samedi 3 avril 2010

les juifs nos maitres 2

Attaché à sa communauté le juif est inassimilable. Le génie du peuple juif est d’avoir présenté le problème juif sous son seul aspect religieux. Selon le juif, il y aurait des Français de confession juive, tout comme il y a des Français de religion catholique. De nombreux goyim (étrangers au peuple juif) sont tombés dans ce piège. Monseigneur Lustiger incarne l’exemple type du juif de religion catholique.

Tout d’abord les sémites ne sont pas d’origine européenne, ils sont ethniquement proches de l’arabe, pas du gaulois.
Ensuite le juif appartient d’abord au peuple d’Israël, c’est sa communauté nationale.
Enfin le judaïsme entérine religieusement le plus vieux racisme que la terre ait jamais porté. Seul le peuple élu appartient à l’essence même de dieu, les autres hommes sont assimilés à des animaux. Pas de prosélytisme chez les rabbins, convertir des animaux au judaïsme est inutile.

Preuve de sa félonie, le juif se dit Français d’origine roumaine (François Copé, Pierre Moscovici), Français d’origine hongroise (Nicolas Sarkozy), Français d’origine luxembourgeoise (Stéphane Bern), Français d’origine espagnole (David Pujadas) …
Quant il ne se dit pas Français, le juif se dit Européen, Corse, Breton … Citoyen du monde.
Mais jamais, oh combien jamais il ne se dit juif.


<< Là ou est l’or, est notre patrie >> cette parole typiquement juive se vérifie partout. Les juifs sont concentrés dans les régions les plus riches des plus riches nations. Pas de juifs au Mozambique, beaucoup de juifs en Amérique. La région parisienne et l’Alsace, les deux régions les plus riches de France, concentrent l’essentiel du peuple juif.
L’argent est maîtresse du monde et les juifs sont les rois de la finance : Soros, Barclay, Rothschild, Rockefeller …
L’usurier Moïse déjà exhortait son peuple à prêter de l’argent, sans jamais en emprunter. L’emprunt avec intérêt entre juifs est religieusement interdit.
Cette passion de l’or est confirmée par le nom de nos plus célèbres économistes : Marc Touati, Elie Cohen, Alain Minc, Guy Sorman …
Neuf fois sur dix notre ministre des finances appartient à la race errante. Alors que la population juive de notre pays est d’un pourcent.
Pour anecdote les premières paroles du tube commercial de Jean-Jacques Goldman (en français : l’homme en or) étaient << Un jour j’aurai tout ce qui brille entre mes mains >>. Plus qu’un symbole, une prophétie.


Tous les ans lors de la réunion du CRIF (conseil représentatif des institutions juives de France), tous les leaders politiques sont convoqués et sommés de prêter publiquement allégeance à la communauté juive. A l’exception du front national qui a été exclu de la vie politique française suite à une ordonnance du B’naï B’rith (franc maçonnerie exclusivement juive) émise en 1986.
Jacques Chirac (le plus enjuivé des français) doit sa place à la promesse qu’il avait faite à la communauté, qu’une fois élu il dénoncerait officiellement l’Etat français et ses mesures de préservation nationale antijuives.
En 2002 l’escro-supermenteur est réélu à plus de 80 % en défendant la première des valeurs que le peuple juif exige des autres : LA TOLERANCE.


Le rêve juif d’un monde sans frontières passe par la dissolution des nations dans l’Europe, puis par la dissolution de l’Europe dans le monde. Souvenez vous du désarroi de la juive Christine Okrent lors du NON français au référendum euromondialiste de 2005.
Les juifs sont les plus fanatiques militants de l’entrée de la Turquie dans l’union européenne :
Daniel Cohn-Bendit, Pierre Lellouche, Gilles Martin-Chauffier, Pierre Moscovici, Alexandre Adler…
Leur rêve doit devenir notre cauchemar. L’argument avancé est que la Turquie a toujours été protectrice des juifs, même aux heures les plus sombres de notre histoire.
Les juifs des Etats-Unis se battent avec la même hargne pour l’entrée du Mexique dans l’union américaine.
Toujours cette volonté juive d’anéantir cet homme blanc qui pourrait à nouveau menacer le petit-peuple-qui-a-tant-souffert.


