mercredi 28 juillet 2010

26

Je n'ai pas retouché le reste ....

XXVI
Enfin, le Kidesch et le Gabdala. (prières sur
la coupe).
La prière sur la coupe est une antique cérémonie
des Juifs. Elle est pour ainsi dire le
complément des autres prières récitées à la
synagogue ou à la maison. Récitée la veille du
samedi et des jours de fête, elle porte le nom
de Kidesch ; récitée le samedi soir après le
sabbat et à la fin de chaque jour de fête, elle
se nomme le Gabdala (1); avec la coupe, sur
laquelle le chantre récite à haute voix une
prière, on donne quelques gouttes du vin qu'elle
contient aux petits enfants présents à la synagogue.
A la maison, chaque chef de famille
(1) Gabdala signiQe la différence qui existe entre un
Jour de fête et les journées ordinaires de la semaine.
302 LA KUSSIE JUIVE
récite une prière semblable, et tous les assistants,
au souper du vendredi qui commence le
sabbat, et à celui du samedi qui le finit, doivent
goûter du vin contenu dans la coupe sur
laquelle la prière a été dite. Lorsqu'il n'y a
point de vin, on le remplace, pour le Kidesch,
par le pain, et pour le Gabda,Ia par de l'eaude-
vie ou de la bière. Bien entendu que le vin
ne manque jamais pour la cérémonie de la
synagogue, car chaque Juif riche se fait un
grand honneur d'en fournir. Il en est même
qui payent au Kahal le droit de pouvoir offrir
le vin nécessaire à cette cérémonie.
La prière de Kidesch rend grâce à Jéhovah...
« parce qu'il a élu pour son peuple
favori le peuple d'Israël entre tous les autres
peuples de la terre m... La prière de GahdaJa
rend à son tour grâce à Jéhovah « d'avoir séparé
les jours de fête des jours ordinaires, la lumière
de l'obscurité, et le peuple d'Israël des autres
peuples. ))
XXVTl
Après tout ce qui a été dit sur la vie intime
et secrète des Juifs, dans les chapitres qui
précèdent, il est facile de s'expliquer les
persécutions qui, en tous pays et à toutes les
époques, ont été dirigées contre ce peuple
incorrigible, orgueilleux et fanatique.
La jouissance des droits civils qu'on accordait
à la population juive dans certains pays
pour la naturnliser, a été, selon Texpression
de Napoléon I''»*, une illusion, quelque chose
de temporaire.
Et voilà pourquoi, tantôt on a accordé, et
tantôt on a repris cette jouissance aux communautés
de ce peuple qui, obstinément rétit'au
droit commun, a persévéré et persévère à vivre
isolé.
304 LA RUSSIE JUIVE
Il est clair que la cause de cette persévérance
est dans le judaïsme, c'est-à-dire dans
les institutions nationales prescrites par le
Talmud et protégées par le Kahal et le Bet-
Dine. Aussi longtemps donc que durera l'autorité
officielle du Juif, il existera toujours un
royaume séparé d'Israël, avec son Kahal, son
Bet-Dine, ses facteurs, son droit de Haznka
et de Meropiié, flanqué de toutes ces monstruosités
dont nous avons entretenu le lecteur.
Les paj'S habités en grande majorité par
des chrétiens, mais où il se trouve une population
juive môme en minorité, seront toujours
considérés par cette dernière, dit Joseph
Kuung, comme « un lac libre où chaque Juif
peut pêcher, c'est-à-dire oit chaque Juif, qui
achète du Kahal le droit de Hazaha et Meropiié,
peut exploiter et dépouiller un chrétien.
»
Pour finir, nous répétons donc que, tant que
les gouvernements des nations chrétiennes
toléreront ces grandes agglomérations de Juifs
paresseux qui, ne travaillant à aucun métier
utile, et par conséquent improductives, doiLA
RUSSIE JUIVE 305
vent chercher les moyens de leur existence
dans la fraude, l'usure, l'agiotage, le mercantilisme,
la vente de l 'eau-de-vie, etc., etc.,
agglomérations qui facilitent et étayent l'existence
du Kahal et du Bet-Dine, c'est-à-dire
de Tautorité du Juif sur le Juif... que tant que
l'éducation des enfants juifs ne se fera pas en
connmun avec celle des enfants chrétiens et
s'effectuera séparévient dans les Heders et
les écoles des rabbins, enfin tant qu'on ne forcera
par les Juifs à devenir cultivateurs, ouvriers,
etc. c'est-à-dire à tremper de leurs
sueurs la terre qui les nourrit, toutes les mesures
que ces gouvernements prendront pour
résoudre la difficile question juive ne seront
qu'un piiun desideriuin stérile !
Soustraire le Juif au droit et au devoir de
caste nationale politique, administrative, éducatrice
et religieuse, comme le soumettre à la
vie publique commune en l'affranchissant des
autorités usurpatrices qui ne subsistent et ne
se perpétuent chez lui qu'à la faveur du fanatisme
d'une religion d'où la vraie morale
sociale est exclue, remplacer la tolérance des
autorités, des sociétés qu'il exploite en para306
LA RUSSIE JUIVE
site, par les règles d'administration appliquées
à tous les citoyens, là est la solution.
En un mot, vie commune, charges communes,
éducation commune, administration
commune avec les sociétés chrétiennes, et en
échange droit commun et égalité.
XXVIIT (1
Nous pensons en avoir dit assez sur les
prescriptions du Kahal, les bizarreries du droit
coutumier et les particularités du rituel juif.
