samedi 3 avril 2010

sagashoah 6

Enfin la vérité ! L'oeuvre de Paul Rassinier

L'oeuvre de l'historien français Paul Rassinier fut sans aucun doute la contribution la plus
importante à une étude véridique de la question de l'"extermination". La valeur remarquable de cette
oeuvre réside premièrement dans le fait que Rassinier fut lui-même détenu dans les camps de
concentration et aussi qu'il était moins disposé que quiconque à défendre Hitler et la nationalsocialisme
puisque Rassinier était un intellectuel socialiste antinazi. Pourtant, soucieux de défendre la
justice et la vérité historique, Rassinier consacra les années d'après-guerre jusqu'à sa mort, survenue en
1966, à poursuivre des recherches dont l'aboutissement fut la réfutation complète du mythe des Six
Millions et de la légende du nazisme diabolique. De 1933 à 1943, Rassinier fut professeur d'histoire au
lycée de Belfort, Académie de Besançon. Pendant la guerre, il fit de la Résistance et fut arrêté par la
Gestapo le 30 octobre 1943; il fut détenu à Buchenwald et à Dora jusqu'à la fin de la guerre. Atteint du
typhus à Buchenwald, vers la fin de la guerre, il ne put se rétablir complètement et dut abandonner son
travail dans l'enseignement. Décoré de la Médaille de la Résistance et de la Reconnaissance Française,
élu député à l'Assemblée Constituante dont les communistes parvinrent à le faire évincer en novembre
1946. Rassinier entreprit alors une analyse systématique des prétendues atrocités allemandes, en
particulier de la prétendue "extermination" des Juifs. Ses livres sont peu connus, ce qui ne doit pas nous
surprendre. Aucun de ses livres n'a été publié en anglais. Titres les plus importants: Le Mensonge
d'Ulysse, une étude des conditions de vie dans les camps de concentration basée sur sa propre
expérience; Ulysse trahi par les Siens, suite du premier livre poursuivant la réfutation des impostures
des propagandistes anti-allemands. Le véritable Procès Eichmann, le Drame des Juifs européens, dans
lequel Rassinier montre au moyen d'une analyse statistique soigneuse comment on a déformé les faits
de façon malhonnête et irréfléchie; il examine aussi dans ce livre les conséquences politiques et
financières de la légende de l'extermination et son exploitation par Israël et par les pays communistes.
(Autres livres de Rassinier: Les Responsables de la Seconde Guerre Mondiale", L'Opération "Vicaire",
etc. etc. N.d.T.)
Un des nombreux mérites de l'oeuvre de Rassinier est d'avoir démontré la fausseté du mythe de
la "méchanceté", uniques en leur genre, des Allemands. Il révèle au moyen d'arguments accablants
comment on a fait disparaître la vérité historique dans un brouillard impénétrable de propagande
partisane. Il démontre de façon concluante que le sort des Juifs pendant la Deuxième Guerre Mondiale
dégagé de la déformation des faits et ramené à ses justes proportions, perd son "énormité" tant
proclamée et devient seulement un acte d'une tragédie beaucoup plus grande et plus vaste. Au cours
d'une grande tournée de conférences en Allemagne Occidentale au printemps de 1960, Rassinier dit
qu'il était grand temps que renaisse la vérité sur l'"extermination" et que c'étaient les Allemands euxmêmes
qui devaient entreprendre cette tache puisque cette accusation restait aux yeux du monde entier
une tache – absolument injustifiable – sur le blason de l'Allemagne.