Le front national l’a toujours affirmé, ce ne sont pas les immigrés qui doivent être mis en cause, mais les responsables de la politique d’immigration.
De Marek Halter à Elie Wiesel, le juif rêve chez nous, d’immigration, de métissage, d’ouverture sur le monde, d’accueil de l’Autre – avec un A majuscule.
Le moteur de cette obsession est la vengeance. Le peuple juif veut nous faire payer les représailles, selon lui injustes, qu’il a subi durant toute l’histoire de notre pays.
Le peuple juif nous rappel constamment à son devoir de mémoire. Au mieux pour nous soutirer de l’argent, au pire pour nous faire accepter l’inacceptable : le remplacement d’une population française d’origine européenne par une autre d’origine africaine. La mise en scène de l’holocauste et son exploitation politique nous interdisent toutes mesures de salut national.
Les plus enragés partisans des sans papiers appartiennent à la race de Judas : la bête juive Emmanuelle Béart, la bête juive Stéphane Hessel, la bête juive Alain Krivine, la bête juive Patrick Gaubert, la bête juive Mathieu Kassovitz, la bête juive Arno Klarsfeld …
Pendant 30 ans le peuple juif a soutenu l’arabisation et l’islamisation de la France. Juifs et arabes défilaient main dans la main contre les représentants sincères du peuple français. Vociférant contre le front national et son président. Le juif Bernard Stasi nous martelait son slogan << L’immigration une chance pour la France >>. C’était l’époque heureuse d’SOS racisme fondé par le juif Julien Dray.

Depuis les flambées de violence au proche orient entre juifs et arabes. Nous avons assisté à un retournement de situation, désormais ces deux communautés sont en guerre sur notre propre sol. Même la communauté noire réclame des comptes aux juifs ayant profité de la traite négrière (familles juives nantaises, dont les Mendès-France). Désormais le peuple juif se tourne vers les français, cherche leur appui par la voix d’Alain Finkielkraut qui aujourd’hui dénonce le racisme anti-blanc.
L’islamophobie, cheval de bataille de Philippe de Villiers, est d’abord un signe adressé à la communauté juive. C’est un signe d’allégeance et de ralliement en direction du lobby qui n’existe pas.
Après l’Irak, les juifs préparent l’opinion à une guerre contre l’Iran. La guerre préventive chère à Bernard Kouchner, c’est d’abord la possibilité de détruire préventivement tout pays qui pourrait menacer l’état d’Israël.


Après la victoire juive de 1945, l’antiracisme, le multiculturalisme et le métissage sont devenus les valeurs fondatrices de la société judéo-occidentale.
Cécilia, la compagne de Sarkozy, juive pur sang, se vante de n’avoir pas une seule goutte de sang français dans les veines. Pendant que son mari nous explique le déclin des civilisations par le manque de métissage.
Pour la juive Madame de Fontenay, organisatrice des élections miss-france, les plus jolies femmes se rencontrent dans les régions les plus métissées.
Officiellement les races n’existent pas, mais elles doivent se mélanger, il faut à tout prix mélanger ce qui n’existe pas !


Le peuple dominateur se prétend épris de justice. Plus proche des assassins que de leurs victimes, le juif Robert Badinter fait abolir la peine de mort.
Le juif André Gluksmann dénonce constamment les bavures commises en Tchétchénie, mais passe systématiquement sous silence les crimes commis par le peuple juif en Palestine.


Le gardien du temple de la mémoire Claude Lanzmann a affirmé publiquement, que si on laissait les historiens révisionnistes s’exprimer librement, d’ici 2 ou 3 ans, plus personne ne croirait à l’holocauste.
Il est vrai que pour un peuple qui prétend avoir été exterminé, ils pullulent dans les médias : les Drucker, les Arthur, les Fogiel, les Castaldi, les Moati, les Okrent, les Miller, les Benamou, les Schonberg, les Pujadas, les Attal, les Veil, les Abiker, les Beigbeder , les Namias …
Ce sont ces mêmes médias qui organisaient des manifestations spontanées contre le FN, lors de l’entre deux tours des présidentielles de 2002.


On dit des antisémites qu’ils souffrent de paranoïa, qu’ils voient des juifs partout. Prenons un exemple au hasard. Les postulants à l’élection présidentielle de 2007 au sein du parti socialiste sont :

- L. Fabius : JUIF
- D. Srauss-Kahn : JUIF
- J. Lang : JUIF
- F. Hollande : JUIF
- B. Kouchner : JUIF
- S. Royal : une Française enfin !

