vendredi 2 juillet 2010

00- bases scientifiques de la nouvelle culture aryenne

L’HOMME,
CET INCONNU.

Dr ALEXIS CARREL.




PRÉFACE

PRÉFACE DE LA DERNIÈRE ÉDITION AMÉRICAINE

I - DE LA NÉCESSITÉ DE NOUS CONNAÎTRE NOUS-MÊMES

I - LA SCIENCE DES ÊTRES VIVANTS A PROGRESSÉ PLUS LENTEMENT QUE CELLE DE LA MATIÈRE INANIMÉE. NOTRE IGNORANCE DE NOUS-MÊMES.
II - CETTE IGNORANCE EST DUE AU MODE D’EXISTENCE DE NOS ANCÊTRES, A LA COMPLEXITÉ DE L’ÊTRE HUMAIN, A LA, STRUCTURE DE NOTRE ESPRIT.
III - LA MANIÈRE DONT LES SCIENCES MÉCANIQUES, PHYSIQUES ET CHIMIQUES ONT TRANSFORME NOTRE MILIEU.
IV - CE QUI EN EST RÉSULTÉ POUR NOUS.
V - CES TRANSFORMATIONS DU MILIEU SONT NUISIBLES PARCE QU'ELLES ONT ÉTÉ FAITES SANS CONNAISSANCE DE NOTRE NATURE.
VI - NÉCESSITÉ PRATIQUE DE LA CONNAISSANCE DE L'HOMME.






II - LA SCIENCE DE L'HOMME

I - NÉCESSITÉ D'UN CHOIX DANS LA MASSE DES DONNÉES HÉTÉROGÈNES QUE NOUS POSSÉDONS SUR NOUS-MÊMES. - LE CONCEPT OPÉRATIONNEL DE BRIGDMAN. SON APPLICATION A L'ÉTUDE DES ÊTRES VIVANTS. CONCEPTS BIOLOGIQUES. - LE MÉLANGE DES CONCEPTS DES DIFFÉRENTES SCIENCES. - ÉLIMINATION DES SYSTÈMES PHILOSOPHIQUES ET SCIENTIFIQUES, DES ILLUSIONS ET DES ERREURS - RÔLE DES CONJECTURES.
II - IL EST INDISPENSABLE DE FAIRE UN INVENTAIRE COMPLET. - AUCUN ASPECT DE L'HOMME NE DOIT ÊTRE PRIVILÉGIÉ. - ÉVITER DE DONNER UNE IMPORTANCE EXAGÉRÉE A QUELQUE PARTIE AUX DÉPENS DES AUTRES. - NE PAS SE LIMITER A CE QUI EST SIMPLE. - NE PAS SUPPRIMER CE QUI EST INEXPLICABLE. LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE EST APPLICABLE DANS TOUTE L'ÉTENDUE DE L’ÊTRE HUMAIN.
III - IL FAUT DÉVELOPPER UNE SCIENCE VÉRITABLE DE L'HOMME. - ELLE EST PLUS NÉCESSAIRE QUE LES SCIENCES MÉCANIQUES, PHYSIQUES ET CHIMIQUES. SON CARACTÈRE ANALYTIQUE ET SYNTHÉTIQUE.
IV - POUR ANALYSER L’HOMME, DES TECHNIQUES MULTIPLES SONT NÉCESSAIRES. - CE SONT LES TECHNIQUES QUI ONT CRÉÉ LA DIVISION DE L’HOMME EN PARTIES. LES SPÉCIALISTES.- LEUR DANGER. - FRAGMENTATION INDÉFINIE DU SUJET. - LE BESOIN DE SAVANTS NON SPÉCIALISÉS. - COMMENT AMÉLIORER LES RÉSULTATS DES RECHERCHES. - DIMINUTION DU NOMBRE DES SAVANTS, ET ÉTABLISSEMENT DE CONDITIONS PROPRES À LA CRÉATION INTELLECTUELLE.
V - L’OBSERVATION ET L’EXPÉRIENCE DANS LA SCIENCE DE L'HOMME. - LA DIFFICULTÉ DES EXPÉRIENCES COMPARATIVES. - LA LENTEUR DES RÉSULTATS. - UTILISATION DES ANIMAUX. - LES EXPÉRIENCES FAITES SUR DES ANIMAUX D’INTELLIGENCE SUPÉRIEURE. L’ORGANISATION DES EXPÉRIENCES DE LONGUE DURÉE.
VI - RECONSTITUTION DE L'ÊTRE HUMAIN. - CHAQUE FRAGMENT DOIT ÊTRE CONSIDÉRÉ DANS SES RELATIONS AVEC LE TOUT. - LES CARACTÈRES D'UNE SYNTHÈSE UTILISABLE.