L'imposture des "chambres a gaz"
Le titre Le Mensonge d'Ulysse fait allusion aux histoires incroyables contées par ceux qui
reviennent de pays lointains ("a beau mentir qui vient de loin"). Jusqu'à sa mort Rassinier lut tout ce qui
se publiait sur l'"extermination" et il essaya de retrouver ou de rencontrer les auteurs de ces histoires. Il
fit justice des affirmations extravagantes de David Rousset qui prétendait dans son livre The Other
Kingdom (New York, 1947) qu'il y avait des chambres à gaz à Buchenwald; ayant été lui-même à
Buchenwald, Rassinier prouva qu'il n'y eut jamais de chambres à gaz dans ce camp (Le Mensonge
d'Ulysse, p. 209 ff). Rassinier interpella aussi l'abbé Jean-Paul Renard qui avait affirmé la même chose
dans son livre Chaînes et Lumières. L'abbé Renard lui répondit que d'autres lui avaient dit qu'il y en
avait..! (ibid, p. 209 ff). Rassinier disséqua aussi le livre de Denise Dufournier Ravensbrück: The
Women's Camp of Death (Londres, 1948) et découvrit également que l'auteur n'avait d'autres preuves
de l'existence de chambres à gaz que de vagues "bruits" qui, selon Charlotte Bormann, furent lancés
délibérément par les détenus communistes. Il aboutit au même résultat avec les livres de Philip
Friedman This was Auschwitz: The Story of a Murder Camp (N.Y., 1946) et d'Eugen Kogon The
Theory and Practice of Hell (N.Y., 1950): aucun de ces auteurs ne pouvait présenter un témoin oculaire
authentique d'une chambre à gaz d'Auschwitz et ils n'avaient jamais vu de chambres à gaz eux-mêmes.
Kogon prétend qu'une ancienne détenue, décédée, Janda Weiss, lui avait dit, rien qu'à lui, qu'elle avait
vu des chambres a gaz à Auschwitz, mais, naturellement, puisque cette personne était décédée – disait
Kogon – Rassinier ne pouvait pas aller lui demander des explications. Rassinier put rencontrer
Benedikt Kautsky, auteur du livre Teufel und Verdammte qui avait prétendu que des millions de Juifs
furent exterminés à Auschwitz. Kautsky confirma seulement à Rassinier ce qu'il avait avoué dans son
livre, à savoir qu'il n'avait jamais vu de chambre à gaz et qu'il basait son information sur ce que d'autres
"lui avaient raconté". Selon Rassinier, il faut attribuer l'"Oscar" de la littérature sur l'extermination au
livre de Miklos Nyizli, Doctor at Auschwitz: la falsification des faits, les contradictions évidentes et les
mensonges éhontés montrent que l'auteur parle d'endroits qu'il n'a jamais vus, manifestement (Le
Drame des Juifs européens, p.52). Suivant ce "docteur d'Auschwitz", 25.000 personnes y furent
exterminées chaque jour pendant 4 ans et demi, ce qui représente un grand progrès par rapport aux
24.000 par jour pendant 2 1/2ans d'Olge Lengyel. Cela nous donnerait un total de 41 millions de
victimes pour Auschwitz jusqu'en 1945, soit deux fois et demie la population juive du monde entier
avant la guerre. Rassinier essaya de découvrir l'identité de cet étrange "témoin", on lui dit qu'il "était
mort peu de temps avant la publication du livre." Rassinier était convaincu que cette personne n'a
jamais existé. Après la guerre, Rassinier voyagea dans tous les coins d'Europe pour essayer de
rencontrer un témoin oculaire des exterminations dans des chambres à gaz dans les camps de
concentration allemands. Il n'en trouva jamais un seul. Aucun des auteurs des nombreux livres accusant
les Allemands d'avoir exterminé des millions de Juifs n'avait jamais vu une chambre à gaz construite
dans ce but, et encore moins une chambre à gaz en fonctionnement. Aucun auteur ne pouvait présenter
un témoin authentique vivant ayant vu une chambre à gaz. Invariablement, les anciens détenus tels que
Renard, Kautsky et Kogon basaient leurs affirmations, non pas sur ce qu'ils avaient vu réellement, mais
sur ce qu'ils avaient "entendu dire", toujours par des personnes "dignes de foi", mais qui, par un triste
hasard, étaient presque toujours décédées et ne pouvaient donc pas confirmer ou infirmer leurs
déclarations.
Le fait certainement le plus important qui ressort des études de Rassinier et qui n'offre aucun
doute est l'imposture absolue des "chambres a gaz". Des enquêtes sérieuses faites sur place révélèrent,
de manière irréfutable, que, contrairement aux déclarations des "témoins" survivants, examinées cidessus,
il n'y eut jamais de chambres à gaz à Buchenwald, Bergen-Belsen, Ravensbrück, Dachau et
Dora, ni à Mauthausen en Autriche. Ce fait avait été certifié – nous l'avons vu plus haut – par Stephen
Pinter du Ministère de la Guerre des Etats-Unis. Il est reconnu maintenant et admis officiellement par
l'Institut d'Histoire Contemporaine de Munich. Cependant, Rassinier fait remarquer que malgré cette
vérité historique officielle, des "témoins" s'en furent de nouveau déclarer au procès Eichmann qu'ils
avaient vu à Bergen-Belsen des prisonniers partir pour les chambres à gaz. Quant aux camps de l'Est,
en Pologne, Rassinier montre que l'unique "preuve" de l'existence de chambres à gaz à Treblinka,
Chelmno, Belzec, Maidanek et Sobibor est constituée par les notes, dont la véracité est contestée, de
Kurt Gerstein, dont nous avons parlé plus haut. Rappelons qu'il prétendit en premier lieu que 40
millions de personnes furent exterminées pendant la guerre, chiffre absurde, et que dans sa première
note signée, il ramena ce chiffre à 25 millions. Nouvelles réductions dans sa deuxième note.
L'authenticité de ces notes parut si douteuse qu'elles ne furent même pas acceptées par le Tribunal de
Nuremberg, bien qu'elles continuent à circuler dans trois versions différentes, une version allemande
(distribuée dans les écoles!) et deux versions françaises, aucune de ces versions ne concordant avec les
autres. La version allemande servit de "preuve à conviction" au procès Eichmann en 1961. Finalement,
Rassinier attire l'attention sur an aveu important fait par le Dr Kubovy, directeur du Centre Mondial de
Documentation Juive Contemporaine de Tel-Aviv, dans La Terre Retrouvée du 15 décembre 1960. Le
Dr Kubovy reconnaît qu'il n'existe pas un seul ordre d'extermination écrit de Hitler, de Himmler, de
Heydrich ou de Goering (Le Drame des Juifs européens, p. 31, 39).