Qu'on ne nous demande pas en quoi ces particularités
et ces bizarreries peuvent constituer
un péril. La question serait par trop inintelligente
; car une symbolique respectée est une
solennelle constatation de la force.
Il fut un temps où la légèreté slave, au lieu
(1) L'auteur de ce travail a laissé une série d'études
qui devaient y faire suite. Nous devons à sa chère mémoire
de réunir ici les idées disséminées dans les écrits
posthumes qui font corps avec son étude si importante
par elle-même. Un intervalle de quelques années sépare
ce qui va suivre de ce qui a précédé, et les idées de l'auteur
ont dû être quelque peu modifiées , mais l'idée prédominante,
celle du suprême danger du judaïsme, demeure
et se manifeste avec plus d'énergie encore.
308 LA RUSSIE JUIVE
de tirer de l'étude du monde juif de féconds
enseignements, y trouvait une ample matière
à moquerie. Ce temps n'est plus et on semble
se douter que le dernier qui rira ne sera ni un
Russe ni un Polonais.
Derrière ces étrangetés de l'organisation du
monde juif, le génie sémitique dissimule la
grandeur de ses conceptions. Et tout cela est
très sérieux, très sévère, et porte en soi
d'inexorables conséquences.
Il nous faut nous répéter. Il le faut, pour
secouer la somnolence des peuples chrétiens,
qui nient le danger afin de ne pas avoir à le
regarder en face !
Reparlons donc du Kahal. L'esprit qui vivifie
tout l'attirail administratif et judiciaire du
Kahal, est un esprit exclusif, jaloux et intolérant.
Institution hybride, soucieuse de la pureté
du culte, c'est en même temps une ardente j)rotectrice
des intérêts temporels de la race. Aussi
cette institution ne disparaîtra-t-elle pas de si
tôt; et, disparaissant en apparence, elle se reconstruirait
par la force de gravitation de toutes
les affinités de la race juive vers une autorité
qui est 1 ame et la conscience de ce monde à
1
LA RUSSIE JUIVE 309
part. La prédominance de l'autorité du Kahal
sur celle du Rabhinat tient à l'essence même
de la religion juive, qui accorde une si large
part à rinterprétation et tient compte des
nécessités de l'heure présente. Le Juifne reconnaît
pas un régime lançant des décrétales et
pouvant aller k l'encontre du système administratif,
reconnu utile. C'est à la religion de
céder, ou de transiger. Cette souplesse si commode
du dogme religieux a amené quelques
penseurs à trouver, entre le judaïsme et le
jésuitisme, une frappante similitude.
L'idéal d'outre-tombe, qui exalte le chrétien
et le musulman, est à peine estompé dans
les enseignements juifs et passe presque inaperçu
à travers les explications embarrassées
des Livres sacrés. A ce point de vue, la religion
juive n'en est pas une. Le Songe de
Jacob et son Echelle résument toutes les aspirations
d'Israël, qui ne visent que la domination
terrestre. Une idée de détachement des
biens de ce monde ne pourrait même ,être
comprise par le Juif. Cette absence du spirituel
est-elle une force ? Assurément, lorsque, dans
la mêlée des intérêts, un des combattants se
310 LA. RUSSIE JUIVE
sent incapable de mollir devant aucune considération
d'ordre supérieur et respecte tout au
plus la correction des procédés.
Que faut-il penser alors des réformes projetées
par les gouvernements, tendant à la transformation
du Juif? Les gouvernements s'obstinent
à faire montre de leur impuissance. Les
Juifs, plus avisés, font semblant d'en être émus
et gémissent volontiers sur leur sort. Puérilité
d'un côté, hypocrisie de l'autre, cela dure un
peu, puis le remous se calme et tout rentre
dans l'ordre qu'on n'aurait pas dû troubler.
Les persécutions brutales doivent être condamnées.
Du reste, comme toutes les persécutions,
elles ne font qu'exaspérer et fortifier
les victimes.
La Russie, généralement très tolérante à
l'égard de ses races orientales, cherche, depuis
bientôt un siècle, à transformer ses sujets
juifs en bons citoyens russes, en comblant de
privilèges et d'exemptions ceux qui font mine
d'abandonner les voies du judaïsme. Que n'at-
on pas fait pour transformer les moeurs et
coutumss juives ! Rien de moins réussi que
ces tentatives. Les colonies agricoles juives,
LA RUSSIE JUIVE 311
dans le midi delà Russie, ont eu un grand succès
de rire. Depuis lors, certaines nécessités
d'une liquidation laborieuse, entre propriétaires
obérés et leurs créanciers juifs, ontamené
ces derniers à s'adonner à rag'riculture. Il en
est résulté un singulier phénomène : ce n'est
pas le Juif qui a été transformé par l'agriculture,
mais c'est l'agriculture qui est devenue méconnaissable.
C'était tout indiqué. La discordance
entre les lenteurs des exploitations agricoles
et les fiévreuses impatiences, propres au caractère
juif, ont nécessairement produit une
monstruosité. L'agriculture, entre les mains
des Juifs, ne pouvait faire autrement que se
plier à leur génie commercial et prendre les
allures d'un jeu aux évolutions rapides. Ne
pouvant pas accélérer le pas, l'agriculture,
pressée de près, a dû fournir des matières
escomptables et négociables à volonté. Ainsi,
les locations des terres et les achats de vente
des récoltes sur pied, les marchés fermes et les
marchés résiliables ou échangeables, et surtout
le déboisage du pays, par les coupes négociables
comme des titres de rente, et finalement
la vente des spiritueux, c'était là certai312
LA RUSSIE JUIVE
nement quelque chose, et ce quelque chose
formait un menu qui promettait. Les appétits
juifs eurent quelques aliments, Tagriculture
a bien fait les choses au commencement. Cette
idylle juive, singulièrement travestie, durerat-
elle? C'est douteux.
