.
Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, #le bleu que tu volas au ciel, le blanc livide de tes remords.
Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grands coups les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts, et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer et tes victoires, que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.

(Le torche-cul rouge du marxisme fera 200 millions de morts) 

A qui profita le Bolchevisme ?


La révolution bolchevique fut entièrement juive : idéologues (Marx, Lassalle), financiers (Warburg, Loeb etc.), politiciens (Lénine, Trotsky, Kerensky, etc), bourreaux carcéraux et concentrationnaires, (Kaganovitch, Frenkel, Yagoda, etc.).
L'ANNUAIRE OFFICIEL de la juiverie (gouvernement d'Israël), publié aux Etats-Unis, donne avec orgueil la liste suivante des Juifs exerçant un pouvoir en Russie, en l'an 5678 de l'ère hébraïque :

Aaronson, dirigeant à Witebsk;
Alter, dirigeant à Kamenetz.
Apfelbaum, dit Zinovief, dirigeant à Pétrograd.
Bekerman, magistrat à Radom ;
Bernstam, magistrat à Pétrograd ;
Bernstein, commsaire au Charbon ;
Bloch, ministère de la Justice ;
Boff, dit Kamgoff, dirigeant à Pétrograd ;
Bothner, chef de la police de Moscou ;
Bramson (Abrahamson), dirigeant à Pétrograd ;
Braunstein, dit Trotsky, dictateur à l'armée ;
Brodsky, juge à Pétrograd ;
Cohen, juge à Lodz ;
Davidowitch, juge à Pétrograd ;
Dickstein, procureur à Pétrograd ;
Dalbrowsky, commissaire à Pétrograd pour les Affaires Juives ;
Eiger, commissaire pour les Affaires Polonaises ;
Fisher, juge municipal à Pétrograd ;
Friedman, maire d'Odessa ;
Friedman, commissaire de la Justice à Pétrograd ;
Geilman, comissaire de la Banque ;
Ginzburg, dirigeant à Kolomensky ;
Greenherg, chef de la police de Moscou ;
Greenberg, curateur du district de Pétrograd ;
Grodski, juge à Pétrograd ;
Grusenberg, enquêteur sur les affaires navales de l'ancien régime,
commissaire de la marine nouvelle.
Gunzburg, commissaire du Ravitaillement ;
Guitnik, comissaire du Commerce à Odessa ;
Gurevitch, adjoint au Commissariat de l'Intérieur ;
Gutterman, commissaire au Ravitaillement à Saratov ;
Halperin, secrétaire général du gouvernement ;
Halpern, adjoint au maire de Kolomensky ;
Hefez, adjoint au commissariat de la Justice ;
Hillsberg, juge à Lublin ;
Hurgin, vice-commissaire pour les Affaires Juives ;
Isaacson, commissaire à la Marine ;
Kachnin, commissaire du travail à Kherson ;
Kahan, juge à Pétrokov ;
Kalmanovitch, procureur à Minsk ;
Kaminetski, juge à Pétrograd ;
Kantorovitch, député à Pétrograd ;
Kempner juge à Lodz ;
Kerensky, député ;
Lazarowitch maire d'Odessa ;
Lichtenfeld, juge à Varsovie ;
Lublinsky, juge à Petrograd ;
Luria, commissaire à la banque ;
Maldelbert, maire de Zitomir ;
Mandzin, procureur ;
Meyerowitch, commisaire aux Armées ;
Minor, président du Conseil municipal de Moscou ;
Nathanson, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Per, juge à Varsovie ;
Prelman, juge à Saratov ;
Perlmutter, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Pfeffer, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Podghayetz, maire de Moghilev ;
Poznarsky, juge à la Cour de cassation ;
Rabinowitz, commissaire du Travail à Tavrida ;
Rafes, adjoint au commissaire des affaires locales en Ukraine ;
Ratner, administrateur de la cité de Nachichevanskz ;
Rosenfeld, dit Kameneff, député ;
Rundstein, juge à la Cour de cassation ;
Phineas Rutenberg, commandant en second de la milice de Pétrograd ;
Sacks, commmissaire-adjoint à l'Education ;
Schreiber, procureur à Irkoutsk ;
Schreider, maire de Pétrograd ;
Silvergarb, commissaire des Affaires juives en Ukraine ;
Stechen, sénateur ;
Steinberg, commissaire à la Justice ;
Sterling, juge à Varsovie ;
Trachtenberg, juge à Petrograd;
Unsehlicht, comissaire à Pétrograd ;
Vinaver, député ;
Weinstein, administrateur de Minsk ;
Warshavsky, commissaire au commerce à Pétrograd ;
Yonstein, maire d'Oriel ;
Wegmeister, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Zitzerman, procureur à Irkoutsk ;