Paul Rassinier nie l'authenticité du chiffre de Six Millions
Quant au chiffre effrayant de Six Millions, adopté pour les besoins de la propagande, Rassinier
prouve qu'il est totalement faux en se basant sur une analyse statistique extrêmement détaillée. On a
gonflé, d'une part, le chiffre de la population juive d'avant la guerre en ignorant toute l'émigration et
l'évacuation, et d'autre part, on a réduit le nombre de survivants après 1945. Telle fut la méthode
utilisée par le Congrès Juif Mondial. Rassinier rejette aussi tous les témoignages écrits ou verbaux des
"témoins" du genre cité plus haut et qui indiquent le chiffre de Six Millions, parce qu'ils sont pleins de
contradictions, d'exagérations et de mensonges. Il donne l'exemple du total des morts de Dachau: en
1946, le pasteur Niemoller avait répété le total mensonger d'Auerbach (238.000 morts), mais en 1962,
l'évêque Neuhausseier de Munich déclara dans un discours prononcé à Dachau que 30.000 personnes
seulement y moururent "sur les 200.000 détenus de 38 pays qui avaient été enfermés à Dachau" (Le
Drame des Juifs européens, p. 12). Aujourd'hui, cette estimation a encore diminué de plusieurs milliers
d'unités et cela continue!
Rassinier récuse aussi les témoignages, à l'appui du chiffre de Six Millions, présentés par des
accusés tels que Hoess, Hoettl, Wisliceny et Hoellriegel, qui se trouvaient dans l'alternative d'une
condamnation à mort et de l'espoir d'obtenir une commutation de la peine capitale, et qui furent souvent
torturés pendant leur détention. Rassinier estime qu'il est très significatif que le chiffre de Six Millions
n'ait pas été cité pendant le procès Eichmann. "Au procès de Jerusalem, l'accusation fut
considérablement affaiblie par l'absence de son motif central: les six millions de Juifs européens qui,
prétend-on, auraient été exterminés dans des chambres à gaz. Cette allégation parvint facilement à
s'imposer juste après la guerre, en profitant de chaos général, spirituel et matériel. Aujourd'hui,
plusieurs documents qui n'étaient pas disponibles au moment des procès de Nuremberg ont été publiés;
ils tendent à prouver que si les Juifs furent lésés et persécutés par le régime hitlérien, il n'a pas pu y
avoir six millions de victimes" (ibid, p. 125). Rassinier utilise 100 pages de statistiques qu'il recoupe
entre elles et il conclut dans Le Drame des Juifs européens qu'il n'a pas pu y avoir plus de 1.200.000
Juifs tués ou morts pendant la Deuxième Guerre Mondiale; il fait remarquer que ce chiffre a été accepté
finalement par le Centre Mondial de Documentation Contemporaine de Paris. Il considère cependant
que ce chiffre est une limite maximale et il cite l'estimation inférieure de 896.892 morts ou tués dans
une étude du même problème par le statisticien juif Raul Hilberg. Et pourtant, dit Rassinier, l'Etat
d'Israël continue à réclamer des indemnités pour 6 millions de morts, à raison de 5.000 marks par
cadavre (imaginaire)!