On se demande ce que faisait, ce que fait
aujourd'hui encore, le vrai, le légitime propriétaire
du sol, le naïf Slave, possesseur du
plus vaste domaine que la Providence ait
jamais départi à une race. Eh ! bien, le pauvre
grand fondateur de ce pauvre grand domaine
a été ahuri d'abord, entraîné ensuite, et écrasé
par les engrenages de cette tactique juive, à
laquelle il continue à ne rien comprendre; il
se recueille. Le bonhomme a l'ahurissement
facile, mais, qu'on ne s'y trompe pas, ses
recueille tnents peuvent devenir farouches.
XXIX
Continuons. L'industrie n'aurait pas périclité
entre les mains des Juifs, mais leur activité
industrielle a été fort restreinte; car ils
ont réfléchi et ont conclu à l'abstention. Et
voici pourquoi.
Toutes les productions de l'industrie allant
aux débouchés, il a suffi que les Juifs s'assurassentle
monopole des transactions d'achat et de
vente et missent préalablement l'industriel
dans la nécessité de leur demander le fonds de
roulement, pour qu'il fût démontré à l'évidence
qu'il convenait d'en rester là. Surprenante
découverte, en effet. Etant donnée cette situation,
il serait ridicule, se dit le Juif, de produire
n'importe quoi. Puis, s'emparant d'une
des phrases récemment découvertes et dédiées
314 LA nUSSIE JUIVE
aux exploiteurs, il a du ajouter , qu'en définitive,
il « produisait, lui, le mouvement et la circulation
». Cela étant, le Juif, fier de se voir « producteur
du mouvement et de la circulation »,
a pu dépouiller le bonhomme « producteur »
au nom de cette théorie que lui ont soufflée
les économistes complaisants.
Il est certain qu'en Russie, comme en Autriche
et en Roumanie, Vindustriel est inféodé
au Juif capitaliste et intermédiaire, qui prélève,
sur ce qui ne lui est pas dû, un tribut régulier,
par son intervention dans un de ces
rôles. C'est simple, mais toujours concluant.
Le capitaliste juif permet aux industriels de se
croire propriétaires des usines qui travaillent
pour lui : quant à lui, il gouverne, — d'une
façon un peu effacée, toutefois impérieuse, —
le côté commercial et financier de l'entreprise ;
il en détient l'âme, et il abandonne le corps
aux mains robustes du pseudo-propriétaire.
De même, un propriétaire terrien dans les
provinces du midi et de l'ouest de la Russie,
aussi bien qu'en Pologne, n'est (sans le savoir
du reste) qu'un simple fermier du Juif prêteur;
car le plus clair du revenu va au Juif,
LA RUSSIE JUIVE 315
et le légitime propriétaire du sol est simplement
logé et nourri. Il faut bien se dire que
l'épaisse bêtise de ce rude travailleur slave est
pour beaucoup dans sa ruine et dans sa vassalité,
que lui-même forge ses chaînes, que luimême
se livre stupidement à Tinsinuant tentateur
juif. Mon Dieu oui! il est bête, lui, et
tous ceux de sa caste qui ne savent pas s'unir
pour la défense; mais,., est-il nécessaire qu'il
périsse pour cela ?
Car, voyez le noeud de la question : sans
l'intervention du Sémite intelligent, le pauvre
benêt slave eût évité le jeu dangereux des maniements
des fonds avancés ou prêtés, il se
fût renfermé dans la simplicité du mécanisme
séculaire de son honorable travail. Les rouages
compliqués du jeu juif l'ont perdu !
Et, finalement, le malheureux aborigène
n'est plus qu'un vaincu, se repliant devant les
colons envahisseurs, vaincu par les armes
dont lui aussi a voulu se servir imprudemment.
Ici les notions s'embrouillent et les définitions
s'entre-choquent, La légalité écrite est
complice d'une manoeuvre ténébreuse, quoique
316 LA RUSSIE JUIVE
correcte; la légalité sentie proteste. Le pacte
sacré du sol avec l'aborigène, l'appartenance
mutuelle, les conformités mystérieuses qui unissent
les races aux territoires, tout cela, quoique
primordial et préexistant , ne serait donc
qu'une matière à négociations tombant sous
l'application d'un code? Cela n'est pas ! Quelque
chose de tacite, mais de très puissant en
même temps, proteste partout contre la mésalliance
du Sémite cherchant à contracter une
union avec la terre qu'il foule, mais qu'il ne
chérit pas !
Il est singulier que les Juifs, si intelligents
et si fins observateurs, s'obstinent à s'emparer
des terres et à vouloir devenir propriétaires
fonciers, au mépris de la violation d'un principe
qui est plus fort que toutes les législations.
Les villes et les bourgs sont à eux. Ils y
régnent et gouvernent, car tel est le bon plaisir
du Kahal. L'agencement qui assure le
fonctionnement de la puissance juive est admirable.
Sous l'influence d'une chaude atmosphère
de bienveillance et de solidarité mutuelles
, les Juifs ont su organiser un jeu
LA RUSSIE JUIVE 317
de rapports constants qui remplacent avantageusement
tout ce que les pouvoirs publics
ont créé à l'usage des milieux les plus civilisés.