Symbolisme du poing fermé et du bras levé, main ouverte

Lorsque les Juifs célèbrent leur fête de la vengeance, le Purim, qui rappelle le massacre de 70 000 Goyim, ils font tous ensemble le salut du poing fermé, qui sera le salut bolchevique. Ce signe est religieux et raciste. Il est l’antithèse du signe de croix religieux et du salut d’amitié entre les races latine et saxonne. Le bras tendu et levé, main ouverte, signifie : « Je viens en ami, franchement, ne cachant pas d’armes. »

Aux Internationales socialo-communistes fondées par les Juifs, et dont ils espèrent, très logiquement hélas, du fait de l’insuffisance mentale du plus grand nombre des humains, l’hégémonie mondiale, ils ont imposé ce salut du poing fermé qui est une manifestation naturelle de leur mentalité psychopathique. C’est le salut de la vengeance, le salut ennemi de la civilisation, et de la race blanche qui en est à accepter un tel salut : celui de la vengeance et de la domination juives.

Comme je me souviens dans mon enfance, comment ils se moquaient des «idiots de Goyim ». Ils doivent bien rire de voir tant de Goyim déchristianisés servir leur cause et marcher vers leur propre suicide, le bras levé et le poing crispé…


Danger !

Schlom Ash, nous informe que le moindre ébranlement du régime soviétique serait la mort des Juifs. Dans « Jewish World » du 19 juin 1922 de Londres, il nous dit : « Non seulement dans les milieux révolutionnaires mais, même dans l’Armée rouge, l’antijudaïsme est si fort que seule la discipline de fer imposée par les Bolcheviks et la crainte de la peine capitale retiennent les soldats et les femmes de commencer partout des pogroms. En Russie, paysans, soldats, femmes, citadins, tout le monde hait les Juifs.Tous les Juifs en Russie sont unanimes à penser que la chute des Soviets et le passage du pouvoir en d’autres mains serait la plus grande calamité possible pour les Juifs. La flamme de l’antisémitisme brûle en Russie aujourd’hui plus fort que jamais. » #
Neville Chamberlain révèle que les Etats-Unis et la Juiverie mondiale avaient contraint l’Angleterre à la guerre

James Vincent Forrestal, banquier de Wall Street, ancien ambassadeur des Etst-Unis en Angleterre entre 1937 et 1940, sous-secrétaire au ministère de la Marine sous Roosevelt, puis ministre de la Défense sous Truman, se réfère dans l’extrait suivant à l’entretien qu’il a eu avec Joseph Kennedy (le père du futur président des Etats-Unis). Forrestal en savait trop et il sera « suicidé » après la guerre en tombant de la fenêtre de l’hôpital militaire où il était hospitalisé.

« Jouant au golf avec Joseph Kennedy, ambassadeur de Roosevelt en Grande-Bretagne pendant les années qui précédèrent la Seconde guerre mondiale, je le questionnais sur les conversations qu’il avaient eues avec Roosevelt et Neville Chamberlain depuis 1938. Il me dit que l’avis de Chamberlain était que l’Angleterre n’était pas prête à se battre, et qu’elle ne pouvait pas entrer en guerre avec Hitler. L’opinion de Kennedy était que Hitler aurait combattu la Russie sans entrer en conflit avec l’Angleterre si ce n’eût été que Bullit, ambassadeur américain en France, faisait pression sur Roosevelt afin que l’on affronte les Allemands sur la question polonaise.

Ni les Français, ni les Anglais n’auraient fait de la Pologne une cause de guerre sans les intrigues permanentes de Washington. Bullitt répétait à Roosevelt que les Allemands n’oseraient pas se battre. Kennedy disait qu’ils combattraient et s’empareraient de l’Europe.

Neville Chamberlain déclara que l’Amérique et la Juiverie mondiale avaient contraint l’Angleterre à entrer dans la guerre. »

Source : « James Forrestal Diaries », edited by Malter Millis, with the collaboration of U. S. Duffield, New York. The Viking Press, MCMLI, october 1951. Publié le même jour au Canada par la Mac Millan Cie of Canada Limited.



Communisme et Juiverie au Canada

Fred Rose, de son vrai nom Rosenberg, accusé d’espionnage en faveur des Sovietiques, fut condamné après la guerre à six ans de pénitencier. Libéré, il continua son œuvre en Tchécoslovaquie.

· Le chef communiste au Canada, en 1966, était le Juif W. Kashtan.
· Le chef communiste au Québec est le Juif Samuel Walsh.


Un intérêt vital

Alfred Nossig, Juif, dans son livre « Integrales Judentum » Berlin 1922, écrit : « Le mouvement socialiste moderne est pour la plus grande partie, une œuvre des Juifs qui y imprimèrent la marque de leur cerveau. Ce furent également les Juifs qui eurent une part fondamentale dans la direction des premières républiques socialistes. Cependant, la plupart des chefs socialistes juifs étaient éloignés du Judaïsme.