Une énorme escroquerie
Rassinier insiste sur l'exploitation délibérée de la légende de l'extermination pour en retirer des
avantages politiques et financiers, et il trouve qu'Israël et l'Union Soviétique sont d'accord pour
exploiter ce "filon". Il fait remarquer comment, après 1950, on vit apparaître une avalanche de livres
mensongers sur l'extermination, sous l'estampille de deux organisations dont les activités sont
synchronisées de manière si remarquable qu'on pourrait croire qu'elles sont conçues de concert. La
première organisation est le "Comité de Recherche des Crimes et des Criminels de Guerre" sous les
auspices des communistes à Varsovie, et la deuxième est le "Centre Mondial de Documentation Juive
Contemporaine" à Paris et à Tel-Aviv. Leurs publications paraissent à des moments favorables du
climat politique, et pour l'Union Soviétique, elles ont uniquement pour but d'entretenir la crainte du
nazisme pour distraire l'attention de ses propres activités. Quant à Israël, Rassinier considère que le
mythe des Six Millions a des motivations purement matérielles. Il écrit dans le Drame des Juifs
européens (p. 31, 39):
"...Il s'agit simplement de justifier par un nombre proportionné de cadavres les sommes énormes
versées chaque année à l'Etat d'Israël par l'Allemagne Fédérale au titre de réparation de dommages;
cette indemnisation n'a aucune base ni morale ni légale puisque l'Etat d'Israël n'existait pas au moment
des prétendus faits; c'est donc purement et platement une question de 'gros sous' ".
"Qu'il me soit permis de rappeler que l'Etat d'Israël fut fondé seulement en mai 1948 et que les
Juifs étaient des citoyens de tous les pays, sauf d'Israël, pour souligner les dimensions d'une
escroquerie défiant la description dans toute langue vivante: d'une part, l'Allemagne de Bonn verse à
Israël des sommes calculées sur la base de 6 millions de morts, et d'autre part, puisqu'il y avait au
moins les 4/5 de ces 6 millions qui vivaient bel et bien à la fin de la guerre, elle verse aussi des sommes
importantes au titre de Wiedergutmachung (indemnisation des victimes des persécutions du nationalsocialisme)
aux Juifs encore vivantes dans des pays du monde entier autres qu'Israël et aux ayants-droit
des Juifs décédés depuis lors, ce qui signifie que, pour les premiers (c'est-à-dire les 6 millions) ou
autrement dit, pour la grande majorité, elle paie deux fois. "