— La publicité, qui facilite tant les affaires,
— cette publicité coûteuse et cependant
suspecte, — les Juifs l'ont remplacée par la
publicité parlée, par les incessantes communications
d'homme à homme, de commune à
commune, de Kahal à Kahal. Nos conversations
banales, notre manie de politiquer, notre
esprit même, nous font perdre un temps précieux,
que le Juif utilise, lui, dans ses conversations
de Juif à Juif, pour établir son programme
d'action et vérifier son jeu. Dans les
petites villes de province même , les Juifs
finissent par adopter un lieu de réunion, une
rue, un jardin public, les abords d'un café,
pour se communiquer iniituelle/ment les nouvelles,
étabhr des ententes ou stipuler le mode
de partage. Voilà certes une bourse qui existe
et fonctionne, sans qu'il ait été nécessaire de
la créer officiellement. Tandis que, dans nos
sociétés méfiantes , les affaires sont l'objet
d'une avalanche de paperasses et d'une interminable
série de cauteleuses formalités, les
8.
318 LA RUSSIE JUIVE
Juifs des petites villes forment, sans le savoir,
des sociétés par actions, les administrent et
les liquident, sans qu'un seul timbre ait été
apposé à un seul papier. Le Kahal résout les
difficultés, s'il en surgit. Nos juges de paix,
nos tribunaux, que nous occupons de nos procès,
n'interviennent que très exceptionnellement
dans les querelles de Juif à Juif.
XXX
Il convient encore, pour pénétrer le secret
de la puissance juive, d'appeler l'attention sur
les singularités de leur division du travail.
Et d'abord, on peut dire que le travail n'est
point divisé, du moins il n'est pas spécialisé,
il n'abrutit pas l'individu.
Le sacerdoce même n'est pas une spécialité.
Tout Juif est commerçant, d'abord; industriel
ou agriculteur, s'il le faut ; courtier, intermédiaire
ou négociateur, toujours.
A ce dernier titre, il a partout ses grandes
et ses petites entrées; il est le parrain obligé
de toutes les affaires ; n'en dédaignant aucune ;
sachant, à merveille, de par son instinct d'Arabe
(inventeur des chiffres !), qu'entre le petit
et le grand, la distance n'est qu'une notion
conventionnelle.
320 LA RUSSIE JUIVE
Les Juifs ont, contrairement à l'opinion répandue,
Fépiderme très sensible ; ils sont
pointilleux, et ils sont /lers.
Leur vanité, ou leur orgueil, consiste à se
maintenir à la hauteur déjà atteinte, d'où leur
regard froid et limpide voit et dirige le piétinement
des races occupées à les servir. Ils se
maintiennent à cette hauteur en s'infiltrant
dans les courants de l'activité humaine par la
prise de possession de rôles fort modestes en
apparence... Quece système est profond, dans
sa simphcité ! Courtier, intermédiaire, prêtenom,
bailleur de fonds : situation réelle, ou
quelque chose de subrogé ou de fictif, — mais
toujours d'une puissante assiette. Ce fonctionnement
déborde le but auquel il semblait être
destiné, et les métamorphoses apparaissent
très vite ; l'intermédiaire se trouve substitué
tout à coup au fondateur; l'intrus, au propriétaire;
le souffleur, à l'acteur; l'éditeur, à l'auteur.
Et cela se comprend. Les Juifs sont beaux
joueurs. Pas de petitesse dans ce qu'ils conçoivent
et dans ce qu'ils accomplissent. La
ductilité de leurs conceptions n'est point limiLA
RUSSIE JUIVE 321
tée par les chiffres. Là où un chrétien halète
et souffle, le Juif médite bien un peu tout d'abord;
puis le voilà à l'oeuvre. Nous sommes
petits, nous autres chrétiens, dans notre envieuse
mesquinerie d'égoïstes. Eux, ils n'ont
pas peur de donner à leur idéal une envergure
imposante. « Les chiffres, les millions, les
« milliards, nous connaissons cela ! (disent et
(c pensent les Juifs). Question d'un zéro à
« ajouter à droite! Est-ce que nous ne sommes
« pas associés ? on verra à augmenter le divi-
« seur, si c'est un peu lourd. Voilà tout ! »
Comment s'étonner dès lors que les Juifs,
forts de cette argumentation, se soient emparés
des chemins de fer, de la presse, des inventions,
de la propriété mobilière et immobilière,
de la littérature, et même de l'art?...
Et dire que c'est dans des conditions d'infériorité
pareille que le monde travailleur entre
dans la période du « combat pour l'existence!...
»
Nous ne marchanderons certainement pas
nos éloges aux vertus et aux qualités éminentes
des Juifs ? Nous y ajoutons seulement
le voeu qu'ils en aient moins, ou que nous en
322 LA RUSSIE JUIVE
ayons, nous, davantage. Cela égalisera, du
moins, la partie.
Lorsque, vaincus sur tous les terrains, nous
verrons qu^il nous faut, à nous aussi, un Kahal,
eh bien ! nous l'aurons ! Quant à réformer le
Juif, il ne faut pas y songer ; donc, il faut réformer
le chrétien !
Mieux vaudrait, après tout, reviser les fortunes
juives, déclarer toutes les ruches chrétiennes
en faillite, et inviter les frelons à
composer. Et cela, avant peu.
Les Livres juifs parlent d'une très belle cérémonie|
de clôture décomptes, engrande liquidation,
qui, chez ce peuple aussi religieux (?j
que bon comptable , accompagnait jadis le
Jubilé, le Cinquantenaire juif (Sc/ie?iai Haïjobel.)