III - LE CORPS ET LES ACTIVITÉS PHYSIOLOGIQUES

I - L’HOMME. - SES DEUX ASPECTS. - LE SUBSTRATUM CORPOREL ET LES ACTIVITÉS HUMAINES.
II - DIMENSIONS ET FORME DU CORPS.
III - SES SURFACES EXTÉRIEURE ET INTÉRIEURE.
IV - SA CONSTITUTION INTERNE. - LES CELLULES ET LEURS ASSOCIATIONS. - LEUR STRUCTURE. - LES DIFFÉRENTES RACES CELLULAIRES.
V - LE SANG ET LE MILIEU INTÉRIEUR.
VI - LA NUTRITION DES TISSUS. - LES ÉCHANGES CHIMIQUES.
VII - LA CIRCULATION DU SANG. - LES POUMONS ET LES REINS.
VIII - LES RELATIONS CHIMIQUES DU CORPS AVEC LE MONDE EXTÉRIEUR.
IX - LES FONCTIONS SEXUELLES ET LA REPRODUCTION.
X - LES RELATIONS PHYSIQUES DU CORPS AVEC LE MONDE EXTÉRIEUR. - SYSTÈME NERVEUX VOLONTAIRE. - SYSTÈMES SQUELETTIQUE ET MUSCULAIRE.
XI - SYSTÈME NERVEUX VISCÉRAL. - LA VIE INCONSCIENTE DES ORGANES.
XII - COMPLEXITÉ ET SIMPLICITE DU CORPS. - LES LIMITES ANATOMIQUES ET LES LIMITES PHYSIOLOGIQUES DES ORGANES. - HOMOGÉNÉITÉ PHYSIOLOGIQUE ET HÉTÉROGÉNÉITÉ ANATOMIQUE.
XIII - MODE D’ORGANISATION DU CORPS. – L’ANALOGIE MÉCANIQUE. - LES ANTITHÈSES. - LA NÉCESSITÉ DE S’EN TENIR AUX DONNÉES IMMÉDIATES DE L’OBSERVATION. - LES RÉGIONS INCONNUES.
XIV - FRAGILITÉ ET SOLIDITÉ DU CORPS. - LE SILENCE DU CORPS PENDANT LA SANTÉ. - LES ÉTATS INTERMÉDIAIRES ENTRE LA MALADIE ET LA SANTÉ.
XV -LES MALADIES INFECTIEUSES ET DÉGÉNÉRATIVES.






IV - LES ACTIVITÉS MENTALES

I - LE CONCEPT OPÉRATIONNEL DE CONSCIENCE. – L’AME ET LE CORPS. - QUESTIONS QUI N’ONT AUCUN SENS. – L’INTROSPECTION ET L’ÉTUDE DU COMPORTEMENT.
II - LES ACTIVITÉS INTELLECTUELLES. - LA CERTITUDE SCIENTIFIQUE. – L’INTUITION. - CLAIRVOYANCE ET TÉLÉPATHIE.
LES ACTIVITÉS AFFECTIVES ET MORALES. - LES SENTIMENTS ET LE MÉTABOLISME. - LE TEMPÉRAMENT. - LE CARACTÈRE INNÉ DES ACTIVITÉS MORALES. - TECHNIQUES POUR L’ÉTUDE DU SENS MORAL. - LA BEAUTÉ MORALE.
III - LE SENS ESTHÉTIQUE. - LA SUPPRESSION DE L’ACTIVITÉ ESTHÉTIQUE DANS LA VIE MODERNE. – L’ART POPULAIRE. - LA BEAUTÉ.
L’ACTIVITÉ MYSTIQUE. - LES TECHNIQUES DE LA MYSTIQUE. - CONCEPT OPÉRATIONNEL DE L’EXPÉRIENCE MYSTIQUE.
IV - LES RELATIONS DES ACTIVITÉS DE LA CONSCIENCE ENTRE ELLES. – L’INTELLIGENCE ET LE SENS MORAL. - LES INDIVIDUS DYSHARMONIQUES.
V - LES RELATIONS DES ACTIVITÉS MENTALES ET PHYSIOLOGIQUES. – L’INFLUENCE DES GLANDES SUR L'ESPRIT. – L’HOMME PENSE AVEC SON CERVEAU ET TOUS SES ORGANES.
VI - L’INFLUENCE DES ACTIVITÉS MENTALES SUR LES ORGANES. - LA VIE MODERNE ET LA SANTÉ. - LES ÉTATS MYSTIQUES ET LES ACTIVITÉS NERVEUSES. - LA PRIÈRE. - LES GUÉRISONS MIRACULEUSES.
VII - L’INFLUENCE DU MILIEU SOCIAL SUR L’INTELLIGENCE, LE SENS ESTHÉTIQUE, LE SENS MORAL ET LE SENS RELIGIEUX. - ARRÊT DU DÉVELOPPEMENT DE LA CONSCIENCE.
VIII - LES MALADIES MENTALES. - LES FAIBLES D’ESPRIT, LES FOUS ET LES CRIMINELS. - NOTRE IGNORANCE DES MALADIES MENTALES. - HÉRÉDITÉ ET MILIEU. – LA FAIBLESSE D’ESPRIT CHEZ LES CHIENS. - LA VIE MODERNE ET LA SANTÉ PSYCHOLOGIQUE.