Malgré cela, le rôle qu’ils jouèrent ne dépendait pas seulement d’eux seuls. En eux opérait de façon inconsciente le vieux principe eugénique du Mosaïsme, le sang du vieux peuple apostolique vivait dans leur cerveau et dans leur tempérament social. Le socialisme actuel mondial forme le premier stade de l’accomplissement du Mosaïsme, le début de la réalisation du monde futur annoncé par nos prophètes.

Ce n’est que lorsqu’il y aura une Ligue des Nations, ce n’est que lorsque les armées alliées seront employées de façon efficace à la protection de tous les faibles que nous pourrons espérer que les Juifs seront à même de développer sans entraves, en Palestine, leur Etat national et, de même, ce ne sera qu’une Ligue des Nations pénétrée de l’esprit socialiste qui nous rendra possibles la jouissance de nos nécessités internationales aussi bien que nationales.

C’est pourquoi tous les groupes Juifs, qu’ils soient sionistes ou adeptes de la Diaspora, ont un intérêt vital à la victoire du socialisme. Ils doivent l’exiger non seulement à cause de son identité avec le Mosaïsme, mais aussi par principe tactique. »





Karl Marx, fondateur du Communisme

Bernard Lazare, toujours dans son remarquable livre « L’antisémitisme et ses causes », nous parle de Marx : « C’est un descendant d’une lignée de rabbins et de docteurs qui hérita de toute la force logique de ses ancêtres. Il fut un talmudiste lucide et clair, que n’embarrassèrent pas les minuties niaises de la pratique. Un talmudiste qui fit de la sociologie et qui appliqua ses qualités natives d’exégète à la critique de l’économie politique.

Il fut animé de ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d’un paradis refusé sur la terre et repoussa toujours la lointaine et problématique espérance d’un Eden après la mort. Mais il ne fut pas seulement un logicien, il fut aussi un révolté, un agitateur, un âpre polémiste, et il prit son don du sarcasme et de l’invective là où Henri Heine l’avait pris : aux sources juives. »


Boycott systématique de tous les ouvrages
qui ne sont pas en faveur des Juifs, déjà depuis 1895

Saulus, Juif, dans le journal de Mayence « Wucherpille » de janvier 1895, inaugure une pratique qui dure aujourd’hui de façon totalitaire : l’impossibilité de dire quoi que ce soit concernant les Juifs et qui leur est défavorable sans être puni d’amendes et de prison  (Loi Fabius-Gayssot : un Juif et un Communiste) : « S’il apparaît un livre qui nous soit hostile, nous ne l’achetons pas et l’édition ne tardera pas à passer au pilon. Le publiciste n’est plus rien : nous n’avons qu’à organiser contre lui la conspiration du silence. »

(Aujourd’hui, aucun publiciste ne pourrait publier un livre, même génial, défavorable au juif : la censure juive est radicale et absolue. Elle se déguise en antiracisme, alors qu’ils construisent partout la « libanisation » de tous les pays).


Le sort de la Russie s’est joué en 1913

A propos du procès concernant un meurtre rituel à Kiev, le journal juif « Hammer » publiait dans son numéro 274, en octobre 1913 les commentaires suivants : « Le gouvernement russe a décidé d’engager à Kiev une bataille décisive contre le peuple juif. De l’issue de cette lutte titanesque dépend le sort, non pas du peuple Juif, car le peuple Juif est invincible, mais celui de l’Etat russe. « Etre ou ne pas être », ainsi se pose la question pour la Russie. La victoire du gouvernement russe est le commencement de sa fin. Il n’y a pas d’échappatoire, mettez vous bien cela dans la tête. Nous allons démontrer à Kiev, devant le monde entier, que les Juifs ne permettront pas qu’on en fasse un objet de raillerie. Si les Juifs jusqu’ici, pour des considérations tactiques, ont dissimulé le fait qu’ils conduisent la Révolution en Russie, maintenant, après l’attitude du gouvernement russe au procès de Kiev, notre tactique doit être abandonnée. Quel que soit le résultat de cette affaire, il n’y a plus de salut pour le gouvernement russe. Telle est la décision juive et elle s’accomplira. »

(notez bien que le financement judéo-américain de la révolution bolchevique a commencé avant la fin du XIX ème siècle)