Conclusion
Nous allons résumer les données sur le nombre de Juifs morts ou tués pendant la guerre.
Contrairement au chiffre de plus de 9 millions de Juifs dans les territoires occupés par l'Allemagne,
présente au procès de Nuremberg et au procès Eichmann, nous avons déjà établi qu'après une forte
émigration, il restait environ 3 millions de Juifs en Europe, Union Soviétique non comprise. Même en
ajoutant les Juifs des territoires de l'Union Soviétique occupés par l'armée allemande (en réalité, ces
Juifs furent évacués en majeure partie avant l'arrivée des troupes allemandes), le total ne dépasse pas
probablement 4 millions. Le statisticien de Himmler, Dr Richard Korherr, et le Centre Mondial de
Documentation Juive Contemporaine fixent ce total respectivement à 5.550.000 et 5.294.000 au
moment de l'expansion maximale de l'occupation allemande, mais ces deux totaux comprennent les 2
millions de Juifs des pays baltes et de la Russie occidentale sans tenir compte du grand nombre de Juifs
qui furent évacués. On peut déjà retenir cependant que ce centre de documentation juif reconnaît qu'il
n'y avait même pas six millions de Juifs en Europe plus la Russie Occidentale.
Au procès Eichmann, l'accusation évita délibérément de citer le chiffre de 6 millions. En outre,
les estimations officielles juives du nombre de victimes sont corrigées régulièrement "en douce" vers le
bas. Notre analyse des statistiques de la population et de l'émigration, ainsi que les études du Baseler
Nachrichten et de Rassinier, démontre qu'il était tout à fait impossible que le total des victimes juives
(décédés et tués pendant la guerre) dépasse un maximum absolu d'un million et demi. Il est donc très
significatif que le Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine de Paris dise maintenant
qu'il y eut seulement 1.485.292 Juifs qui moururent, de mort naturelle ou autre, pendant la Deuxième
Guerre Mondiale, et bien que ce chiffre soit certainement trop élevé, on voit au moins qu'il n'a rien à
voir avec les Six Millions légendaires. Nous avons noté plus haut que le statisticien juif Raul Hilberg
estime qu'il y eut 896.892 morts ou tués, total encore inférieur au précédent. On commence à se
rapprocher d'un chiffre réaliste et il est certain que les corrections vont continuer.
Il est hors de doute que plusieurs milliers de Juifs moururent pendant la Deuxième Guerre
Mondiale, mais il faut considérer ce fait dans le contexte d'une guerre qui fit plusieurs millions de
victimes innocentes dans les divers pays participants. Il y eut, par exemple, 700.000 civils russes qui
moururent pendant le siège de Leningrad, 2.050.000 civils allemands furent tués par les
bombardements aériens et au cours de leur expulsion des territoires conquis par l'Armée Rouge. En
1955 une autre source suisse, Die Tat de Zurich (19 janvier 1955), passant en revue les pertes en vies
humaines causées par la Deuxième Guerre Mondiale, sur la base des chiffres publiés par la Croix
Rouge Internationale, dit qu'il y eut "300.000 personnes qui moururent dans des prisons et les camps de
concentration entre 1939 et 1945, victimes de persécutions politiques, raciales ou religieuses" et que
toutes ces victimes n'étaient pas juives. Ce chiffre semble être l'estimation la plus précise.

Massacre imaginaire
La question la plus pertinente quant à la légende de l'extermination est naturellement la suivante:
Combien de Juifs survécurent après 1945 sur les 3 millions de Juifs européens qui se trouvaient
pendant la guerre dans les pays occupés par l'Allemagne? Le Jewish Joint Distribution Committee avait
estimé qu'il y avait seulement 1 1/2 million de Juifs survivants en Europe, mais ce chiffre est devenue
totalement inacceptable aujourd'hui. La preuve en est dans le nombre croissant de Juifs qui réclament
des indemnisations au gouvernement de Bonn en prétendant qu'ils furent persécutés entre 1939 et 1945.
En 1965, le nombre de ces demandeurs avait triplé en 10 ans et atteignait le chiffre de 3.375.000
(Aufbau, 30 juin 1965). C'est la preuve la plus accablante du mensonge effronté des Six Millions. La
plupart de ces demandeurs sont des Juifs; il est donc certain que la majorité des 3 millions de Juifs des
pays européens occupés par l'Allemagne sont, en fait, bel et bien vivants. Confirmation éclatante du fait
que les pertes en vies humaines de la population juive pendant la Deuxième Guerre Mondiale durent
être de l'ordre de grandeur de milliers et non pas de millions. C'est sûrement un motif d'affliction
suffisant pour le peuple juif. Mais qui a le droit de transformer ce tragique épisode de la Deuxième
Guerre Mondiale en un massacre imaginaire, en couvrant d'un opprobre ineffaçable une grande nation
européenne et en lui extorquant une indemnisation financière frauduleuse?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

trés beausite , bravo !!
Extréme Résistance