V - LE TEMPS INTÉRIEUR

I - LA DURÉE. - SA MESURE PAR LE TEMPS SOLAIRE. – L’EXTENSION DES CHOSES DANS L’ESPACE ET DANS LE TEMPS. - TEMPS MATHÉMATIQUE. - CONCEPT OPÉRATIONNEL DU TEMPS PHYSIQUE.
II - DÉFINITION DU TEMPS INTÉRIEUR. - TEMPS PHYSIOLOGIQUE ET TEMPS PSYCHOLOGIQUE. - LA MESURE DU TEMPS PHYSIOLOGIQUE.
III - LES CARACTÈRES DU TEMPS PHYSIOLOGIQUE. - SON IRRÉGULARITÉ. - SON IRRÉVERSIBILITÉ.
IV - LE SUBSTRATUM DU TEMPS PHYSIOLOGIQUE. - CHANGEMENTS SUBIS PAR LES CELLULES VIVANTES DANS UN MILIEU LIMITÉ. - LES ALTÉRATIONS PROGRESSIVES DES TISSUS ET DU MILIEU INTÉRIEUR.
V - LA LONGÉVITÉ. - IL EST POSSIBLE D’AUGMENTER LA DURÉE DE LA VIE. - EST-IL DÉSIRABLE DE LE FAIRE ?
VI - LE RAJEUNISSEMENT ARTIFICIEL. - LES TENTATIVES DE RAJEUNISSEMENT. - LE RAJEUNISSEMENT EST-IL POSSIBLE ?
VII - CONCEPT OPÉRATIONNEL DU TEMPS INTÉRIEUR. - LA VALEUR RÉELLE DU TEMPS PHYSIQUE PENDANT L’ENFANCE ET PENDANT LA VIEILLESSE.
VIII - L’UTILISATION DU CONCEPT DU TEMPS INTÉRIEUR. - LA DURÉE DE L’HOMME ET CELLE DE LA CIVILISATION. L’ÂGE PHYSIOLOGIQUE ET L’INDIVIDU.
IX - LE RYTHME DU TEMPS PHYSIOLOGIQUE ET LA MODIFICATION ARTIFICIELLE DES ÊTRES HUMAINS.






VI - LES FONCTIONS ADAPTIVES

I - LES FONCTIONS ADAPTIVES.
II - ADAPTATION INTRA-ORGANIQUE. - RÉGULATION AUTOMATIQUE DE LA COMPOSITION DU SANG ET DES HUMEURS.
III - LES CORRÉLATIONS ORGANIQUES. - ASPECT TÉLÉOLOGIQUE DU PHÉNOMÈNE.
IV - LA RÉPARATION DES TISSUS.
V - LA CHIRURGIE ET LES PHÉNOMÈNES ADAPTIFS.
VI - LES MALADIES. - SIGNIFICATION DE LA MALADIE. LA RÉSISTANCE NATURELLE AUX MALADIES. – L’IMMUNITÉ ACQUISE.
LES MALADIES MICROBIENNES. - LES MALADIES DÉGÉNÉRATIVES ET LES PHÉNOMÈNES ADAPTIFS. - LES MALADIES CONTRE LESQUELLES L’ORGANISME NE RÉAGIT PAS. - SANTÉ ARTIFICIELLE ET SANTÉ NATURELLE.
VII - ADAPTATION EXTRA-ORGANIQUE. - ADAPTATION AUX CONDITIONS PHYSIQUES DU MILIEU.
VIII - MODIFICATIONS PERMANENTES DU CORPS ET DE LA CONSCIENCE PRODUITES PAR L'ADAPTATION.
ADAPTATION AU MILIEU SOCIAL PAR L’EFFORT, PAR LA FUITE. - LE MANQUE D’ADAPTATION.
IX - LES CARACTÈRES DES FONCTIONS ADAPTIVES. - LE PRINCIPE DE LE CHATELIER ET LA STABILITÉ INTERNE DU CORPS. - LA LOI DE L’EFFORT.
X - LA SUPPRESSION DE LA PLUPART DES FONCTIONS ADAPTIVES PAR LA CIVILISATION MODERNE.
NÉCESSITÉ DE L’ACTIVITÉ DES FONCTIONS ADAPTIVES POUR LE DÉVELOPPEMENT OPTIMUM DES ÊTRES HUMAINS.
SIGNIFICATION DE L'ADAPTATION. - SES APPLICATIONS PRATIQUES.