On dit des antisémites qu’ils surestiment l’influence du juif. Mais enfin qui dicte la politique étrangère des Etats-Unis. A un t-elle point que l’on ne sait plus si ce sont les Etats-Unis qui sont l’allié d’Israël ou l’inverse.

De Voltaire à Shakespeare en passant par Dostoïevski, les plus brillants esprits de la culture européenne sont antisémites.

Quant aux philosémites, ils veulent nous convaincre de l’égalité de tous les hommes entre eux. Pourtant l’agression réelle d’un Français suscite généralement peu d’intérêt, c’est un simple fait divers parmi d’autres, une banalité, un point de détail. Tandis que l’agression réelle (affaire Halimi) ou fictive (affaire du RER) d’un sémite déclenche aussitôt une levée de bouclier, l’émotion suscité est à son comble et les plus hautes instances dirigeantes lancent leur rappel à l’ordre : << S’attaquer à un juif, c’est s’attaquer à la France toute entière >>.
On nous rappelle instamment que la vie d’un seul juif vaut celle de 60 millions de Français.


Cette France juive est moralement incarnée par le milliardaire Bernard Henry Levy. Dans son livre torchon L’idéologie française, il vomit la France profonde, la France française.
Les civilisations naissent et meurent, mais le juif est toujours là, éternel à lui-même. Eparpillé à travers le monde, minoritaire partout, il traverse les millénaires.
Lorsque la France africanisée à mort aura définitivement rejoint le tiers monde. Les juifs feront leurs bagages vers des contrées plus prospères (probablement l’Asie) afin d’y continuer leurs affaires. Jacques Attali a toujours affiché son mépris pour les peuples sédentaires attachés à leur terre.
L’immigration de repeuplement et l’encouragement de l’avortement (inauguré par la juive Simone Veil) sont les 2 piliers de la politique juive exercés à l’encontre du Français de souche. Sans doute ne faut-il pas généraliser la culpabilité du juif dans l’extermination du peuple français. Il y a peut être parmi eux quelques innocents.


Longtemps nos rois nous ont protégé de la puissance financière juive. La monarchie avait même réussi à expulser le peuple juif hors du royaume de France.
Quant à l’église catholique, elle a trahi sa mission première : nous protéger de la perfidie du peuple déicide.

Aujourd’hui la bête juive place toutes ses espérances dans le capitalisme apatride. Le monde entier considéré comme un grand marché ouvert, sans frontières, sans nations, sans identités, sans traditions. Un monde unicolore peuplé de consommateurs portant tous des jean’s Levis.
Plus rien désormais ne semble entraver l’ascension du peuple juif dans la voie du gouvernement mondial des sages.
Devons nous pour autant perdre tout espoir, nous coucher et mourir de cette mort lente dont le juif a le secret : NON !
Autrefois le peuple juif croyait atteindre son but de domination mondial par le communisme (idéologie du juif Marx, révolution du juif Trotsky). Le communisme a engendré le fascisme et le nazisme.
A chaque fois que la bête juive approche son but suprême ; elle se montre trop sûre d’elle-même ; elle devient imprudente ; elle nous dévoile son arrogance hautaine. Suscitant chez le non-juif le sursaut salvateur.

LE JUIF, L’ ENNEMI PRINCIPAL C’ EST LUI

Pour vous en convaincre, lisez la presse juive et plus particulièrement la revue Droit de vivre de la LICRA.
Prenons pour exemple la RECONQUISTA, cette lutte de 5 siècles contre l’occupation de l’Espagne par les arabes, qui n’aurait jamais été possible sans l’expulsion préalable du peuple juif.