Alors, les crieurs proclamaient, à son
de trompes, au peuple en délire, la remise de
tout ce qui était dû aux riches, le retour aux
débiteurs des terres que les créanciers détenaient
à titre de gages, l'affranchissement des
esclaves, etc., etc.
Or, cela était vraiment beau, d'une beauté
LA RUSSIE JUIVE 323
n '^îo.ssiiiro ; C3la apportait remède aux violont3S
rupturos crô'juilil)re. Aujourcrhui, une
f;uiss3 hont3 S3ulem3nt empêche les chrétiens
de demxndsr aux Juifs le rétablisssmsnt de
cette pieuse coutume. — Au fait, était-ce bien
de la piété?...
Toujours est-il que cette coutume est aujourd'hui
encore le seul mode de liquidation possible.
Ls monde ferait peaa neuve. Puis, on
recommencerait !
Sinon, nous autres Slaves, nous allons voir
surgir un czarisme juif, à côté du czarisme
politique dont nous jouissons déjà. Et s'il y a
conflit entre les deux pouvoirs?... On arrive
ainsi jusques à Tabsurde. Preuve évidente que
cela ne saurait durer. L'abaissement des caractères,
dCi aux humiliations que nous inflige
l'argent, cet abaissement ne saurait désormais
se prolonger sans amener une explosion
quelconque... En voilà assez!...
Henri Heine décrit spirituellement, dans
son Roma^ncero, la dispute des Augustins et
des Rabbins juifs à la cour de Pierre le Cruel.
Les Rabbins cherchent à séduire les Moines
par la description de l'immense poisson « le
324 LA RUSSIE JUIVE
Léviathan », dont la chair est succulente et
que le Père Eternel fera cuire pour le grand
repas qui devra célébrer le triomphe de son
peuple élu. En fait d'invités, il n'y aura que
des Juifs. Une partie du Léviathan sera accommodée
avec de Tail, Tautre sera servie
à la matelote.
Ainsi le gros et indolent Léviathan sera finalement
dévoré à belles dents par ces frétillants
petits carpillons d'eau douce. Comme
c'est bien cela !
Cet immense poisson, cet indolent Léviathan,
ne serait-ce pas toi, naïf Chrétien ? toi
surtout, archi-naïf Slave ?
A quelle sauce veux-tu être mangé?
Qu'est-ce à dire?... Tu réponds que « tu
ne veux pas être mangé du tout » ?
Mais, malheureux! de quoi t'avises-tu là?
TU SORS DE LA QUESTION!...
FIN

















TABLE DES MATIERES
Avant-Propos
I, — La Q lasLion j'.iive. — Gouvernement occille
des Juifs. — L^^ Knhnl elle Bet-Dine. — Le Lvre
sur le Kahil, de Braf iiann. — Le Discours il'un
grand rabbin. — But poursuivi par le peuple
juif en tout pays. — Le Veau d'Or, toujours debout.
— La toute-puissance de l'Or promise
aux fils d'Abraham. — Elle va se réalisant et
l'on touche au résultat tant attendu. —Tableau
de la situation financière en Europe. — Les
Jui's en sont partout les maîtres. — 11 s'.if^it
peureux de parachever l'oeuvre de dom nalion
en tout et partout. — A qui veut la (In, (oas
moyens sont bons. — Il se faut enir'ai.ler, ..
enLre Juifs. — A eus les questions sociales et b
faux zèle dtimocraLique, pour agir sur les
masses et les saul.'ver à point nommé. — Los
révolutions, cl mdeitiu'îment provoquées et fomentées
par eux, i'owl les Jaifs Rois de la Terre.
II. — Tousienel i t L?.> Juifs, Rois de l'Epoque.
— Eux, peuple de Dieu!... Allons donc!...
19
326 TABLE DES MATIÈRES
— Tas (le farceurs, de mystificateurs et de...
grugTu:-s. — Tacite, Bossuet, Voltaire, Fouricr,
una:iimîs à ce sujet. — Lis Juifs, raffineurs
en fraude com uerciale, voilà où ils excellent.
— La Prusse et la Russie en savent quelque
chose. — Napoléon P' l'avait bien senti, dès
18)3 ; et cependant !... — Trafic et us ire, métier
exclusif des Juifs. — Ils n'emploi ni leurs
dix doigts qu'à manier et pressurer l'argent.
— Monopoleurs et accapareurs, parasites et
vrais vautours, tels sont les fils non dégénérés
des pharisiens et des scribes d'Israël 20
III. — Les Juifs peints par l'un deux. — Leurs
mystères dévoilés. — Plus de mille ordonnances
du Kalial et du Bet-Dine. — Le vieux
Talmud mis au rancart it remplacé, pour les
besoins nouveaux, par une doctrine arbitraire
et despotique. — Tout pour dominer, per fas
et nefas. — Démonstration par les fiits elles
doci-imenls péi'emptoires. — Ce qui s'est passé
en Russie, en Pologne, en Sibérie, eu Roumanie,
même en France. — Protestation trop motivée
des Roumains et des habitants de Vilna contre
lesenvaliissemenlsdes Juifs. — En vain a-l-on
voulu supprimer le Kahal et le Bet-Dine 27
IV. — Do: uments servant de preuves à l'appui de
tout ce q li précède 36
V. — Les facteurs juifs, agents commissionnés par
le Kahal. — Agents de surveillance el agenls
de corruption. — Us sont toujours paiiout, et
rien ne I^^ur échappe. — Agenls de la basoche.