A propos de la Bible

A propos de ce livre saint plein de massacres, de crimes, de sang, de tromperies et de mensonges, le rabbin Léonard Lévy a fait un sermon, le 7 novembre 1909, qui ne manque pas d’intérêt : « Autrefois, on croyait que chaque mot de la Bible était la vérité absolue. Il n’en est plus ainsi. Le travail des chercheurs a établi que la Bible est un produit de l’intelligence humaine, du commencement à la fin, contenant certaines erreurs, certaines vues inexactes, dues à la faillibilité de ses auteurs qui étaient des hommes. C’est un résultat des plus précieux. »


A propos du Japon

Dans son livre « Asiaten », le Juif autrichien Landberger écrit ceci : « Nous tendons notre filet sur tout le Japon. Nous exerçons une influence décisive sur tous les instruments d’amour de ce pays. Tous jouerons les airs que nous leur donnerons. Représentez-vous un pays comme un corps gigantesque. Celui qui règle les fonctions abdominales de ce corps le tient en son pouvoir. Voyez-vous enfin ce que je veux ? La lutte pour la domination universelle entre l’Amérique et le Japon doit être conduite de telle sorte que le Japon soit absorbé. L’Amérique ne truste pas seulement l’amour, elle prend le pays par son instinct le plus développé. Dans un pays où l’acte charnel est une fonction naturelle du corps, semblable à toutes les autres, on n’a qu’à s’y prendre adroitement pour provoquer l’impulsion nécessaire et la sexualité déchaînée s’exténueront dans une ivresse dont nous fixerons la durée. En renouvelant constamment les procédés d’excitation séductrice, on peut rendre cette ivresse permanente et faire de ce pays le pays le plus possédé. »

Il est certain que voilà un exemple de la culture juive telle que je l’observe dans ma vie qui a couvert le XXème siècle. Pourtant il faut remarquer que lorsque cet auteur Juif, dit « Nous, Américain », il s’agit là d’une usurpation, car il y a en Amérique d’une part le peuple AMERICAIN, et d’autre part le gouvernement JUIF. Ces idées-là sont juives et non américaines. De même la farce psychanalytique de Freud n’appartient qu’à la pathologie freudienne et pas à l’Autriche. #

Ce que l’esprit juif corrupteur menace de faire au Japon, pays encore relativement sain, il l’a fait dans les pays Occidentaux avec un immense succès chez tous ceux qui avaient perdu la foi. Nous avons vu dans les pages précédentes, comment «les Juifs sont abasourdis de la stupidité des Goyim ». Quand les Juifs avilissent et démoralisent un peuple par la traite des blanches, la pornographie, le cinéma, la mode subversive, le théâtre, l’art pourri, ils le font par calcul, exécutant un plan délibéré. Ils ne peuvent vaincre les peuples que si ceux ci affaiblis, ont perdu toutes leurs valeurs. Comme disait Nietzsche : « Les Juifs ne peuvent rien contre un peuple en bonne santé physique et morale ».

5 commentaires:

Anonyme a dit…

I would like to exchange links with your site www.blogger.com
Is this possible?

Heretique a dit…

nospikinglich

Anonyme a dit…

je suis Juif ET FRANCO-Israelien . Vos textes sont hors contexte. Ceux des Juifs qui voulaient en 1922 voir la Russie amoindrie, c'est parce qu'ils étaient pro-Francais. On aimerait bien savoir quellle serait votre position si vous étiez a ler place a l'époque. recontextualisé, vvous etes anti-francvais et je suis meilleur patriote francais que vous.
Pour finir, actualisez votre pensée. En 2010, il y a 1 million de russes en Israel dont 70% ne sont pas Juifs et tous préfèrent la liberté israélienne à la dictature russe. Bonne chance pour vous dans votre alliance avec les ennemis d'Israel car ce sont les memes qui veulent voiler vos femmes. Et vous les préférez toujours à nous les Juifs?
Lamentable.

Heretique a dit…

En 1923, un autre visionnaire, membre des
B’nai B’rith, le comte Coudenhove-Kalergi
écrivait : « Nous nous efforcerons d’obtenir
dans le futur une Europe orientalisée par un
métissage euroasiatique négroïde. Cette future
race métissée sera en apparence semblable à
la race de l’ancienne Egypte (sic). Les chefs
en seront les juifs en tant que nouvelle noblesse grâce à leur esprit communautaire. »
Il n’est pas interdit de penser que nous
assistons actuellement à la mise en place du
processus qui permettra la réalisation du
programme imaginé par le comte Coudenhove-Kalergi.

Anonyme a dit…

on sait bien que il n,y pas tant des juifs en Russie. Le 13-14 siecles les hazaras ont adoptes la religion juive.Ils ne sont pas
des juifs de sang et c'est la realité. Donc il a seulement la manipulation juive mondiale qui accuillent tout le monde. Parsque la race juive compte environ 6 millions et les juives veulent dominer. On n'est pas contre les juifs vive Chomski mais contre les sionistes.