L'affaire Dreyfus, pour des raisons multiples, a retenu
l'attention. Mais la République, depuis le premier jour,
n'a été qu'une suite d'affaires Dreyfus.
Histoire de la Païva et de Gambetta.
Histoire de la Kaulla et du général de Cissey.
Affaire Maurice Weil. Ancien officier d'ordonnance
du généralissime Saussier - (comme Joseph Reinach a
été officier d'ordonnance du général de Galliffet ; il y a
toujours un espion juif auprès de chaque grand chef
militaire, auprès de chaque ministre ou politicien
d'importance) - le commandant de réserve Well avait
dû quitter l'armée pour se dérober à un conseil d'enquète
sous des accusations répétées d'espionnage. Il garda
cependant ses entrées au ministère de la Guerre ; il continua
d'y surprendre les secrets et d'y voler les documents.
M. de Freycinet lui-même, le Freycinet de
Cornelius Herz, fut obligé d'interdire l'accès du ministère
à ce Juif, officier supérieur, espion avéré.
Allaire Weyll, Juif du Journal des Débats, espion
avéré au ministère de la Marine. M. de Mahy, ministre
patriote, le fit jeter dehors avec scandale.
Alfred Dreyfus, qui. s'est reconnu coupable en
acceptant la grâce de Loubet, et que deux conseils de
guerre avaient déclaré traître, a été promu commandant
et décoré, comme traître, de la Légion d'honneur.
S'il a fallu condamner Ullmo pour la forme, la Répu
blique lui assure une existence d'épicurien dans une
charmante villa, aux Iles du Salut.
Le Gil Blas de Saül Merzbach en a fourni un témoignage
(mai 1910) :
Ce n'est pas l'Ullmo morne, abattu, aux regards fuyants de
bête traquée, voûté, comme ayant sur les épaules tout le
poids de son crime ; c'est un Ullmo colon, ou villégiaturant sur
une côte exotique.
Chaussé de bottines blanches, longues et fines, élégamment
vêtu d'un complet blanc immaculé, il porte sous son casque
colonial l'air heureux, presque souriant, d'un malheureux isolé
surpris par une visite inattendue. Il paraît engraissé, son regard
est franc, amusé... Il prend le plus grand soin de sa santé et
passe de longues heures à sa toilette.
En mars 1913, le Petit Marseillais a publié plusieurs
correspondances, de sources différentes, qui dépeignaient
l'heureuse existence du traître:
Il habite une villa charmante, dans une oasis de
verdure. Il a des chiens, des oiseaux, de la volaille. Il
est vêtu et soigné comme un riche touriste à Deauville:
escarpins immaculés, flanelles blanches, chemises de
soie rose, canne de bois précieux, bagues et pierreries
aux doigts. Il parle d'un ton protecteur aux gardiens
et aux forçats qui lui servent de domestiques. Il parle
d'un ton insolent au commandant du pénitencier qui
vient prendre ses ordres. Il reçoit tous les journaux
et tous les livres qu'il veut, toutes les provisions et toutes
les friandises qu'il demande.
Et tous les commandants de bateaux qui naviguent
dans ces parages racontent à leurs passagers comment
l'Administration pénitentiaire fournit des femmes
au Juif luxurieux, comment elle renouvelle son harem
pour lui entretenir l'appétit par la variété...
La République est une mère, et même une maquerelle,
pour les Juifs, quand ils ont trahi la France.
Mais les deux premiers cas de trahison juive, ceux de
1870, doivent rester toujours présents à la mémoire des
Français. Il faut les rappeler sans cesse, parce que les
jeunes générations ignorent lamentablement l'histoire
de cette tragique époque.
On peut dire que le désastre français de 1870-1871 a
été causé par deux trahisons juives.
Après les terribles défaites d'août 1870, rien n'était
perdu. L'armée de Mac-Mahon, fuyant devant les vainqueurs
et promptement reformée au camp de Châlons,
avait une avance suffisante pour s'échapper vers le
nord, rejoindre l'armée de Bazaine, écraser avec lui les
Allemands qui opéraient devant Metz. Les deux armées
françaises réunies et victorieuses auraient eu bon marché
de la seconde armée allemande, aventurée sur la route
de Paris. La guerre si mal commencée pouvait être terminée
du coup par une victoire décisive. Par une chance
inouïe, l'armée allemande qui poursuivait Mac-Mahon
depuis Froeschwiller avait perdu le contact ; elle ne
savait plus dans quelle direction le chercher ; elle allait
s'engager à fond vers Paris, tandis que Mac-Mahon
descendait la Meuse vers Sedan... Grâce aux Juifs du
Temps, l'état-major allemand connut sa méprise quand
il pouvait encore la réparer ; l'armée allemande se lança
sur les traces de Mac-Mahon. Et la France fut condamnée.
Dans la deuxième partie de la guerre, quelques
chances nous restaient. Tant que Bazaine retint devant
Metz les forces qui l'assiégeaient, l'armée de la Loire
put espérer qu'elle vaincrait, et qu'elle débloquerait
Paris. Dans la capitale affamée, combien de fois n'avonsnous
pas cru à la délivrance! Quand le canon tonnait au
sud, combien de fois n'avons-nous pas imaginé que
c'était le canon de Chanzy et de d'Aurelle de Paladine!...
Mais à Tours, la délégation de la Défense nationale
était présidée par le Juif Crémieux, qui avait vu tout
de suite dans la débâcle française l'occasion de livrer
l'Algérie à ses compatriotes ; et le Juif Crémieux, malade
gâteux, était entouré de femmes juives qui ne le quittaient
pas même dans les réunions les plus graves et les
plus secrètes. L'état-major allemand connut toujours
les décisions de la Délégation de Tours avant les généraux
français qui devaient les exécuter...
Eh bien, qu'y aurait-il de changé demain?
Partout où il y avait un Juif en 1870, il y en a vingt
maintenant.
Les Juifs avaient, pour trahir, le Temps. Ils ont
aujourd'hui les neuf dixièmes de la presse parisienne.
Joseph Reinach à lui seul, Joseph Reinach, vice-président
de la Commission de l'armée et chef de l'espionnage
allemand en France, tient le Temps, le Matin, le
Figaro.
Au mois d'août, la presse « sensationnelle » s'emballe
sur une fausse histoire de trahison, qui se serait passée
à Versailles, au 11e d'artillerie (colonel Meyer). Quelle
ineptie de supposer que l'Allemagne aurait besoin. pour
pénétrer nos secrets militaires, de corrompre un sousofficier
dans un régiment commandé par un Juif!
Le colonel en 'sait plus long que le maréchal des logis.
En 1870, la tribu Crémieux opérait à la délégation de
Tours. La même tribu Crémieux opère encore aux
ministères de la Guerre et de la marine avec Thomson et
Lévy ; et la tribu Ochs, à la marine avec Baudin ; et les
Brisach, les Bloch, les Wormser, les Paraf, les Nathan,
les Cohen, dans tous les services de la défense nationale.
Quand il n'y a pas un Juif à la direction, il y a la
femme juive ou la maîtresse juive dans la coulisse, les
beaux-Irères juifs et les secrétaires juifs dans tous les
coins.
Pour deux: trahisons mortelles commises en 1870, il
s'en commettra vingt, il s'en commettra cent dès la prochaine
déclaration de guerre et tant que durera la lutte.
A quoi bon dépenser des milliards? A quoi bon
demander à la jeunesse française trois années de sa vie?
A quoi bon affronter une lutte inégale?
A la première rencontre retentira le cri funèbre :
NOUS SOMMES TRAHIS!
Et nous le serons en effet ; nous sommes vendus,
livrés, égorgés, si nous ne mettons pas d'abord les traîtres
hors d'état de nuire.
Rangeons parmi les traîtres, et parmi les plus exécrables,
les Français qui se vendent aux Juifs pour
nier ou pour cacher aux yeux de la nation la conquête
et la trahison juives.
Si nous voulons que la France survive aux épreuves
prochaines, il faut nous faire des âmes impitoyables, et
frapper.