— Salaires d'enlrcme leurs. — Le rappoi't au
TABLE DES MATIÈRES 327
Kahal. — Juifs et Goïms. — Juifs et Juifs. —
Juifs et Kahal. — Kahal et Goïms. — Les dons
et l'argent : arme de prédilection, talisman
irrésistible. — [,a picca : Un mot au Minist-e.
— Comment procède le Kahal. — La commission
d'enquèle de l'Empereur de Russie. —
Comment elle fut paralysée. — La cotisation
juive, d'un million de roubles d'ar;,'ent. — L'ultima
ratio du poison. — Le tentateur repoussé,
— Temporisation de l'Empereur. — Le directeur
général Spiranski. Le minislie Koczubéi.
— Le serpent Péretz. — Ukase de réforme
rengainé et slatu quo maintenu. — Le tour est
joué : Vivat Mascarillus !... — Les pauvres paysans
russes continueront à être intoxiqués à
bons deniers complants 45
VL — Documents fournissant la preuve authentique
de tout ce qui a précédé 61
VII. — La cuisine des abattoirs juifs. — La viande
prétendue pure et la viande impure bonne
pour les chrétiens. — Kochère et Trcf. — L'impôt
de la boîte pour le Kochère. — Le Shochet,
ou boucher privilégié. — Barbarie révoltante
et adresse merveilleuse. ^- Les huit espèces de
viande impure (Tref). — Profonde science sur
le tref.—Il est défendu aux Juifs, de par Moïse,
de manger de la charogne, mais il leur est permis
de la vendre aux n n-juifs. — Rigoureuse
surveillance du Kulial à cet égard. — C'est avant
tout une affaire d'impôt. — Importante de
l'impôt de la boite. — On est parvenu à obtenir
la protection gouvernementale aux autorités
328 TABLE DES MATIÈRES
juives pour la perception de cet impôt de secte.
— Piéjudice causé ainsi aux populations des
conli'éi'S où habitent les Juifs 75
VII!. — Documents extraits du livre de Brafmann
sur le Kahal, donnant les preuves de ce qui
précède. — Quelle valeur peut avoir le témoig
ia.!j;e d'un Juif surveillé par le Kahil. 94
IX. — l\ ipports des confréries juives avec le Kahal.
— Influence qu'exercent cas canf éries sur
les Ju fs et les chrétie is. — Elles font de tous
les Jiifs répandus parmi les chrétiens une corpor.
ition itivisibL' et toute-puissante. — La confrérie
du Talmud : li Snvante. — La confrérie
de D^enla's inC3. — La confrérie des Arlisans.
— La cjnfrJrie de Relgon. — La confrérie des
Funérailles, et\ — Aulant dj palils Kahals,
insirunients aveugles du grand Kahal. — Actes
et (locumonls à l'appui de ce qui précèile d02
X — La cérémonie juive Alla. — Partage des Juifs
en patriciens et plébéiens. — Obligation de lire
les ci;iq Livres saints, sous peine d'être persécuté
par l'Ange des ténèbres. — La loi de la
Tora. — Kohen et Lévi ; Lévi et Zarodi. — Le
Segan, ou G;iba, etj le Samosclie. — Bénédiction
des bénédictions. — L échelle des Allas.
— Qu(>relles et scanJales entre dévols, patriciens
et plébéiens 110
XI. — Autorité du Kahal dans son disiricf. — Elle
montre bien la vérité du n ot de Schiller : Les
Juifs sont im État dans les États. — Toutes les
propriétés comprises dans son ressort lui forment
un teiritoire fictif, relevant réellement de
TABLE DES MATIÈRES 329
son dominium. — Le Kahal est propriétaire in
partibiis des biens soi-disant possédés par des
non-juifs, il a le droit de les Vendre par parcelles
aux Juifs. — Tout Juif est riioinnie-lipe île son
Kahal. — Les Juifs n'obéissent que superficiellement
aux lois du pays où ils habitent. — Machiavélisme
du Kah;il. — Le droit de Hazaca ou
de Meropiié. — Entre Goïm et Juif, c'est un
combat pour l'existence, car le Goim est comme
insciemment livré par le Kahal à une araignée,
à une pieuvre, à un vampire invisi! le. — Actes
et documents qui mettent pour la première fois
en évidence cette terribb vérité. — C'est en
Russie, en Pologne, en Roumanie, que fonctionne
surtout le monstre dévorant du Kahal.
— La roublardise du Kahal ju f en Russie lui
a soumis, comme un docile auxil.aire, l'autorité
civile de l'Empire pour le reiîouvrement
de ses impôts religieux qui font sa force. —
La pauvre veuve Broïda bal tue et payant
l'amende : l'autorité russe sert de gendarme
au Kahal. — Il est parvenu à se faire payer
un impôt indirect même par la pnpula ion
chrétienne. — 11 en est venu à édicter des
impôts recouvrables nonobstant opposition du
gouverneur civil de Minsk. — En un mot, il a
réussi à tout fouler aux pieds et à mettre les
chrétiens eux-mêmes dans sa dépendance. —
La forme effroyable du Héron, à la fois serment
et anathème (excommunication suprême).
— Prière qui suit la publication du Hérem. —
Les trois catégories du serment juif. — Répu-
'l9.