VII - L’INDIVIDU
I - L’ÊTRE HUMAIN ET L’INDIVIDU. - LA QUERELLE DES RÉALISTES ET DES NOMINALISTES. - LA CONFUSION DES SYMBOLES ET DES FAITS CONCRETS.
II - L’INDIVIDUALITÉ TISSULAIRE ET HUMORALE.
III - L’INDIVIDUALITÉ PSYCHOLOGIQUE. - LES CARACTÈRES QUI CONSTITUENT LA PERSONNALITÉ.
IV - L’INDIVIDUALITÉ DE LA MALADIE. - LA MÉDECINE ET LA RÉALITÉ DES UNIVERSAUX
V - ORIGINE DE L’INDIVIDUALITÉ. - LA QUERELLE DES GÉNÉTICISTES ET DES BEHAVIORISTES. - IMPORTANCE RELATIVE DE L’HÉRÉDITÉ ET DU DÉVELOPPEMENT. L’INFLUENCE DES FACTEURS HÉRÉDITAIRES SUR L’INDIVIDU.
VI - L’INFLUENCE DU DÉVELOPPEMENT SUR L’INDIVIDU. VARIATIONS DE L’EFFET DE CE FACTEUR SUIVANT LES CARACTÈRES IMMANENTS DE L’INDIVIDU.
VII - LES LIMITES DE L’INDIVIDU DANS L’ESPACE, - LES FRONTIÈRES ANATOMIQUES ET PSYCHO LOGIQUES. - EXTENSION DE L’INDIVIDU AU DELA DES FRONTIÈRES ANATOMIQUES.
VIII - LES LIMITES DE L’INDIVIDU DANS LE TEMPS. - LES LIENS DU CORPS ET DE LA CONSCIENCE AVEC LE PASSÉ ET LE FUTUR.
IX - L’INDIVIDU.
X - L’HOMME EST À LA FOIS UN ÊTRE HUMAIN ET UN INDIVIDU. - LE RÉALISME ET LE NOMINALISME SONT TOUS DEUX NÉCESSAIRES.
XI - SIGNIFICATION PRATIQUE DE LA CONNAISSANCE DE NOUS-MÊMES.






VIII - LA RECONSTRUCTION DE L’HOMME

I - LA SCIENCE DE L'HOMME PEUT-ELLE CONDUIRE À SA RÉNOVATION ?
II - NÉCESSITÉ D’UN CHANGEMENT D’ORIENTATION INTELLECTUELLE. L’ERREUR DE LA RENAISSANCE. - LA PRIMAUTÉ DE LA MATIÈRE ET CELLE DE L’HOMME.
III - COMMENT UTILISER LA CONNAISSANCE DE NOUS-MÊMES. - COMMENT FAIRE UNE SYNTHÈSE. - EST-IL POSSIBLE À UN SAVANT D’ACQUÉRIR UNE TELLE MASSE DE CONNAISSANCES ?
IV - DES INSTITUTIONS NÉCESSAIRES A LA SCIENCE DE L’HOMME.
V - LA RESTAURATION DE L’HOMME SUIVANT LES RÈGLES DE SA NATURE. - NÉCESSITÉ D’AGIR À LA FOIS SUR L’INDIVIDU ET SON MILIEU.
VI - LE CHOIX DES INDIVIDUS. LES CLASSES BIOLOGIQUES ET SOCIALES.
VII - LA CONSTRUCTION DE L’ÉLITE. – L’EUGÉNISME VOLONTAIRE. - UNE ARISTOCRATIE HÉRÉDITAIRE.
VIII - LES AGENTS PHYSIQUES ET CHIMIQUES DE LA FORMATION DE L’INDIVIDU.
IX - LES AGENTS PHYSIOLOGIQUES.
X - LES AGENTS PSYCHOLOGIQUES.
XI - LA SANTÉ.
XII - LE DÉVELOPPEMENT DE LA PERSONNALITÉ.
XIII - L’UNIVERS HUMAIN.
XIV - LA RECONSTRUCTION DE L’HOMME.

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