mercredi 28 juillet 2010

03

III
Écoutez maintenant Brafmann, un Juif converti.
Voici comment il parle de ses anciens
coreligionnaires, dans son Livre sur le Kahal,
que nous avons mentionné plus haut :
« Né et élevé dans la religion Israélite, que
j'ai pratiquée jusqu'à la 34e année de ma vie,
j'étais suffisamment initié dans la connaissance
des sources où j'avais à puiser pour exécuter
les ordres du Synode de Saint-Pétersbourg
ayant pour objet de rechercher les moyens à
employer pour paralyser l'influence constante
et active des Juifs sur ceux de leurs
coreligionnaires qui auraient l'intention de
se faire chrétiens.
« Les relations d'intimité que j'ai conser
vées parmi mes anciens coreligionnaires m'ont
facilité la coordination d'importants documents
qui, dans le Livre sur le Kahal, que je publie,
jettent une vive clarté sur la situation et les
tendances des Juifs en général.
« Ces documents ainsi colligés, et consistant
en lettres, notices, actes, correspondances,
dispositions, etc., sont de nature à lever le
voile et le mystère qui cachent l'organisation
intérieure de la société juive, font de sa raison
d'être une énigme, et permettent , bien plus
que toutes les recherches faites jusqu'à ce moment,
de pénétrer les moyens secrets auxquels
ils recourent pour s'assurer lexistence, aussi
bien que la position influente qu'ils prétendent
occuper en Europe et dans le monde entier.
« La plus importante partie de ces documents,
absolument ignorés du public, se compose
de plus de mille ordonnances du Kahal,
c'est-à-dire du gouvernement administratif
des Juifs, et du Bet-Dine, tribunal judiciaire
introduit par le Talmud, deux autorités auxquelles
les Juifs sont soumis et dont ils exécutent
en aveugles les prescriptions.
« L'importance et la signification de ces
documents ne vont à rien moins qu'à démontrer
clairement les moyens pratiques qu'emploient
pour vivre les Juifs, et combien ces
moyens s'éloignent de la théorie développée
dans le Talmud, théorie qui a formé l'ancienne
société juive et qui est compréhensible pour
ceux-là seuls qui ont été élevés dans la Synagogue.
« Ainsi le Talmud ne marque pas nettement
la part d'autorité attribuée au Kahal et au
Bet-Dine dans la réglementation de la vie
des Juifs. La doctrine ou théorie qui règle la
conduite des Juifs d'aujourd'hui est une théorie
toute nouvelle, composée capricieusement,
sans base, ni traditionnelle ni écrite, et on
verra, dans les documents dont il est question,
de quelle manière le Kahal a compris et réglé
cette conduite de la vie pratique. Les documents
classés sous les n°* 16, 64, 131, 158 que
nous donnons au chapitre iv méritent une
attention particulière, car ils établissent :
1° Que le despotisme du Kahal défend aux
Juifs d'inviter qui que ce soit à leurs fêtes de
famille, comme de préparer leur nourriture et
leur boisson, sans une autorisation expresse ;
2° Qu'à cette question : Quel caractère
revêtent aux yeux des Juifs les lois du pays
dans lequel ils vivent? le Talmud répond : ici,
Dine deinalhute Dîne (que les lois de César
doivent être celles des Juifs) ; là, que les lois
de César n'obligent les Juifs qu'en ce qui
touche personnellement César, mais que celles
qui régissent le pays dont César est le chef
ne sont pas pour eux obligatoires, comme par
exemple les jugements rendus par les tribunaux
judiciaires et administratifs, qui, sous
aucun prétexte, ne peuvent contraindre les
Juifs habitant ce pays. Ailleurs, le Talmud
résout la question dans un sens exclusif, pour
ainsi dire, des deux solutions citées plus haut,
et dit : Rabanon mikve malke (Les Rabbins
sont des Césars). Ces différents textes du
Talmud peuvent être, et sont souvent aussi,
différemment interprétés. Ainsi, étant admise
l'interprétation qu'en fait le Kahal, il s'ensuivait
que les Juifs, remplissant les fonctions
de juge dans les tribunaux des pays qu'ils
habitent, ne forment pas leur opinion d'après
le texte des codes, soit civils soit criminels,
qui font loi dans le pays, et ne rendent pas
leur verdict selon la lettre de ces codes, mais
doivent simplement se conformer aux prescriptions
du Kahal, et selon lopinion que le
Kahal et le Bet-Dine se sont formée d'avance
dans chaque affaire.
« 3° Sur cette autre question : Comment les
Juifs doivent-ils considérer la propriété immobilière
et mobilière appartenant à ceux qui