330 TARLE DES MATIÈRES
gnance des Juifs à prêter serment. — Le serment
n'a d'importance pour eux qu'autant qu'il
est prêté devant un tribunal juif. — Partout
ailleurs, un faux serment importe peu. — Anicn. 115
XII. — Documents traduits du Livre sur le Kahal
et démontrant la vérité de ce qui vient d'être
dit. 145
XIII. — La fête du Rosch-Haschana (la nouvelle année)
et la cérémonie de Fekiel-Chofère (du Son
du cor). — Le Rosch-Haschana n'a guère de
raison d'être depuis la chute du temple de Jérusalem,
puisque c'était un jour de triomphe.
— Les adroits meneurs d'Israël y ont substitué
Mûussaphc, service de synagogue, service funèbre,
de pleurs, de cris, de lamentations. —
La maigre sonnerie du cor (du cor de chass::-)
n'ajoute rien à la solennité pénible de ce jourlà.
— Toutes les exégèses ('e la docte Cabale
n'en peuvent mais. — On n'ose pas réformer...
et pour cause. — Document 154
XIV. — Institutions accessoires de la synagogue.
La cour et les communs. — Le Bet-Huknest ou
synagogue principale. — Le Bet-Gamidni^rh ou
maison de prière et école. — Le Bet-Hamerhatz
ou bains à vapeur. — Le Bet-Hakahal ou
chambre de Kahal. — Le Bct-Dine ou tribunal.
— Le Hek-Dcch ou refuge des pauvres sordides
166
XV. — Le Bct-Dine, section judiciaire du Kahal. —
Juridiction juive instituée par le Talmud pour
soustraire Is Juifs aux tribunaux Goim!^ ou
non-juifs. — Pénalités sévères contre les conTABLE
DES MATIÈRES 331
trevenanis. — Autorisations exccp(ionnclles
et secrètos. — Pouvoir absolu du Del-Diiie,
se concertant avec le Kahal. — La fortune
d'un justiciable influent déclarce Ilcfker,
c'est-ci-di; e abandonnée au pillage. — Procédure
du Bt't-Dine: citations, indouis, schamosches.
—F^es D(iio)is, jupes el experts. — Renvois
devant les tribunaux chrétiens, comme pis aller
et châtiment. — Blancs-seings annulant par
avance les jugements à intervenir 171
XVI. — Actes et documents prouvant ce qui précède
1 82
XVII. Le Kabolat-Kinion oa Souder :\ente s et achats
entre Juifs. — Le soulier de l'acheteur offert
au vendeur. — Un pan de la soutane, un mouchoir,
remplacent aujourd'hui le soulier. —
C'est le Kabolat-Kinion, opérant translation
immédiate du droit de propriété du vendeur
à l'acheteur. — Supérieur encore est le prestige
d'une vente prononcée par le Kahal 188
XVIII. — Célébration des noces juives — Elles
commencent la veille du sabbat par le Kabolat-
Schabat, sérénade de mélodies nationales. —
Le lendemain, Alîa-Maxlir. — Pluie de noix,
d'amandes, de ligues, etc. sur le futur. —
Enfin la grande cérémonie. — Placement de la
dot, — Salaire du Chadhan, négociateur du
mariage. — Droit de Rahache, au profit du
rabbin, du chantre et du staro-tj. — Salaire
des musiciens. — Tcdet et Kitcl, habits de la
prière et de la mort. — Badhan, l'improv sateur-
farceur, commence à fonctionner. —• Toi332
TABLE DES MATIÈRES
letle de li mariée, qui se fait sur un pétrin
renversé. — Arrivée du fiancé, qui couvre
la tète de sa future de l'écliarpe qu'elle lui
a envoyée. — 0:i lui jette du houblon et de
l'avoiue. — Marche triomphale vers le Huppe
(dais ou baldaquin). — Les mariés s'y placent.
— Ordre et marche du cortège. —Bénédiction,
voeu et acte d'épousailles. — Prière delà coupe,
— Remise de la bague. — Retour, musique en
tète. — La soupe d'or. — Le festin de la noce.
Les préséances et l'égalité. — L'art des serviteurs
à soigner les convives d'élite. — Badhan
et l'orchestre fonctionnent à tour de rôle. — Le
cri linal : Droschc-Geschenkc! — L'énumération
des c idéaux. — La danse Kochère. — Reconduite
du couple à la chambre nuptiale. — Le
Kahal, maître souverain de ses sujets dans
leur vie privJe 192
XIX. — La Circoncision. — Les précautions contre
Satan. — Le talisman Sddr-Garmalot. — Visite
et prièr.3 des connaissances de l'accouchée. —
Priera à la synagogue et honneur fait au père.
— Le Chalemc-Zahor, félicitations et politesses.
— Le Wach-Nacht, veillée du huiifème jour. —
Soins préalables à l'opération. — RJunion des
hui: participants, des dix témoins, et des parents
et invilés. — On procède à la pratique de
la douloureuse circoncision. — Prière et chants
cri:ir.is qui l'accompagnent. — Un élu de plus
par le peuple de Dieu. — Fête et réjouissances
sous le bon plaisir du Kahal. — Gare au tref!. 207
XX. — Hiérarchie des dignités chez les .luifs. —
TABLE DES MATIÈRES 333
Autonomie de leurs inslitulions piimilivt'S. —
Les coniilés provinciaux et les Bel Diiie les
remplacent. — Le Taimud accroiL son empire.
— République talmwlo-municipale. —Organisation
dos communautés juives. — Le rabbin el
les Parncsses. — Hubor e\.Mo7'eine. — Degrés du
Kahal el du Bet-Dine.— Elections. — Le rabbin
' n'est pas un prêtre. — Napoléon !" et les
Juifs. — La question juive en Russie, en 1866.