Les Français, depuis 1870,ont les reins cassés ;
ils ne connaissent pas la valeur des facteurs
moraux ; ils ne se rendent pas compte que les
humiliations patiemment essuyées, sous les yeux
de tous les peuples gouailleurs, abaissent plus un
pays qu'une délaite sanglante.
Le même port de Toulon avait vu la panique
de l'équipage de la Liberté : cent cinquante
hommes fuyant à la nage le bâtiment qu'un
peu de discipline aurait sauvé. Puis, la panique
des régiments coloniaux, pendant les obsèques
des victimes de l'explosion : des centaines de
soldats jetant leurs fusils, quittant leurs rangs
ou leurs postes, et se sauvant à toutes jambes,
sans qu'on ait jamais su ce qui les avait soudain
épouvantés.
Les tartarinades verbales et les coups de
grosse caisse ne changent rien aux choses qui
sont.
Tous les peuples ont des yeux pour voir où en
sont les Français.
Les Français sont en notre pouvoir.
Quand ils font semblant de vouloir défendre
leur pays contre les ambitions de l'Allemagne,
et qu'ils s'agitent, et qu'ils poussent des clameurs,
et qu'ils lancent des défis, à qui pensent-
ils donner le change?
Leur ancien pays ne leur appartient plus ;
ils n'y sont plus que les boeufs de labour, les
ilotes, les serfs.
Et c'est à nous de savoir s'il convient d'accueillir
ou de repousser les étrangers qui voudraient,
avec nous, une part à la curée de cette riche
proie: la France.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Interressant