ne sont pas de leur religion ? le Talmud répond
d'une manière si intelligible, et en mêlant,
pour ainsi dire, le noir avec le blanc, que tout
Juif peut traduire cette réponse comme il l'entend,
et s'attribuer ainsi le droit d'induire en
erreur et de tromper tout individu qui n'est
pas des siens.
« Dans les actes et documents cités du Livre
sur le Kahal, on verra que le Kahal, dans
chaque district qu'il gouverne despotiquement,
vend aux Juifs Hazaka et Meropiié, c'est-àdire
le droit d'exploiter non seulement la propriété
immobilière et mobilière appartenant à
des individus qui ne sont pas des Juifs, mais
encore les personnes elles-mêmes. «
En un mot, les documents cités dans le
Livre sur le Kahal (et dont nous donnons
des extraits, traduits parte in qua) démontrent
que le Kahal et le Bet-Dine, qui depuis longtemps
règlent sans contrôle la vie personnelle
et publique des Juifs, ne suivent guère les
prescriptions du Talmud ; et que les ordonnances
rendues par ces deux autorités juives
et confirmées par Hevem (serment ou anathème)
sont observées plus strictement par
les Juifs que les lois écrites dans le Talmud.
Ils dévoileront au grand jour les secrets mobiles
de la vie intérieure des Juifs, ils montreront
jusqu'à l'évidence par quels moyens
et par quels chemins détournés les Juifs, qui,
anciennement, n'étaient point admis à la jouissance
des droits civils dans la plupart des
pays de l'Europe, sont cependant parvenus,
dans beaucoup de contrées, à supplanter dans
les affaires l'élément étranger à leur religion,
à amasser de grands capitaux, à hypothéquer
à leur avantage toutes les propriétés immobilières,
et à se rendre maîtres du commerce et
de l'industrie, exercés d'abord par les indigènes;
comment enfin cela s'est accompli et
s'accomplit journellement dans les provinces
occidentales et méridionales de la Russie,
dans le royaume de Pologne, en Sibérie, en
Roumanie, et même, au commencement de ce
siècle , dans quelques départements de la
France (lettre de Napoléon 1er à Champagny,
en date du 29 novembre 1806), où, malgré la
minorité de la population juive, qui ne dépassait
pas 60,000 âmes, une notable partie des
propriétés immobilières et mobilières, appartenant
aux chrétiens, sont passées dans les
mains des Juifs, qui jouissaient déjà à cette
époque des droits civils.
« La meilleure preuve que les Juifs poursuivent
depuis longtemps leur but, sans que
nul insuccès les décourage, c'est la protestation
récente des habitants de Roumanie ; protestation
qui renferme les mêmes griefs que
ceux formulés déjà dans les plaintes adressées
aux autorités de Vilna, en 1865, par les habitants
chrétiens. {Recueil des lois par Dubenski,
page 222.) Et voilà pourquoi dans plusieurs
pays d'Europe, tantôt on donnait, tantôt on
reprenait les droits civils accordés aux Juifs,
afin d'échapper à leur pernicieuse influence,
à leur envahissement intolérable de toutes
les branches du commerce, de l'industrie.
de la propriété immobilière et mobilière
.
« Enfin, les documents dont nous parlons
font voir pourquoi les efforts tentés et les capitaux
sacrifiés au xixe siècle par plusieurs
gouvernements d'Europe, pour transformer le
caractère juif et pour soustraire à leur parasitisme
mortel peuples et pays, ont été infructueux.
La publicité donnée à ces documents et
les réflexions qu'ils inspirent ont cependant
suggéré, en 1871, aux autorités civiles des
provinces du nord de la Russie, la mesure de
suppression des institutions juives du Kahal
et du Bet-Dine.
« L'authenticité de ces documents est constatée
par l'ancienneté du papier sur lequel ils
sont écrits ; par l'uniformité d'écriture du notaire
qui les a rédigés ; par les signes d'eau
sur le papier qui marquent les lettres B. 0. F.
E. B.; enfin par plusieurs signatures qui sont
tout à fait identiques sur les documents de dates
différentes.—Toutes les ordonnances du Kahal
datent de 1794 jusqu'à 1833 et sont classées,
dans le Livre sur le Kahal, chronologiquement,
parfaitement conformes aux originaux.
« Un examen attentif et minutieux de ces
questions et réponses, concernant le règlement
de la vie des Juifs, conduira à cette conclusion,
que le principal but de ces règlements,
aussi bien que des actes qui en ont été la conséquence,
était d'acquérir le plus d'influence
possible sur les Juifs et les chrétiens! »

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