— Les Juifs toujours Juifs. — Grave erreur de
Napoléon le"". — Tout Juif est prêtre. — Tout ce
qu'on a l'ait pour réformer les Juifs a été nul.
Napoléon V scsf mis le doigt dans Toeil . — Les
Jui!"s S3 parent des Spinosa, des Salvator, des
Meyerbeer, des Rachel, comme le geai des
plunes du paon— Vive le Taimud et VAliiance
israélitj ! ... — Les écoles juives font tache
d'huile. — Erreurs du gouvernement russe,
qui s'est aussi mis le doigt dans l'oeil 216
XXL — Preuves à l'appui 263
XXIL — Les Mélamèdes, maîtres d'école et précepteurs
juifs. — Le Hcder où école. — Plébéiens
et patriciens juifs. — Ceux-là sont condamnés
à être les subalternes et très humbles serviteurs
de ceux-ci. — Les élèves des Mélamèdes.
— État de la question scolaire chez les Juifs.
— Tout par et pour le Taimud. — Eschabofs,
TaLnudors, Clauzers : taudis à écolie s 270
XXIIL — Le Yom-Kipour, jour de la rémission des
péchés, et le G'itorat-Nedovime, cérémonie de
l'absol lion. — Comment on allège la mémoire
au lieu d'alléger la conscience du pécheur juif.
334 TAULE DES MATIÈRES
— La fameuse prière de Kol-Nidre qui délie de
tous les eng.igemenls et serments de l'année :
jubi.é annuel fort commodeet assez scandaleux.
— Le Gfitova'.-Nedovme et le Messirat-Madna,
autres cérémonies non moins commodes, qui
autorisent le faux serment et le faux témoignage
dans les procès de juif contre chrétien.
— El maintenant, à Jérusalem ! 286
XXIV. — La cérémonie du Caporet, purification.
— Le Juif attrape un coq, la femme juive une
poule ; on les jette au loin, puis on les tut; et
les mange avec appétit. . . et on est puiifié.. . . 292
XXV.— La il7i7a7/,purifical ion spéciale à ia femme.
— Jadis un ruisseau d'eau vive, aujourd'hui un
grand bassin d'eau sale, une cuve sordide, où
les femmes vont faire deux ou trois plongeons
sui\is d'une horrible opération de rince-bouche
à même.—Le tout sous les yeux et à la baguette
d'une affreuse mégère préposée à ce supplice
digne de YEnfer de Dante. — Il faut l'avoir vu
pour le croire, mais cela est, et... rapporte gros
au Kahal 294
XXVI. — Hidesch et G«6d«/a, prières sur la coupe.

Vin ou pain, eau-de-vie ou bière. — Mais le vin
ne manque jamais, et c'est grand honneur de
l'offrir. — On rend grâces à Jéhovah de ce qu'on
est son peuple élu 301
XXVII. — On ne naturalise pas des Juifs. —
Il faut qu'il soit dépouillé du droit lalmudique
de dépouiller et exploiter les chrétiens.
— Il faut en finir avec ces agglomérations de
Juifs qui ne font rien que la fraude, l'usure,
TABLE DES MATIÈRES 335
l'agiotage, b m^rcintilisme, la vente de l'eaude-
vie, etc. — Il faut en faire des cultivateurs,
des ouvriers utiles, et abolir, supprimer ces autorités
usurpatrices qui les oppriment. — Il faut
en faire das citoyens et des concitoyens 303
XXVIII. — Il n'est plus temps de rire.— SaiL-on qui
rira le dernier? — Au lieu de nier le danger,
regardDas-le en face. — Le Kahal est coriace
et a la vie dure.— Rabbinat, judaïsme et jésuitisme.
— Le Songe et l'Échelle de Jacob. — Pas
de persécution bru!ale, mais pas d'illusions, ni
de ménagements non plus. — Que; 1 1 Russie
avisa sér^eusemant. — Qu'elle voie C3 qua les
Juifs ont fait de l'agriculture. — L'iJylle juive
peut-elle durer et ne menace-t-elle pas de devenir
un drame farouche? , 307
XXIX. — Le Jjif dans ses rapports avec l'indusirie.
— En produisant le mouvement et la circulation,
lui dépouille le pauvre producteur réel.—
Le pi'opriétaire terrien de Russie est tout simplement
le fermier du iniï préteur. — Slaves et
Sémites. — L'agencement juif; la publicité parlée
; les bourses de rues et de cafés ; l'expédition
des affaires à la minute et sans paperasses.... 313
XXX. — Le Juif se spécialise-t-il?— Touj urs est-il
qu'il ne s'abrutit pas par la division du travail.
— Les incarnations successives et rapiJes
font très vite d'un marchand ai lorgaettcs
an)bulant un millionnaire. — Les chilTres ne
l'arrêtent jamais : on est associé ou on ne l'est
pas. — Aussi, qu'est-ce qui ne leur appartient
pas à l'heure qu'il est? — Il s'agit pourtant de
336 TABLE DES MATIÈRES
combattre pour l'existence.— Il faut réformer,
non le Juif, mais le chrétien —Pourquoi ne procé
!erait-on pas à une revision, à un Jubilé, ou
Cinquantenaire juif? — Gare à un czarismo
jiiif! — Henri Heine et son apologue du U:viathan.
— Il s'agit finalement de savoir à quelle
sauce le naïf ciirélien et l'arclii-naïf slave veulent
être mangés par le J .if nullement.naïf et
très roublard ! 335
lUPRlilEIllE EillLF. COLIN, A SALNT-GEKilAIM


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